A peine levée je me retrouve dans la salle de bain. C'était pour moi devenu une habitude, c'est un peu comme-ci une routine était en train de naître. Ça ne faisait pourtant que trois semaines, à peine que nous étions dans le nid d'amour de Cupidon, mais faut croire que c'était suffisant pour s'y habituer, s'y accommoder en quelque sorte. Parfois, je changeais l'ordre et j'allais prendre mon petit déjeuner au soleil sur la terrasse avant de passer sous la douche. Il était midi, mais j'avais toujours la tête dans le cul pour parler poliment, comme-ci il me fallait plus de vingt-quatre heures de sommeil pour avoir une tronche à peu près potable. Je m'en fichais royalement de ce que les autres pensaient, le physique c'était pas ma priorité, je pense qu'ils avaient dû le comprendre. Je ne m'étais pas couchée très tôt hier soir, effectivement, le soirée avait duré et j'avais longuement discuté avec quelques camarades. La nuit avait donc été courte et la première épreuve du matin n'avait pas été des plus faciles : trouver mes serviettes. J'avais finalement les serviettes sous mes bras et je traverse donc le couloir qui relie les chambres à la salle de bain. La salle de bain était commune, j'étais désormais habituée. Cela ne me posait pas vraiment de problème, je ne suis pas pudique. Mais bon, il y a des limites à tout. Me doucher nue, c'est d'accord, mais me promener nue sans raison dans la baraque c'est différent. Je ne suis pas là pour montrer mes formes. Et puis il n'y a pas grand-chose à voir, les habitants risquent d'être déçus par ma petite poitrine en particulier. J'ouvre donc la porte de salle de bain, j'étais a priori seule, à moins que quelqu'un se cache dans la douche. Je m'en fichais pas mal, c'était l'heure des douches, donc ça ne m'étonnerait pas plus que ça. Je pose ma serviette, donc, sur le bord du lavabo et par la même occasion, je fais tomber tout un tas de produits de beauté, ce qui fit un bruit monstre. «oh merde!» Je soupire. Il y avait des crèmes de tous les côtés, c'était limite invivable, les gens ne savent pas ranger, fais chié. Je me penche donc pour ramasser, ça me prend trente secondes, mais trente secondes qui suffisent à me mettre en colère.

Il est midi tout juste lorsque je décide qu'il est grand temps de prendre une douche après avoir avalé un excellent petit déjeuner composé de trois tartines beurrées et d'un verre de jus de pomme. Commencer la journée propre est une condition indispensable afin d'entame la journée dans les meilleures dispositions possibles, aussi je chantonne en grimpant les escaliers. J'enfile rapidement un maillot -car j'estime que les milliers de téléspectateurs n'ont pas à connaître ma plastique- avant de pénétrer dans le petit renfoncement prévu à cet effet. Je ne prends cependant pas la peine de rabattre le morceau de plastique, allant même jusqu’à me débarrasser de mon haut de maillot avant de le poser sur le pommeau de la douche, me tournant dans un coin pour éviter que les écrans se braquent sur ma nudité temporaire. Ca fait du bien, mine de rien. Je verse du shampoing au creux de ma main, la glissant dans ma crinière blonde, lorsqu’un bruit sourd se fait entendre tandis que je m’apprête à siffloter paisiblement, faisant mousser le produit en frictionnant mes cheveux. Zut, zut, rezut. Fille, garçon ? Pas un mec, par pitié. « Oh merde », tu l’as dit ! Je tâtonne maladroitement afin d’attraper mon haut de maillot, barrant ma poitrine à l’aide de mon bras, ouvrant les paupières pour me retrouver aveuglée par le shampoing qui me pique les yeux. Je pousse un petit gémissement de douleur, me servant finalement de mes deux bras pour tenter de dénicher le pommeau afin de faire couler sur mon visage l’eau salvatrice qui me redonnera la vue et apaisera mon mal. Mais en attendant, je souffre le martyr en jurant entre mes dents. « Punaise ! T’es où ? » Oui parce que pour moi, c’est ça jurer. Je continue à battre des bras dans l’air comme une idiote, ne me souciant plus des caméras qui peuvent capter ma poitrine à travers les écrans, rencontrant finalement quelque chose d’autre que le mur. Cela dit je me rends rapidement compte qu’il ne s’agit pas de la douche mais de l’autre personne certainement venue à ma rescousse, aussi je plaque à nouveau mes mains sur mes petits seins, les yeux fermés et le visage crispé. J’ai sûrement l’air très très maligne là, tout de suite. Je me tourne vivement de l’autre côté, trouvant finalement ce que je cherche, ouvrant le robinet à la hâte. Un jet d’eau jaillit du pommeau en direction de la demoiselle qui n’est pas encore entrée dans la douche mais qui n’a sûrement pas eu le temps de s’écarter étant donné que ma petite aventure n’a pas du durer plus de vingt secondes, ce que j’ignore totalement puisque je suis toujours aveugle. Et au lieu de me rincer les mirettes, l’objet glisse entre mes doigts tant je le saisis avec maladresse, me laissant dans l’obscurité et le tourment. Décidément, ce château ne m’aime pas, vraiment pas.

