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 two intertwined bodies (lundi - 00h45)

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Anouchka

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MessageSujet: Re: two intertwined bodies (lundi - 00h45)   two intertwined bodies (lundi - 00h45) - Page 2 EmptySam 15 Déc 2018 - 0:05

Anouchka n’est plus que vibrations. La moindre parcelle de peau que César couvre de ses mains, de ses lèvres, de sa douceur, de ses attentions, de ses variations, de sa chaleur, la font frissonner. Ses doigts plus appuyés contre son corps qu’elle imagine due à sa cécité. Sa bouche curieuse s’arrêtant sur sa poitrine. Et puis il la qualifie comme étant la meilleure chose qui lui soit arrivé. Il ne peut le voir, mais elle est profondément touchée. Elle n’aurait jamais l’orgueil de lui affirmer qu’il a raison, mais elle ose espérer être à la hauteur. Elle lui caresse alors tendrement le visage, sourit quand lui aussi sourit. Et ce qu’elle dit est infime par rapport au sursaut que fait son cœur. Un battement raté qui la transporte dans une espèce d’état second l’espace de quelques secondes. Des secondes trop longues séparant son corps du siens. Mais finalement leur deux corps justement se rejoignirent dans un premier temps délicatement, dans une danse lascive. Anouchka le laisse la mener cette danse, collant son corps au sien. Une chaleur vive lui prenant le corps, partant de son bas ventre pour rejoindre chacune de ses extrémités. Ses joues en rougissent de chaleur. Son corps frémit un peu plus quand ses coups de reins se font plus rapide, plus sauvage. Elle aime ça. Elle souffle son prénom, l’encourageant dans ses mouvements. L’incitant à aller et à venir en elle toujours un peu plus. À son tour il dit son prénom et elle comprend ce qu’il ressent. Elle a la sensation de quitter terre. De s’envoler toujours un peu plus. Elle dirait jusqu’au paradis si elle croyait en dieu. En tout cas, elle a cette sensation de ne plus être dans le palais mais sur un nuage. Une chose douce, moelleuse, où la seule force venant des coups de reins de César la maintenait éveillée et pleine de vie. Parce qu’elle se sent vivante la rouquine quand il la prend ainsi dans ses bras. Et qu’il la prend tout court. Alors qu’à peine une heure plus tôt, lors des enchères sur la loveroom, elle n’aurait jamais espéré vivre ce moment qu’elle rêvait uniquement la nuit, dans son lit, seule. Elle se sent vivante au point de gémir sans s’en empêcher. Elle se moque de savoir si les cloisons de la chambre sont assez épaisses pour laisser leurs camarades dans l’ignorance. Son souffle est de plus en plus rapide que sa respiration ne suit plus. Les bruits qu’elle expulse d’entre ses lèvres se font aussi variant qu’inaudible. Elle exulte. Et pourtant, elle le coupe dans son élan. Parce qu’elle sait que se priver dix secondes pendant une relation redouble le plaisir. Et que du plaisir, elle a également envie de lui en donner. Alors plutôt rapidement elle unit à nouveau leur corps, juchée sur son entrejambe. À son tour elle opère des mouvements lascifs, lents dans une premier temps. Avant de prendre un rythme plus soutenu. Elle lâche un léger rire quand il invoque son Dieu, comme une réponse implicite alors qu’elle se demande si cette position lui convient. Elle sait que tout les hommes n’aiment pas être ainsi dominé. Tous ne se laisse pas forcément être « monté » ainsi. Pas César apparemment, dont le sourire encourageait Anouchka dans ses mouvements de hanche. Elle râle. Elle passe ses mains sur son torse foutuement bien fait, quand lui caresse ses seins et ses fesses. Son parfait raisonnait au sien plus tôt. Anouchka est aux anges. Et pour la première fois elle trouve dommage que César ne puisse le voir. Voir l’expression