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 two intertwined bodies (lundi - 00h45)

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Anouchka

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MessageSujet: two intertwined bodies (lundi - 00h45)   two intertwined bodies (lundi - 00h45) EmptyLun 10 Déc 2018 - 1:46


two intertwined bodies

avec @César

Le prime de ce soir fut très particulier. Anouchka ressort du plateau avec une espèce de sentiment partagé. Elle qui pensait vivre continuellement dans une bulle de bonheur sans réelle compétition, elle a bien sentie que cette dernière était enfin lancée. Les piques entre les candidats. Les trahisons. Elle en fut épargnée bienheureusement mais elle sait que son tour viendra. Qu’elle devra faire de choix particulièrement difficile. Et puis il y a sa position par rapport à César. Les questions et insinuations sur leur relation. Ce qui s’est passé juste avant le prime et ce qu’elle a compris pendant le prime. Les liens qu’il avait créé avec sa partenaire. Enfin ex-partenaire. Ce que pense de lui sa nouvelle partenaire. En sortant du prime, elle n’a pas vraiment le sourire et en même temps, elle ne s’est jamais sentie aussi heureuse dans le jeu qu’en cet instant. Parce que la réponse de César à sa question l’avait réconforté. Jamais totalement certaine de ce qu’elle ressent et de ce que peut ressentir l’autre. Mais elle a compris qu’il ne voulait pas se précipiter. Elle n’en a pas envie. Anouchka veut refréner sa véritable nature de cœur d’artichaut avec lui. Elle veut prendre son temps. Elle ne veut pas reproduire les mêmes erreurs que par le passé : laisser son coeur s’enflammer, se consumer et s’éteindre aussi rapidement qu’il n’en faut pour d’autre le temps de se construire une relation sérieuse. Anouchka ne peut pas dire qu’elle aime César, le mot aimer est trop fort, mais se sentir menacée par Penny lui faisait comprendre que ce qu’elle ressentait pour lui est tout de même solide. Fort. Sérieux. Alignant les pas dans le palais, elle finit par prendre conscience de son enchère. De la vraie folie de son enchère. Elle passe une main sur son front en lâchant un rire. Elle venait de laisser derrière elle son camarade, lui ayant fait comprendre qu’elle aimerait qu’il la rejoigne. Sans même penser qu’il aurait dû mal à trouver ce qu’ils appelaient la loveroom. Elle-même ne sait où chercher et alors qu’elle s’apprêtait à entre dans sa chambre, tombe sur une porte. Ouvrant doucement cette dernière, Anouchka ouvrit en grand ses yeux clairs. Un énorme lit s’offrait à elle. Une décoration plus feutrée, plus intimiste alors contrastant avec l’énormité de la pièce. Elle ne s’attendait pas vraiment à ça. En vérité, elle n’avait pas eu le temps de s’attendre à quelque chose en particulier. Passant doucement sa main sur le tissu recouvrant le lit, elle décide de se défaire de sa robe. Tire sur la fermeture éclair de cette dernière. Mais elle n’a pas le temps de la faire glisser à ses pieds qu’un bruit l’interrompt. Elle se retourne comme prise sur le fait. César se tenait debout devant elle. « César... » Qu’elle souffle, figée l’espace de quelques secondes. Tenant sa robe contre sa poitrine. Et finalement s’avançant vers lui. « J’ai vraiment envie de passer cette soirée avec toi... » Qu’elle souffle en référence à ce qu’il lui avait dit au prime. Elle devrait plutôt parler de nuit. Elle s’en moque. Elle appose finalement ses lèvres aux siennes dans un baiser moins bien doux que le premier qu’elle lui avait offert, plus proche de sa fougue à lui du deuxième. Elle passe naturellement ses mains dans ses cheveux. Elle colle son corps au sien. Oui refréner, c’est ce qu’elle voulait...
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MessageSujet: Re: two intertwined bodies (lundi - 00h45)   two intertwined bodies (lundi - 00h45) EmptyLun 10 Déc 2018 - 6:02

La soirée avait été riche en émotions, et César n'arrivait pas à savoir s'il se réjouissait ou non que le prime soit terminé. Une partie de lui en regrettait l'issue parce qu'il avait trouvé très éprouvant le moment où Gio avait du décider du sort d'un de leurs camarades et qu'il s'était senti vraiment peiné pour Penny lorsque celle-ci avait du dire au revoir à Joaquim, mais une autre partie savait que sa nouvelle partenaire apprécierait qu'il la laisse tranquille avant d'emménager à ses cotés, parce que ce n'était pas forcément dans ces conditions qu'il avait envie de démarrer leur cohabitation. Et ça tombait bien, parce qu'après ce prime haut en couleurs il avait envie d'aller retrouver celle avec qui il avait déjà passé cette soirée et dont la compagnie lui semblait d'autant plus indispensable après les allusions qu'il y avait eu au sujet de leur relation au cours du prime, et cette question qu'on lui avait posé et qui lui avait fait prendre conscience de certaines choses. Comme du fait qu'il n'avait pas vraiment le sentiment d'avoir déjà considérée Anouchka comme une amie. Quelqu'un avec qui il partageait une véritable complicité, c'est certain, mais il avait très tôt éprouvé quelque chose de particulier quand il était près d'elle et elle n'avait jamais été une candidate tout à fait comme les autres pour lui. C'est pour ça qu'il avait ressenti une sorte de délivrance lorsqu'ils avaient échangé ces baisers l'autre soir, et que l'attirance qui s'était manifestée à ce moment-là n'avait été qu'une version accentuée de ce qu'il éprouvait déjà pour elle depuis un petit moment. Pour ça aussi qu'il avait mal vécu cette histoire au sujet de Cristopher et que les confessions de Gio l'avaient beaucoup affecté. Il ne s'expliquait pas quoi, mais quelque chose chez Anouchka le touchait et le troublait, il percevait chez elle des choses qu'il n'avait jamais vraiment trouvé chez les autres et chaque moment qu'il passait avec elle lui paraissait toujours un peu plus précieux – leur échange dans le salon avait été un moment difficile, mais ça lui avait aussi fait comprendre que si tout ça l'avait autant perturbé, c'est parce qu'il vivrait très mal de la savoir proche d'un autre homme. C'est pour ça qu'il avait été très touché quand elle avait laissé entendre qu'elle aimerait l'avoir pour partenaire, et plus encore lorsqu'elle avait choisi de gagner un accès à la loveroom avec lui. Il n'avait vraiment pris conscience de son sacrifice que lorsqu'elle avait donné son nom, et il n'arrivait pas à s'empêcher d'être heureux qu'elle ait ressenti l'envie de visiter cet endroit avec lui, avec tout ce que ça représentait. Il n'avait donc pas hésité à monter à l'étage lorsqu'Anouchka lui avait proposé de l'y rejoindre, pas certain au début d'arriver à distinguer la pièce en question, avant d'identifier une porte qu'il ne lui semblait pas connaître. Actionnant la poignée, il entra à l'intérieur aidé de sa canne et sentit aussitôt des parfums auxquels il n'était pas habitué, dans une atmosphère différente du reste du palais. La voix d'Anouchka s'éleva, et ses lèvres s'étirèrent dans un sourire. « Moi aussi j'en ai envie... » Il souffla lorsqu'elle arriva tout près de lui, sentant son parfum embaumer toute la pièce dans des effluves délicates. Il sentit ses lèvres se déposer sur les siennes, et répondit aussitôt à un baiser rempli de fougue et qui lui provoqua divers picotements à travers le corps, du long de son échine jusqu'au bout de ses doigts. Il lâcha sa canne pour enserrer sa taille à l'aide de ses bras, pour la garder tout contre lui. « Tu n'allais pas m'attendre pour l'enlever ? » Il reprit dans une esquisse plus malicieuse, lorsque ses mains se déposèrent contre la peau nue de son dos et qu'il comprit qu'elle était sur le point de retirer sa robe. Ses doigts y apposèrent de longues caresses, ses lèvres restant toutes proches des siennes. « Tu as fait une vraie folie ce soir... » Il rit doucement en repensant à la somme astronomique qu'Anouchka avait dépensé pour accéder à cette chambre, sans prétendre pour autant qu'il n'était pas heureux d'y être à cet instant avec elle. « Mais je ne veux pas que tu te sentes obligée de... faire quoi que ce soit dont tu pourrais ne pas avoir envie... » Il se pinça les lèvres, parce qu'il ne voulait pas qu'Anouchka pense que parce qu'elle l'avait invité à la rejoindre dans cette chambre, elle lui devait quoi que ce soit ou était obligée de faire tomber les dernières barrières de leur rapprochement, parce qu'il détesterait lui donner l'impression qu'il n'était venu qu'avec cette idée en tête. Il avait envie d'elle et il s'en rendait vraiment compte maintenant qu'ils étaient isolés du reste et enfermés dans une bulle rien que tous les deux et dans cette atmosphère troublante, mais le fait qu'il la désire ne signifiait pas qu'il lui en voudrait de simplement vouloir d'une soirée au calme avec lui.
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MessageSujet: Re: two intertwined bodies (lundi - 00h45)   two intertwined bodies (lundi - 00h45) EmptyLun 10 Déc 2018 - 11:39

