« T’as tort de le faire. » Je n'en attendais pas moins de lui. J'imagine bien qu'il n'allait pas sauter de joie quand je lui dis que je m'intéressais à lui sauf que c'est vrai. J'vois pas pourquoi je mentirais, j'vois pas pourquoi je serais là si ce n'était pas le cas. Peut être qu'il ne se pense pas intéressant, mais peut être qu'il a tord. Il se connait mieux que je le connais c'est certain mais d'un côté il a pas l'air super objectif alors. « Peut être bien mais je préfère m'en rendre compte par moi même. » Si ça ne le dérangeait pas parce que oui je préfère me fier à ma propre opinion quitte à me heurter à un mur que le croire bêtement et peut être passer à côté de la meilleure rencontre de la vie. Enfin bon peut être que j'exagère très certainement, mais bon comment savoir ? Tant que je n'aurais pas expérimenté la chose moi même. Et la chose c'est lui. De toute façon j'imagine qu'il a bien compris que ce ne sont pas ce genre de mots qui pourront me décourager, ça aurait tendance à me motiver encore plus à vrai dire. J'suis obstinée, il doit le savoir. En tout cas puisqu'il me défie de rester pour voir à quel point sa condition de vie est atroce je lui dis que je reste. Il en aura marre avant moi, mais de ma présence, pas de sa condition. On finirait sans doute par s'entre-tuer, probablement. Un silence s'installe, enfin on parle par parcimonie. Un coup lui, un coup moi mais surtout moi là. Et j'en ai marre, j'en ai marre de le voir fumer alors je lui retire sa clope de la bouche. Je la jette et lui grimpe dessus, je lui fais un câlin. J'adore les câlins aussi étrange que cela puisse paraître. Lui n'aime pas ça, je le comprends bien rapidement. Il me parle comme à un chien. Et même si je me détache légèrement ça m'agace à tel point que je le lui dis. Je hausse le ton, je suis plus sèche, j'en ai marre. J'sais même pas comment j'ai fait pour le supporter à ce point avant de m'énerver. Mon seuil de tolérance est beaucoup moins élevé, j'explose plus facilement, pas là. Et je m'attends à tout un tas de chose, qu'il se braque, qu'il me vire sans ménagement, qu'il hurle encore plus fort mais pas à ce qu'il se mette à sourire. Pas à ce point. Il sourit mais vraiment, j'pensais pas que c'était possible. Il a l'air vraiment content, comme apaisé presque, ouais comme s'il n'attendait que ça, que ma colère serait la seule susceptible d'apaiser la sienne. C'est bizarre. Ce type est bizarre. Un peu comme moi, parce qu'au fond j'aurais pu avoir ce genre de réaction. Alors je ne sais plus vraiment ce que je dois faire, dire. J'suis totalement abasourdie, dans l'incompréhension totale. « Putain, c’était pas trop tôt. » Pardon ? Quoi ? Pourquoi il se redresse et ... Ah bah merde. Il m'embrasse. Comme ça. Sauf que l'intervention de Cupidon, sans que je n'ai besoin de le chauffer non plus. Il m'embrasse et si je ne réponds pas sur l'instant parce que j'suis encore choquée, je réponds avidement. Peut être que j'suis pas vraiment amoureuse de lui, encore que, mais en tout cas j'crois que je suis entrain de développer une addiction pour ses baisers. C'est super agréable. Il me fait tourner la tête, j'crois mais il ne le saura jamais. Jamais. Et mais j'peux pas le laisser m'embrasser comme ça. Je reprends mes esprits et... Je détache de lui, mes mains glissent sur ses pectoraux sur lesquels je prends appuie.  « Mais qu'est-ce que tu fous au juste ? » Ouais bon c'était carrément agréable, mais ça m'a pas calmé pour autant. Je le fusille toujours du regard. Les rôles s'inversent pour une fois.

