ismène
Valeri avait profité que cette salle d'eau soit sans vie pour prendre un bain. Il avait même pris la résolution d'enfiler son petit maillot de bain. Parait-il que la nudité dérangeait beaucoup, ici. Bon. Au moins, ça lui évitera qu'une tiers personne -non désirée- aperçoive une parcelle de chaire de son corps. Il avait prit un bain, une fois encore.  Ca pourrait ne lui faire que le plus grand bien, n'est-ce pas ? Certainement. Il en avait besoin en tout cas, un bon bain. Ca le relaxerait, comme Lena lui disait d'ailleurs. Il plongea dans l'eau chaude du bain, se laissant glisser entièrement dans l'eau. Il laissa sa tête sous la surface de l'élément aquatique, un bon moment. Jusqu'à qu'il remarque très brièvement une silhouette juste au dessus de lui, lorsqu'il rouvrit les yeux. Aussitôt, il sortit sa tête de l'eau, tentant de reprendre ses esprits, et surtout un rythme respiratoire jugé de 'normal'. Il tourna la tête vers la personne en question. Ismène. « Tu m'as fait peur, bordel !» tenta-t-il d'articuler. Il passa ses deux mains sur son visage, afin d'enlever le surplus d'eau qui perlait sur ses joues. Il replaça, plus ou moins bien, les mèches de ses cheveux en place. Note à lui-même : ne plus s'amuser à plonger dans la baignoire. Apparemment, ce geste inquiéterait certaines personnes -Ismène comprise.  

Ismène est déjà passé une première fois dans la salle de bain, sans le voir. Valeri, dans la baignoire. Elle aurait très bien pu ne jamais le voir, si elle n'avait pas eu besoin de retourner dans la salle de bain parce qu'elle avait oublié sa trousse à vernis. Non pas qu'elle avait peur qu'on le lui vole, mais elle comptait demander à Monroe qu'elle lui fasse quelque chose pour ses ongles, du coup si elle ne prend pas son vernis.. Et finalement elle passa à côté de la baignoire et du corps de Valeri, totalement immergé dans l'eau, de la tête aux pieds. Elle se rapproche doucement, pour ne pas lui faire peur. Il a les yeux fermés, alors il ne peut pas la voir... Pourtant il ouvre soudainement les yeux et il la voit. « Est-ce que ça va ? » Lui demande-t-elle alors qu'il sort à peine la tête de l'eau, avec un air étonné. Tu m'as fait peur, qu'il lui dit. Elle ne le voulait pas, du coup son envie de ne pas l'effrayé tomba à l'eau (et c'est le cas de le dire). Il n'a pas entendu sa question alors... « Pardonnes-moi ! » Qu'elle lui répond, parce que ce n'était pas son but. D'ailleurs, ce n'était pas très convenable de rester près de lui alors qu'il prend son bain, pourtant elle ne peut pas s'empêcher de lui répéter : « Est-ce que ça va ? » Elle est inquiète sur le coup : non seulement parce que ce n'est pas commun de s'immerger autant dans l'eau, mais aussi parce qu'elle sait que le départ de Lena l'a affecté. Comme le départ de Sully l'aurait affecté elle. Alors sa question était général : est-ce que ça va maintenant, sur l'instant, ou plus largement, depuis le départ de Lena...