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J'avais enfin ramassé les crèmes, je les avais sûrement remis en vrac, mais j'avais aucune idée de comment elles étaient à mon arrivée et puis j'ose espérer que les concernés seront retrouver leur crème. Sinon ça leur apprendra à tout laisser traîner. Il y avait des caméras dans la salle de bain, évidemment, l'idée de ne pas en mettre dans l'endroit le plus intime de la maison après les toilettes ne serait pas venue à Cupidon voyons. Il ne faudrait pas en louper une miette, ce sont les téléspectateurs qui vont s'en faire une joie. Enfin, une joie.. ça n'était pas vraiment le mot. J'ai du mal à penser qu'on puisse se faire plaisir rien qu'en regardant trente secondes une nana à poil entrer dans la douche et vice et versa pour un mec, ça marche dans les deux sens évidemment. L'avantage c'est qu'on était tous à peu près bien foutu... après, j'imagine que je n'étais pas la plus convoitée niveau forme, tu connais? Je ne sais d'ailleurs pourquoi j'étais en train de penser à ça... probablement car je n'avais rien d'autre à penser tout en me déshabillant. J'avais pour habitude d'enlever le haut et le bas sous la douche, question d'intimité sans doute, je ne sais trop. Un bruit de jeune fille en détresse m'interpella et je compris qu'il y avait quelqu'un sous la douche. Je me tourne et en effet, je tombe nez à nez face à une candidate, qui a priori souffrait sur mal de ses yeux. Pas étonnant vu la tonne de mousse sur son visage. Bien gentiment, je lui tends une serviette, histoire qu'elle s'essuie correctement le visage et qu'elle se décrispe. Ça me fait sourire. J'en profite par la même occasion d'entrer dans les douches. Il y avait exactement quatre pommes de douches, mais la superficie de la douche pouvait bien accueillir dix personnes. À chaque fois que je rentrais dedans ça me faisait penser aux douches des piscines municipales. Je commence par en allumer une. Je m'enlève rapidement de dessous quand je sens l'eau froide dans le bas de mon dos, puis, une fois l'eau chaude arrivée, je me mets entièrement dessous ayant pris soin d'enlever mes sous-vêtements. Je crois qu'entre nous deux, elle était la plus gênée. Fallait pas. Je regarde plus attentivement son visage et je reconnais la candidate. Ce qui me vient en tête à l'instant même c'est tout simplement lors de l'avant dernier prime. Elle avait été témoin d'une scène plutôt.. interrogatrice et avait été pris dans un engrenage. «remise de l'avant dernier prime?» c'était plutôt temps que je m'en inquiète. À vrai dire c'était plus pour engager la conversation. J'arrête le jet d'eau et prend le premier flacon de shampoing. «rassures moi, tu n'as pas de problème avec la nudité?» je lui pose cette question suite à sa façon de me regarder. Je ne sais pas si c'est qu'elle est étonnée, choquée ou autre chose, mais ça m'intrigue.

