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 Tell me where did you sleep last night, in the pines, where the sun don't ever shine ☼ 16/07 à 23h45

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Ismène

Ismène
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MessageSujet: Tell me where did you sleep last night, in the pines, where the sun don't ever shine ☼ 16/07 à 23h45   Tell me where did you sleep last night, in the pines, where the sun don't ever shine ☼ 16/07 à 23h45 EmptyMar 16 Juil 2013 - 2:34

Il est tard et Ismène ne dort pas. Pour tout dire, elle n'arrive pas à fermer l'oeil depuis très longtemps. Ou plutôt depuis qu'elle est couchée, c'est-à-dire depuis vingt-deux heures. En plus, entendre Cosmas dormir tranquillement à côté d'elle est d'autant plus énervant, que c'est la première fois qu'elle est insomniaque. C'est la première fois qu'elle a ses deux grands yeux ouvert et qu'elle fixe le plafond, à la recherche d'un sommeil qui ne veut pas venir. Elle souffle. Une, deux, trois fois... Elle a même envie de réveiller son partenaire, pour ne pas être la seule à ne pas savoir dormir et en quête de solidarité pour moi, mais non. Elle ne peut pas faire ça, alors elle reste allongée à sa place. Mais finalement, elle tourne sa tête vers un lit qu'elle connaît de vu puisqu'il s'agit de celui de Sully. Ils sont dans la même chambre et pourtant, Ismène ne s'est jamais résolu à quitter une seule fois le lit qu'elle partage avec le Cosmas. Pourtant elle y pense là... Même si elle sait qu'en ce moment-même, il partage son lit avec Monroe. Elle regarde dans sa direction, enfin elle devine sa présence parce qu'elle n'est pas encore capable de voir dans le noir. Elle tourne ensuite son visage vers Cosmas. Elle finit par se décider : doucement elle soulève le drap qui la protège et elle essaye de se lever le plus discrètement possible du lit. Ses jambes nues, simplement recouvertes d'un short très court et d'une sorte de brassière colorée qui lui arrive juste au dessus du nombril. Tenue pour dormir qu'elle a depuis qu'il fait très chaud, c'est-à-dire depuis un moment. À pas de loup, ou plutôt à quatre pattes, parce qu'elle est à quatre pattes, elle rejoint le lit de Sully, qu'elle espère vide à côté de lui. Si Monroe est là, elle ne pourrait pas mettre en place son opération commando invasion de lit de Sully. Alors une fois arrivée aux pieds du lit, elle commence à tâter doucement celui-ci à la recherche de pieds. Espérant n'en trouver que deux et des masculins tant qu'à faire... Ce qu'elle trouve. Elle les touche doucement pour qu'il ne puisse pas la sentir. À l'aveugle, elle touche à côté et elle ne ressent aucune présence. Un sourire ravie naît sur son visage. Alors toujours aussi doucement, elle se faufile sous le drap et se glisse sous celui-ci doucement, en se hissant à bout de bras. Une fois sa tête sur un oreiller, elle lâche un soupire de joie s'échapper entre ses lèvres. Elle ne sait pas si c'est ça qu'il l'a réveillé, en tout cas elle sent Sully bouger... Alors elle passe un bras sur lui, sur ce qu'elle reconnaît être sa taille. « Est-ce que je peux dormir avec toi ? » Qu'elle lui chuchote, son visage à hauteur du sien parce qu'elle sent son souffle contre la peau de son visage. Elle esquisse un petit sourire en coin qu'il ne peut pas voir à cause du noir, mais qu'il peut ressentir dans l'intonation de sa voix. « Est-ce que tu dormais ?... Est-ce que t'as envie de dormir ?... » Qu'elle lui demande, toujours en soufflant lentement pour ne pas réveiller les autres présents dans la chambre. « Il paraît que la fausse plage est super la nuit... Et les jardins aussi... » Qu'elle continue et finit, avec un nouveau sourire plus large, alors qu'elle rapproche son corps un peu du sien.  

AVEC SULLY
Sully

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CITATION : « L’ÉTERNITÉ, C'EST LONG. SURTOUT VERS LA FIN » WOODY ALLEN.
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MessageSujet: Re: Tell me where did you sleep last night, in the pines, where the sun don't ever shine ☼ 16/07 à 23h45   Tell me where did you sleep last night, in the pines, where the sun don't ever shine ☼ 16/07 à 23h45 EmptyMar 16 Juil 2013 - 4:34