« Peut être bien mais je préfère m'en rendre compte par moi même. » Et sur ces paroles, tu te contentes de hausser les épaules. Elle s’en rendrait compte bien vite. D’ailleurs elle avait été plus patiente que tous les autres, car presque tous les habitants du nid avaient déjà abandonné l’idée de te connaître. Pas elle. Elle devait être vraiment motivée. T’en restais pas moins désagréable pour autant. T’étais comme ça, tu n’y pouvais rien. Si son espoir était de te changer et de te rendre plus sociable, elle allait droit dans un mur. Tu n’aimais pas partager, tu n’aimais pas passer des moments avec les gens. Les choses, tu les gardais pour toi. C’était comme ça, tu n’aimais pas te confier. Tu te sentais mal quand tu le faisais, alors tu ne le faisais pas. Il n’y avait aucune raison pour que tu te sentes mal, juste pour faire plaisir aux autres. Ils trouveraient bien le bonheur d’une autre manière. Alors non, ce n’était vraiment pas nécessaire de s’intéresser à toi. Ca n’aboutirait à rien. Et t’étais prêt à parier que dans quelques temps à peine, Monroe abandonnera à son tour. Tu étais bien trop désespérant. Pourtant, elle te monte dessus pour te faire un câlin. C’était ce qu’elle avait dit, mais ça t’étonne quand même. Tu ne t’attendais pas à ce qu’elle le fasse réellement. Alors tu la rejettes. Comme tu savais si bien le faire. Tu la rejettes parce que t’es pas à l’aise comme ça, parce que tu n’aimes pas ça. Parce que tu n’as pas l’habitude qu’on te fasse des câlins de la sorte. Alors elle s’énerve. C’est sûrement la première fois qu’elle s’énerve contre toi. Et tu ne peux pas t’empêcher de penser que t’attendais ça depuis le début. Qu’elle en ait enfin marre de toi. Qu’elle comprenne que oui, effectivement, t’étais un sale con comme elle venait de le dire. Pas que t’ai tout fait pour qu’elle le pense, car depuis le début, tu n’avais rien fait pour lui prouver quoi que ce soit. T’étais resté toi-même. Mais elle s’énerve et tu souris. C’est sûrement la première fois que tu lui souris comme ça. En fait, c’est sûrement la première fois que tu souris de la sorte dans cette émission. Elle avait réussi à te faire sourire, Bingo. Même si tu te doutais que ce n’était pas volontaire. C’était comme si t’as colère venait de sortir de toi pour s’insérer dans Monroe. Alors pour le coup, t’étais plutôt calmé il faut dire. Et t’étais content de voir qu’elle n’était pas cette femme tolérante avec toi qu’elle laissait croire, parce qu’elle pète un câble contre toi. Et sans vraiment savoir pourquoi, tu te redresses pour l’embrasser. Enfin si, tu savais pourquoi. Parce que t’en avais envie. Oui, toi, Sandro, t’avais envie de quelque chose. Et pour le coup, c’était de celer une énième fois vos lèvres. T’étais aussi bizarre qu’elle, c’était clair. M’enfin. Tu l’embrasses parce qu’elle est craquante quand elle s’énerve. Oui, tu l’admets. Enfin, tu l’admets dans ta tête, parce que tu ne le dirais jamais à voix haute. C’était mort. Et puis, au fond, ses lèvres avaient un goût que t’aimais bien. Ça aussi, tu ne le lui dirais jamais. Bref. Tu l’embrasses réellement, pour de vrai. Pas un baiser de collégien. Mais au bout de quelques instants, elle se recule un peu, et fait glisser ses mains sur ton torse. Ta main, elle, est toujours posé sur sa nuque. Tu ne la bouges pas, pas que c’est volontaire, mais ta presque oublié qu’elle était là. Tu la regardes, comme d’habitude ton regard ne quitte pas le sien. « Mais qu'est-ce que tu fous au juste ? » Ce que tu foutais ? Tu n’en avais aucune idée. Ce que tu savais, c’était que maintenant, toi, tu n’étais plus énervé, mais qu’elle, elle l’était. Tu le savais à la manière dont elle te regardait. Bon, t’as quand même arrêté de sourire parce que il ne faut pas trop abuser non plus, ça faisait mal aux joues à forces. T’étais pas habitué, toi. Quant à sa question, tu te contentes d’hausser les épaules. Tu ne savais pas, toi. Tu ne te posais pas autant de question qu’elle. « Tu vois que t’avais tort. » te contentes-tu de dire. Tort de s’intéresser à toi, tu voulais dire. Référence à ce que vous disiez un peu plus tôt. Le fait qu’elle s’énerve contre toi montrait que oui, elle avait eu tort de s’intéresser à toi, parce que t’étais juste un mec borné et casse-couille. « J’avais raison, comme d’habitude. » T’étais pas sûr que ce que tu venais de dire calmerait sa colère. Mais bon, ce n’était pas ton but. Elle se calmerait toute seule, va. Un jour.

