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Khadija

Khadija
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MessageSujet: 25.01 - 15.30 , i hold the lock, and you hold the key.   25.01 - 15.30 , i hold the lock, and you hold the key. EmptyLun 25 Jan 2016 - 10:31

I HOLD THE LOCK
AND YOU HOLD THE KEY

@enola
Plus l’aventure avance, et plus le temps irlandais se rafraichit. On se les gêle, mais quelque chose de violent. Dehors, emmitouflée dans une grosse écharpe qui ne laisse dépasser que l’arrête de son nez, Khadija tente d’allumer sa clope avec des gants. Hors de question de sortir ses mains de là, elle serait prête à aller demander de l’aide autour d’elle plutôt que d’exposer ses doigts au gel. Même l’air qu’elle souffle au travers la laine de son écharpe dessine dans l’atmosphère une buée blanche. Le briquet craque enfin et, comme une camée en manque d’acide, elle aspire la fumée à fond pour que le bout de sa cigarette prenne feu. Amen. Le visage d’Enola lui apparaît entre les arbres, ses pas crissant contre l’herbe gelée. Elle sourit et lui adresse un signe de la main, lui proposant une clope quand elle arrive à sa hauteur. — J’ai mis trois plombes à allumer la mienne, je te laisse gérer, dit-elle en lui tendant le briquet. Elle ne sait plus si Enola fume ou non. Elle repense à leur dernière discussions dans le SPA, à tout ce qu’elle ne sait pas de la vie amoureuse d’Enola et tout ce qu’elle a cru deviner et auquel elle ne veut pas penser. Elle se souvient de la question d’Enola, au sujet de la confiance. Elle lui avait répondu qu’elle avait besoin d’un peu de temps pour y réfléchir avant de lui donner une réponse. Ses yeux verts l’observent au travers la fumée de sa clope. Elle pense avoir une réponse. — Tu sais, pour l’histoire de la confiance que tu ne donnes pas aux hommes, souffle-t-elle en clignant des yeux avec lenteur, consciente d’aborder un sujet qui tient au cœur de la salvadorienne. — J’y ai réfléchi. Voilà ce que je crois : ton vécu t’a fait vivre des choses, heureuses et douloureuses. Les expériences du passé t’ont forgée, ont créé tes réactions et fait naitre en toi des mécanismes de défense, c’est tout simplement normal. Tu as été meurtrie et tu as naturellement besoin de te protéger parce qu’il n’est pas question que ça arrive de nouveau. Certainement pas question. Notre instinct de survie place de solides barrières autour de nous pour se prémunir du désespoir, qui fait parfois plus peur que la mort. — Je crois que c’est normal, Enola, dit-elle d’une voix douce. — Tu n’as pas un problème. Moi aussi, à ta place, je me protègerais. Même si c’est extrême d’éloigner les hommes de toi, notamment ceux qui pourraient te plaire, c’est aussi extrême que ce que tu as vécu. Tu n’as rien à te reprocher. Tous ceux qui te conseillent de « changer », de « t’ouvrir », souris-leur et ignore-les aimablement. La personne qui saura te libérer de tes barrières, ce n’est pas celle qui te conseillera de les abaisser, mais celle qui les comprendra et qui décidera de faire avec elles. Parce qu’elles sont là pour une excellente raison. Et alors, tu verras, lentement, sans même t'en rendre vraiment compte, elles s'abaisseront une à une. Tout comme Naveen a compris que Lawrence était le genre d’homme à se protéger, il décide non pas d’abaisser les barrières, mais de les accepter dans leur relation. De considérer Lawrence comme un être méritant plus que tout d’être aimé, avec ses barrières. Tel qu’il est. Enola a du entendre tellement de fois « change » que ça doit parfois être désespérant. Comment vivre avec soi-même, et espérer faire entrer un autre dans sa vie, quand ce qu’on est semble impossible à accepter tel quel ? Khadija a compris une chose : Enola n’a pas à changer. Elle est parfaite comme elle est, avec ses défenses, ses blessures, ses méfiances. Elle n’est pas la même femme qu’elle était « avant », mais elle n’en est pas moins aimable. Elle a du changer, bien sûr. Mais ce n’est pas en n’acceptant jamais ce qu’on est devenu qu’on redevient ce qu’on était. On ne redevient jamais ce qu’on était, sauf à faire semblant d’être quelqu’un d’autre. La vie nous change, et nous devons accepter ce que nous devenons. Bien sûr, qu’Enola retrouvera la confiance. Ce sera auprès de personnes qui ne cherchent pas à la changer. C’est entre elle et elle seule, c’est une affaire qui ne regarde personne d’autre. Aimez-la, ou passez votre chemin. — Beaucoup de personnes seront prêtes à t’aimer comme tu es, sans exiger de toi que tu te forces à donner une confiance que tu as toutes les raisons de préserver. Son regard quitte Enola pour embrasser le parc glacé. Elle tire une nouvelle taffe alors qu’elle sent le froid l’envahir. — Ici, dans cette émission, personne ne connaissait la Enola « d’avant ». Et moi, j’aime beaucoup celle que j’ai découverte, avec ses mécanismes de défense qui te vont bien, qui donnent tout aussi envie de te connaître que si tu étais l’inverse. Elle lui adresse un sourire doux, consciente de ne pas aider beaucoup sa réflexion sur la confiance, mais enfin, elle dit ce qu’elle pense…
Enola