Il était bien là. Là, dans l'eau. Là, sous l'eau. Là, émergé de la tête au pied. Là, confiné dans cette nappe aquatique. Là. Là, tout seul. Là, dans cette bulle. Là, là, là. Là, comme une douce mélodie qui le rassurait. Là. Il était bien. Bien, si bien. Trop bien. Mais ce moment prit, malheureusement, soudainement fin lorsqu'il aperçut une silhouette penchée en sa direction. Sûrement un curieux bien trop désireux de savoir l'identité de ce 'fou'. Comment nommons-nous ces personnes là ? Celles qui désirent s'enfermer dans une bulle palpable ? Vous le savez, vous ? Lui, il ne le sait pas. Il ne l'a jamais su, à vrai dire. Jamais. Il ne pouvait pas s'empêcher de partager sa surprise, sa peur soudaine. Oui, elle lui avait fait peur et il ne pouvait pas le nier. Il tentait alors de reprendre sa respiration, avalant de grande gorgée d'air pur (ou plus ou moins). Elle lui disait alors de le pardonner. Pardon ? Pour ? Il laissa s'échapper une frêle expiration entre ses lèvres jointes, et passa toujours ses mains sur son visage humide. Il ne savait pas combien de temps, il aurait pu rester sous l'eau. Peut-être une, deux, trois, quatre minutes, peut-être plus. Il ne savait pas. Il faut dire qu'il avait commencé à compter, et s'était arrêté à trois secondes... Le décompte était bien trop fatiguant pour son esprit bien trop endommagé. Endommagé par les aléas de ce vil jeu. Elle lui demanda alors si ça allait. Est-ce que ça va ? Il haussa un premier temps les épaules, avant de laisser tomber ses avant-bras dans l'eau encore chaude. Il déglutit avec peine. Elle devait certainement faire référence à son état d'esprit actuel, suite au départ de Lena. Oui. Il ne devait certainement y avoir que ça qui l'intéresse. Mais, même dans les pires moments, on allait toujours bien. Parce qu'on est bien trop d'estime pour soi pour avouer que l'on va mal. Que l'on est touché. Oui. On est fier. Trop fier. Son regard se laissa tomber sur la surface de l'eau, tentant de s'efforcer à sourire. Il n'avait pas le droit de montrer sa peine. Non. Il releva la tête, portant son attention alors sur Ismène qui se trouvait à côté de lui. «  Oui, ça va... pourquoi ça n'irait pas de toute façon ? » demanda-t-il alors, gardant toujours son sourire forcé. «  Et toi ? ». Oui. On faisait tous ça, dans ces moments-là. On retournait la question à l'autre.

Elle se soucis de savoir si Valeri va bien ou non. C'est une réaction de sa part, une réaction normale. Elle veut savoir comment il va, tout simplement. C'est rare de rester dans l'eau aussi longtemps et juste pour s'amuser, à moins qu'il ne s'entraîne à retenir son souffle le plus longtemps et dans quel cas son secret pourrait être « je suis détenteur d'un record d'apnée » ce qui pourrait être le cas en fait, du coup elle met ça dans un coin de sa tête. Bref, elle veut juste simplement savoir comment il va parce qu'elle sait qu'il était proche de Lena. Que son départ l'a choqué, beaucoup et qu'il pourrait en être triste. Ca n'est pas honteux d'être triste pour ça, enfin, elle ne croit pas. Et puis il ne peut pas lui cacher un quelconque pincement au cœur dû à son départ. Ismène sait détecté les gens tristes, bah oui, elle est confronté à ça durant son travail. Travailler avec des proches de défunts... Elle sait maintenant voir les différents types de tristesse, de la personne qui ne retient pas ses larmes à celle qui ne veut absolument pas montrer qu'elle est affectée. Sa réponse ne l'étonne pas. Il va bien, pourquoi il n'irait pas bien ? Elle roule des yeux, avec un petit sourire en coin. Évidemment que ça ne l'étonne pas, elle ne l'aurait pas vu lui dire qu'il allait affreusement mal. Et puis il se force à sourire. Ca elle connaît bien. Les hommes bien trop masculin pour pleurer la femme qu'il aime ou sa mère qu'il a chérit toute sa vie. Encore une fois, la comparaison n'est pas du meilleur goût parce que Lena n'est pas morte, mais cela n'empêche pas qu'il a la même réaction. Il est dans une sorte de déni et ça la blesse, elle, Ismène, parce qu'elle pourrait penser qu'il semble croire qu'elle puisse se moquer de lui alors que pas du tout... « Moi ça va... Parce que Sully est resté... » Elle vient s'asseoir sur le sol, les jambes croisées, en le regardant un bon moment, avant de reprendre « … Mais s'il était partit, j'aurai été particulièrement triste... T'as le droit d'être triste Valeri parce que Lena n'est plus dans le jeu, on va pas t'en vouloir pour ça... » Qu'elle dit en haussant les épaules. Tout le monde à le droit à son petit coup de mou, de déprime. Elle l'a eu un petit peu sur le prime et encore maintenant en sachant qu'à cause d'elle, Sully aurait pu aussi partir. « Moi je préférerais que tu me le dise au lieu de rester comme ça !... » Elle lui montre son visage et par son visage, elle veut bien évidemment signifier ce sourire forcé qui ne lui va pas du tout.