Le rythme de sommeil de Sully n'était pas franchement régulier, lui qui pouvait très bien faire une longue nuit pour ne dormir que quatre heures la nuit suivante. Ce soir, il s'était couché relativement tôt, justement pour rattraper quelques heures du sommeil, parce qu'il avait eu tendance à le trouver difficilement ces derniers jours, à force de penser à des choses qui avaient décidément une place récurrente dans son esprit. C'était par ailleurs étrange de ne plus partager le même lit que Zola, depuis que celle-ci avait choisi de quitter l'aventure, la semaine passée. Étrange, aussi, d'être maintenant supposé dormir avec Monroe, pas parce que ça lui posait un problème en soi – il l'appréciait beaucoup, c'était un fait – mais parce qu'il lui faudrait s'habituer à cette nouvelle présence. Quoi que dans l'immédiat, Monroe et lui ne s'étaient pas encore exactement mis d'accord sur le lit qui serait le leur, et dans quelle chambre cela se ferait. Alors c'est a priori seul qu'il s'était couché, s'étant de toute façon endormi comme une masse, sans grand mal donc, ce qui le changeait clairement des fois où le sommeil s'était fait beaucoup plus long à venir. Pour autant, lorsque Sully dormait, ça n'était jamais qu'à moitié, parce qu'en soi il avait le sommeil tellement léger qu'un bruit à l'autre bout de la pièce pourrait le réveiller. Ainsi donc, il ne manqua pas de bouger lorsqu'il lui sembla sentir une présence, comme si quelqu'un se faufilait à ses cotés. Rien de désagréable, bien au contraire, mais c'était quand même pour le moins surprenant, parce qu'à moins que Monroe soit beaucoup plus enthousiaste que prévu à l'idée de dormir avec lui, il était très peu probable que ce soit la jolie brune qui ait finalement décidé de rejoindre son lit. Et tandis qu'il sentit un bras l'enlacer, il ne manqua pas de reconnaître une voix qui, évidemment, lui était grandement familière. Manifestement, Ismène avait eu dans l'idée de lui faire une plaisante surprise. « Valeri, voyons, je t'ai déjà dit qu'il n'y avait rien de possible entre nous » qu'il souffla pourtant, évidemment pour rire, parce qu'il avait toujours un humour de merde, oui, même quand il venait d'ouvrir un œil. Il ne tarda alors pas à enlacer lui aussi le corps de la jeune femme, reprenant un ton plus sérieux. « Tu ne devrais même pas te poser la question » fit-il alors, bien évidemment disposé à lui faire une place pour la nuit, ce qui n'aurait rien d'une torture, bien au contraire. En soi, ce serait la première fois qu'ils dormaient dans le même lit, et même si l'idée était un peu déstabilisante, elle lui plaisait déjà. Les questions s’enchaînèrent en tout cas et il émit un rire presque silencieux. « Je dormais, oui, mais j'ai de toute façon le sommeil très léger … et dans l'immédiat, non, je dois bien admettre que je n'ai plus particulièrement envie de dormir ... » Parce qu'elle était là, et qu'il ne comptait pas s'endormir tout de suite, ce serait trop bête. Et tandis qu'il laissa l'une de ses mains atteindre les cheveux de la jeune femme, les caressant doucement, voilà que celle-ci reprit la parole. « Est-ce que je dois comprendre que tu aimerais sortir te balader ? » qu'il lui adressa, doucement, renforçant leur étreinte en même temps qu'il la sentit se rapprocher un peu plus de lui. « Non parce qu'on est bien aussi, ici, tous les deux ... » reprit-il en tout cas, orientant ses lèvres contre le cou d'Ismène, y déposant quelques baisers, simplement pour savourer pleinement cette complicité inédite, parce qu'encore une fois ils ne s'étaient jamais retrouvés dans un même lit auparavant. Il va de soi que Sully était loin de s'en plaindre, à cet instant.
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MessageSujet: Re: Tell me where did you sleep last night, in the pines, where the sun don't ever shine ☼ 16/07 à 23h45   Tell me where did you sleep last night, in the pines, where the sun don't ever shine ☼ 16/07 à 23h45 EmptyMar 16 Juil 2013 - 12:19