Pour tout avouer, Anouchka est soulagée de voir César dans la chambre. Le prime avait été tellement étrange, tellement éprouvant par ses retournements de situation, par ses révélations, que rien était moins certain finalement dans l’esprit de la jeune femme. Quand bien même il n’avait pas montré de signe hostile à cette fin de soirée. Quand bien même il s’était montré ouvert et rassurant concernant leur « relation ». Quand bien même il avait semblé ne pas lui en tenir rigueur. Il se tenait devant elle. Bien évidemment elle hésite sur le moment. Mais il confirme que lui aussi a très envie de passer cette soirée avec elle et c’est comme le soleil chassant les nuages. Elle sourit. Elle ne perd pas de temps. Elle s’approche de son camarade – bien plus que son camarade – et colle ses lèvres contre les siennes en un baiser effervescent. Ses mains ne pouvant s’empêcher de lui caresser les cheveux, la naissance de sa nuque. Son coeur palpitant plus fort dans sa poitrine quand elle le sent répondre à son baiser. Sa peau frissonnant lorsqu’elle sent ses bras serrer sa taille fine tout contre lui. Ce qu’elle aime être enlacée de la sorte, se sentir protéger par des bras d’homme, entouré, choyé. Si fort que des mots seraient bien moins impactant. Il défait leurs lèvres et elle a du mal à ouvrir de nouveau ses yeux. Trop trop concentrée sur la sensation de ce baiser. Le contact de ses lèvres sur les siennes. Finalement c’est au tout d’Anouchka de sourire espièglement. Alors même qu’elle baisse un peu les yeux. « Pour l’enlever entièrement si... » Qu’elle souffle, ses lèvres restant à la portée de celle de César. D’ailleurs elle reste suspendu aux siennes. Ses yeux les convoitant. Et ses doigts , venant les caresser tendrement avec envie. Quand de son autre main, elle fait glisser celle de César contre sa fermeture éclair. Pour lui signifier qu’elle n’avait que la tirer. Qu’il pouvait faire le reste. Qu’il pouvait la déshabiller lui. D’ailleurs Anouchka ne réfléchit pas vraiment à comment réagir avec César. Parce qu’elle ne peut le nier : c’est la première fois qu’elle a envie d’un aveugle et donc la première fois qu’elle veut le faire avec un aveugle. Elle ne sait pas quels gestes adopter et pourtant, elle suit son instinct. Guidant une main de son camarade contre sa robe pour lui faire comprendre qu’elle veut se dévoiler à lui. Laissant son visage à portée du sien s’il souhaite l’embrasser. Laissant courir son souffle contre la peau de son cou, de son visage. Il lui parle de folie. Encore une fois elle ne peut s’empêcher de baisser les yeux l’espace de quelques instants. Avant de sourire irrémédiablement. « Pour passer plus de temps avec toi… Je suis prête à en faire plusieurs... » Des folies. Chassé le naturel et il revient au galop. Anouchka est ainsi, toujours à la limite de l’excès quand son coeur prend le pas de sa raison. Comme lors du prime. Comme en cet instant précis. Ses doigts viennent caresser de nouveau les lèvres de César quand ce dernier fait un commentaire auquel elle ne s’attendait pas. Pas un commentaire, il s’assurait simplement qu’elle ne s’engageait pas dans quelque chose qu’elle ne souhaite pas faire. Elle fronce doucement ses sourcils, mais cette moue légèrement perturbée laisse place à un sourire touché, plus doux. Il est tellement soucieux, adorable. Touchant. Alors elle ressert son étreinte. « J’en ai terriblement envie César... » Qu’elle lâche alors dans un murmure. Avant de reposer à nouveau ses lèvres contre les siennes. Elle l’embrasse plus tendrement, ses mains passant de sa nuque à ses joues, son cou, son torse. Ses pieds légèrement sur leur pointe pour être à sa hauteur. Et quand elle les sépare, c’est finalement parce qu’elle pense… « … Peut-être que toi tu n’en as pas envie… Je te saute dessus mais tu n’en as pas envie ?... » Qu’elle souffle alors, avançant instinctivement ses mains devant sa bouche.
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MessageSujet: Re: two intertwined bodies (lundi - 00h45)   two intertwined bodies (lundi - 00h45) EmptyLun 10 Déc 2018 - 21:52

César ressentait un mélange d'exaltation et de fébrilité à l'idée de rejoindre Anouchka dans la loveroom, parce qu'il était encore très touché qu'elle ait dépensé autant d'énergie à vouloir remporter cet accès avec lui, mais que ce serait la première fois qu'ils se retrouveraient réellement seuls tous les deux et qu'il ne pouvait pas ignorer que l'idée de passer un moment avec elle dans un endroit qui invitait aux rapprochements le troublait beaucoup. Si toute cette histoire au sujet de son bain avec Cristopher lui avait fait prendre conscience d'une chose, c'est qu'il était profondément et sincèrement attaché à Anouchka et qu'il en serait probablement malade si elle avait du choisir de se rendre dans cette chambre avec un autre. Il ne savait pas vraiment à quoi il s'attendait en l'y rejoignant, simplement qu'il se laissait porter par ses envies et qu'il n'y avait aucun autre endroit dans ce palais où il désirait plus être qu'ici avec elle. Refermant la porte après être entré, c'est un César particulièrement sincère qui lui avoua avoir lui aussi très envie de passer cette soirée avec elle, et alors même qu'il ne mesurait peut être pas encore lui-même à quel point. Les lèvres d'Anouchka se scellèrent aux siennes dans un baiser mêlant fougue et passion, et il sentit sa bouche et son corps y répondre avec envie, tandis qu'au même moment la sensation de ses mains dans ses cheveux et contre sa nuque parcourait son corps de légers frissons. Il l'enlaça de façon à la garder au plus près de lui, incapable de rompre cette proximité étourdissante pour lui qui pouvait sentir son parfum, la pression de son corps contre le sien et ses doigts dont les caresses étaient si douces et déterminées à la fois. Ça le chamboulait complètement, et l'idée qu'elle ait commencé à retirer sa robe encore un peu plus. Ses mains rencontrèrent la peau de son dos dans des gestes tendres, et il sourit contre ses lèvres tandis qu'il sentit ses doigts les caresser et l'autre main de la jeune femme inviter la sienne à la débarrasser pour de bon de sa tenue. « Je suis sûr que je vais te préférer sans... » Il souffla tout bas, laissant ses doigts se refermer autour d'un bout de tissu pour entreprendre de faire doucement glisser sa robe le long de ses jambes, alors que ses doigts remontaient déjà pour se déposer sur ses hanches et les caresser. C'était la première fois qu'il pouvait l'imaginer avec aussi peu de tissu sur elle, et c'était une image très troublante telle qu'il se la représentait. « Tu portes un soutien-gorge aujourd'hui ? » Il reprit dans une esquisse plus malicieuse, lorsque ses deux mains remontèrent le long de ses flans. Ce n'était pas sans faire écho à leur échange de samedi dernier, et c'était peut être autant sa façon de tourner définitivement la page, qu'une manière de cultiver son propre désir en lui laissant le loisir de lui souffler à l'oreille si elle était à cet instant à moitié nue devant lui, pour l'entendre de sa bouche alors que ses doigts n'auraient qu'à remonter un peu pour le vérifier. Son visage toujours tout près du sien, il laissa ses lèvres effleurer sa joue, sa mâchoire, avant d'éprouver une forme d'ivresse lorsqu'Anouchka lui avoua qu'elle serait prête à plusieurs folies pour pouvoir passer du temps avec lui. « Tu n'auras jamais besoin de ça pour m'avoir près de toi... » Il souffla dans un sourire tendre, parce que si elle avait du dépenser une certaine somme pour accéder à cette chambre avec lui, il n'en irait pas de même pour tout ce qu'elle voudrait partager d'autre, la dernière chose qu'il souhaitait étant de s'éloigner d'elle et il en prenait d'autant plus conscience à cet instant. C'est alors qu'il ressentit le besoin de lui assurer que quoi qu'il soit entrain de se passer, rien ne l'obligeait à faire des choses dont elle pourrait ne pas avoir envie. Parce qu'il ne voulait pas que ce soit comme une obligation qu'elle ressentirait vis à vis de lui. Mais elle le rassura et il se sentit instantanément soulagé, et se laissa complètement happé par le baiser qu'elle déposa aussitôt sur ses lèvres, y répondant avec tendresse avant que sa question n'étire malicieusement son sourire. « Oh, Anouchka... » Il souffla tout contre ses lèvres, qu'il effleura du bout des siennes avant de venir cette fois les capturer dans un baiser électrisant, ses mains retrouvant au même moment le dos de la jeune femme pour cette fois glisser le long de celui-ci dans des caresses beaucoup moins innocentes que tout à l'heure. « Il n'y a rien dont j'ai plus envie. » Ses mots eurent à peine le temps de franchir la barrière de ses lèvres qu'ils s'évanouirent dans un nouveau baiser, où sa langue vint chercher la sienne dans un balais terriblement savoureux. Sans réfléchir même un instant, il se baissa légèrement et la souleva à la force de ses bras, ses mains posées contre sa chute de reins tandis qu'il sentit ses jambes enserrer sa taille. Il resta comme ça un instant, et ne mit fin à leur baiser que pour venir déposer son front contre le sien. Doucement, il aligna ensuite quelques pas à travers la chambre et s'aida de sa main gauche pour identifier les objets qui pourraient faire obstacle sur leur chemin, avant de sentir le bout de ce qu'il imaginait être le lit king-size sur lequel il espérait bien tomber au cours de sa courte exploration des lieux. « Je crois que j'ai trouvé le lit... » Il souffla dans un léger rire amusé, avant de le contourner de façon à pouvoir bientôt toucher l'un des cotés du matelas à l'aide de sa main. Se penchant lentement, il attendit de sentir le dos d'Anouchka rencontrer le sommier pour l'y allonger doucement et maintenir son corps contre le sien, cette fois à l'horizontale. « Tu veux m'aider à ton tour à retirer tout ça... ? » Il lui proposa d'un ton malicieux et entendu, avant d'en profiter pour lui voler un nouveau baiser, faisant par là bien évidemment référence à ses vêtements qui de son coté étaient encore au complet mais n'étaient pas forcément conviés à ce qui allait suivre.
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MessageSujet: Re: two intertwined bodies (lundi - 00h45)   two intertwined bodies (lundi - 00h45) EmptyMar 11 Déc 2018 - 1:59