 

Je suis du genre obstinée. Quand je veux quelque chose je mets tout en oeuvre pour réussir à l'obtenir. Toujours. Et souvent je réussis. Parfois je me plante mais ça ne m'empêche de vouloir continuer. Je ne suis pas du genre à baisser les bras au premier obstacle. J'aurais pu faire comme la majorité des candidats et arrêté de lui porter de l'intérêt mais j'suis pas comme ça. D'autant que je suis persuadée qu'il est plus que ce qu'il tente de renvoyer. C'est certain même. Oui bon c'est un gros con c'est sûr, mais moi aussi j'suis une connasse. Il doit trouver que j'en suis une parfois, et ce n'est pas le seul. J'peux l'être si on me cherche. Même quand on ne me cherche pas enfin de compte. En tout cas bah j'vais pas me barrer à la première embûche. Je pense qu'il ne me parlera pas mais ce n'est pas si grave. Enfin si ça l'est, enfin non mais bon bref, c'est pas grave. De toute façon là toute suite je m'en fous pas mal qu'il ne me parle pas. Il m'emmerde, il m'emmerde à être aussi con. Mais paradoxalement je pense que j'aime bien ce côté con, c'est ce qui m'attire d'un côté. Enfin d'un côté je vais garder ce petit détail pour moi. Je lui ai déjà dit que j'étais attiré par les cons la dernière fois et là que j'en étais amoureuse, ça fait beaucoup trop de révélations d'un coup, il va finir par se sentir important, son ego va gonflé tout ça. Non non non je me tais. Enfin en tout cas je m'énerve, ça m'étonnait aussi que je ne me sois pas énervée avant. Je suis colérique et impulsive. Même si j'peux être tellement zen que s'en est agaçant, ça dépend surtout de la situation. Mais là il m'énerve à être énervé. J'fais des trucs pour lui, je m'inquiète et merde quoi. Il est toujours énervé. Je ne m'attends pas à ça par contre. Qu'il sourit à ce point, je ne pensais pas qu'il puisse sourire de cette manière, comme si ses zygomatiques étaient coincés. Je peux même pas lui dire que ça le rend sexy de sourire parce que j'suis trop énervée et qu'il me prend un peu au dépourvu à m'embrasser de cette façon. Il va de soit que je réponds. Même si je suis énervée parce que je suis énervée mais c'est super agréable. J'vais pas prétendre le contraire. Je suis obligée de me détacher parce que je ne sais pas trop pourquoi il fait ça. Pourquoi il m'embrasse alors que je viens de lui gueuler dessus. Alors tout naturellement je le lui demande. Il hausse les épaules. D'accord. Il n'en sait réellement rien ? Mais il est vraiment con c'est pas possible. Je soupire. Bon ce n'est pas pour ça que j'ai retiré mes mains de son torse d'ailleurs et lui aussi a toujours sa main posé contre ma nuque. J'aime bien le contact je crois, je ne suis pas réellement apaisé. C'est comme si sa colère c'était transféré sur moi. C'est le câlin ça sans doute. Comme quoi j'ai bien fait parce que je suis en colère mais si ça se trouve dans deux secondes ce sera passé.  « Tu vois que t’avais tort. » De quoi il parle ? J'avais tord. Il me faut plusieurs minutes pour comprendre. Surtout que bon, il n'est pas super clair.  « J’avais raison, comme d’habitude. Je le toise. Mais bien sûr. « Oh parce que tu crois que j'vais me tirer et arrêter de te faire chier juste parce que t'es casse couille et que j'ai piqué une colère ? » Il est drôle quand même. J'suis encore un peu énervée mais ça va déjà mieux. Enfin c'est pas encore l'extase. Je soupire. « Arrête de raconter des conneries et embrasse-moi. » Je lance sèchement. Mais je réagis avant lui. C'est moi qui l'embrasse, un baiser tout aussi passionné et torride que celui qu'il m'a donné quelques minutes plutôt. J'agrippe sa chemise que je malmène légèrement, mais elle doit être habitué la pauvre. Je passe mes mains sous cette fameuse chemise caressant ses abdominaux. J'comprends toujours pas pourquoi j'aime autant ses lèvres.