Elle réussit à se faufiler auprès de Sully et ça lui fait d'autant plus plaisir que c'est la première fois qu'ils dormiront ensemble. Elle a donc comme un coup de stress, en venant enlacer son corps. Il parle de Valeri, qu'il n'a rien de possible entre eux. Elle lâche un rire amusé. C'est n'importe quoi, elle voyait mal le jeune homme venir enlacé Sully pendant son sommeil, mais surtout elle est rassurée. Au moins, elle est sûre qu'entre son amoureux et lui, il ne se passera rien. On ne sait jamais, ça pourrait être le cas. Ou avec un autre homme ou une autre femme, mais elle a amplement confiance en lui. Evidemment. Elle sent Sully l'enlacer et soudainement, elle se sent mieux. Evidemment, parce que c'est toujours mieux que de dormir dos à dos avec Cosmas. Non pas que ce dernier soit embêtant ou chiant, mais c'est agréable d'être enlacée et pour la première fois, elle dormir contre quelqu'un. Tout contre quelqu'un, mais avant ça, elle lui pose tout de même la question. À savoir si elle peut dormir avec lui. On ne sait jamais, la réponse n'est pas toujours évidente. Pourtant il lui dit qu'elle n'avait pas à lui poser la question. Elle sourit., en haussant les épaules. « Oh, on ne sait jamais... Peut-être que tu attends quelqu'un d'autres et que donc, je te gênes en venant ici... Je sais maintenant que ce n'est pas Valeri, mais une autre fille peut-être... Ou peut-être que tu attendais carrément Monroe. Du coup tu es déçue que ce soit moi, parce qu'on est physiquement pas pareille du tout... » Elle sourit, amusée. Elle rigole évidemment. Bien qu'il est vrai qu'Ismène n'est pas vraiment pareille que Monroe. Celle-ci a des formes, quand Ismène elle, est une vraie planche à pain. Par exemple. Il lui ensuite qu'il a le sommeil léger, qu'il dormait, mais que maintenant, il ne dormira plus. Elle sourit toujours, posant ses lèvres aux coins des siennes. « Moi je dors comme un bébé... Tu pourrais faire la fête à côté de moi que je ne t'entendrais même pas... » Qu'elle lui précise, toujours doucement dans un soucis de silence. Et puis elle finit par lui dire pourquoi elle est là : « J'arrivais pas à dormir en fait... Mais je crois que c'est pareil, que je n'arriverais pas à dormir non plus ici... J'espère que tu ne ronfles pas ! » Qu'elle lui demande soudainement, faisant écho à la première conversation qu'elle a eut avec Cosmas, quand ils se rencontraient à peine. Elle en rigole, parce qu'elle venait de dire qu'elle dormait tellement bien qu'un orchestre ne la réveillerait même pas. Il lui caresse les cheveux. Il aime beaucoup faire ça, elle l'a remarqué. Ca tombe bien, elle a beaucoup de cheveux et elle apprécie qu'on les touches. Parfois ça l'endorme même et elle risque de le faire, dans cette position. Dans ce cocon qui est en train de se former entre eux. Il lui demande finalement s'il devait comprendre qu'elle aimerait sortir se balader. Peut-être bien que oui, c'était une idée comme ça. Ils étaient là, tout les deux éveillés quand les autres dorment. C'était une bonne idée non ? Romantique, tout ce qu'il faut ? Elle se rapproche plus de lui et lui, il ressert ses bras plus encore autour de sa fine taille. Même s'il fait chaud, elle aime beaucoup cette proximité se rapprochant de celle qu'ils avaient dans la baignoire. Celle qu'ils ont depuis le début, mais ça dépasse plus encore que n'importe quel câlin ou baiser. Il lui dit qu'ils sont bien également ici, tout les deux. Certes, c'est vrai, ils sont magnifiquement bien. Un sourire naît sur ses lèvres : elle comprend qu'il ne veut pas s'en aller de leur place et pour tout dire, ça plaît également à la jeune femme. Tant qu'elle est avec lui de toute manière, c'est le principal. Imaginez si elle s'était trompée de lit, déjà, la honte. Doucement, elle sent les lèvres de Sully gagner son cou. Par réflexe, elle tend celui-ci sous ses baisers, sentant de nouveau les mêmes sensations qu'elle avait ressentit ce jour, dans la laverie. Elle aime toujours quand il l'embrasse comme ça, ça n'a pas changé. Elle lâche un souffle de joie, alors que son ventre se ressert. Les mains et les bras d'Ismène enlacent toujours un peu plus son amoureux. « C'est même la première fois que je dors avec un garçon... Enfin non, depuis le début du jeu, je dors avec Cosmas, mais je veux dire... C'est la première fois que je suis comme ça avec un homme, dans un lit... » Qu'elle avoue avec un léger sourire, enfuyant pourtant son visage sur l'épaule de Sully. Sûrement de honte. Même s'il sait qu'elle est toujours vierge et que donc, ça peut couler de source qu'elle n'ait jamais eu à vivre cette situation. « Tu n'as pas trop chaud à avoir un doudou collée à toi ainsi ? » Qu'elle dit en rigolant, parce qu'elle, malgré sa tenue très minime, a largement chaud, mais elle ne voudrait se résoudre à s'éloigner de lui.
