La fin, elle n’avait jamais été aussi près. Je pouvais la sentir, rien qu’en voyant l’agitation qui régnait autour de moi. Les gens courraient à droite et à gauche pour faire leurs valises, et surtout, ne rien oublier. Puis, une fois dans les coulisses, c’était le branle-bas de combat. Maquilleuses, stylistes, techniciens… on aurait dû une vraie fourmilière, là dedans. Si, pour ma part, je n’avais aucun stress, je constatais que ce n’était pas de même pour tous mes camarades. Ma respiration était régulière, je n’avais pas les mains moites, et je souriais, alors qu’une coiffeuse s’affairait autour de ma tête. Il ne restait quelques minutes avant le début du prime, ce dernier de toute une longue série. Quelques retouches suffirent à rendre mon look tel qu’il devait l’être : parfait. Mes cheveux tombaient en cascade sur mes épaules, et je portais une robe bleue toute simple, agrémentée de quelques bijoux et d’une petite bourse noir et argenté. Mais cela restait simple : je n’avais pas à briller, ce soir, ce n’était pas mon rôle. Je n’étais pas finaliste, j’étais seulement là pour soutenir ceux qui avaient cet honneur. Loxias, Jamie, Nora et Malo. J’ignorais lequel des quatre monterait sur la première marche du podium, mais qu’importe, ils le méritaient tous. On vint me poser mon micro, puis, il ne restait plus qu’à entrer dans l’arène… oh, pardon, sur le plateau. Une foule monstre nous attendait, ça criait, ça applaudissait. C’était carrément fou. Je dus rougir devant tant de visibilité, mais par chance, je pus trouver un petit coin tranquille pour me poser, un peu en retrait de tout ce tumulte. Syssoï puis Cupidon intervinrent à leur tour, et les secrets furent annoncés. J’observais la liste, et stoppait net devant l’intitulé de celui d’Ezéquiel. J’ai été envoyé pour détruire la vie d’Anabel. Mon coeur arrêta de battre pendant un court instant, et mes yeux s’agrandirent sous le choc. Quelqu'un, quelque part, m'en voulait au point d'envoyer cette... brute me poursuivre. Cela cesserait-il donc jamais ?

La fin d'une ère, d'une aventure qui s'achève bien trop tôt. Cupidon a plombé l'ambiance hier, il nous a gentiment convié à faire nos valises. On s'est exécuté, les finalistes sont parti un peu plus tard, nous, on a dû quitter les lieux dans la matinée. J'ai partagé la voiture avec Adie, encore heureux j'ai envie de dire, j'crois qu'ils m'auraient entendu sinon. L'ambiance était à la nostalgie, c'était bizarre, parce que même si on sait que nos chemins ne se sépareront pas, cette aventure se termine tout de même. Tout sera différent, et même si ça ne me fait pas peur, j'suis inquiet. Le trajet n'a pas été bien long, j'sais pas trop où se situe le château dans lequel nous avons vécu, mais nous sommes rapidement arrivés à Dublin. Encadrés par des gorilles, on a déjà été accueilli par des hordes gens, ça faisait longtemps. Et bizarrement ça ne m'a pas tellement manqué. On entre dans l'hôtel, et là, surprise, on nous informe qu'on a le reste de la journée de libre mais qu'il ne faut pas sortir parce qu'on doit être à la disposition de la prod pour le prime, tout ça. On est arrivé, et je n'ai pas eu le temps de réagir que déjà je vois courir Adie en direction de deux personnes, ses parents sans doute. Et déjà, j'entends une voix familière qui me fait me retourner. Immédiatement, une petite tête blonde me cours dans les bras. Loann, ma petite Loann. Je l'attrape dans mes bras, et aussitôt, la voix de Maiwenn résonne à mes oreilles, Mahé est dans ses bras, je m'approche pour les embrasser et lorsque je me retourne pour chercher Adie du regard elle s'est éloigné, mise un peu à l'écart. Je lui souris et pars m'installer