Et elle s’énerve. Il faut dire qu’elle te prend au dépourvu, parce que jusque-là, elle ne t’avait pas une fois gueulé dessus. Peut-être que t’y été allé un peu fort, cette fois-ci. Même si tu ne t’en rends pas compte, parce que tu ne fais qu’être toi-même. Sans faire aucun effort, certes. Pourtant, toi, t’as rien demandé à personne. T’as pas demandé à ce qu’on s’inquiète ou s’occupe de toi. Rien de tout ça. Mais elle, elle le fait. Elle doit avoir de sérieux problème dans sa tête, ou vraiment tenir à obtenir quelque chose de ta part. Sauf que tu ne comprenais pas ce qu’elle voulait de toi. T’avais rien à offrir, à part ta mauvaise humeur. C’était comme ça, t’y pouvais rien au fond. Mais qu’importe, après son mini monologue, tu l’embrasses, sans vraiment réfléchir. T’es plus vraiment en colère. Ouais, ça va même beaucoup mieux. Tu l’embrasses parce que ses lèvres t’appellent. Un appel à l’aide, sûrement. Ses lèvres te disent qu’elles ont besoin de toi. Alors tu t’exécutes, comme le bon saint Maritain que tu es. Voilà, c’est seulement pour ça que tu l’embrasses. Juste pour la sauver. Exactement. Hum. Et puis elle te repousse après quelques instants, et ton regard reprend directement contact avec les siens. Comme si c’était indispensable quand elle se retrouvait là, en face de toi. Enfin, pour le coup, elle était plutôt sur toi, parce qu’après t’avoir fait cet horrible câlin, elle n’avait pas vraiment bougé pour autant. Bon. Elle te demande pourquoi t’as fait ça. T’en sais rien, très franchement. Et tu peux pas lui sortir l’excuse des lèvres désespérée. T’avais juste envie de l’embrasser, c’est tout. Ta main n’a d’ailleurs pas bougé de sa nuque. « Oh parce que tu crois que j'vais me tirer et arrêter de te faire chier juste parce que t'es casse couille et que j'ai piqué une colère ? » T’en étais presque certain, ouais. Mais elle a l’air plus forte que ça. Malheureusement ? Tu ne sais pas trop. Tu hoches pourtant la tête, pour lui montrer que c’était ce que tu pensais. Tu n’as pas vraiment le temps de répondre, puisqu’elle reprend. « Arrête de raconter des conneries et embrasse-moi. » Oh bah, demandé si gentiment. T’as pas vraiment le temps de faire grand-chose qu’elle ne tarde pas à t’embrasser. Et… ouais, faut croire que t’aimes bien ça, l’embrasser. Tu le lui rends bien. Ta main sur sa nuque y reste, ton pouce faisant des mouvements circulaires sur sa peau, doucement. Ton autre main, elle, se place dans le creux de son dos, y exerçant une légère pression pour l’approcher de toi, un peu plus. Quant à elle, ses mains se retrouvent sous ta chemise et tu ne la repousses pas vraiment. T’es un peu trop occupé à l’embrasser de toute manière, et puis le tout n’est pas désagréable. Et puis finalement, au bout d’un moment, tu te détaches d’elle. Enfin, tu détaches seulement tes lèvres, pour pouvoir respirer, parce que ta tête et toujours aussi proche de la sienne. « Contente ? » que tu demandes, faisant référence à son ordre quelques venait de te donner il y a quelques instants à peine. De te taire et de l’embrasser. Chose que tu avais fait. Une de tes mains se glisse sous son t-shirt, frôlant sa peau du bout de doigts, tandis que tu replonges sur ses lèvres pour l’embrasser de nouveau. C’était trop tard maintenant, il ne fallait pas te lancer là-dedans. Elle l’avait cherché.