S'il allait bien. Est-ce qu'il allait bien. Les gens s'intéressaient toujours aux gens lorsqu'il n'allait pas bien, lorsqu'il était en état de détresse ou de peine. Les gens ne s'intéressaient jamais aux gens heureux. Ou juste quand ils étaient proches, amis, et toutes ces conneries sentimentales. Mais c'est sans hésitait qu'il lui répondit. Il allait bien. Après tout, pourquoi n'irait-il pas bien ? Pourquoi ? Il était en bonne santé, et sa cheville ne lui faisait plus mal. Alors il ne pouvait pas dire qu'il n'allait pas. En vrai, il n'allait pas bien. Mais il fallait être aveuglé par quelque-chose pour ne pas le voir, être caché par un voile d'ignorance ou un voile de sans-cœur. Le voile du sans-cœur, il devait y en avoir quelques uns -ou un- qui en avait un, ici. Ici, au sein de ce nid. Ainsi, c'était tout naturellement qui lui retournait la question. On faisait tout ça. Dés qu'on nous posait une question, on la reposait à son auteur initiale. Soit parce que l'on manquait cruellement d'imagination, soit on voulait fuir l'intérêt et la curiosité qui s'éveillait chez l'interlocuteur. Dans le cas du biélorusse, c'était certainement la seconde option. Il n'avait pas envie que l'on s'attarde sur son cas, et qu'on s'inquiète pour lui. Pourquoi s'inquiète pour un garçon qu'on n'appréciait pas, de toute façon ? Tout du moins, le public ne semblait pas l'apprécier, alors le public devait en avoir rien à foutre de tout ça. Vous, les premiers, les petits regards épieurs qui scrutent ces quelques lignes. Ismène allait donc bien. Bien. Tant mieux pour elle, devait-il alors penser. Elle ajouta alors qu'elle allait bien parce que Sully était resté. Valeri ne pouvait pas cacher que si le scénario aurait été l'inverse de celui de dessinait par la production et par les votes des spectateurs, il en aurait été soulagé. Il n'appréciait pas grandement l'américain et le départ de Lena, il ne le voulait pas. Il ne le désirait pas. Elle ne manqua pas de préciser que s'il était parti, elle en serait triste. Ah. N'importe qui serait triste lorsqu'il perdrait un être proche. Si proche. Il avait le droit d'être triste, parait-il. Il reporta son attention sur la jeune femme, qui s'était à présent assise sur le parquet. On ne lui en voudrait pas. On ne lui en voudrait pas d'être triste. C'était tout du moins ce que Ismène avançait comme propos. Il ne savait pas vraiment... peut-être que Lena n'aimerait pas de le voir comme ça. Comme ça, dans cet état. Sa place était ici, lui avait-elle dit avant de partir. Ici... sans elle. Tout cela le rendait amer. Ismène préférerait qu'il lui dise « au lieu de rester comme ça ». Ah ? Il sourcilla un bref instant, avant finalement de reposer son regard à la surface de l'eau calme. Il vint passer sa main dans l'eau et s'y arrosa le visage. Il souffla doucement, laissant quelques secondes s'écouler. « Elle me manque beaucoup... » avoua-t-il d'un murmure, ne quittant pas l'eau de son bain du regard. « ...Je ne pensais pas pouvoir m'attacher autant à quelqu'un. ». Il ne pensait pas s'attacher tout simplement avec n'importe qui, n'importe quelle personne au sein de ce jeu. Elle pouvait prendre ça comme des aveux, même indirects. Lena lui manquait beaucoup. Aujourd'hui et plus tard...

