ArèsMESSAGES : 843 AGE : 36 LOCALISATION : PARIS. CITATION : FINALEMENT, JE SUIS PEUT-ÊTRE UN SENTIMENTAL QUI A PEUR DES SENTIMENTS. JUKE BOX : WITHOUT YOU / SUMMERTIME SADNESS (LANA DEL REY) / RIVERSIDE (AGNES OBEL) / WE ARE YOUNG (FUN) / PUMPED UP KICKS (FOSTER THE PEOPLE) POINTS : 337
LOVER'S LIFE CAGNOTTE: 15 000 € RELATIONS: PARTENAIRE: (TRIS, DANI) CELIBATAIRE.
| Sujet: ALWAYS BELIEVE THAT SOMETHING WONDERFUL IS ABOUT TO HAPPEN. ✗ 23/10 - 11h45 Lun 22 Oct 2012 - 9:35 | |
| Tris & Ares Mes pieds m'ont portés hors du lit depuis trois bonnes heures déjà. Mon sommeil se fait beaucoup moins long ces derniers jours. Depuis que Sia a décidé de partir, je suis un peu retourné. Et pire, depuis que je suis nominé. Pas que cela m'affecte réellement. Mais je l'appréciais beaucoup et son départ fou quand même un sacré coup et j'imaginais les candidats m'apprécier un peu plus que cela.. J'ai décidé d'aller courir, m'aérer l'esprit un peu et je suis partis en jogging, débardeur et sweat. J'ai traversé le village à petites foulées et puis, je me suis perdu à travers champs jusqu'à arriver à la fin du territoire. J'ai longé les barbelés et puis, je suis revenu. J'ai l'esprit vide, les joues légèrement rosies, le souffle court. J'ai repris de bonnes habitudes, je vais courir presque tous les matins. Ces premières semaines de relâchement ne m'ont réellement pas aidées. Je suis devenu paresseux et engourdis. Comme pour contraster mon âme sportive à celle paresseuse, je sors du tabac de ma poche et je me roule une cigarette. Mes doigts sont rouges eux aussi. La bise, froide et rude s'incruste en moi et je frissonne. A Paris, la pollution nous maintient au chaud, au moins. Ici, je respire à pleins poumons. Je me revigore. Mais ça ne m'empêche pas de consommer ma dose - au combien indispensable - de nicotine. Je peine à allumer cette cigarette bancale, je m'y reprends à plusieurs reprises et puis, finalement, le papier prend feu. Je tire là dessus comme un forcené et souris à la sensation de nicotine dans mes poumons. C'est le moment que choisis Tris pour me rejoindre. Je suis assis sur un banc, au milieu de la place. « Tu vas avoir froid.. » je constate. Elle est très - trop - finement habillé et, tel une mère, un père, peu importe, un parent, un vrai, je m'inquiète. Alors, j'enlève mon sweat molletonné et je le pose sur ses épaules quasiment dévêtues. |
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