de la belle. Voir à quel point il lui donnait plus de plaisir qu’elle pensait en recevoir. Voir son air à la fois gaga d’être avec l’homme dont elle avait eu un coup de foudre quasiment dès qu’il ouvrit la bouche pour la première fois. Mais aussi lire le plaisir tout simplement sur ses traits poupons. Elle balance ses longs cheveux roux en arrière, pour finalement se caller sur son corps. Passant ses lèvres où elle pouvait. Rejoignant ses lèvres fiévreusement. Cela fait trop longtemps… Et quand elles se défont, elle redouble d’effort pour aller le plus loin possible. Il la qualifie de parfaite. Ne veut pas que ça s’arrête. Elle non plus ne veut pas que cela s’arrête. Alors elle repose sa tête contre son épaule, lâchant son souffle et ses râles de plaisir tout proche de son oreille. Pour qu’il entende, entende bien. Mais c’est ce qu’elle entend elle qui la fait réagir. Elle lui prend le visage entre ses mains pour répondre à ce baiser. Un « Merci… » s’étouffant sur ses lèvres. On lui a déjà dit qu’elle est belle, mais ce magnifique venant de César revêtait un gout plus particulier, plus profond. Ce n’était pas qu’une question de physique, de paraître. Ça allait au-delà, du cœur. Elle rougit. Pique le gros fard du siècle. Et veut ajouter quelque chose mais elle n’en a pas le temps. Parce que César s’anime en relevant le haut de son corps. « Oh » Qu’elle fait s’échapper d’entre ses lèvres pour marquer son étonnement, mais retrouve un sourire de plaisir. Naturellement elle enroule ses jambes autour du corps de César, et ses bras autour de son cou. Emboitant plus profondément encore leur deux corps, créant une proximité des plus excitante. Elle avait le loisir d’explorer le visage de son amant. Elle caressait son nez du sien. Répondit à ses râles par les siens. Pas pour forcer, pas pour lui montrer qu’elle prend du plaisir. Mais bien parce que ce plaisir qu’elle prend est colossale. Immense. Explosif. Elle explose lorsqu’elle crie en cambrant son corps assez loin pour le laisser l’embrasser en une cascade sur son cou et sa poitrine. Elle dirige les mains de César jusque ses fesses pour l’inciter à la soulever, changer d’angle, faire monter la pression. Son commentaire la faire rire, mêlant le sien au sien. Elle ouvre largement sa bouche le sentant au niveau de son oreille. Alors elle passe ses mains dans son cou, ses cheveux. « Ca… » Qu’elle commence, sans savoir continuer dans la foulée parce qu’elle est trop, beaucoup trop excitée. « Ca… Ca… Ca vaut tout l’argent... Tout l'or du monde… » Elle l’avait dit lors de son casting, qu’elle était là plus pour l’amour que pour l’argent. Elle ne cracherait pas sur ce dernier évidemment, mais elle a ce qu’elle désirait plus que tout. César. Qui en cet instant précis lui offre une première décharge, comme électrique. Son bassin se secoue, vibre. Alors elle se tient plus fort à lui. Elle ressert ses bras autour de lui à l’en étouffer. Elle ferme les yeux pour en ressentir les meilleures effets. « César… » Elle se secoue une deuxième fois alors même qu’elle essaie de se contrôler. Elle veut que cela dure, que cela dure tout le temps. Que ça ne s’arrête jamais comme il le lui avait souffler plus tôt. Mais elle sent que ça vient. Elle sent l’explosion imminente. « C’est beaucoup trop bon… » Qu’elle souffle, cette fois d’une petite voix limite honteuse de lui dire son plaisir. De le dire autrement que par des râles. Mais elle ne peut s’en empêcher. « Ca… vient… » Qu’elle souffle de plus bel, sentant le sept ciel lui tendre les bras. Sentant l’extase poindre en elle. Qu’elle est à deux doigts de sentir un feu d’artifice dans son bas ventre. Elle s’accroche pour que ce moment dure une éternité, mais cela lui devient de plus en plus difficile. Et la jouissance au bout de ses doigts.