avec mes proches plus loin. De toute façon on se retrouvera très bientôt. Je me moque de Lucas et de sa barbe des années 70, tandis que mes bébés ne quittent pas du tout mes genoux. Je suis émerveillé par les progrès de mon fils, il parle nettement mieux, il a tellement changé en trois mois que c'est déroutant. On parle pendant des heures, on déjeune rapidement, Maiwenn commente discrètement mes frasques, elle m'engueule, et c'est la fête. Et bien rapidement, un assistant vient m'arracher à eux. Maiwenn m'informe qu'elle sera présente avec Loann et Lucas sur le prime, que la production a proposé une babysitter pour Mahé, et que j'aurais intérêt à lui présenter Adie très rapidement. Je les embrasse une dernière fois et suis le type en question, il m'embarque dans une loge, j'ai croisé Finnick d'ailleurs. Mais pas d'Adie. On m'a filé une tenue, le genre de tenue que j'aurais pu mettre de moi même puisque de toute évidence, j'commence à ré-apprécier les costumes. C'est Adie qui va être contente. J'suis dans les coulisses, j'aurais bien aimé pouvoir encourager Jamie mais les finalistes sont parqué dans une pièce interdite, comme si on risquait de les enlever vous savez. Bref, on m'indique que j'dois faire mon entrée. Les gens hurlent, je m'installe rapidement à la place qui m'est attitré. Je scrute l'horizon et remarque rapidement ma fille qui me fait de grands signes, je lui souris. J'attends, et rapidement je vois la photo d'Adie s'afficher, elle arrive et s'installe à mes côtés. Je lui souris, l'embrasse furtivement, et les finalistes arrivent, j'hésite à lui dire qu'elle est canon à cause de tous ces gens, j'sais pas s'ils nous entendent, j'voudrais pas risquer de me faire engueuler par les animateurs. Dès que Jamie se pointe, je sors la pancarte que j'ai fabriqué avec ma petite puce, c'est elle qui a dessiné la mouche. Je l'agite et souris comme un con à l'encontre de mon pote.

« Vous ne pouvez pas aller plus vite s’il vous plait, je suis vraiment en retard. » La blonde s’impatientait à l’arrière du taxi qui la conduisait jusqu’au plateau du treizième et dernier prime de la saison. Elle était partie tard la veille au soir afin de régler les dernières formalités administratives de son installation à Londres. Elle s’en voulait d’avoir laissé Malo affronter seul le départ du château mais avait-elle réellement le choix ? Elle désirait commencer sa nouvelle vie le plus rapidement possible. « V’tre tête me dit que’chose ma petite dame vous ne seriez pas d’ja monté dans mon taco ? » Elle manqua lever les yeux au ciel. « Non. Je m’en serais souvenu. S’il vous plait allez plus vite. » Répéta-t-elle en lançant un autre coup d’œil à sa montre. Maudit temps ! Maudite administration, maudit déménageur. Elle avait passé plus de la journée à parlementer au téléphone, à faire le pied de grue devant la porte de son appartement en attendant les nouveaux propriétaires, elle avait dû répondre aux questions embarrassantes de ces derniers, recevoir leurs félicitations pour son courage. Elle avait cru mourir de gêne lorsqu’un journaliste qui faisait le pied de grue devant l’immeuble lui avait demandé si elle pouvait lui montrer sa licorne. Seigneur le cirque commençait déjà. Elle ignorait ce qu’il en serait après la finale. Elle espérait simplement que leur couple survivrait à cette agitation. Elle savait que Malo tenait autant à son intimité qu’elle. Elle sortit de son sac un petit poudrier et rafraichit son rouge à lèvres en reconnaissant la rue dans laquelle le taxi s’engageait. D’après son téléphone le prime avait débuté depuis quelques temps déjà. Mince. Alors que le taxi s’arrêtait elle sortit de son sac un billet pour payer