Elle ne peut mentir, Anouchka avait envie de César depuis longtemps. L’apogée de son désir se concentrant lors de leur première nuit partagée, lors de leurs questionnements mutuels intimes. Mais le manque d’intimité justement et la peur de ne pas être sur la même longueur d’onde de sa camarade l’avait freinée. Alors l’enchère sur la loveroom arrivait à point nommé et quand bien même elle avait été folle d’enchérir autant, elle n’en était pas déçue. De toute manière cet argent n’est techniquement pas encore à elle. Et si jusque là elle avait été prudente dans la compétition, un coup de folie lui était permis. Il faut dire aussi qu’elle avait eu un coup de jalousie, de peur. Peur de voir Lucy remporter l’accès à la chambre et par la même occasion la partager avec son – maintenant – ancien partenaire. C’est certainement ridicule. Certainement. César enfin présent dans la chambre exceptionnelle, elle ne peut se contenir plus longtemps. Franchissant le mètre qui les séparait, elle posait ses lèvres sur les siennes dans un baiser qu’elle espérait assez explicite pour qu’il puisse y répondre sans malentendu. Il l’enlace créant une proximité qui l’avait manqué. Deux jours à prendre ses distances et il avait réussi à créer en elle un manque immense. Ayant simplement ôter la fermeture de sa robe, elle l’invite implicitement à lui enlever une bonne fois pour toute sa robe qui ne lui servirait plus à rien pour se soir. Sentant les doigts délicats de César sur sa peau, il l’en débarrasse alors la laissant quasiment nue devant lui. Seule une fine culotte couvrant ses fesses l’empêche de tomber dans la nudité total. L’espace d’un instant elle est gênée. Comme une première fois. Une première fois qu’un homme la touche. Elle sourit timidement à ce qu’il dit, le sentant prendre possession de ses hanches. Mais la gêne disparait au fur et à mesure qu’elle sent en elle monter le désir. Il lui demande alors si elle porte un soutien-gorge. Elle ne peut s’empêcher de lâcher un rire gêné. Elle détourne un peu le regard. Quelques secondes à peine. Avant de revenir sur César. Elle sourit plus largement. « Toujours pas non… » Qu’elle souffle alors de sa voix douce qu’il ne connait que tant. « Je n’ai qu’une culotte… » Fermant les yeux quand ses mains remontant le long de son corps lui procure une vague de frissons. Puis une vague de chaleur. Puis les deux en même temps, son palpitant augmentant par la même occasion ses pulsassions. Sa respiration se fait plus difficile, se déposant contre la peau du visage de César. Elle s’enivre de chacune des attentions du jeune homme, lui qui la gratifie de baisers, de caresses. Mais son questionnement soudain l’étonne et la fige l’espace de quelques instant, avant d’être touchée par son inquiétude. Mais à son tour elle se questionne sur l’envie du jeune homme. Si lui-même ne se sentait pas forcé d’agir. Apparemment non. Apparemment non puisqu’il entremêla à nouveau leurs lèvres. Quelques secondes. Il reprend. Elle sent son cœur fondre. Parce qu’il arrive à être à la fois tendre et mignon, que sexy et excitant. Venant lui voler un nouveau baiser, Anouchka passe ses bras autour de son cou pour prolonger le baiser langoureux et la danse de leur langue. Et alors même qu’elle ne s’attendait pas à ça, César la soulève. Un « Oh » d’étonnement s’échappe d’entre ses lèvres quand bien même elles étaient encore collées fiévreusement aux siennes. Enroulant naturellement ses jambes autour des hanches du jeune homme, elle ne dit rien. Elle ne s’inquiète même pas de savoir comment il va faire. Comme elle le lui avait dit lors de leur premier échange, elle le savait capable de se débrouiller. Elle caresse son visage. Caresse ses cheveux. Appose ses lèvres contre sa joue, son cou. S’attarde sur ce dernier avant de remonter sur ses lobes d’oreilles qu’elle commence à caresser doucement. Fier d’avoir trouvé le lit, elle ne peut s’empêcher de lâcher un rire. « Oui… » Qu’elle souffle doucement, se laissant alors emportée sur ce dernier. Allongée sur le dos, elle garde un instant ses jambes autour de sa taille. Elle ferme à nouveau les yeux, essayant de se calmer. De calmer sa respiration. Parce qu’elle n’arrive pas à croire ce qui est en train de se passer. Parce qu’elle n’arrive pas à croire que César est bien en train de lui demander de la déshabiller. César. Il l’embrasse et elle semble s’animer de nouveau. Elle ne répond rien par la parole. Allant droit au but. Elle relève un peu son corps. Vient l’embrasser dans son cou. Avant de finalement retourner la situation. Profitant du lit king-size. Elle roule sur lui pour se retrouver sur ses genoux. Doucement elle passe ses mains sur torses, lui alors allongé sur le dos à son tour. Doucement elle tire son haut coincé dans son pantalon. Elle le tire en douceur pour dévoiler son torse qu’elle contemple un instant. Et puis l’accompagnant pour qu’il lève les bras, lui défait de son haut qu’elle envoie valser plus loin. Sans attendre, ses mains s’attaquent alors à son pantalon tandis que ses lèvres se posent sur son cou. Elle lui embrasse le haut de son torse, descendant lentement jusqu’à son ventre. Elle se fraye un chemin de ses lèvres. Lui assène des dizaines de baiser. Continuant ainsi son chemin, de plus en plus au sud, son pantalon ainsi que son sous-vêtement glissant le long de ses jambes. Et bientôt rejoignant son haut au sol, après lui avoir bien évidemment enlevé ses chaussures. Pressée de retrouver ses lèvres, elle étend alo son corps nu tout contre le sien, reprenant un baiser fiévreux. Qu’elle n’arrête que l’espace de quelques seconde pour plonger son regard dans celui de César. Un réflexe qu’elle sait ridicule et pourtant, elle a la sensation que cela est important dans l’instant présent. Sa main caresse doucement son visage. « Est-ce que ça va ?... » Qu’elle souffle alors bêtement. Parce que de son côté c’est la folie. Une folie contenue, mais bouillonne d’excitation à l’intérieur…
César

César
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MessageSujet: Re: two intertwined bodies (lundi - 00h45)   two intertwined bodies (lundi - 00h45) EmptyMar 11 Déc 2018 - 11:44