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Mes doigts s’accrochent à la serviette telle une bouée de sauvetage que l’on me jette au milieu de l’Océan, et c’est limite si je n’entraîne pas la demoiselle dans mon élan. Je m’essuie frénétiquement le visage plein de mousse, éprouvant de grandes difficultés à ouvrir les yeux puisque le mal est fait, mais au moins je peux désormais attraper le pommeau de douche qui gît sur le sol après m’être débarrassé de la serviette salvatrice, soupirant sous le jet qui me soulage de la douleur. Oh mon dieu, je n’ai jamais été aussi heureuse d’être trempée. « Merci . . . » Je lâche dans un souffle, parce qu’elle vient tout de même de me sauver la vie. Mais en attendant j’ai perdu mes deux lentilles dans la bataille. Aussi j’ai bien du mal à identifier la demoiselle qui se tient devant moi, l’observant d’un drôle d’air, peut-être un peu trop fixement. Finalement j’attrape mon haut de maillot avant de le remettre en place, les joues légèrement rosés, mais toutefois soulagée de ne pas avoir été confronté à un candidat masculin. Après tout j’imagine qu’elle a du en voir d’autres, des planches à repasser. Elle m’interroge sur le prime durant lequel ma robe a été lâchement attaquée par l’estomac de Santiago, aussi je ne peux m’empêcher de laisser échapper un rire en me remémorant ce désagréable moment. Va-t-on me caractériser de la sorte, comme la victime du vomi de l’abject barbu ? « Ca va, sur le moment ça ne me paraissait pas très amusant mais en y repensant . . . » Ce n’est pas moi qui ai appris que le garçon avec lequel je viens d’avoir une aventure entretient une relation incestueuse avec son frère. Ca aurait pu être pire. Sa voix m’a en tout cas permis de mettre un nom sur ce visage flou, il me semble bien que la jeune femme se nomme Katell, en couple avec Sami. J’ai bien étudié ma leçon voyez-vous, je me suis tracée un tableau récapitulatif des différents candidats et de leur association. Finalement je suis assez fière du résultat, puisque je parviens assez bien à me remémorer chacun d’entre eux. « Et toi, ton aventure se passe plus calmement ? » Parce que je ne suis pas Big Brother, mais si ça se trouve elle a vécu des choses plus terribles qu’un peu de steak digéré sur ses vêtements. « Ton partenaire n’est pas trop exaspérant ? » Je lui demande en souriant, me rinçant les cheveux. Parce que j’ai cru noter que certaines personnes n’étaient pas particulièrement friandes de leur binôme. Je me tourne vivement lorsqu’elle m’interroge sur sa nudité, plissant les paupières pour tenter d’y voir plus clair. A vrai dire je n’avais même pas remarqué ce détail malgré sa proximité, mais elle a sans doute pris mon regard de myope pour un regard réprobateur. Je ris légèrement, toutefois un peu gênée par la question. « Oh non non ne t’inquiètes pas, c’est comme si tu avais des petits carrés pour cacher la nudité étant donné que je viens de perdre mes lentilles . . . » Je lui confie en esquissant une grimace. « C’est davantage ma propre nudité qui me dérange plutôt que celle des autres, en vérité. » Ce qui explique que j’ai désiré remettre mon maillot. « Mais de toute façon j’imagine que c’est inévitable dans une émission comme celle-là ! » Je ne suis pas assez naïve pour croire que personne n'apercevra un bout de sein ou de fesse durant ces longues semaines. Je suis douée pour me dissimuler aux yeux des candidats, mais tout de même.

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Je regarde la candidate se démener avec la serviette. Avoir de la mousse dans les yeux était effectivement assez désagréable et malgré tout, j'avais un peu de peine concernant la belle blonde. D'autant plus que cette dernière n'avait pas l'air très à l'aise, les caméras y étaient sûrement pour quelque chose... je savais qu'ici tout le monde n'était pas aussi décontracté à l'idée de se déshabiller pour prendre une douche. Écoutez, personnellement ça ne me faisait ni chaud ni froid. Je ne m'exposais pas non plus, du moins pas comme certains. En gros, je ne changeais pas mes habitudes. Pas pour une émission, et puis quoi encore? Prendre une douche avec un maillot de bain, il n'y avait rien de plus gênant, je vous assure. Mais à la fois, je comprenais cette pudeur. Tout en continuant de me masser les cheveux, la jeune candidate me questionne sur mon parcours jusqu'à présent. Sans ouvrir les yeux, je lui réponds machinalement. [color=#C3B976]«ça dépend ta définition du mot calme.» puis j'enchaîne sans vraiment lui laisser le temps d'y répondre. «mais d'un point de vue purement objectif, je peux m'estimer chanceuse de ce côté-là.» Chanceuse n'était peut-être pas le terme exact. Quoi que.. dans l'émission, ne pas se faire vomir dessus pouvait être considéré comme de la chance, tout simplement. C'était tellement dénué de sens que dans le fond ça en devenait presque habituel. «quant à mon partenaire ce n'est pas l'homme parfait, mais l'entente est au rendez-vous.» Je ne comptais pas m'étendre sur le sujet, bien que je n'en tirerais que du positif, j'avais pour habitude de ne pas parler dans le dos des gens, que ça soit en bien ou en mal. Sami je l'aimais bien, très bien même, mais ça en restait là. Je savais que je finirais pas mes jours avec lui, c'était pas un homme pour moi, mais c'était un