Sully

Sully
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MessageSujet: Re: Tell me where did you sleep last night, in the pines, where the sun don't ever shine ☼ 16/07 à 23h45   Tell me where did you sleep last night, in the pines, where the sun don't ever shine ☼ 16/07 à 23h45 EmptyMer 17 Juil 2013 - 2:56

Il va de soi que Sully n'avait aucunement l'espoir que Valeri ait développé pour lui des sentiments amoureux, au point de se glisser sous ses draps en pleine nuit. C'était simplement une bêtise qui lui était venue au moment où il avait reconnu la voix mélodieuse de la douce Ismène. En soi, il n'y avait à cet instant que deux personnes qui auraient légitimement le droit de partager son lit. Sa nouvelle partenaire, mais celle-ci couchait a priori ailleurs, et Ismène ici présente, qui restait évidemment la plus légitime des deux dans ces conditions, étant donné qu'elle était sa petite-amie. Cette nuit serait alors la première qu'ils passeraient dans le même lit, en tout bien tout honneur cependant, car Sully aurait mauvaise conscience de profiter de la situation, lui qui s'était senti bien assez bête, la semaine passée, dans la laverie. Il pouvait encore a priori partager son lit avec une femme, aussi belle soit elle, sans développer des pensées malvenues. Il n'était pas de ces hommes pressants qui ne pensaient qu'à ça, et Ismène le savait certainement. Il l'enlaça pourtant, ne se privant pas de ce genre de contacts, qu'il estimait naturels dans leur situation, tandis qu'Ismène demanda bientôt si elle pouvait espérer dormir avec lui. La réponse était évidente, et c'est justement pour ça qu'il lui fit savoir qu'elle ne devrait même pas se poser la question, parce qu'en soi il serait même ravi de partager son lit avec elle pour la nuit. « Et bien, détrompe-toi, je n'attendais personne. Monroe dort dans l'autre chambre, si j'ai bien compris, et tu sais pertinemment que je te trouve parfaite telle que tu es, et même plus. Alors déçu, je ne vois pas pourquoi je le serais. » Il s'était douté qu'elle avait dit ça pour plaisanter, surtout, mais c'était sa façon à lui de la rassurer une bonne fois pour toute, au cas où elle en douterait vraiment, au fond d'elle-même. Si Ismène était plus fine que Monroe, en effet, elle était la seule qu'il désirait en ce nid, la seule qui lui plaisait depuis des semaines, et surtout la seule dont il était amoureux. Il sourit alors lorsqu'elle laissa entendre dormir comme un bébé, caressant son bras lorsqu'elle l'embrassa, et s'amusant du fait qu'elle dise espérer qu'il ne ronfle pas. « Personne ne s'en est jamais plein, alors ça s'explique soit par le fait qu'il n'y ait en soi pas grand monde pour pouvoir en témoigner, soit par le fait que je ne ronfle tout simplement pas. » Et il lui semblait que ça n'était pas le cas, ou que de façon très raisonnable, puisqu'effectivement personne ne le lui en avait jamais fait la remarque. Quant au fait de sortir se balader, il pourrait accéder à la requête d'Ismène si telle était la sienne, bien qu'il est vrai qu'il aime beaucoup être dans ce lit, avec elle. Ils partageaient une délicieuse proximité, assez symbolique même, et l'avoir tout contre lui, dans ses bras, était une sensation qu'il n'échangerait certainement pas contre toutes les balades du monde, pourtant Dieu sait qu'il aimait se promener la nuit. Alors il déposa quelques baisers le long du cou de sa petite-amie, sentant que celle-ci était loin de s'en plaindre, ce qui l'encouragea à perpétuer ça quelques instants encore. Et quand elle reprit la parole, c'est quelques peu distrait par ses dires qu'il remonta ses lèvres et les déposa cette fois-ci sur la mâchoire de la jeune femme. « Et c'est une chose dont tu ne dois surtout pas avoir honte » souffla-t-il, lui qui avait de toute façon bien compris qu'elle était vierge de tous rapports intimes, et donc qu'elle n'avait logiquement jamais partagé le lit d'un homme autre que Cosmas, avant ce soir. « Je ne compte de toute façon pas profiter de la situation, j'espère que tu le sais » qu'il reprit, pour qu'elle ne s'imagine pas que s'être glissée dans son lit l'avait rendu vulnérable, parce qu'il savait se tenir. Leur étreinte se renforça alors encore quelques peu, Sully caressant doucement le dos d'Ismène quand celle-ci reprit la parole. « C'est supportable, d'autant qu'on a rarement vu un doudou aussi craquant » souffla-t-il, tâchant de capter son regard dans cette pénombre, déposant une main au niveau du menton d'Ismène, l'embrassant avec douceur. « Et puis, je l'aime, moi, mon doudou » qu'il reprit, se pinçant cette fois-ci la lèvre, avant de l'étreindre encore un peu plus fort, dirigeant cette fois-ci ses lèvres vers son oreille. « Je t'aime. » Parce qu'il était temps, quand même, qu'il se risque à l'exprimer clairement.
Ismène