sa course, lorsque l’homme s’en saisit elle capta dans son regard un éclaire de compréhension. « Vous étiez dans ce jeu-là, que ma môme regarde ! Je peux... » Elle avait déjà claqué la porte du taxi derrière elle. « Je sais je suis en retard. » lança-t-elle à l’habilleuse quelques secondes plus tard en posant sac et manteau sur une chaise. « Mais je suis habillée et maquillée et coiffée pour une fois ! » Elle portait sous son trench-coat une magnifique robe rouge, mettant en valeur sa poitrine et son teint de lait. Tandis qu’un ingénieur du son l’équipait de son micro elle regardait le prime sur le petit écran de la loge. Malo semblait nerveux, Loxias plutôt joyeux malgré un soupçon d’inquiétude dans ses yeux, Jamie était plutôt d’humeur badine quant à Nora, la blonde n’eut pas le temps de la voir qu’on l’entraînait en dehors de la loge. Elle espéra une seconde pouvoir conserver ses ballerines mais une assistante lui tendit une paire de Louboutin qu’elle enfila avant d’être autorisée à pénétrer sur le plateau. Elle souriait pensant surtout à ne pas se prendre les pieds dans sa robe du soir, son cœur bondit lorsque son regard croisa celui de Malo, elle lui adressa un sourire lumineux, tout comme aux autres candidats. Ce soir était un grand soir, dire qu’à cause de des administrations dublinoise et anglaise, foutue JO, elle avait failli la manquer. Elle s’installa dans un des fauteuils réservés aux éliminés et croisa ses longues jambes l’une sur l’autre, sa robe se fendit, révélant le hâle subtil de sa peau. Tout prenait fin ce soir. Comment se déroulerait le retour à la vraie vie. Et surtout... Comment vivrait-elle sa relation avec Malo une fois à l’extérieur ? Il l’avait fait renaître. Elle espérait que la pression médiatique ne briserait pas ce qui existait entre eux. « Désolé je suis en retard. » Articula-t-elle à l’intention de son.... Petit ami ? Seigneur qu’elle n’aimait pas ce terme. Cupidon annonçait tout juste les secrets lorsqu’elle s’installait, avec intérêt elle détailla l’écran. Elle n’aurait jamais deviné certains c’était sur.

J’ai pas le temps de répondre à Jamie, encore moins de dire ce que je dois dire à Nora, j’ai à peine le temps de resserrer mes doigts sur sa main, avant d’entamer la descente des marches menant au plateau, sous les cris, les lumières et... c’est quoi, ça ? Des confettis ?! Une musique nous brûle les derniers neurones valides. Je connais pas, mais après trois mois en huis clos, j’imagine que ma culture musicale a du rater quelques sorties. Je laisse Malo et Jamie nous précéder jusqu’aux quatre sièges bien en évidence, et sous couvert de talons hauts et jupe étriquée, j’aide Nora à trainer... Oui, on traine, mais on fini par rejoindre les deux autres, et à s’installer sur les deux derniers sièges disponibles. Je me retrouve entre Jamie et Nora, dont j’ai toutes les peines du monde à lâcher la main. Alors je me tourne vers Jamie, pendant que Syssoï nous offre une séquence nostalgie qui n’émeut que lui. « Ploc ! Ploc ! Ploc ! Ploc ! Ploc ! » je ploc à son oreille, un coude sur l’accoudoir, le menton dans la main, et le visage tourné vers lui. « Psiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii... » je poursuis, dans un sourire sadique. « Imagine une cascade, une belle et grande cascade où l’eau coule à flot... C’est beau... » Ouai, magnifique. « Tu penses pouvoir tenir combien de temps, comme ça ? Et est-ce que ton départ du plateau sera vécue comme un abandon ? Genre, tu sais comme dans ces concours américain, où il faut rester avec la main sur la voiture pour remporter la voiture ? Sinon, y a l’option pisser dans la bouteille. » je poursuis en lui désignant du menton la bouteille d’eau minérale, pleine, qui siège aux pieds de chacun. Cupidon annonce les secrets. Je fais semblant de m’y intéresser, puis je me retourne à nouveau vers Jamie. « Et sinon, tu aimes Patricia Kaas ? »