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MessageSujet: Re: two intertwined bodies (lundi - 00h45)   two intertwined bodies (lundi - 00h45) - Page 2 EmptyDim 16 Déc 2018 - 8:38

Le cœur battant à tout rompre et le souffle court sous le coup d'un désir devenu écrasant, César vécut d'abord l'union de leurs deux corps comme une délivrance avant de ressentir une déferlante de chaleur s'abattre sur tout son corps qui ne faisait maintenant plus qu'un avec celui d'Anouchka. Il la serrait tout contre lui, savourait entièrement les multiples sensations que lui procurait cette alliance parfaite et maintenait son bassin au plus près d'elle pour ne pas rompre cette étreinte charnelle qu'il voulait longue et passionnée. Ses coups de reins furent d'abord tendres et lascifs, symbolisant mieux que tous les mots qu'il aurait pu prononcer combien il la désirait et voulait lui offrir cette nuit, avant de devenir plus vifs, plus appuyés, gagnés par une ardeur qui intensifiait chaque soupire qui s'échappait de ses lèvres pour venir mourir tout près de celles d'Anouchka. C'était peut être ça, la meilleure preuve de ce qu'il ressentait depuis qu'il était entré dans cette chambre et lui avait retiré sa robe. Ces va-et-viens intenses et langoureux qui enflammaient son cœur chaque fois qu'il allait un peu plus profondément en elle, répandant à l'intérieur de son corps tout ce qui avait grandi au fond du sien durant les longues minutes qui avaient précédé cette union. Quand ils s'étaient embrassés, caressés, qu'ils avaient sollicité toutes ces zones de leurs corps qui leur avaient permis de se découvrir, d'attiser le désir de l'autre, d'apprivoiser leur plaisir. Lui faire l'amour avec cette passion et cette envie assumée de lui faire du bien, c'était comme la remercier pour tout ce qui était né à partir de sa décision d'investir dans cette chambre et de le choisir, lui, pour la partager avec elle. C'était comme la remercier pour l'invitation de ce soir, pour la façon dont elle l'avait accueilli alors qu'il avait à peine passé le pas de la porte, lui faisant sentir immédiatement combien elle le voulait près d'elle. Mais c'était aussi la remercier pour ces semaines passées ensemble, à se découvrir et à se rapprocher, à faire tomber peu à peu leurs barrières et à s'avouer cette attirance qui était l'évidence même pour lui depuis leur rencontre. C'était lui dire merci de ne l'avoir jamais réduit à son handicap, de ne l'avoir jamais trouvé moins attirant à cause de ça, et de lui avoir au contraire fait sentir qu'il pouvait être un homme pour elle, un homme qu'elle laisserait la serrer contre lui, l'embrasser, et ce soir lui faire l'amour aussi longtemps que leurs corps seraient capable de le supporter. Un homme qu'elle laisserait peut être l'aimer, aussi. C'était pour toutes ces raisons et parce qu'avec elle il se sentait important aux yeux d'une femme qui l'était tout autant pour lui qu'il n'avait pas envie de compter ses efforts pour lui donner du plaisir. Il allait et venait entre ses cuisses comme si chacun de ses mouvements était ponctué d'un mot doux symbolisant ce qu'elle représentait pour lui. Il avait toujours pensé que le sexe sans sentiments n'était pas pour lui et qu'il était même mille fois meilleur quand on tenait l'un à l'autre, et il en avait une nouvelle fois la preuve ce soir avec Anouchka, alors qu'il ne faisait pas simplement l'amour à une femme qui lui plaisait depuis le départ, mais à celle qui chamboulait l'ensemble de son être chaque fois qu'ils étaient tous les deux. C'était terriblement bon, précisément pour ça. Ses soupires ne cessaient que pour laisser s'échapper des râles qu'il étouffait pour la plupart contre la peau de la jeune femme et que ses lèvres ne se lassaient pas d'explorer, de goûter, d'embrasser pendant cette danse brûlante et fougueuse. Il y eut ensuite ce moment de flottement durant lequel leurs deux corps se séparèrent, et il attendit avec impatience de pouvoir retrouver le sien. Ce fut chose faite lorsqu'Anouchka prit place au dessus de lui et les unit à nouveau dans des ondulations qui lui firent pendant un instant oublier complètement où il était. Le plaisir était revenu, et il était revenu plus fort, plus sauvage, presque caniculaire. César soupirait, exultait à chacun de ses mouvements, incapable de contenir chaque son qui s'échappait d'entre ses lèvres et qu'en vérité il avait envie de libérer, pour qu'elle n'ait aucun doute sur le plaisir qu'elle était entrain de lui donner. Les mains d'Anouchka caressaient son torse tandis que les siennes s'étaient posées sur ses hanches et accompagnaient ses ondulations, partant aussi parfois à la découverte de son ventre, de sa poitrine, de ses fesses. Il se concentrait sur sa peau qu'il sentait sous ses doigts, mais son attention était surtout accaparée par les sensations provoquées dans son bas-ventre, qui prenait feu chaque fois qu'elle allait et