A peine entré dans cette chambre qui de prime abord n'était pour lui pas très différente de celle où il dormait tous les soirs – ou presque – depuis son arrivée, César sentit son cœur rater un premier battement lorsqu'Anoucka s'approcha de lui pour lier leurs lèvres dans un baiser au goût de délivrance après la fin de semaine qu'ils avaient connu et les malentendus qui s'étaient glissés entre eux mais heureusement dissipés lorsqu'ils avaient pu se parler et faire un pas l'un vers l'autre. Il avait malgré tout eu à cœur de la rassurer au cours du prime et à aucun moment il n'avait envisagé de refuser sa proposition de venir la rejoindre dans cette chambre. D'abord parce qu'il en mourrait d'envie et que c'était la première fois qu'il se sentait vraiment enfermé dans une petite bulle rien qu'avec elle, et ensuite parce que c'était une autre façon de lui prouver qu'à ses yeux rien n'avait changé. Au contraire, il mesurait aujourd'hui à quel point il tenait à elle, et lorsqu'il prolongeait son baiser comme à cet instant et la serrait contre lui, c'était aussi sa manière de lui dire qu'il n'avait pas l'intention d'aller où que ce soit et qu'il nourrissait des désirs qui allaient plus loin que la simple envie de passer cette fin de soirée avec elle. Il se sentait animé d'une fière intense à la simple idée qu'elle compte sur lui pour la débarrasser de sa robe, avant que ses doigts ne la retirent avec délicatesse et se déposent tout contre sa peau dans des caresses qui se voulaient particulièrement tendres. C'était la première fois qu'il la sentait à moitié nue entre ses bras, et il ne voulait pas gâcher ce moment ni lui donner l'impression que ça ne représentait pas énormément de choses pour lui. Parce que c'était le cas. Lorsqu'il reprit la parole, ce fut finalement pour lui poser une question du bout des lèvres, dans un sourire partiellement amusé parce qu'il n'était pas si surprenant qu'il saisisse cette occasion pour essayer de savoir si comme elle le lui avait confié l'autre soir dans le salon, elle avait ce soir aussi décidé de ne pas porter de soutien-gorge. Sa réponse et le petit rire qui l'accompagna attisèrent encore un peu plus le désir qu'il éprouvait déjà. « Si j'osais, je dirais que c'est déjà trop... » Il souffla contre ses lèvres, dans un sourire troublé, alors que ses mains continuaient de leur prodiguer de longues et tendres caresses, remontant un peu plus jusqu'à se rapprocher de sa poitrine qu'elles se contentèrent à cet instant d'effleurer. Il voulait prendre son temps, s'y attarder longuement et il était prêt à attendre encore quelques instants pour ça. Mais il fut pris du besoin de lui demander si tout ça, elle le voulait vraiment et ne se sentait pas obligée de quoi que ce soit simplement parce qu'il était là, contre elle, à la serrer comme on serrerait la femme qu'on désirait le plus au monde. Sa réponse le rassura instantanément, et ce fut à son tour de lui assurer qu'il n'y avait rien de ce qui était entrain ou sur le point de se passer dont il n'ait pas envie. Son envie, il la lui exprima justement lorsque ses lèvres s'unirent aux siennes dans un baiser plus passionné et langoureux que ceux qu'ils avaient déjà pu échanger, et il espérait au fond de lui qu'il y en aurait encore beaucoup d'autres. Pas seulement ce soir. Pas seulement parce qu'à cet instant le désir le rendait un peu plus fiévreux. Il la sentit passer ses bras autour de son cou et en profita pour la soulever de façon à pouvoir aligner avec elle quelques pas à travers la chambre, ne détachant pas ses lèvres des siennes même lorsqu'il y évolua complètement à l'aveugle. Il voulait bien faire, lui montrer qu'il n'y avait rien qui puisse l'arrêter à partir du moment où rien n'importait plus que de lui dédier entièrement le temps qu'il avait devant lui. Il sourit au contact de ses mains sur son visage, avant de parvenir à identifier le lit et de l'y allonger sans pouvoir résister à l'envie de coller de nouveau son corps au sien. Troublé, il l'invita à le débarrasser à son tour de ses vêtements, scellant ses paroles par un nouveau baiser. Il la sentit se dresser légèrement et se laissa faire lorsqu'elle roula sur lui de façon à inverser leurs positions. Ses lèvres étirèrent un sourire plus malicieux alors que ses mains se déposèrent un instant sur ses hanches, les caressant du bout des doigts pendant que les siennes le débarrassaient de son haut. Mais c'est lorsqu'il la sentit descendre au niveau de son pantalon et que dans le mêmes temps ses lèvres se déposèrent contre son cou qu'il se sentit complètement transporté par les sensations qu'il éprouvait. Il ferma les yeux et se mordit la lèvre sous le coup de l’ardente chaleur qui avait pris possession de son corps, et poussa un bruyant soupire lorsqu'il sentit sa bouche dévaler son torse dans une course délectable. Sa respiration s'accéléra. « Mon dieu, Anouchka... » Il souffla entre deux soupires, incapable de se concentrer sur autre chose que sur ses baisers et ses caresses. C'était des sensations vraiment incroyables pour lui qui ressentait les choses avec une intensité particulière et ne pouvait pas deviner à l'avance où ses lèvres choisiraient de se poser. Elle le débarrassa de son boxer et il rougit à la simple idée qu'elle puisse être témoin de l'ampleur de son désir quand lui-même le sentait grandir chaque fois un peu plus. Il la sentit se rallonger contre lui et répondit avec langueur au baiser qu'elle lui offrit, avant qu'elle ne lui pose une question qui dessina sur ses lèvres un sourire très doux. Elle semblait vouloir s'assurer qu'il se sentait bien, et ça le touchait profondément. « Oui. » Il souffla contre ses lèvres, ses doigts caressant sa joue. « Il y a longtemps que je ne m'étais plus senti aussi bien. » Et il le pensait, ce moment était magique à plus d'un titre et il réalisait à peine qu'il était sur le point de faire l'amour à celle qui lui avait plu dès l'instant de leur rencontre, lorsqu'il avait découvert chez elle une personnalité profondément touchante. Ses bras se refermèrent autour d'Anouchka dans une étreinte douce mais passionnée qui lui permit à son tour de la faire doucement rouler sur le matelas de façon à se retrouver au-dessus d'elle. Séparant leurs lèvres pour déposer les siennes à la naissance de sa mâchoire, il les fit glisser lentement le long de son cou pour y déposer de nombreux baisers. « Tu sens tellement bon... » Son souffle s'échoua contre sa peau avant que ses mains ne déposent de nouvelles caresses au niveau de ses épaules, et se dirigent au bout de quelques secondes à la naissance de sa poitrine qu'elles vinrent découvrir avec douceur et impatience. Ses doigts suivirent le galbe de ses seins, redessinèrent leurs contours et caressèrent jusqu'à la moindre parcelle de leur épiderme, avant qu'il ne se penche davantage pour laisser cette fois ses lèvres prendre le relais et apposer des baisers brûlants contre la peau de sa poitrine. Il hésita au moment où il ressentit l'envie d'aller un peu plus loin, mais comprit en la sentant s'animer contre lui qu'il y avait peu de risques qu'elle soit incommodée par ses gestes. Alors, doucement, ses mains qu'il avait posé à plat sur le matelas glissèrent le long de son corps et ses doigts pincèrent les bords de sa culotte pour la faire glisser lentement le long de ses jambes. Il repartit à l'assaut de sa peau du bout de ses lèvres, celles-ci dévalant cette fois son ventre avant d'embrasser son nombril, ses hanches, et finalement l'intérieur de ses cuisses dans des baisers chargés d'un désir presque incontrôlable. « Je suis désolé si à cause de moi tu ne dors pas beaucoup... j'ai vraiment envie de profiter de cette nuit avec toi... » Il souffla d'un ton malicieux au moment de remonter jusqu'à ses lèvres, les embrassant alors que son bas-ventre s'animait à chaque contact, chaque baiser, chaque sensation de sa peau contre la sienne. Se pressant contre elle, il colla son front au sien et reprit sa respiration. « Tu crois que tu pourrais... me trouver ce dont j'ai besoin ? » Il reprit doucement et d'un ton beaucoup plus gêné, parce qu'il se retrouvait dans cette chambre où il n'avait pas de repère, et qu'il avait peur de faire retomber son désir s'il la faisait languir un peu trop longtemps parce qu'il n'arriverait pas à mettre la main sur ce qu'il cherchait du premier coup... « Excuse-moi, je me sens un peu nul... » Il ferma les yeux d'un air troublé et baissa la tête, parce qu'il se doutait que c'était sa première fois avec un non-voyant et qu'il voudrait vraiment que tout soit parfait.
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MessageSujet: Re: two intertwined bodies (lundi - 00h45)   two intertwined bodies (lundi - 00h45) EmptyMar 11 Déc 2018 - 14:17