bon pote et c'était déjà beaucoup. «et toi.. Daphnis c'est ça?» Je ne sais pas comment j'ai retenu ce nom, ni même ce couple, mais je l'avais sorti et j'étais pratiquement sûre de moi. C'était tout de même assez rare que je retienne les couples, mais finalement je crois que ça commençait à rentrer. Pas trop tôt après deux semaines de jeu... j'étais en tain de me rincer le corps quand cette dernière m'annonça qu'elle venait de perdre ses lentilles. Les lentilles c'est bien pratique, mais bon dieu ce que ça pouvait causer comme dégât quand on les perdait. Je n'étais pas concernée, je ne portais ni lunettes, ni lentilles, mais mon père en revanche a connu ce genre de situations. «c'est pas comme-ci une paire de lentilles s'était donné.» dis-je naturellement. C'est vrai que ça coûtait horriblement cher. Je me penche alors essayant de regarder autour de ses pieds, mais avec l'eau qui coulait, c'était à prévoir, elles étaient réellement perdue. «mais alors là, c'est réellement peine perdue, elles ont dues être attirées par la tuyauterie, j'espère que tu as une paire de lunettes» ou une autre paire de lentille dans le meilleur des cas. J'arrête l'eau, je prenais pratiquement deux voire trois douches par jour, alors j'évitais d'y rester plus d'un quart d'heure à chaque fois. Et puis, même chez moi j'y restais pas bien longtemps. J'attrape une serviette où j'enroule mes cheveux dedans et une autre où j'enroule mon corps. «au nombre de caméras dans le nid d'amour, il est effectivement difficile de cacher ses parties intimes.» je réfléchis.. il n'y avait bien que les toilettes où il y avait aucune caméras.. et encore, je n'étais pas sûre de moi. «à moins de passer son aventure aux toilettes.» J'entends par là, se déshabiller aux toilettes, se changer aux toilettes, se nettoyer aux toilettes, enfin des choses quasiment impossible en soit. «après, il y a des règles et t'en fais pas, s'ils doivent passer des images provocantes de candidats très peu vêtu, ils ont des stocks.» et nous serons surement pas concerné. Du moins je l'espère... je ne faisais pas ça pour être affichée nue devant des milliers de téléspectateurs.

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La jeune fille m’affirme passer un début d’aventure tout ce qu’il y a de plus normal, pas d’évènements particuliers à l’horizon. Tant mieux pour elle, d’autant plus que son partenaire n’a pas l’air d’être très difficile à supporter comme elle me le confirme. Je souris à sa remarque, l’homme parfait n’existe pas de toute manière. Elle me retourne la question, osant un prénom. « C’est ça ! Il m’a bien peloté les fesses le premier soir, mais je crois vraiment que c’était involontaire. » Je ris un peu, m’essuyant le menton. « Mais ça se passe plutôt bien je dois dire, il n’est pas très contrariant. » Non en fait il a été plutôt sympa dans nos divers échanges, et ça m’embêterait vraiment de le voir quitter le château à la fin de la semaine. Le pauvre est nominé chaque fois désormais, comme une sorte de fatalité répétitive. «c'est pas comme-ci une paire de lentille c'était donné.» Je hoche la tête, esquissant une petite moue. Elle a raison, c’est vraiment cher ces bêtises, et heureusement ce ne sont que des mensuelles et non des annuelles. Il vaut mieux pour moi, étant donné la dose de chance que je me paie depuis mon arrivée. Entre l’oiseau qui m’attaque, les monstres marins qui me piquent les pieds dans le lac, le grain de sable dans l’œil, le vomi sur la robe, le départ de feu dans la cuisine . . . je n’ai pas beaucoup de réussite dans l’émission. « Ca fait deux fois que je les perds en fait . . . je crois que je suis vraiment maudite. » La première fois ayant été dans le labyrinthe alors que j’étais complètement perdue, l’oiseau pré-cité m’ayant volé dans les plumes –si je puis dire-en entraînant une réaction un peu trop véhémente, une mèche de cheveux dans le blanc de l’œil, et la perte d’une lentille. « Heureusement que j’avais amené le stock ! » Je précise en arquant un sourcil. Deux boîtes complètes, de quoi tenir encore quatre mois en soustrayant celles déjà utilisées, soit bien plus que l’émission toute entière. Mais à cette allure là, rien n’était certain. Enfin, j’ai toujours ma magnifique paire de lunettes, au pire. Je termine de me laver en même temps que la jeune femme, attrapant à mon tour une serviette propre dans laquelle je m’enroule après avoir essoré mes cheveux, les laissant libres retomber sur mes épaules. Je me frictionne le corps tout en l’écoutant, riant brièvement lorsqu’elle fait allusion aux candidats qui se bécotent déjà dans les coins du château. « Tu crois qu’il y en a tant que ça ? Peut-être que si cette semaine personne ne se dévoue ils seront en pénurie de nudité et montreront le bout de nos seins . . . » Je prends un air faussement effrayé, puis me mets à rire en ouvrant ma serviette comme si je m’apprêtais à dévoiler ma chair, sauf que j’ai remis mon maillot de bain. Puis je la replace en la nouant autour de moi, observant mon reflet dans le miroir, faisant dévier mon regard sur la jeune femme. « Dis-moi, tu es célibataire ou . . . pas ? J’ai remarqué que quelques candidats étaient déjà mariés, veufs ou en couple. » Et si c’est le cas de la demoiselle, cela écarte une raison pour expliquer sa présence à FAKE LOVER.