venait sur lui. C'était si bon. Ils s'embrassaient, mêlaient leurs souffles comme s'ils étaient l'oxygène l'un de l'autre, et échangeaient des confessions qui rendaient ce moment un peu plus précieux encore. César lui avoua l'imaginer comme étant magnifique, parce que c'est exactement l'image qu'il avait d'elle à cet instant, alors qu'elle se montrait passionnée, mais aussi muse pour lui qui se laissait complètement inspirer par sa chaleur, par la tendresse de ses gestes, par chaque son qui s'échappait de sa bouche et l'animait toujours un peu plus. Il la sentit prendre son visage entre ses mains et sourit avec douceur tout contre ses lèvres qu'il n'avait pas pu s'empêcher de retrouver. Savourant ce baiser, il fut pris d'une impulsion lorsqu'il redressa le haut de son corps pour s’asseoir sur le lit et prolonger ce moment, cette fois au plus près d'elle. Ses bras à lui l'enserraient pendant que ses jambes à lui encerclaient sa taille, alors que leurs deux corps ne cessaient de danser l'un avec l'autre. Ses râles se firent encore un peu plus puissants, il lui devenait très difficile de ne pas crier son plaisir alors que les assauts de leurs deux corps le plongeaient dans un état de plaisir de plus en plus incontrôlable. Il manquait d'air, de souffle, de force parfois quand ses muscles se tendaient et étaient pris de fourmillements. Il profita qu'elle se cambre pour embrasser son cou et y laisser mourir plusieurs soupires, avant de la sentir diriger ses mains sous ses fesses et de la soulever légèrement, accompagnant les mouvements de son corps contre le sien pour la pénétrer encore un peu plus profondément, repoussant les limites de son propre plaisir alors que ses lèvres étiraient un sourire heureux et troublé par son aveu. « J'ai tellement de chance... » Il souffla entre deux soupires plus appuyés, plus audibles, qui trahissaient le trouble qui s'était fermement installé en lui depuis déjà plusieurs minutes. Une nouvelle vague de plaisir, implacable, le submergea au moment où il l'entendit souffler son nom, et il la serra fort contre lui alors que chaque partie de son être ne demandait déjà plus qu'à laissait exploser tout ce qui débordait à l'intérieur de lui à mesure qu'ils prolongeaient cet instant délectable. Il pouvait sentir son corps se secouer et le sien être pris de sursauts à son tour, alors qu'un râle beaucoup plus rauque quitta ses lèvres. «  Je... » Il expira à ce moment-là, intensifiant les élans de leurs deux corps qui menaçaient de rompre à tout instant. Ses idées s'embrouillaient, sa gorge devint sèche et un long frisson parcourut l'ensemble de son corps. « Je le sens aussi... » Sa voix en suspend, son visage déformé par l'appel de la jouissance et le cœur au bord de la rupture, il se contracta une dernière fois pour rallonger de quelques secondes la sensation de leurs deux corps unis. Il le sentait, la jouissance ultime n'avait jamais été aussi proche. Elle était là. « Anouchka... » Il eut à peine prononcé son prénom qu'un spasme le secoua des pieds à la tête lorsque son bas-ventre s'enflamma une dernière fois, ses lèvres laissant échapper un cri long et grave, délicieusement irrépressible. Il jouit le temps d'un orgasme surpuissant, qui agita son corps de multiples soubresauts et transcenda chaque partie de son être tandis qu'il sentit l'intimité de la jeune femme se resserrer autour de son sexe. Une décharge d’adrénaline se rependit à travers tout son corps et il laissa ses dernières forces l'abandonner au moment de se laisser retomber en arrière tout en la serrant toujours, retombant le dos contre le matelas alors qu'elle était allongée contre lui. « C'était... c'était incroyable. » Il souffla, la respiration saccadée et les yeux rouverts et illuminés d'une lueur qui ne lui rendrait pas la vue mais témoignait parfaitement des émotions par lesquelles il venait de passer. Des émotions folles, fulgurantes. Il profita des dernières sensations qui se dissipaient à travers tout son corps, et alors qu'il ne l'avait pas séparé du sien. Il les désunit avec douceur, cherchant son visage pour retrouver ses lèvres et les embrasser avec tendresse, maintenant que la passion avait laissé place à une intimité différente. « Je n'aurais pas pu rêver d'une plus belle nuit que celle-ci, avec toi... » Il lui sourit doucement, l'embrassa à nouveau et déposa son visage dans son cou pour respirer son odeur un long moment. Il sentait son corps nu et en sueur contre le sien, et se rendait compte à quel point le fait de ne rien voir pouvait décupler le plaisir et ses sensations. « Il y a quelque chose qui te ferait plaisir maintenant... ou tu as juste envie de te reposer ? J'ai l'intention d'aller nulle part. » Il reprit, doux et malicieux, laissant les doigts d'une de ses mains glisser contre son dos tandis que la seconde se mit à tâter le lit pour attraper un bout du drap et recouvrir leurs corps pour en garder la chaleur.