Bon, je me suis énervée parce qu'il m'a gonflé clairement. Il me gonfle assez souvent mais j'imagine que si je me suis énervée c'est parce que je suis fatiguée et que du coup mon seuil de tolérance est moins élevé quand j'suis crevée. Puis j'peux pas être toujours gentille parce que je ne le suis pas. Je ne sais pas pourquoi je le suis avec lui de toute façon parce qu'il ne mérite pas du tout ma gentillesse. Mais c'est peut être pour contrasté avec sa connerie ambulante aussi. J'ai tendance à avoir des réactions plus qu'étrange quand il est dans les parages. J'sais pas trop pourquoi. J'pourrais abandonné l'idée d'avoir ce que je veux, mais en y réfléchissant j'sais plus vraiment ce que je veux de lui. Si qu'il réponde à mes questions mais je crois que je peux me brosser. Mais bon je ne sais pas on sait jamais, j'ai vraiment envie de savoir qui il est vraiment, ce qu'il cache, pourquoi il est comme ça. Ça me travaille assez je dois dire. Et du coup ça m'agace de voir que je n'y arriverais pas. Alors je pousse une gueulante. Et lui m'embrasse. C'est assez inattendu. J'aurais jamais imaginé ça. J'aurais jamais cru que lui hurler dessus déclencherait ce truc. Je l'aurais fait plus tôt sinon. Je n'ai pas vraiment honte d'avouer que j'commence à aimer ça, ses baisers. Sauf que j'aimerais bien savoir pourquoi il a fait ça. Peut être que j'pose trop de question, non c'est même sûr mais j'y peux rien c'est comme ça. J'aime bien tout savoir. Il ne me donne pas vraiment de réponse comme s'il ne savait pas lui même. Il pense même qu'il a gagné et que j'vais arrêter de le faire chier. Ce qui est faux j'suis plus déterminée que ça. Et puis pour le coup j'ai juste envie qu'il m'embrasse. Alors du coup je lui dis qu'il ne faut pas qu'il rêve mais vu son hochement de tête j'crois qu'il y croyait. Pauvre choux. C'est con parce que j'suis bien là sur ses jambes finalement. D'ailleurs j'suis tellement bien que je lui dis de m'embrasser. Je ne lui en laisse pas trop le temps je réagis avant. Sauf que d'habitude quand on s'embrasse il n'est pas super tactile. J'aime assez ses mains sur moi d'ailleurs il me rapproche un peu plus de lui. « Contente ? » Je souris. Tiens ça va déjà mieux. Sauf que bon j'souris pas trop longtemps des fois qu'il décide qu'il me préfère en colère. En tout cas lui ne l'est plus c'est tout ce que je voulais. Je me contente de hocher la tête de toute façon je n'ai pas le temps de faire quoi que ce soit qu'il repart à l'assaut de mes lèvres. C'est fou ce que j'aime ça. Je l'ai déjà dit je crois. Je frisonne légèrement lorsqu'il glisse l'une de ses mains sous mon t-shirt. Je retire les miennes juste pour déboutonner sa chemise sans quitter ses lèvres. J'ai plus de liberté pour caresser son torse. Et je me détache pour respirer. Je le regarde un instant.  « Contente... » Je murmure contre ses lèvres. J'aime bien quand il m'écoute. J'embrasse sa mâchoire, son cou délicatement quelques instants, avant de me jeter avidement sur ses lèvres. Je me colle contre lui encore plus et passe mes mains dans ses cheveux.