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MessageSujet: Re: 25.01 - 15.30 , i hold the lock, and you hold the key.   25.01 - 15.30 , i hold the lock, and you hold the key. EmptyJeu 28 Jan 2016 - 23:01

Malgré le froid glacial, la salvadorienne a décidé de tenter le diable en s'aventurant à l'extérieur et ce même si elle en revient gelée. Transie de froid, elle ne tarde pas à quitter la vue attendrissante des chevreaux pour chercher le réconfort d'un bon feu de cheminée crépitant dans le salon. Il y a quelque chose de pesant dans l'atmosphère, tout ce froid l'oppresse si bien qu'elle décide de presser le pas alors que la silhouette rassurante du nid s'impose à elle comme une vision d’éden. Dans son élan, la brune est stoppée par la vision d'une Khadija visiblement aussi gelée qu'elle alors qu'elle l'invite d'un signe de main à la rejoindre. D'un pas mal assurée, la salvadorienne rejoint la belle brune qui lui tend son paquet de clopes de sa main gantée. Obligée de braver le gel pour s'emparer d'une cigarette, elle remercie sa camarade d'un sourire chaleureux alors que celle-ci lui annonce qu'allumer son bâton de nicotine par ce temps n'est pas chose aisée. « Je n'ai peur de rien, pas même de perdre ma main  » répond-t-elle, mutine, en s'emparant du briquet que lui tend la française. La pierre de son briquet claque sans cesse sans qu'aucune flamme ne jaillisse irritant la bout de ses doigts fins. S'aidant de son autre main pour faire un puits, le feu sort enfin de son briquet enflammant l'extrémité de son bâton de nicotine. La jeune femme relève les yeux vers sa camarade, sourire en coin, alors qu'elle peut enfin tirer une première latte salvatrice sur sa cigarette. Khadija se décide enfin à évoquer leur conversation au spa, comme promis, la brune avait pris le temps de réfléchir à sa réponse tant la question lui semblait complexe sur le moment. Enola lui avait laissé le temps qu'il fallait, oscillant entre l'impatience et l’appréhension.  Son visage se radoucit lorsqu'elle écoute la voix apaisante de la brune mettre à nue son âme d'une façon drôlement troublante, la justesse de ses propos la fascine autant qu'elle lui fait peur. Son regard s'ancre dans les prunelles émeraudes de Khadi, un échange de regards pleins de tendresse face à des révélations troublantes. La française ne sait rien sur le passé amoureux de la salvadorienne et pourtant elle arrive à analyser ses moindres états d'âmes avec la plus grande fidélité. Battant malicieusement des cils, la jeune femme laisse son regard papillonner aux quatre coins du jardin, il est souvent plus aisé pour elle de se livrer en évitant le regard de l'autre. Mécanisme de défense oblige. « Tout au fond de moi, je sais pertinemment que je dois changer. Que je peux paraître injuste et cruel alors que ce n'est pas dans ma nature. J'ai essayé, je te promets ... mais j'y arrive pas, c'est plus fort que moi, plus fort que tout » dit-elle de sa voix douce en observant d'un regard presque fasciné la fumée de sa cigarette s'élever dans le ciel. Ceux qui pensent qu'elle ne fait pas d'efforts pour changer se trompent, c'est un combat quotidien contre sa méfiance. Chaque jour elle tente de franchir des remparts qu'elle a érigé elle-même. « Je n'ai peut être pas un problème mais je me sens juste ... différente. Plus froide, plus méfiante. Je me sens hors-course à vingt-six ans et c'est le plus ridicule ». Qu'elle poursuit en croisant les bras contre sa poitrine alors qu'elle sent son sang se glacer et cette froideur s'infiltrer dans ses veines. Une pointe d'optimisme vient éclairer les paroles de Khadija, le visage de la salvadorienne se radoucit devant tant de bienveillance. Même si elle émet quelques doutes quant à la manière dont un homme arrivera à faire tomber toutes les barrières qu'elle a érigé autour d'elle. « C'est terrifiant » confesse-t-elle les yeux dans les yeux alors que sa cigarette retrouve une nouvelle fois le chemin de ses lèvres charnues. Elle se sent ridicule Enola à craindre l'amour, le changement, alors que certaines personnes ne rêvent que de rencontrer leur âme sœur. Elle grimace lorsqu'elle évoque la Enola d'avant, celle qu'elle était avant que la vie ne l'use ; ô comme elle aimerait lui dire que celle qu'elle était avant n'était qu'une allegorie de naiveté. « Et je suis heureuse que vous ne la connaissiez pas encore, ce n'était qu'une idiote peu sûre d'elle et bien trop naive » précise-t-elle en haussant les épaules. Elle ne peut en dire plus sans mettre indirectement sa place dans l'aventure en sursis. « Tu sais que je ne me livre pas aussi facilement d'habitude, mais ici, c'est différent  » confesse la salvadorienne en retrouvant les grands yeux verts de  la française. Ici, elle sent que tout est différent. Il y a tous ces gens aussi sincère les uns que les autres : Naveen, Salvador, Lawrence, Khadi. Des personnalités qu'elle aura du mal à laisser sortir de sa vie une fois dehors. « Tu es une belle personne Khadija ». Annonce-t-elle en venant cueillir brièvement la main de la française tout contre la sienne. Le pouce de la salvadorienne vient caresser quelques secondes le dos de la main de son camarade alors qu'elle relève les yeux vers sa camarade. « Merci  » souffle-t-elle dans la froideur ambiante en relâchant la main de la française pour tirer une nouvelle latte sur sa cigarette.                