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MessageSujet: Re: two intertwined bodies (lundi - 00h45)   two intertwined bodies (lundi - 00h45) - Page 2 EmptyLun 17 Déc 2018 - 23:24

Finalement ça se passe. Ça se passe même mieux que dans ses rêves les plus fous. Parce qu’elle le rêvait doux, tendre, sensible. Evidemment il l’est, mais il est aussi fougueux. Passionné. Fiévreux. Quand il la prend. Quand il la caresse. Quand il l’embrasse. Quand sa respiration vient fouetter sa peau. À l’image de son entrejambe venant en elle. Il n’est pas violent. Il est simplement parfait. Parfait pour la faire réagir. Et pour la faire jouir. César lui souffle qu’il a beaucoup de chance. Il ne peut se rendre compte à quel point c’est la même chose pour elle. Qu’elle se sent chanceuse de le voir entrer dans sa vie. Et si à chaque fois qu’un homme arrive dans sa vie elle a ce même optimisme, cette fois c’est encore différent. Parce qu’elle sait que ce n’est pas un connard. Qu’il ne la considérerait pas comme une simple poupée. Qu’elle est déjà un peu plus dans son cœur. Et sans savoir mettre des mots là-dessus, lui aussi a une place spéciale dans le sien. Alors faire l’amour avec lui tout en y pensant, la fait métaphoriquement monter aux rideaux. Elle ressent une première vague de plaisir. Qui lui secoue le corps et plus encore l’esprit. Sans parler de son cœur qui semble ne plus vouloir s’arrêter de s’emballer. Il bat fort contre sa poitrine, qui se soulève elle aussi. Alors elle se colle plus à lui. Elle susurre son prénom. L’encourage à aller plus profondément en elle. Et n’hésite pas à le lui dire, que ça vient. Qu’elle se sent au bord de l’implosion. Qu’elle ne tardera plus à éclater, sa voix avec en un râle de plaisir. Mais ce qui l’excite plus encore, qui la fait craquer, c’est de savoir que lui aussi. Que lui aussi il est en train de jouir. Que cela se fait ensemble, en même temps. Qu’ils atteignent le point culminant de leur ébat en même temps. Il prononce son prénom et c’est la nouvelle délivrance. La première étant d’unir son corps au sien, la deuxième est de sentir cette submersion de plaisir, cette secousse. De souffler, de râler en même temps que lui. Elle colle alors son front au sien en l’attrapant par le cou aussi tendrement que fougueusement. Et elle sent le corps de César comme le sien, fiévreux, secouer par le même bord. Elle ferme les yeux et elle profite. Profite une dernière fois de ses vas et viens en elle. Avant de se retrouver emportée en avant tandis qu’il s’allonge. Essoufflée, elle reste accrochée à lui quelques instant posant son menton sur le haut de son torse. Ses lèvres toutes proches des siennes. Il clame que c’était incroyable. Alors tout doucement elle passe un main sur son front pour le caresser tout doucement. Sa main tombe sur ses joues. « Ça l’est toujours… » Qu’elle souffle, faisant référence au temps employé. L’incroyable n’est pas à conjuguer au passé en ce moment même pour elle. Il est bien au présent. Alors qu’il est toujours en elle. Et soudainement et alors qu’elle approchait ses lèvres des sienne pour les embrasser, elle se perdit dans le bleu de ses yeux. Elle savait qu’ils étaient beaux quoiqu’ils aient, mais elle avait la sensation d’y