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MessageSujet: Re: Tell me where did you sleep last night, in the pines, where the sun don't ever shine ☼ 16/07 à 23h45   Tell me where did you sleep last night, in the pines, where the sun don't ever shine ☼ 16/07 à 23h45 EmptyJeu 18 Juil 2013 - 1:35

Alors qu'elle rigole en lui demande s'il attendait quelqu'un, Sully lui répond sérieusement. Ou tout du moins lui répond et elle prête beaucoup d'attention à la réponse qu'il peut lui faire. Il lui apprend qu'il n'attendait personne, qu'ensuite, Monroe ne dort avec lui et finalement il lui précise aussi qu'elle sait qu'il la trouve parfaite, voire même plus et qu'il n'était donc absolument pas déçue. Elle est loin de se trouver parfaite. Au contraire, elle aurait tendance à se trouver physiquement fade, mais qu'elle essaye de compenser son inexistence physique par son caractère totalement absurde et totalement fou. Il la trouve parfaire et même si ça ne peut être qu'à ses yeux, ça la fait rougir. Heureusement qu'ils sont dans le noir et qu'il peut à peine la voir. Juste sentir sa présence (ce qui doit tout de même suffire à comprendre qu'elle est un peu gênée par ce compliment). Parce qu'elle est muette un court instant. Doucement, elle fait glisser ses doigts sur les lèvres de son petit-ami, tout en lui répondant, d'une petite intonation amusée, faussement jalouse : « Et tu crois qu'elle pourrait dormir un jour avec toi quand même ? Parce que si c'est le cas, je ne vais pas m'empêcher d'être très jalouse... » Elle dit ça dans un souffle, avant d’étouffer un rire contre ses lèvres. Ismène n'est pas jalouse, pas parce qu'elle se moque de Sully, mais qu'elle n'est pas d'un naturel jaloux tout simplement. Elle sait qu'elle est son amoureuse et elle a largement compris que la première qualité de Sully est le respect. Qu'il ne pourrait jamais être tenté d'aller voir ailleurs. Ce n'est pas le confiance en soi que de penser ça, mais de la confiance en lui. Vint ensuite l'idée de dormir avec lui et ce que ça peut engendrer et oui, son ronflement supposé. Elle le rassure immédiatement : elle dort comme un bébé, alors il peut faire une symphonie de ronflement à côté qu'elle ne l'entendra absolument pas. Ca n'a aucune importance, puisque apparemment, il ne ronfle pas. Ce qui fait sourire Ismène parce qu'en réfléchissant, elle s'en doutait déjà, parce qu'elle n'a jamais réellement entendu de ronflement dans la chambre. Et comme ils sont dans la même chambre depuis le début... Elle répond rien et elle se contente de sourire, s'appuyant toujours un peu plus contre Sully. Sa présence la rassure et en même temps, la met dans un état de suprême bonheur. Elle n'a jamais été aussi bien la nuit que cette nuit. Sentir ses mains nues contre sa peau et le savoir prêt à l'embrasser où il veut et quand il veut la fait à la fois sourire, la stresse un peu, mais également la met en position de bonheur... Encore un cran au dessus. Alors oui elle laisse échapper un soupire entre ses lèvres quand ses lèvres touchent la peau son cou, mais c'est de bonheur, pour exprimer cette joie. C'est pour ça que ça sort de sa bouche comme ça, sans qu'elle ne réfléchisse. Qu'elle n'a jamais passée de nuit avec un homme. Ni physiquement, intimement, ni même simplement comme ça, pour s'enlacer. Elle a l'impression de jeter un froid, pourtant Sully la réchauffe rapidement. Il l'embrasse sur sa mâchoire – il la fait sourire. Il ajoute qu'elle n'a pas de honte à avoir... Le sourire d'Ismène s'élargit un peu plus. « J'ai pas honte... Pas avec toi. » Qu'elle souffle, sentant leur deux corps plus proche que jamais et le visage de Sully à quelques centimètres des siens. Non, elle n'a honte avec personne, mais surtout pas avec lui. Elle sait pertinemment qu'elle peut tout lui dire, qu'il ne se moquera pas. Qu'encore une fois, il est bien trop respectueux d'autrui pour ça. Elle pose ses lèvres sur sa joue, alors qu'il lui dit qu'il ne comptait pas profiter de la situation. Elle sourit de plus belle, alors que ses jambes s'entremêlent aux siennes. Elle chuchote toujours et fait exprimé sa joie et son amusement dans sa voix : « Oui je le sais très bien... Quoique tu peux le faire, je ne suis pas sûre que ça me dérangerait... » Cette fois, c'est sur son nez qu'elle dépose un baiser, en cadeau.  Mais dans tout ça, c'est lui le cadeau, parce qu'elle ne méritait pas autant qu'un homme aussi formidable que lui, mais en même temps elle est bien heureuse d'être son aimée. C'est la roue qui tourne et qui leur offre le bonheur. Lui qui n'en a pas eu auparavant et elle, qui n'a pas pu en jouir très longtemps, alors elle profite de cette proximité et de cette proximité platonique pour rire de leur rapprochement. Se qualifiant elle-même de doudou. Il lui répond vivement que c'est supportable et qu'elle est craquante, par extension. Elle rit, mais elle sent une tension solennelle quand la main de Sully remonte un peu son menton et qu'elle croit voir son regard clair sonder le sien, malgré l'obscurité environnante. Il l'embrasse doucement. Elle ne peut s'empêcher d'en profiter, comme s'il était le dernier, fermant les yeux et passant sa main dans sa nuque, contre ses cheveux. Il lui dit qu'il aime son doudou. Son doudou, par extension elle. Il ne lui en fallait pas plus pour que son ventre se noue, sous la surprise, à lui en faire mal, mais elle n'y prête pas attention. Toujours sous la surprise, elle réprime en vain un soupire de surprise, tandis qu'elle pince ses lèvres. Son cœur bat plus vite soudainement et la température, déjà élevée, vient de grimper en flèche. Il le sent peut-être même, que son cœur bat plus vite et qu'elle a soudainement plus chaud, pourtant il parle à nouveau. Elle sent que ses lèvres sont à présent au niveau de son oreille et elle entend ce qu'elle a toujours rêvé d'entendre. Sa bouche est entrouverte. Ses yeux sont humides. Elle est bouleversée, parce que ce ne sont que deux petite mots, enfin une petite expression. Qu'elle savait déjà être la sienne envers elle et pourtant, ça lui fait quelque chose. Tellement que des larmes en coulent lentement le long de ses joues. Et puis tout ce qu'il peut entendre d'elle en ce moment, c'est sa respiration saccadée et des petits bruits caractéristique de sanglots, de reniflements, de souffles, mais tout ça positif évidemment. Elle est loin d'être triste, elle est heureuse. On ne peut plus heureuse même. Elle veut parler, mais c'est pas possible là, tout de suite, parce qu'elle risque de tout gâcher en parlant à tord et à travers pour combler sa gêne et son bouleversement. Alors elle le visage de Sully entre ses deux mains et elle l'embrasse comme jamais elle ne l'a embrassé – comme jamais elle n'a embrassé jusque là. Fougue, passion, joie. Elle va même jusqu'à l'embrasser sur sa mâchoire et dans son cou. Sur le haut de son torse, mais elle revient dans son cou. « Je t'aime. » Elle ne fait pas que répéter bêtement ce qu'il lui a dit. Elle dit ce qu'elle a, au plus profond de son cœur, dans ce moment totalement propice à cet aveu. Aveu qu'il connaît également depuis quelques semaine maintenant, mais ce n'est pas grave. Elle noue à nouveau ses lèvres aux siennes, sentant qu'il en tombait littéralement sur le dos, la maintenant dans une position de dominatrice. Elle détache ses lèvres à regret, pour finalement poser sa tête contre son torse. Son corps bien calé et de tout son long contre le sien et ses bras enlaçant sa taille. « T'es l'homme de ma vie... » Qu'elle souffle un peu amusée, une petite moue sur les lèvres, mais c'est vrai. « J'ai pas besoin de gagner fake lover... Parce que j'ai déjà gagné... Et puis j'en ai un vrai moi, de lover. Le plus beau, le plus gentil, le plus adorable des lover. Les autres doivent être jalouse de ne pas t'avoir... » On se demanderait pour qui elle parle – lui, elle... - dans tout les cas, elle sourit et elle ne peut s'empêcher d'embrasser la parcelle de torse sur laquelle elle est posée. Elle finit alors par souffler, un peu plus bas que les autres choses... « J'suis fière d'être ta petite-amie... »
Sully

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MessageSujet: Re: Tell me where did you sleep last night, in the pines, where the sun don't ever shine ☼ 16/07 à 23h45   Tell me where did you sleep last night, in the pines, where the sun don't ever shine ☼ 16/07 à 23h45 EmptyVen 19 Juil 2013 - 4:40