C'est vrai que son sourire forcé, personne ne pouvait y croire. Pas même Ismène, l'optimiste de la bande, qui aurait pu y voir dedans une envie de ne pas sombrer dans la tristesse de la part de Valeri, mais quand c'est trop fake, quand c'est trop gros pour y croire, vaut mieux ne pas se forcer. À quoi ça sert de se forcer à aller bien quand l'on sait que l'on ne va pas bien du tout. Peut-être qu'il va réellement bien, mais qu'il a juste le moral un peu terni, c'est clair que ça arrive à tout le monde, mais ce n'est peut-être pas si léger dans son cas à lui. Quand elle lui dit en gros qu'elle ne veut pas qu'il continue de sourire ainsi, il se regarde apparemment dans le reflet de l'eau. Elle regarde la moindre de ses réactions avec attention et le elle le voit s'asperger d'eau. Elle ne parle pas, elle ne reste même plus concentrée sur ses réactions. Elle n'attend, justement, qu'une simple réaction de sa part. Des mots. Et puis finalement il avoue enfin qu'elle lui manque. Ismène fait une petite moue à la fois attristée et pleine de compassion, évidemment qu'elle lui manque. Elle comprend... « Je comprends... Mais tu sais, tu peux être encore en contact avec elle. Par ton blog... » Comme elle l'avait dit à Sully. C'est ça l'avantage des blogs, pouvoir rester en contact avec des personnes de l'extérieur. Certes, ça ne vaut pas un contact visuel, mais ça permet au moins de parler toujours avec elle... Elle se relève spontanément pour se mettre sur ses genoux et ses rapprocher de la baignoire. Elle pose son menton sur le rebord de celle-ci, tout en le regardant doucement, quelques secondes... « Lena n'était qu'une amie pour toi, c'est ça ?... Ou non... » Qu'elle demande avec beaucoup de tact, de peur de soulever quelque chose qui à la fois, ne la regarde pas et qui fait mal. C'est alors qu'une musique retentit, arrivant de nulle part et les prenant de court. La fameuse musique du bisou. Celle qu'elle redoutait quand même beaucoup, ne sachant comment réagir dans ces situations et là on peut dire que Cupidon tombe vraiment mal. Non pas que Valeri soit trop repoussant... C'est simplement qu'elle n'a pas vraiment envie de l'embrasser pour diverse raison. Parce que la situation ne s'y prêtait pas du tout et puis aussi, parce que vis à vis de Sully, ce n'est pas correcte. Pourtant Ismène ne roule pas sur l'or, enfin sa cagnotte est immense à ses yeux grâce à la roulette, mais elle souhaite surtout garder un maximum. Si elle n'embrasse pas Valeri, elle perdra mille euros et mille, ce n'est pas rien. Elle le regarde avec une petite moue, mi-désolé, mi-embarrassée, mais c'est le jeu ma pauvre Lucette, comme dirait l'autre. « Est-ce que... Ca ne te dérange pas... ? » Qu'elle lui demande, en pointant successivement ses lèvres puis les siennes ainsi de suite. Est-ce que ça le dérange s'ils s'embrassent, tout simplement...