Anouchka se sentait comme libéré d’un poids alors que les mains de César s’affairent à lui retirer sa robe. Comme mise à nue littéralement parlant mais métaphoriquement. Elle a envie de lui, lui aussi. Elle lui répond que non elle ne portait pas de soutien-gorge. Elle n’avait pas menti l’autre jour : elle n’en porte quasiment jamais ayant d’une part la chance de ne pas forcément en avoir besoin et aimant aussi se sentir libre. Comme elle l’aime l’idée d’être à présent en tête à tête avec lui et se sentir libre de se dévoiler le plus simplement à lui. Elle sourit à sa remarque. Ne répondant rien qu’un baiser appuyé. Un peu plus quand les mains du jeune homme tente une approche sur sa poitrine. Un peu plus encore lorsqu’il la soulève de terre pour la prendre dans ses bras. Elle se laisse faire, ne pensant sincèrement pas à sa cécité. Au fait qu’il pourrait avoir du mal. Qu’elle aurait pu prendre en main les choses. Mais elle n’en a pas besoin. Parce qu’il la guide et l’allonge finalement sur le lit qui leur est réservé. Et parce qu’il lui demande et surtout parce qu’elle ne voit pas d’objection, elle commence à le débarrasser de ses vêtements du prime. Son haut puis son bas. Passant ses lèvres sur la moindre parcelle de peau qui s’offrait à elle. Tantôt des baisers. Tantôt uniquement ses lèvres se substituant à ses mains. Sa langue aussi. Et elle sourit satisfaite, heureuse, de l’entendre prononcer son prénom. Elle redouble d’attention. Le défait du dernier bout de tissu qui le séparait de la nudité total. Un sourire naît sur son visage. Mais elle se demande surtout s’il va bien. Pas forcément savoir si elle se débrouille bien, mais connaître son ressentit. Là où parfois un regard aurait suffit à le savoir. Mais elle s’en moque. Oui ça va. Mieux, ça faisait longtemps qu’il ne s’était pas sentit aussi bien. Elle sourit heureuse. Heureuse de lui procurer se bonheur. Anouchka n’a pas de mots pour décrire ce qu’elle est en train ressentir en ce moment même. C’est la folie dans son esprit, encore secouée par l’idée même que César partage la même envie qu’elle, le même désir. Alors sentir ses mains sur son corps quasiment mis à nu. Sentir ses lèvres contre sa peau blanche. Frissonner sous sa respiration. Cela allait au-delà de ce qu’elle avait pu rêver ces dernières nuits, depuis qu’ils s’étaient adressé la parole pour la première fois ce soir là, dans la laverie. Ouvrant de nouveau les yeux après qu’il ait à nouveau retourner la situation, elle le laisse la couvrir de baisers tout comme elle venait de le faire contre son torse. Elle glisse ses mains dans son dos. Lui applique des caresses tantôt délicates, tantôt plus appliquées se disant qu’il en ressentirait que plus de sensations. Parce que tout doit être pour lui sensations. D’ailleurs il n’hésite pas à lui dire à quel point elle sent bon et étonnement, cela l’excite autant que ça la touche. Qui se sent excité parce qu’on lui dit qu’elle sent bon ? Mais tout est tellement différent avec César. Inconsciemment elle apprend à ressentir les moins sensations, la moindre variation de caresses. Elle ne s’attache plus au visuel, mais laisse une part plus importante au touché. Pas plus pour comprendre ce qu’il peut vivre que parce qu’elle trouve ça tellement plus… Électrisant. Il s’aventure alors sur son buste, descendant dangereusement sur sa poitrine. Elle ferme à nouveau les yeux tandis que ses lèvres s’entrouvrent pour lâcher des soupirs de bien-être. Parce qu’il mêle à ses mains des caresses buccales précisément ciblées sur ses seins, objets des tensions passées. Aujourd’hui de libération. Elle laisse ses mains se perdre dans les cheveux de son partenaire. Qui s’aventure toujours un peu plus sur sa peau blanche, lisse. Et se sentant délestée alors de son dernier bout de tissu, un sourire à la fois anxieux et bienheureux naît sur son visage. « J’ai tout le reste de ma vie pour dormir... » Qu’elle souffle alors à sa remarque, se sentant un peu ridicule de répondre ça. Mais c’est ce qu’elle ressent au plus profond d’elle en cet instant précis : qu’elle pourrait vivre ça pendant des heures durant se moquant de sa nuit perdue. De toute manière elle ne connaît rien de plus agréable que les plaisirs charnels, pas même une bonne nuit de sommeil pour la grosse dormeuse qu’elle est. Répondant à son baiser, elle n’hésite pas à poser ses mains dans le bas du dos de César le rapprochant toujours un peu plus d’elle, avant de les glisser sur ses fesses. De les explorer en profitant de leur énième baiser, avant de le stopper. Avant de lui demander si elle pouvait en gros lui trouver de quoi se protéger. Se sentant bête sur le moment se disant qu’elle aurait dû le prévoir avant son arrivée, elle tente de lui répondre. Mais il ajoute autre chose avant. Fronçant doucement son petit nez, elle passe doucement sa main sur la joue de son camarade pour lui relever la tête, elle ne peut s’empêcher de sourire tendrement devant tant de douceur, tant de fragilité. « Je t’interdis de te sentir nul… Tout est… Parfait… » Qu’elle lui souffle alors doucement, effleurant son nez du sien, espérant lui faire comprendre que tout ça était… Simplement ce qu’elle aurait pu rêver de mieux pour leur aventure. Il est même plus que parfait et elle le lui dirait si elle connaissait un mot pour le dire. S’échappant alors de son étreinte l’espace de quelques minutes, elle ouvre le tiroir de la première table basse qui lui tombe sous la main. Et ne peux s’empêcher de lâcher à rire en voyant la collection innombrable de préservatifs que la production leur avait fourni. « Tu veux… Tu veux quelle taille ?... » Qu’elle lui demande alors un grain de malice dans la voix, essayant de détendre l’atmosphère. Essayant de le faire rire. Qu’il ne se sente pas nul justement. Que la situation ne lui semble pas bizarre du tout. Prenant le préservatif qu’il lui fallait, elle le lui glisse dans le creux de sa main alors qu’elle retourne alors à la rencontre de son corps. « Allez viens... » Qu’elle lui souffle alors en l’attirant de nouveau sur elle. Et sans véritablement lui dire, une manière de lui demander de ne faire plus qu’un avec elle. Parce qu’elle en a envie. Parce qu’elle se sent prête. Parce que son corps fiévreux sur le sien bouillant ne demande que ça. Anouchka redouble de baisers dans son cou. Elle laisse ses mains descendre sur les flans de son amant. La gauche s’attardant dans le bas de son dos, quand la droite s’échappe sur l’entrejambe de César. « Viens... » Qu’elle souffle à demi-mot, sa respiration soudainement plus saccadée trahissant son trouble.
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MessageSujet: Re: two intertwined bodies (lundi - 00h45)   two intertwined bodies (lundi - 00h45) EmptyMer 12 Déc 2018 - 10:30