Ismène et Sully avaient déjà parlé de perfection, du fait qu'en soi personne ne puisse prétendre être parfait et que ça n'était peut être pas plus mal, dans la mesure où c'était aussi les petits impairs d'une personne qui contribuaient à faire son charme et son intérêt. Pour autant, Sully était ici sérieux lorsqu'il laissait entendre qu'Ismène lui plaisait entièrement, pour tout ce qu'elle était, car il est certain qu'il ne pourrait s'éprendre d'aucune autre jeune femme, que ce soit au sein de ce nid ou en dehors de celui-ci, parce qu'il n'était pas tombé amoureux d'Ismène par hasard et qu'elle représentait tout ce qui l'avait en soi toujours attiré chez une femme. Sully n'avait alors guère besoin qu'elle soit particulièrement pulpeuse, qu'elle ait plus de formes, comme beaucoup d'hommes l'apprécieraient peut être, car il est vrai que son idéal féminin s'était toujours plus rapproché d'une jeune femme telle qu'Ismène que d'une jeune femme comme Monroe, aussi jolie cette dernière soit elle. Et à ce propos, d'ailleurs, il avait bien compris que sa partenaire ne projetait pas de faire lit commun avec lui, qu'en soi elle préférait passer la nuit ailleurs, et surtout avec quelqu'un d'autre, ce qu'il comprenait et ne blâmait évidemment pas. Il avait bien conscience qu'il n'était pas nécessairement le partenaire qu'elle aurait attendu en cette fin d'aventure, et qu'elle aurait naturellement préféré se retrouver avec quelqu'un de qui elle était beaucoup plus proche, bien qu'ils soient amis. La question qu'Ismène formula, en tout cas, le fit doucement sourire. Elle venait de faire glisser ses doigts contre les lèvres de l'américain, qui comprit sans mal que sa petite amie n'était en soi pas très sérieuse, car il ne l'imaginait pas jalouse, et surtout pas pour si peu. « Oh oui, je suppose qu'elle finira par préférer dormir avec son partenaire plutôt qu'avec celui avec qui elle sort … ou ne sort pas, d'ailleurs, je t'avoue que je n'ai pas tout suivi … et à ce moment-là, il est certain que le danger sera très grand, car je ne saurais résister bien longtemps à Monroe. Alors jalouse, oui, tu auras de quoi l'être, parce que je ne répondrai sans doute plus de rien dès le moment où elle aura rejoint mon lit. Il vaut mieux que tu t'y prépares psychologiquement, c'est clair. » Et bien sûr, il ne disait tout ça que pour l'embêter, parce qu'il va de soi qu'il ne se passerait jamais rien avec Monroe, ni avec qui que ce soit d'autre d'ailleurs, et qu'il était de toute façon peu probable que la jeune femme finisse par vouloir dormir avec lui, ce qu'il n'avait jamais exigé d'elle non plus. Il est vrai que sachant qu'Ismène ne pourrait pas sérieusement la jouer jalouse, il profitait de l'occasion pour plaisanter, rentrer pleinement dans son jeu, alors qu'il n'était clairement pas du genre à aller voir ailleurs, qu'il avait toujours eu des principes primordiaux et que c'était très certainement la raison pour laquelle il avait si douloureusement vécu sa rupture d'avec Ingrid. Clairement, il ne ferait jamais aux autres ce qui lui avait personnellement fait tant de mal, et surtout pas à une personne aussi formidable qu'Ismène, et qu'il aimait à un point considérable. Quant au reste, il est certain que Sully avait compris depuis un moment déjà qu'Ismène ne s'était jamais offerte à qui que ce soit, qu'en soi elle n'avait jamais partagé le lit d'un homme et certainement pas pour plus qu'un câlin platonique. Mais c'était une chose dont elle ne devait surtout pas avoir honte, parce qu'il va de soi qu'il ne pourrait absolument pas rire de cette confession. La dernière fois, elle lui avait dit qu'il était celui avec qui elle voudrait connaître sa première fois, et de telles paroles lui étaient restées à l'esprit, tant elles l'avaient touché. Alors non, elle ne devait pas avoir honte de tout ça, et semble-t-il que ça n'était pas le cas, justement, pas avec lui du moins. Il sourit alors à cette pensée, et au fait qu'elle se mette à caresser sa joue, puis crut bon de préciser, au cas où c'était nécessaire, qu'il ne comptait de toute façon pas profiter de la situation. Par respect, par principe aussi. Mais la réplique d'Ismène l'amusa partiellement. « Je dois bien avouer que c'est tentant, mais je ne suis pas