voir se refléter dedans une expression. Une petite chose qu’il n’avait pas habituellement. Elle ne lui dit rien, se contentant de lui caresser encore et toujours le visage. Son palpitant se calmant et son corps quittant le sien. Elle reste tout de même allongée sur lui, leurs lèvres et langues s’entremêlant tout de même quelques secondes. « Je ne regrette vraiment… Vraiment pas d’avoir obtenu cette pièce… » Même au prix fort. Et elle se dit que s’il avait fallu, elle aurait vidé sa cagnotte entièrement. Anouchka le sent se poser tout contre son cou. Elle sourit béatement, sans corps frissonnant à sentir son souffle contre sa peau. Ses doigts caressant doucement le sien de cou. Il lui demande ce qu’elle voulait faire. Ou ne pas faire. Elle sourit tendrement. « J’ai juste envie d’être avec toi… » Qu’elle lui répond simplement, avant de sourire un peu plus largement. « Laisses moi juste me remettre de mes émotions… » Qu’elle reprend, sentant alors un drap les entourer comme tombant miraculeusement bien au moment où elle commençait à frissonner. Alors que leurs deux corps perdaient en température. Et que d’émotion… Cette nuit était parfaite. Peu importe l’heure à laquelle elle allait se coucher. Peu importe ce qui se passerait ensuite en vérité, elle voulait rester là. « J’ai la sensation que l’on est seul au monde… Ca serait tellement bien si ça pouvait être le cas… Même rien qu’une nuit… » Qu’elle souffle avant de poser ses lèvres sur la peau de César. Elle aimerait tellement être certaine qu’en sortant de la chambre, elle n’aurait pas à affronter le regard des autres. Non pas qu’elle ait honte de ce qu’ils viennent de faire bien au contraire. Mais cette intimité entre eux deux, parfaitement commencée, lui donne envie de le garder pour elle le plus longtemps possible. Elle est personne d’autre. Parce qu’elle est vraiment, vraiment bien tout contre lui. Lovée dans ses bras. Dans le creux de son cou. D’ailleurs elle pose sa tête contre ce dernier. « Est-ce que ton tatouage… À une signification ?... » Qu’elle lui demande doucement, l’ayant remarqué alors tout à l’heure lorsqu’elle l’embrassait dans le cou… Mais trop occupée à ce moment-là pour le lui demander. Sans lui dire quoique ce soit elle lui prend la main. Elle prend plus particulièrement son index pour le poser contre son dos comme elle le peut. Et puis comme elle le peut aussi, elle le guide, tout doucement, jusque su la naissance de ses fesses. Elle sourit doucement. « Moi je n’ai pas de tatouage mais j’ai une tache de naissance… Je crois qu’elle ressemble à un nuage… » Qu’elle dit d’une voix enchantée et rieuse. Avant d’ajouter. « Ou un mouton sans pattes ! » Elle rigole. Parce qu’elle se doute qu’il voit parfaitement ce qu’elle veut dire, malgré qu’il ne puisse le voir de ses propres yeux. Finalement elle porte ses yeux sur une porte justement dans la chambre, autre que celle qu’ils ont emprunté pour entrer. Elle l’observe un instant ce questionnant sur ce qui se cacher à l’intérieur. Avant de sourire. « Je crois que l’on a même une salle de bain pour nous… Si tu veux on peut prend un bain ou une douche… Je ne sais pas toi mais… J’ai un peu trop transpirée… » Qu’elle souffle l’air de ne pas y toucher. Malicieusement.