Ça n'va pas le faire, qu'on se le dise. Genre comme par hasard le seul endroit où j'peux pas aller pisser, faut que ce soit en direct devant j'sais pas combien de téléspectateurs. Bon en même temps, logique quoi, sinon ça ne serait pas drôle. Y'a Evan de l'autre côté du plateau qui agite un big bout de carton de soutien, avec une mouche dessus. Hahaha. Moi si j'avais été à sa place, pour le soutenir, j'aurais secoué un gros pénis... hum... non. C'est étrange dit comme ça. Bon, et puis finalement on s'assoie. J'suis entre Loxias et Malo, je n'sais pas trop pourquoi d'ailleurs, mais y'a l'autre macaque qui s'y remet. « Ploc ! Ploc ! Ploc ! Ploc ! Ploc ! » noooooon ! Sérieusement ? PUTAAAAAIN ! « Psiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii... » « Pitiééééé ! » lâchais-je en riant légèrement. Oh non, ne pas rire, ça m'donne encore plus envie de pisser. « Imagine une cascade, une belle et grande cascade où l’eau coule à flot... C’est beau... » le pire c'est que quand on vous dit des trucs du genre, avec tous les efforts du monde, y'a quand même cette putain de cascade qui se dessine dans votre tête. « J'vais pleurer j'crois. » ouais bon ou pas, mais en bas ou en haut, ça changera plus grand chose. « Tu penses pouvoir tenir combien de temps, comme ça ? Et est-ce que ton départ du plateau sera vécue comme un abandon ? Genre, tu sais comme dans ces concours américain, où il faut rester avec la main sur la voiture pour remporter la voiture ? Sinon, y a l’option pisser dans la bouteille. » je secoue la tête un instant. « Arrête, en plus si j'me mets à me pisser dessus, on va croire que c'est à cause du stress. Respire Jamie, respire. » ne pas regarder la bouteille d'eau, ne pas regarder la bouteille d'eau. « Et sinon, tu aimes Patricia Kaas ? » léger blanc. « Patricia Kaach ? C'est qui ? C'pas le vrai nom de Swann quand même ! Putain la pauvre. »

C'est donc Tweedy qui est la première à se lancer, elle souhaite apporter son soutien à Loxias. Ecoutez la.

L'intégralité des secrets nous fut révélée. Certains se voulaient surprenants, d'autres légèrement décalés, tandis que je ne comprenais même pas l'intitulé de quelques uns. Parmi les secrets les plus "marquants", à mon sens, on trouvait celui du grand black, venu rendre la vie impossible à Anabel, visiblement. C'était dans un sens perturbant, bien que plus rien ne pouvait réellement m'étonner venant de lui. Ce mec était spécial, fallait l'accepter. Je l'avais accepté, et il n'en restait pas moins quelqu'un qu'au final j'appréciais assez. J'eus une pensée pour ma partenaire de toujours ; si nos rapports n'avaient jamais été très bons, elle ne méritait pas que quelqu'un soit envoyé jusqu'ici pour s'en prendre à elle. C'était à se demander comment le grand black avait pu intégrer l'aventure avec un secret pareil, m'enfin. Je scrutai autour de moi pour voir si Irène daignait enfin pointer le bout de son nez. Pas d'Irène. Elle allait probablement se mettre en retard, une fois de plus. Je commençais à m'y habituer, à force. En attendant je pouvais toujours profiter de l'animation du prime, et notamment de ces discours d'encouragement que certains allaient débiter en l'honneur de nos quatre finalistes, tous très classe ce soir d'ailleurs. Tweedy fut conviée à prendre la parole - elle se chargeait de vanter les mérites de mon grand pote et confident Loxias, finaliste que je voulais voir sacré en fin de soirée. Je lui prêtai alors toute mon attention.