certain que le cadre soit particulièrement approprié pour des démonstrations d'affection un peu trop … suggestives ... » qu'il glissa, parce qu'en soi il est vrai qu'il ne pourrait pas faire ce qu'il pourrait avoir envie de faire s'ils étaient tous les deux, dans un lit très à l'écart de leurs camarades, sans risque d'être entendus par de petits curieux. Ismène savait après tout qu'il la désirait, il le lui avait démontré la semaine passée, pour autant il restait ce problème récurent, ce manque d'intimité qui ne saurait l'inciter à se lâcher véritablement. En tous les cas, Sully ne manqua pas de s'amuser de la métaphore énoncée par Ismène, qui se qualifia de 'doudou', elle qui ne le dérangeait évidemment pas, qu'il fasse chaud ou non. C'était supportable, oui, mais pas seulement. C'était surtout appréciable. Parce qu'il l'aimait. Qu'il aimait Ismène, oui. Et ça, il se décida en fin à le lui avouer, prenant son courage à deux mains pour sauter le pas et le lui souffler concrètement, lui qui n'avait jusqu'à présent fait que quelques insinuations, de peur peut être de la perdre au moment où il lui avouerait sincèrement son amour. Mais ici, il avait le sentiment qu'on ne la lui enlèverait pas, qu'elle ne chercherait pas à partir non plus, alors il se risqua à lui dire ce qu'il avait sur le cœur, en de brefs mots, simplement pour qu'elle sache qu'il l'aimait véritablement. Et alors qu'il appréhenda sa réaction, c'est quelques sanglots qui lui parvinrent aux oreilles, le laissant déstabilisé, un peu perdu, car n'aimant évidemment pas l'entendre pleurer. Instinctivement, il renforça leur étreinte, et alors qu'il s'apprêta à reprendre la parole, pour s’enquérir de son état, voilà qu'Ismène l'embrassa avec une passion particulière, inédite il faut bien le dire. Elle semblait heureuse, épanouie par cette confession, par cette déclaration. Alors il se laissa faire, rassuré il est vrai de savoir qu'elle ne pleurait que de joie, car vu qu'il doutait de beaucoup de choses, il avait évidemment eu peur d'avoir été maladroit. Et tandis qu'un soupire lui échappa lorsque les lèvres de la jeune femme butinèrent son cou, il l'entendit le lui dire également, lui dire qu'elle l'aimait elle aussi. Là encore, il ne dit mot, savourant le plaisir de l'avoir entendu le dire en retour, parce qu'il la savait sincère, autant que lui l'avait été l'instant d'avant. Et subitement, elle l'embrassa de plus belle, plus passionnément encore, ce qui la plaça inévitablement au dessus de lui. Il caressa alors son dos avec douceur, avec amour surtout, tandis qu'elle reprit la parole, le faisant sourire. « Tu dis ça aujourd'hui, mais tu ne le penseras peut être plus d'ici quelques années … » souffla-t-il, pas nécessairement pessimiste, et évidemment touché qu'elle dise qu'il était l'homme de sa vie. Il aimerait l'être, espérait que ce serait le cas, mais ne pouvait s'empêcher de penser à toutes les fois où on avait pu le lui dire, et à la façon dont les choses s'étaient terminées. Ismène lui avait promis de ne pas nuire à son cœur, mais tout n'était pas forcément évitable. En tout cas, il fut profondément ému par ce qu'elle laissa ensuite entendre, rougissant secrètement et caressant son dos de plus belle. Et alors qu'elle disait être fière d'être sa petite amie, il se redressa doucement, s'asseyant sur son lit et la gardant contre lui, déposant ses mains contre ses cuisses, qu'il caressa, longuement, l'embrassant au coin des lèvres. « C'est moi qui ai de quoi être fier » qu'il énonça, embrassant cette fois-ci son épaule. « Tu es assez exceptionnelle comme fille, je ne sais pas si je te l'ai déjà dit ... » Il se mit à rire légèrement, puis encercla plus concrètement sa taille pour l'éteindre et la garder toujours plus contre lui. « … Et tu sens très bon, ce qui ne gâche rien ... » Il laissa alors l'une de ses mains caresser le ventre apparent de la jeune femme, parsemant sa mâchoire de baisers. « Hm, et moi qui m'étais promis d'être sage » reprit-il, exagérant toutefois quelques peu, car ça n'était toujours que des caresses et des baisers qui ne mèneraient pas nécessairement plus loin. Encore une fois, il ne se voyait rien faire ici. Mais il est vrai qu'il ne comptait pas pour autant se priver d'être tactile.