A présent que ses mains avaient délivré Anouchka de sa robe, César mesurait à quel point il lui était troublant de l'imaginer à cet instant précis, alors que ses doigts apposaient des caresses sur sa peau comme s'ils tentaient de la visualiser encore un peu mieux malgré le fait que son désir l'empêche probablement d'être aussi concentré que d'habitude. Son corps était irrémédiablement attiré par le sien, et son palpitant s'accélérait à la simple idée qu'elle ne porte pas de soutien-gorge, parce qu'il rêvait déjà au moment où il découvrirait sa poitrine et plongerait tout entier dans la découverte de son corps. Il la souleva à la force de ses bras sans même lui demander de lui indiquer la direction du lit, parce que c'était important pour lui de s'en sortir seul et de lui montrer qu'il en était capable. C'était peut être surtout quelque chose qu'il voulait se prouver à lui-même, mais César ressentait le désir inconscient de la combler, et il avait le sentiment qu'Anouchka se sentirait en sécurité dans les bras d'un homme qui même en étant privé de ses yeux pouvait s'occuper d'elle. Il identifia finalement le lit, et l'y allongea avant de lui proposer de le débarrasser de ses vêtements comme lui avait fait en sorte que sa robe atterrisse sur le sol quelques instants plus tôt. Il étouffait presque sous ces épaisseurs et il voudrait juste pouvoir se délecter de la sensation de son corps contre le sien. Il en rêvait depuis que ses mains avaient caressé sa peau, et il se languissait de lui témoigner à quel point il avait envie d'elle. Elle le débarrassa de son haut avant de faire de même avec son pantalon et son boxer, et les contacts qui suivirent le plongèrent dans un état de délectation tellement intense qu'il ne put retenir les soupirs qui s'échappèrent de ses lèvres, ni contrôler la façon dont sa respiration s'était brusquement accélérée. Sentir ses mains, ses lèvres et sa langue tout contre sa peau propagea une chaleur intense à travers son corps, rendant presque difficile le fait de garder un minimum de contrôle sur la situation, parce qu'il pourrait lui faire l'amour dès maintenant s'il suivait simplement ses envies. Il sentait grandir en lui une impatience qu'Anouchka pouvait désormais deviner, et se retrouver nu devant elle était loin d'être une chose anodine pour lui qui se sentait toujours un peu vulnérable quand les autres pouvaient voir jusqu'à la moindre parcelle de sa peau mais que lui ne le pouvait pas en retour. Il trouvait ça excitant d'imaginer le corps de la femme qu'il serrait contre lui, ça attisait profondément son désir, mais il se sentait d'autant plus exposé à son regard et tout ce qu'il espérait à cet instant, c'est que ce qu'elle voyait lui plaisait. C'était certainement idiot, mais il avait d'autant plus besoin de plaire depuis qu'il était aveugle, et il s'imposait une hygiène de vie assez stricte pour se sentir bien dans son corps. A cet instant, il voulait juste lui plaire et lui donner envie de lui autant qu'il avait envie d'elle, parce qu'il n'avait pas besoin de la voir pour la trouver profondément attirante. Sexy. Elle l'était pour lui depuis un certain temps, mais ce soir elle était la personne la plus désirable au monde à ses yeux. Alors oui ça allait, ça faisait même longtemps qu'il ne s'était plus senti aussi bien et cette soirée était pour lui comme un rêve dans lequel il avait plongé et dont il n'avait aucune envie de ressortir. Il inversa ainsi leurs positions pour laisser à son tour ses mains et sa bouche découvrir chaque parcelle de ce corps qui attirait le sien comme un aimant attirerait du métal. Il noya son cou de baisers avant de glisser ses mains jusqu'à sa poitrine, puis d'envoyer ses lèvres à la découverte de cette partie tout aussi troublante pour un aveugle que pour quelqu'un qui voyait, peut être même plus en raison des sensations qu'il éprouvait rien qu'à en dessiner les contours et à en deviner la forme et l'aspect. L'entendant soupirer, il sourit tout contre sa peau avant de laisser ses mains la débarrasser de sa culotte pour qu'enfin leurs deux corps nus dansent l'un contre l'autre avant le moment où ils ne feraient plus qu'un. Les mots qu'elle lui souffla après qu'il se soit inquiété de la priver d'une partie de son sommeil dessinèrent sur ses lèvres un sourire infiniment doux, parce qu'il avait vraiment envie de profiter de cette nuit avec elle, dans cette chambre, et dans cette sorte de bulle où il avait l'impression que rien ni personne ne pouvait entrer. Leurs lèvres s'unirent à nouveau dans un baiser fulgurant, et il ferma les yeux lorsqu'il sentit ses mains se déposer contre ses fesses, se sentant rougir légèrement sous ce contact. Et puis, parce qu'il sentait que leur désir respectif avait atteint son paroxysme, il lui demanda à demi-mot de lui trouver de quoi se protéger. Les protéger tous les deux. Mais aussitôt il se sentit honteux et eut peur d'avoir gâché ce moment bien malgré lui, avant de sentir sa main se déposer contre sa joue et de l'entendre lui susurrer des mots d'une profonde tendresse. Il sourit doucement, intérieurement bouleversé par la douceur dont elle faisait toujours preuve avec lui et par le fait qu'elle dise trouver ce moment parfait. Il l'était aussi pour lui. « Tu... tu es la meilleure chose qui me soit arrivée depuis tellement longtemps... » Il souffla tout bas avant de retrouver ses lèvres dans un baiser plus doux, et de la serrer un peu plus fort contre lui. Il le pensait, peu importe qu'elle lui ait dit avoir besoin de temps pour définir leur relation, il était prêt à prendre le temps qu'il leur faudrait, tant qu'elle savait à quel point il était heureux de l'avoir rencontrée. Anouchka s'échappa de son étreinte et il l'entendit ouvrir le tiroir de ce qu'il imaginait être une table de chevet. Il l'entendit se mettre à rire, et ses lèvres dessinèrent à leur tour une esquisse malicieuse. « D'habitude je prends L/XL... » Il murmura sous le coup d'un léger embarras, parce qu'il se rendait compte d'à quel point sa situation l'obligeait à se dévoiler à elle et qu'il y avait des choses dont il était un peu gêné de parler même s'il se sentait profondément en confiance. Il la sentit glisser le préservatif dans sa main, et il prit quelques secondes pour l'enfiler, chose devenue intuitive avec le temps. Il la sentit ensuite l'attirer tout contre elle, et se mordit la lèvre face à son invitation de ne faire maintenant plus qu'un, parce qu'il en mourrait lui aussi d'envie, il ne l'avait même jamais souhaité aussi fort. Il soupira au contact de ses mains et de sa bouche contre sa peau et rapprocha lentement son visage du sien, laissant ses lèvres effleurer les siennes avant de caler doucement son bassin entre ses cuisses. Ses mains glissèrent sous ses fesses pour la rapprocher un peu plus de lui, et c'est après un baiser brûlant qu'il fondit en elle dans un long soupire. Ses muscles se contractèrent et les traits de son visage changèrent sous le coup de cette première vague de plaisir, tandis qu'il commença à aller et venir en elle dans des mouvements lascifs, qu'il voulut d'abord particulièrement doux avant d'y mettre un peu plus d'impulsion et de se cambrer de façon à intensifier les sensations de leurs deux corps enfin unis. Il glissa ses lèvres dans son cou pour y déposer autant de baisers que ses lèvres laissaient échapper de soupires. Son corps dansait contre le sien et plus il intensifiait ses va-et-viens, plus il avait l'impression de se consumer de l'intérieur. Il gémit une première fois. C'était tellement bon, tellement fort, qu'il en oubliait complètement où il se trouvait. Il n'y avait qu'elle, que lui, et ce moment qui les délivrait après ces longues minutes à attiser leur désir et ces quelques semaines à se rapprocher l'un de l'autre. Ce n'était pas la première fois qu'il avait envie d'elle, mais c'était la première fois qu'il lui faisait l'amour et il se laissait complètement transporter par ce qu'il éprouvait. Il fut bientôt incapable de modérer la force avec laquelle des vagues de plaisir s'écrasaient sur son corps, son bas-ventre prenant feu à mesure qu'il la pénétrait un peu plus vite, un peu plus fort, un peu plus profondément. Son esprit avait fait le vide et sa respiration s'était saccadée. « Je ne veux jamais que ça s'arrête... » Il souffla contre sa peau, en la serrant un peu plus fort contre lui, l'une de ses mains se perdant dans ses cheveux dans des caresses, alors qu'il regretta sur le moment de ne pas pouvoir lui exprimer par un regard tout ce que représentait ce moment à ses yeux. Alors il l'embrassa à nouveau, gémissant contre ses lèvres sans freiner ses mouvements. « Jamais... » Et tout ce qui comptait pour lui était de lui donner autant de plaisir qu'il en éprouvait.
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MessageSujet: Re: two intertwined bodies (lundi - 00h45)   two intertwined bodies (lundi - 00h45) EmptyMer 12 Déc 2018 - 23:30