Le prime commençait tout juste, mais une certaine agitation régnait déjà. Il faut dire qu'entre le public qui hurlait à la mort pour soutenir les finalistes et les anciens candidats qui discutaient entre eux, on ne s'entendait limite plus penser. Tweedy, elle, pouvait une fois de plus profiter de la plaisante compagnie de Finnick. Et dire qu'elle avait failli tout faire capoter entre eux, hm. Les secrets non découverts ou non révélés furent ensuite connus, et Tweedy ne manqua pas d'écarquiller les yeux à certaines occasions. Mais bientôt, on la pria de venir s'exprimer. En effet, on lui avait demandé de préparer un petit discours de soutien pour Loxias, ce qu'elle avait naturellement accepté de faire. Alors elle se leva, tremblotante, hésitante, mais ne tarda pas à retrouver son aisance naturelle. Hum hum, c'est parti. « Lorsque l'on m'a proposé de composer un message de soutien pour la personne de Loxias, j'ai immédiatement songé à refuser ... Mais non, bien sûr, j'ai tout de suite accepté, sans me poser la moindre question. Et je dois d'ailleurs dire que c'est un honneur d'avoir été approchée pour le faire. Enfin bref. Je trouve les quatre finalistes tout à fait méritants, pour diverses raisons, mais si l'un d'eux devait remporter l'aventure ce soir, je pense qu'il faudrait que ce soit Loxias. Je sais que vous n'avez pas besoin que l'on vous dise quoi faire, ni comment voter, mais je vais profiter de l'occasion qui m'est donnée de m'exprimer ce soir pour vous vanter les mérites de notre cher Loxias, malgré tout. Tout d'abord, je sais que je ne suis pas extrêmement objective, puisque Loxias est mon ami, qu'il est quelqu'un que j'apprécie énormément et que je me réjouis d'avoir eu la chance de rencontrer au sein de ce jeu. Mais il est indéniable que ce jeune homme est aussi beau à l'intérieur qu'il l'est à l'extérieur. A mes yeux, c'est quelqu'un d'extrêmement humain, possédant une ravissante personnalité. J'espère que ça se dit, hum ... Loxias est un jeune homme droit, accueillant, ingénieux. Et en plus de ça, il danse extrêmement bien. Je m'égare, hum ... Ce que je cherche à vous montrer, c'est qu'il n'est pas qu'un charmant garçon au physique avantageux. Il est tellement plus que ça. Si votre amant ordinateur - oui, vous avez bien entendu - refuse de quitter sa femme pour vous, vous pourrez compter sur lui pour élaborer d'audacieux stratagèmes. Si vous prenez peur devant un écureuil pourtant inoffensif, il sera là pour vous tenir la main, au sens propre comme au figuré. Et hum, si vous vous ennuyez, il sera toujours dans le coin pour vous proposer d'aller vous dandiner sur une chanson des Maroon 5 en embarrassant affreusement vos petits camarades. Loxias, c'est un peu l'ami que l'on voudrait tous avoir, en fait. Je ne devrais pas vous ennuyer avec ces tentatives d'humour probablement inappropriées, mais Loxias est comme moi. Je veux dire, il n'est pas franchement drôle, au fond, mais on l'aime quand même. Son naturel l'honore, sa loyauté également, et je pense que l'on peut clairement dire que ce jeune homme vaut de l'or. Okay, c'est surtout comme ça que JE vois les choses, mais tous ceux qui ont pris la peine de le connaitre, que ce soit ici ou à l'extérieur, seront assurément d'accord avec moi. Loxias a des valeurs, nous avons pu nous en rendre compte. L'amitié semble beaucoup importer à ses yeux, et c'est une chose que je ne peux qu'apprécier, et vous aussi je l'espère. Loxias est quelqu'un de bien, vraiment, et j'espère que c'est l'une des raisons qui vous pousseront à voter pour lui. Bon, maintenant que tout cela est dit, il est évident que je ne prévois pas de vous retrouver pour vous causer du tort si vous ne votez pas pour Loxias. Mais bon, si j'étais vous, je ne prendrais aucun risque. Sait-on jamais, hm. » Bon, c'était nul à quel point, vous pensez ?