Un léger silence s'imposa dans la pièce, tant dit que Valeri s'aspergea légèrement d'eau. Un geste banal en soi. Puis il prit finalement la parole. Lui avouant qu'elle lui manquait, et surtout qu'il ne pensait pouvoir s'attacher autant à quelqu'un, à une personne. Peut-être parce qu'il n'avait jamais été proche d'aucune personne jusqu'à présent, jusqu'à mettre les pieds dans ce jeu. Oui. Il n'avait pas d'amis en soi... enfin qu'est-ce qu'était réellement des amis ? Avait-on réellement des amis ? Puis pourquoi leur attribuer cette étiquette, celle des « amis », des « bons potes ». Ismène disait comprendre. Il en doutait un peu de ça. Elle comprenait. Elle devait comprendre que partiellement alors. Parait-il qu'il pouvait toujours être en contact avec elle. C'était tout du moins ce qu'avançait la jeune femme. Être en contact via son blog. Valeri n'était pas un grand adepte des blogs, contrairement à tous ses camarades qui semblaient y passer leur journée, leur nuit... à croire qu'ils n'avaient que ça à faire : à poster sur leur blog. « ...sûrement, mais ça ne dure qu'un temps ça. ». Jusqu'à ce que Valeri se retrouve éliminé du jeu. Et dés que ce sera le cas, il n'aura plus aucun moyen de rester en contact avec la jeune femme. Oui. Il devait certainement se rendre à l'évidence qu'il ne la reverra certainement plus. Plus jamais. Pourtant tout ça allait à contre-cœur de ses intentions. Il la vit alors s'approcher de lui, ce qui le surpris quelque peu. Elle aurait très bien pu rester à quelques décimètres de lui pour continuer de discuter, non ? Jamais personne ne s'était montrée aussi sympathique avec lui. Si. Peut-être Lena. Oui. Lena avait été la seule. Oh. Il remua doucement la tête, tentant de se chasser toutes ses idées de son esprit. La question que venait de lui poser Ismène le fit revenir à la réalité. A cette triste réalité. A cette réalité bien trop morose à son goût. Si Lena n'était qu'une amie pour lui ? Il fronça quelque peu les sourcils, se demandant bien alors pourquoi elle lui posait une telle question. Il ne quitta pas du regard le visage de son interlocutrice, espérant vainement qu'elle lui réponde à cette question qui s'était ancrée à son esprit. Pourquoi lui demandait-elle ça. « Non... enfin si, si... je veux dire c'est une amie... » souffla-t-il un brin confus, alors qu'à ce même moment une musique retentit dans la pièce. Un léger sourcil se arqua alors qu'il réalisa rapidement l'origine de cette mélodie. Cupidon. Ça faisait longtemps, tiens. Il se priverait bien des interventions de cet angelot sûrement bien trop gras. Entre la question que la jeune femme venait de lui poser et la musique qui retentissait, l'esprit du jeune biélorusse était quelque peu confus. Il agita doucement la tête. Se disant alors que c'était certainement un vil coup de son esprit. Non. Enfin pourquoi aurait-il fait ça ? Il n'avait aucune envie de l'embrasser. Elle était mignonne, certes. Juste mignonne. Elle lui demanda alors si ça le dérangeait. Il remua doucement la tête. Après tout, il n'avait pas envie de savoir sa cagnotte amputée d'argent. Cette cagnotte, il y tenait. C'est en partie pour ça qu'il avait décidé de participer à ce jeu. Leurs lèvres rentrèrent alors en contact pour un candide moment. Lorsqu'il détacha ses lèvres, il se gratta alors la nuque. « Tu... tu éviteras d'en parler à Sully, hein, de ça... je n'ai pas envie de l'avoir dans mes pattes encore... » souffla-t-il, alors. Enfin... Lena était partie, à présent, alors il n'y avait plus de raison que Sully se retrouve sur son chemin à présent. Oui. Il était débarrassé de lui... même s'il aurait préféré une autre issue. Son regard se reposa alors sur le visage d'Ismène. « Pourquoi tu m'as demandé si Lena n'était qu'une amie à mes yeux ? ». Cette question lui avait rongé un long moment son esprit. Un peu trop même.