César

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MessageSujet: Re: two intertwined bodies (lundi - 00h45)   two intertwined bodies (lundi - 00h45) - Page 2 EmptyMer 19 Déc 2018 - 8:32

César était sincère lorsqu'il disait avoir de la chance, parce qu'il y a encore quelques heures il n'aurait jamais imaginé qu'il se retrouverait dans cette chambre, avec elle, à faire l'amour et à se consumer un peu plus à chaque mouvement de son corps tout contre le sien. Il n'avait jamais eu besoin de voir Anouchka pour se sentir attiré par elle, et à cet instant il n'avait pas non plus besoin de la voir pour l'imaginer réagir à chacun de ses gestes, de ses baisers et de ses caresses, là où chaque soupire qu'elle laissait échapper lui donnait déjà une idée d'à quel point ce moment lui était profondément agréable à elle aussi. C'était une chose difficile à imaginer pour quelqu'un qui voyait, mais un aveugle avait besoin de se sentir pleinement en confiance dans les bras d'une personne pour réussir à se désinhiber complètement et à lui faire une place au plus profond de son intimité, et c'est ce qu'il éprouvait ici avec Anouchka. Parce qu'il se sentait bien auprès d'elle, et qu'il savait que cette nuit représentait autant pour elle que ce qu'elle pouvait représenter pour lui. La consommation d'un désir qu'ils avaient cultivé au fil de leurs échanges et tout particulièrement la semaine dernière, lorsqu'ils étaient dans sa chambre et que César avait mesuré combien il tenait à elle. Il n'aurait pas pu se rendre dans cette chambre avec une autre, et avoir le sentiment qu'il en allait de même pour la jeune femme était profondément précieux, et il essayait de l'exprimer dans chaque caresse de sa main contre sa peau, dans chaque baiser que ses lèvres offraient aux siennes et dans chaque impulsion de son bassin. Il voulait lui faire du bien, rendre cette nuit inoubliable pour plus d'une raison et faire qu'elle s'en rappelle quand elle fermerait les yeux pour s'endormir et les ouvrirait demain matin, mais plus que ça il voulait partager quelque chose d'extrêmement fort et symbolique avec elle. Et fort, ça l'était de plus en plus à mesure qu'il sentait son plaisir exploser et son corps être envahi de sursauts et de frissons qu'il n'avait aucun moyen de contrôler. Ses va-et-viens s’intensifièrent une dernière fois avant qu'il se sente partir, être arraché un court instant à cette réalité pour atterrir dans un endroit où tout n'était plus que jouissance et délectation. L'orgasme agita une dernière fois leurs deux corps qui retombèrent l'un contre l'autre, son dos à lui ayant retrouvé le matelas pendant qu'il essayait de reprendre sa respiration et de faire progressivement redescendre la température de son corps. Anouchka était tout contre lui et il ne s'était plus senti aussi bien depuis longtemps. Elle avait raison, ce moment était aussi incroyable que ceux qui l'avaient précédé. « Bien sûr que ça l'est toujours. » Il souffla dans un sourire tendre, tout contre ses lèvres auxquelles il ne pouvait pas s'empêcher de goûter pendant qu'il sentait ses mains à elle lui caresser le visage. Il mesurait maintenant qu'il avait les idées un peu plus claires à quel point cette nuit toute entière était précieuse, simplement parce qu'il la passait avec elle et que ce qu'ils écrivaient ensemble ce soir valait plus que tout l'argent qui aurait pu être économisé quelques heures plus tôt. « Moi non plus, je ne le regrette pas... Cette intimité, je crois que j'en ai rêvé le soir où on était dans ta chambre et qu'on s'est embrassés pour la première fois. » Il reprit tout bas, après un baiser tendre et langoureux qui avait réveillé certaines sensations tout au fond de lui. Il sentit ses caresses contre son cou pendant que sa propre main s'évadait un instant dans ses cheveux, encore si lisses et si doux au toucher. Il lui demanda ce qu'elle avait envie de faire, prêt à lui accorder tout ce qui pourrait la combler, et ses lèvres étirèrent un sourire infiniment doux. « Repose-toi autant que tu en as besoin tant que tu restes dans mes bras. » Il la serra un peu plus fort, l'une de ses mains posée sur son dos contre lequel ses doigts allaient et venaient doucement, dans des caresses qu'il laissait parfois descendre jusqu'à ses hanches qu'il avait presque l'impression de connaître par cœur. « Pour moi c'est comme si on l'était, comme s'il n'y avait que toi, moi et cette chambre que je n'ai aucune envie de quitter. Je sais que tu seras probablement déjà levée demain matin quand j'ouvrirai un œil, mais... » Il