À peine allongée sur le dos, la biélorusse retourna la situation pour se retrouver sur lui. Et accéder sa demande d’être débarrassé de ses vêtements. Sans marqué d’opposition parce qu’elle ne rêvait que de ça, elle le déshabiller assez rapidement. Elle est délicate, mais l’empressement de ses mains témoignent de son impatience à le sentir véritablement tout contre elle. Pas que dans une étreinte chaste et légère comme la semaine passée. Non cette fois elle veut sentir sa peau nue contre sa peau nue. Elle ne veut plus sentir ses mains sur son visage, mais sur ses bras. Sur son ventre. Ses cuisses. Sa poitrine. Ses hanches. Elle veut sentir ce que ça fait que de ne pas être jugée sur le visuel pendant l’amour, mais bien par les sensations pures. Certes elle ne pouvait vivre ni même comprendre l’état dans lequel pouvait se trouver César : accorder sa confiance à quelqu’un pour se dévoiler totalement nu. Mais il n’a pas à rougir. Il est parfait. Anouchka le trouve très beau. Son corps est bien fait. Son anatomie n’est pas en reste. Et s’il fallait l’en persuader, elle le fera sans gêne. Mais les caresses qu’elle lui prodigue, les baisers appuyés, les coups de langues ciblés, devraient être accès explicite sur l’état dans lequel il peut la mettre. Pas un état second, mais un état d’envie poussé à l’extrême. Et son corps réagit en conséquence. Sa peau bouillonne et frissonne. Ses tétons pointent. Son entrejambe vibre de plaisir. De nouveau sur son dos, elle se laisse allée. Comme une reine alanguie elle le laisse faire. Elle le laisse la découvrir. Couvrir son corps de caresse. Quand il s’arrête dans son cou, elle en profite pour lui caresser la nuque. Il s’arrête sur sa poitrine et c’est le début du véritable extase. Comme quasiment toutes les femmes, ses seins sont des zones érogène très puissantes. Un doigt dessinant leur courbe. Une langue caressante. Elle frémit. Elle lâche ses premiers soupirs de bien-être quand dans le reste de son corps c’est la fête. Fête qu’elle espérait aussi présente en César. Elle n’en doute pas en vérité. Leurs baisers, leurs lèvres et leur langues s’entremêlant prouvant leur désir mutuel. La convoitise de leur deux corps. Alors Anouchka annihila ses dernières barrières de douceur pour lui montrer qu’elle avait envie de lui. Qu’elle le voulait en elle. Ses mains glissant jusqu’à ses fesses, pas pour le presser. Pour lui signifier qu’elle est prête. Lui aussi apparemment et alors qu’elle sourit de bonheur, il semble être plus honteux. Honteux de lui demander de l’aider. Elle ne peut le laisser croire qu’il est nul, qu’il a brisé quelque chose. Au contraire. La soulever et l’amener dans le lit sans aucune aide, c’est témoigner d’une force de caractère au même titre que de demander de l’aide quand il n’arrive pas à faire quelque chose. Alors lui demander un préservatif était autant mature pour le côté protecteur que le côté j’avoue mes faiblesses. Mais si une caresse bien placée la faisait frissonner, ce qu’il lui dit la fit décoller du lit. Elle le regarde de ses yeux profondément touchée, profondément affectueux. « Ne me mets pas la pression… » Qu’elle répond dans un léger rire, parce qu’elle ne l’accable pas du tout. « J’en suis très honorée » Qu’elle continue ses doigts caressant l’espace d’un instant son front. Et puis elle accepte son baiser, mobilisant toute la force que contenait son petit corps pour le serrer contre elle. Avant de s’échapper. Non pas pour s’en aller de la pièce bien au contraire. Elle tente sa chance avec une table de chevet et bingo : elle tombe sur plusieurs boîtes de préservatif, du lubrifiant, d’autres choses dont elle ne connait pas l’utilité. Elle lui demande la taille qu’il veut avoir, n’ayant pas forcément le compas dans l’œil pour le deviner. Elle le sent embarrassé, mais elle n’en tient pas rigueur. Parce qu’elle ne voit vraiment pas quel embarras il aurait à lui balancer qu’il met du L/XL. Rapidement elle prend le plus fin, pour le maximum de sensation, et le lui donne. Sans fanfare. Le glissant dans sa main pour éviter de le gêner plus encore. Parce que ce n’est pas son but. Non, le sien est de répondre à ses désirs. Trois minutes loin de son corps et elle se sentait déjà en manque. En manque de sensations. En manque de ses caresses. De ses baisers. Même les plus chastes sur ses joues. Alors elle le ramène à elle, accompagnant son corps contre le sien. Et tout d’un coup elle se rend compte que tout cela est réel. Que cela va se passer vraiment, plus encore alors qu’il se cale bien entre ses jambes. Elle ferme ses yeux. Alors elle sent une nuée de papillons virevolter dans son ventre. Sa gorge se resserrer. Son cœur se décrocher de sa poitrine. Une sensation de moment suspendu dans le temps, d’aiguilles qui arrêtent de trotter. Le palais qui disparait les laissant à deux, seuls au monde. Elle se sent vierge devant son premier homme. Elle se crispe un instant. L’habitude. Mais alors qu’elle sent ses fesses investies de ses mains comme ses lèvres des siennes, c’est la délivrance. Comme une bouche à bouche la réanimant. Un coup dans le cœur. Il pénètre en elle pour faire de leurs deux corps plus qu’un. « César… » Elle lâche à son tour un soupire qu’elle étouffe sur les lèvres de l’homme. Appréciant ses premières allées et venues en elle. Il est doux. Il est langoureux dans un premier temps. Avant d’accélérer la cadence, petit à petit. Alors elle s’agrippe à lui. Ses bras qui s’étaient enroulés plus tôt autour de ses épaules descendent dans son dos de façon appuyée. Son cœur bat rapidement et son souffle fatigue. Chacun de ses coups de reins accueilli par un sourire, une lèvre mordillée. Il va un peu plus fort, alors elle gémit. De plaisir, de bonheur. Parce que c’est bon. Parce qu’elle en veut encore. Elle gémit un peu plus fort, elle ne peut pas se contenir. « César… » Qu’elle répète. Elle sent son corps se soulever. L’accompagner dans ses mouvements. Changer l’angle de son corps pour en ressentir tout le plaisir qu’il pouvait y mettre. Ses gémissements à lui l’excitant toujours un peu plus. Elle enfonce ses mains dans la peau de son dos, envahit son cou de baiser. Pose son front contre son épaule quand entre deux râles il lui avoue qu’il n’a a pas envie que ça s’arrête. Elle lâche un léger rire entre deux souffles, avant de se laisser emporter toujours un peu plus quand ses doigts s’emmêlent dans ses cheveux à l’image de leurs corps. « Mon non plus… » Qu’elle arrive à souffler entre deux nouveaux râles. Alors elle ouvre enfin ses yeux après ses longues secondes. Elle l’observe. S’animant soudainement plus activement. Ses mains viennent saisir son cou, puis son visage qu’elle caresse. Ses lèvres s’animant entre rictus de bonheur et sourire de délectation, toujours sous les coups de reins de César. Et puis sans rien lui dire et d’un mouvement de main doux, elle sépare leurs deux corps. Elle brise le lien. Brise leur danse alors même qu’il venait de lui dire vouloir rester dans cet état longtemps, très longtemps. Toujours. Mais qu’il ne se frustre pas. Ses lèvres capturant celle de son amant, elle les fait à rouler de nouveau dans l’autre sens. Reprenant le dessus malgré les kilos les séparant. Elle se dresse sur lui. Ses lèvres descendant à nouveau sur son torse bien fait dont elle apprécie le moindre muscle. Avant de les quitter pour finalement renouer le lien qu’elle avait rompu. Guidant son entrejambe entre ses cuisses, elle reprend alors leur danse. Elle descend et remonte tout doucement sur lui. Attrapant délicatement les mains de César pour venir les poser sur ses hanches ondulantes sensuellement. Tandis qu’elle caresse son torse cambrant par la même occasion son corps pour en trouver l’angle parfait. Elle sourit à l’idée de lui procurer à son tour le plaisir qu’il mérite. Elle gémit un peu trop fort qu’elle en pose la main devant sa bouche. Elle accélère la cadence. Parfois elle s’allonge sur lui, ses long cheveux roux lui fouettant son visage alors qu’elle cherche sa bouche à embrasser. « Ca te… Ca te vas comme ça ? » Qu’elle souffle sensuellement au creux de son oreille, vraiment curieuse et soucieuse de lui faire le plus de bien possible, faisant passé son plaisir avant le sien. Elle ondoie toujours un peu plus. Ses mains explorant son visage. « Tu sais que… Que tu es encore plus beau quand tu prends du plaisir… » Elle parle doucement avant de coloniser encore une fois ses lèvres, sa langue cherchant la sienne.
César

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MessageSujet: Re: two intertwined bodies (lundi - 00h45)   two intertwined bodies (lundi - 00h45) EmptyJeu 13 Déc 2018 - 20:28