Ismène

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MessageSujet: Re: Tell me where did you sleep last night, in the pines, where the sun don't ever shine ☼ 16/07 à 23h45   Tell me where did you sleep last night, in the pines, where the sun don't ever shine ☼ 16/07 à 23h45 EmptySam 20 Juil 2013 - 15:02

Il s'amuse à lui dire ce qu'elle ne veut pas entendre en fait. Que Monroe va effectivement venir dormir avec lui un jour ou un autre, qu'il ne saurait pas résister longtemps à la belle et que du coup, elle aura de quoi être jalouse d'elle. Ismène n'ose pas croire à ça, elle ne le croit pas. Il ne pourrait pas se passer d'elle, même au profit d'une femme aussi canon que la brune. Elle souffle, avant de lui répondre : « Pff arrêtes tu dis n'importe quoi ! J'te crois pas ! » Qu'elle dit, avant de lâcher un rire. Evidemment qu'il ne le fera pas, elle le sait pertinemment. C'est qu'elle aime aussi jouer et entrer dans le jeu, mais Sully est à des années lumières de la trahir. Comme elle l'est elle-même, il n'a pas à en douter. Elle ne le trompera pas, oh que non, elle ne pourrait pas. Elle a déjà eu beaucoup de mal à trouver quelqu'un... Elle sourit d'ailleurs à cette idée, avant de sourire aussi à sa réponse. Il lui répond que c'est tentant, mais que le lieu n'est pas vraiment fait pour se laisser aller à plus d'intimité. C'est vrai, une chambre commune, ce n'est pas vraiment l'idéal. Même pas du tout et même si tout le monde semble dormir dans la chambre à part eux, c'était compliqué de ne pas faire de bruit. Du coup, ce serait assez gênant de faire des choses là. Bien qu'elle n'ai pas forcément envie de faire plein de chose, mais elle aurait aimé être dans une chambre particulière pour lui parler librement, pour découvrir des choses qu'elle ne connaît pas. Par exemple, elle aurait eu envie de répondre au mieux à ce qu'il lui dit, mais elle ne le peut pas... Pourtant, si elle lui dit qu'il est l'homme de sa vie, ce n'est pas juste pour la forme ou lui faire plaisir. Elle le croit vraiment, elle le pense vraiment. Il est son homme, elle ne veut plus le quitter, plus jamais. Plus jamais de la vie, alors oui elle ne sait pas de quoi demain sera fait et elle ne sait pas ce qu'il en sera dans quelques années, mais au plus profond d'elle, elle ne veut pas que dans quelques années ils soient séparés. Non, elle veut que dans quelques années, ils se rappellent de ce temps « fake lover » grâce auquel ils se sont rencontré et plus jamais quitté. « Pourquoi tu dis ça... » Qu'elle souffle dans un premier temps fronçant les sourcils... « Dis pas ça... J'sais pas comment ça sera dans quelques années, mais je sais déjà que demain, que dans une semaine, que dans un mois et que très probablement dans un an, je penserais toujours que tu es l'homme de ma vie. » Tout simplement. Elle ne sait pas si ça sera le cas dans trois ans, mais dans un an si... Elle continue, elle lui dit qu'elle n'a plus forcément envie de gagner le jeu parce que pour elle, elle a déjà gagnée. Elle lui dit aussi qu'elle est fière d'être avec lui. C'est vrai, à ses yeux c'est le plus beau, c'est le plus fort. Alors elle a de la chance qu'il se soit intéressé à elle au lieu d'une autre. Doucement, mais  soudainement, Sully se relève de sa place pour s'asseoir. Elle reste accrochée à lui. Il lui caresse et explore ses cuisses, quand ses mains à elle jouent toujours avec ses beaux cheveux. Qu'elle met en arrière, alors qu'il l'embrasse sur son épaule dénudée et qu'il dit que c'est lui qui a de quoi être fier. Elle ne sait pas trop pourquoi, mais elle est très heureuse qu'il le soit. C'est peut-être un gage qu'ils sont réellement bien ensemble ? Il ajoute qu'elle est exceptionnelle. Elle ne sait pas quoi dire. Alors elle lâche un rire avec lui, parce qu'elle se trouve plus « spéciale » qu’exceptionnelle, mais elle ne peut pas cracher sur un compliment. Du coup elle se laisse câliner largement, posant à son tour ses lèvres contre la mâchoire de Sully, puis sa joue et pour finir son front. À la volée, parce que c'est lui qui embrasse à présent sa mâchoire, en lui disant qu'elle sent très bon. Elle lâche un rire, puis un frisson quand elle sent ses mains contre son ventre. Elle esquisse un sourire en coin et son souffle coupé doit s'entendre. Ce ne sont que des caresses délicates et en surface pourtant ça la fait indubitablement frissonner. Elle se laisse faire, elle se laisse embrasser, parce qu'elle ne sait pas comment réagir face à ça ni quoi faire. C'est la première fois qu'elle se retrouve dans cette position et donc, elle est un peu stressée et à peur d'être maladroite. Elle laisse alors ses mains voguer dans le dos de Sully. Doucement elle ferme les yeux et tandis que Sully souffle un truc du style « moi qui disait que ce n'était pas le lieu pour » en quelques sortes, elle sent son cœur battre très fort. Parce que même si ce ne sont que des baisers ou que des caresses qui peuvent paraître chastes pour les autres, pour elle c'est déjà beaucoup. Ca dépasse même tout ce qu'elle a pu faire auparavant et même s'ils ont déjà pris un bain ensemble. Elle ne répond rien, que voulez-vous qu'elle réponde ? Doucement elle cherche à entrer en contact avec les lèvres de Sully, avant de finir leur baiser en collant son front contre celui de son homme. Elle aime cet état de symbiose avec lui, ou grâce à de simples caresses, de simples baisers, l'amour platonique semble encore plus beau et meilleur que le sensuel. Et puis finalement, doucement, sans réellement répondre d'elle-même, Ismène prend délicatement la main droite de Sully, puis sa gauche. Toujours délicatement, elle les embrasse toute les deux, décollant ainsi son front du sien. On peut se demander ce qu'elle cherche, mais la réponse vint relativement rapidement. Enfin pas trop rapidement, parce qu'elle est douce dans ses gestes et un peu maladroite comme elle l'avait prédit. Pourtant, elle réussi bien à diriger lentement ses mains vers sa poitrine. Une main sur chaque sein. Juste comme ça, par curiosité, pour ressentir l'effet que cela peut faire et les sensations ne se font pas attendre. Son corps frissonne et devient tout d'un coup bien plus chaud. Ses yeux restent délicatement fermé et elle essaye de contrôler le flot émotionnel qui vient en elle. Tout ça, encore une fois, peut paraître bête aux yeux d'un expert de la baise, mais pas à ses yeux à elle. Elle garde ses mains, appuyée contre celle de Sully, qui se trouve tout contre sa poitrine. Pas dénudée, mais par dessus la brassière qui lui sert de haut de pyjama. « J'suis désolé, je n'aurai peut-être pas du faire ça... » Qu'elle dit sans pour autant bouger d'un pouce les mains de son petit ami... « Mais c'est... Mais c'est tellement agréable... » Qu'elle dit en se pinçant les lèvres, pourtant elle se dit à nouveau qu'elle ne devrait pas et elle enlève ses mains, les reposant au niveau de ses cuisses, qui devenaient en mal de caresses cela dit en passant. Elle pose doucement sa tête contre son épaule, pour finalement le faire basculer et être à nouveau sur lui. « Je préfère être allongée... » Qu'elle souffle, en souriant, s'installant bien sur lui, le prenant pour un matelas. Le meilleur matelas de tout les temps !

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