sourit de façon plus malicieuse au moment où il sentit ses lèvres se déposer sur sa peau. « Si je m'écoutais, je crois que je ne te laisserais plus jamais repartir. » Il rit doucement, parce que même s'il n'était pas très sérieux il donnerait tout pour rallonger le temps et la garder un peu plus longtemps auprès de lui, dans cet endroit qui lui faisait vraiment l'effet d'une bulle dans laquelle ils étaient seuls pour encore quelques heures. Il la sentit déposer sa tête dans le creux de son cou et remonta sa main le long de son dos pour passer son bras autour de ses épaules. Elle remarqua son tatouage et ses lèvres s'étirèrent dans un sourire plus large, parce qu'il en viendrait presque à l'oublier depuis qu'il ne voyait plus son reflet mais que ça avait beaucoup d'importance pour lui qu'elle ressente l'envie de le questionner là-dessus. « Il en a une, oui. Je l'ai fait faire quelques temps après mon accident, lorsque je traversais une période assez difficile et que j'avais besoin de me retrouver dans quelque chose qui aurait du sens pour moi... » Et ça en avait beaucoup, c'est pour ça qu'il était heureux de pouvoir partager ça avec elle. « Le croissant de lune représente le passage de l'obscurité à la lumière, la lueur qu'il peut parfois y avoir dans les ténèbres. C'est un symbole d'espoir, mais aussi quelque chose de mystérieux, de rassurant et de romantique... J'ai choisi le cou parce qu'il fait le lien entre le cœur et le cerveau. » Et que c'était une chose qui avait eu son importance au moment où il avait décidé de se faire tatouer à cet endroit, elle comprendrait peut être pourquoi, même si ça lui plaisait aussi qu'à défaut de pouvoir voir son propre tatouage, les autres puissent s'interroger sur sa signification. Comme Anouchka à cet instant, qui saisit bientôt sa main pour la déposer contre son dos. Il ne dit rien et se laissa faire lorsqu'elle l'attira jusqu'à sa chute de reins, la caressant du bout des doigts avant que son sourire ne s'étire lorsqu'elle lui confia posséder une tâche de naissance, et pas n'importe laquelle. Il émit un rire doux. « Elle doit être adorable, cette petite tâche. J'aurais adoré la voir, mais j'arrive aussi très bien à l'imaginer. » Grâce à la description qu'elle lui en avait faite, mais aussi et surtout parce que tout ce qui lui permettrait de mieux se représenter Anouchka était infiniment précieux pour lui. « Un nuage et un croissant de lune... » Il reprit tout bas, ses doigts caressant toujours sa peau. « Tu crois qu'on était faits pour se rencontrer ? » Son sourire s'étira avec douceur et malice, parce qu'il aimait cette image d'une rencontre au milieu des cieux, entre deux éléments naturels qui avaient beaucoup plus en commun que de différences. Un nuage évoluait toujours vers quelque chose de plus grand, d'imprévisible, quand un croissant de lune donnait naissance à une lune pleine, parfaitement éclairée. Anouchka mentionna finalement la salle de bain dont la présence lui avait presque échappé jusqu'ici, et l'expression de son visage redevint malicieuse et pensive. « Puisqu'on est tous seuls, profitons-en pour prendre un bain... » Il proposa avec envie, parce que l'idée le séduisait et qu'il savait que ce serait peut être plus compliqué de prendre ce genre d’initiatives dans la salle de bain commune où se baigner à l'abri des regards des autres ne seraient pas évident. « Viens. » Il saisit doucement sa main au moment de se redresser et de quitter le lit avec elle, sachant très bien qu'ils le retrouveraient tout à l'heure et auraient tout le temps de s'y étreindre paisiblement. Une main devant lui, il la laissa le guider jusqu'à la porte de la salle de bain qu'il poussa avant d'identifier les différents composants de celle-ci. Une vasque, des rangements, et ce qui ressemblait à une immense baignoire. « Je vais faire couler l'eau et tu n'auras qu'à me dire quand il y en aura assez. » Et laissant sa main détailler la baignoire, il devina la forme d'un pommeau de douche et alluma le jet d'eau qui commença à la remplir. « En attendant... » Il se redressa pour faire un pas dans sa direction avant de l'attirer contre lui, ses bras l'enserrant doucement pendant que ses lèvres venaient lui offrir un nouveau baiser. Il réalisa à ce moment-là qu'ils étaient encore nus, et laissa ses mains glisser stratégiquement le long de sa chute de reins de façon à la protéger si une caméra avait été cachée dans un coin de la chambre. Le reste de son corps étant naturellement caché par le sien.

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