César aimait sentir les mains d'Anouchka ôter progressivement les épaisseurs qui recouvraient sa peau, le mettant à nu et rapprochant ainsi le moment où leurs deux corps se colleraient l'un à l'autre dans une étreinte charnelle dont il se languissait de profiter. Il aimait cette impression de mettre peu à peu son intimité entre ses mains, de se dévoiler à elle comme à la seule personne devant qui il n'aurait pas peur d’apparaître tel qu'il était vraiment, quand bien même ça attristait aussi une partie de lui de se dire que le regard qu'elle pouvait maintenant poser sur lui, il ne pourrait jamais le poser sur elle en retour. Il avait d'autres moyens de la découvrir et il aimait l'idée qu'il y aurait toujours ce coté inattendu lorsqu'il la serrerait contre lui, que ses mains caresseraient son corps et en devineraient les contours, mais il savait aussi ce qu'il serait prêt à offrir pour pouvoir la voir ne serait-ce qu'une seconde. Il le lui avait dit la semaine dernière, et il le pensait toujours maintenant qu'il mesurait à quel point il tenait à elle. Il y avait des personnes dont il pourrait passer toute sa vie à ignorer à quoi elles ressemblaient, mais Anouchka se faisait souvent une place dans ses pensées et dans ses rêves, et c'est parce qu'il avait le besoin inconscient que l'image qu'il se façonnait d'elle soit la plus fidèle possible à ce qu'elle était, qu'il aimait laisser ses doigts la parcourir comme s'il la dessinait peu à peu dans son esprit. Chaque caresse la rapprochait de lui et c'est pour ça qu'il s'attardait sur chaque parcelle de sa peau, laissant sa bouche s'y déposer aussi. Pour ça, et parce qu'il voulait qu'elle se sente bien, aussi transportée qu'il l'avait été l'instant d'avant. Il couvrit sa poitrine de caresses et de baisers, la sculptant dans son imaginaire à l'aide de sa langue, et sentant le corps d'Anouchka s'animer et sa bouche laisser échapper des soupirs qui l'incitèrent à continuer. L'entendre apprécier chaque geste qu'il initiait sur sa peau était particulièrement excitant pour lui qui se concentrait énormément sur ses autres sens et sentait son désir s'accentuer chaque fois qu'il respirait son odeur, qu'il entendait des sons quitter ses lèvres, qu'il goûtait à sa peau ou qu'il la sentait frémir au contact de ses mains. Tout était plus fort quand on était privé de ses yeux et c'est pour ça que s'il disait souvent que son rapport au sexe avait changé, c'est parce qu'il avait en fait découvert que ce n'était pas une chose qui nécessitait de voir et qu'au contraire, on pouvait vivre ça encore plus intensément quand on se concentrait sur tous ses autres aspects. Anouchka le débarrassa de son boxer et il sentit au moment où ses mains se déposèrent sur ses fesses qu'elle avait tout autant envie que lui qu'il les délivre une bonne fois pour toutes et ne fasse plus qu'un avec elle. Son propre désir avait atteint son paroxysme, pourtant il se sentit gêné de lui demander de l'aider à trouver de quoi se protéger, parce qu'il se sentait un peu nul de devoir lui avouer qu'il n'était pas sûr d'arriver à mettre la main sur un préservatif du premier coup. Mais Anouchka se montra comme souvent d'une douceur infinie, et parvint en l'espace d'à peine quelques mots à le rassurer et dissiper sa gêne. Complètement troublé et conscient de la chance qu'il avait de partager ça avec elle, ici et maintenant, il lui avoua qu'elle était la meilleure chose qui lui soit arrivée depuis longtemps. Il le pensait, peu importe qu'il soit sous le coup d'une envie irrépressible de lui faire l'amour. Il rit doucement à sa remarque avant d'esquisser un sourire très doux, la sentant bientôt déposer un préservatif dans le creux de sa main et entreprenant de l'enfiler aussitôt pour ne pas retarder un moment qu'ils attendaient autant l'un que l'autre. Elle l'attira tout contre elle et il l'embrassa à nouveau avec passion avant de se caler entre ses jambes avec une douceur qui contrastait à ce moment-là avec l'intensité de son désir. Il la souleva pour la rapprocher de lui, et fusionna finalement leurs corps d'un coup de bassin qui fit monter en lui une chaleur étourdissante et l'impression que ce moment-là, il l'attendait depuis bien plus longtemps qu'il n'osait l'avouer. Il l'entendit prononcer son nom une première fois et sentit son cœur rater un battement tandis qu'il se colla tout contre elle, allant et venant en elle avec fougue et une impulsion de plus en plus importante à mesure qu'il la sentait réagir, frémir, se contracter sous le coup du plaisir qu'il voulait tant lui donner. « Anouchka... » Il souffla à son tour et tout contre sa peau, souriant d'un air béat alors qu'il la sentait l'accueillir en elle et profitait de chacun de ses mouvements pour la pénétrer un peu plus profondément, parce que c'était ce qu'il voulait depuis qu'il lui avait retiré sa robe. Se noyer en elle, fondre avec elle dans une union parfaite de leurs deux corps déjà en sueur, sentir véritablement qu'ils ne faisaient plus qu'un. Il voulait marquer l'empreinte de son corps contre le sien, mais aussi la marquer à un tout autre niveau. La combler pour qu'elle repense à ce moment, à cette nuit, chaque fois qu'elle fermerait les yeux. Comme lui, qui savait déjà que ce moment se graverait dans son esprit et y créerait un souvenir indélébile, formé de milliers de détails et de sensations tout aussi précieux que des images. Il poussa un nouveau gémissement lorsqu'elle enfonça ses mains dans son dos et qu'elle couvrit son cou de baisers dans des gestes qui coïncidèrent avec la montée d'une nouvelle vague de plaisir. Il lui avoua à ce moment-là n'avoir aucune envie que ce moment s'arrête, et laissa les doigts d'une de ses mains s'entremêler aux siens lorsqu'il l'entendit lui répondre qu'elle non plus. Il sourit et garda les yeux fermés lorsqu'il sentit ses mains caresser son visage, sentant son cœur s'enflammer et son corps se consumer alors qu'au même moment, Anouchka sépara leur corps et le laissa l'espace de quelques secondes dans un état de manque intense et douloureux. Il ne dit rien mais serra les dents lorsqu'il sentit son bassin réagir à cette soudaine désunion. Alors, lorsqu'il la sentit rouler au dessus de lui, embrasser son torse et unir de nouveau leurs corps dans un mouvement délectable, il poussa un soupire plus rauque, plus fort, émanant du plus profond de son être. Il se sentait délivré, rattrapé au bord du vide qui menaçait de l'engloutir. Il sentit sa tête partir en arrière et retrouva un immense sourire lorsqu'elle déposa ses mains sur ses hanches, accompagnant chacune de ses ondulations alors que ses soupires se rapprochaient de plus en plus. « Dios mio... » Il expira, envahi d'une vague de chaleur incontrôlable chaque fois qu'elle se cambrait et enflammait son bas-ventre qui en demandait toujours plus. Ses mains quittaient parfois ses hanches pour glisser jusqu'à ses fesses, et remontaient ensuite le long de son ventre pour caresser son nombril, ses épaules, et sa poitrine. « C'est parfait... » Il souffla entre deux râles de plaisir lorsqu'il la sentit s'allonger sur lui, embrassant ses lèvres comme si elles étaient son seul moyen de reprendre son souffle. « Tu... tu es parfaite. S'il te plaît, ne t'arrête pas... » Il supplia doucement, alors que sa main partit caresser son visage. Elle était incroyable, d'une passion et d'une fougue absolument bouleversantes pour lui qui se sentait partir un peu plus loin chaque fois qu'elle ondulait sur lui dans une danse qu'il voudrait éternelle. Les mots qu'elles soufflèrent à son oreille le firent rougir, et il lui vola un baiser fiévreux, langoureux, dont la puissance ne suffisait pas à rendre compte de ce qu'il éprouvait à cet instant. « Et moi je sais que tu es magnifique... » Il souffla contre ses lèvres, le cœur et le corps éprouvés à l'idée de partager cette pensée avec elle. « C'est comme ça que je t'imagine à cet instant. Nue, fougueuse et magnifique. » Il lui sourit avec tendresse et caressa de nouveau ses cheveux, ses lèvres, son visage, avant de se redresser tout à coup sur le lit. Il s'y assit sans désunir leurs corps, les jambes d'Anouchka s'enroulant autour de sa taille comme lorsqu'il l'avait porté un peu plus tôt, tandis que son angle de pénétration changea légèrement et fit grimper son plaisir d'un cran supplémentaire. Son visage était de nouveau tout proche du sien, il pouvant sentir son souffle sur sa peau et ses lèvres effleurer les siennes chaque fois qu'ils basculaient d'avant en arrière, dans des mouvements coordonnés. Il étouffa ses gémissements dans un baiser qui laissa l'occasion à leurs langues de danser de nouveau l'une avec l'autre, comme leurs corps ne cessaient de le faire. Il la sentit se cambrer en arrière et en profita pour laisser ses lèvres retrouver son cou, les déployant sur toute la surface de sa gorge pour la noyer sous ses baisers pendant qu'il caressait son dos et sentait le matelas vibrer sous les impulsions répétées de leurs corps. « J'espère que tu ne regrettes pas d'avoir dépensé cet argent, parce que moi je ne regrette pas que tu l'aies fait... » Il souffla dans un rire noyé sous ses soupires, tout près de son oreille dont il mordilla sensuellement le lobe. Que ça en avait valu la peine, et que ce qu'il vivait de si fort à cet instant, elle le vivait aussi.

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