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MessageSujet: Re: 25.01 - 15.30 , i hold the lock, and you hold the key.   25.01 - 15.30 , i hold the lock, and you hold the key. EmptyVen 29 Jan 2016 - 13:58

— Et pourquoi ce ne serait pas dans ta nature ? Elle hausse les sourcils, tirant lentement une taffe de sa cigarette, cette bouffée de fumée la réchauffant de l’intérieur et lui donnant cette impression de fondre dans l’air glacial. — Nous serions immuables ? Incapables de changer, ou bien tout changement devrait immédiatement être anéantit pour qu’on redevienne ce qu’on était hier, la seule chose qu’on pourrait être ? Non, elle n’y croit pas une seule seconde. — Qui a dit qu’une personne normale, qu’une « bonne » personne, est celle qui laisse entrer beaucoup de gens dans sa vie, qui tombe amoureuse facilement, qui rit sans arrêt… Qui t’a fait croire qu’être méfiant, c’est être cruel, que se protéger des autres et de soi-même, c’est être injuste ? A part notre société… Société de l’échange, des « rapports sociaux », société de la transparence, où qui ne poste pas son string sur les réseaux sociaux fait preuve de trop de mystères… Khadija ne veut pas qu’Enola se force, surtout à un moment où elle n’en est pas capable, d’être la fille qu’on voudrait qu’elle soit, si tant est que ce « on » ait encore une signification… Khadija n’en fait pas partie. Son regard doux se pose sur celui, chocolat, brillant, d’Enola. — Tu ne dois pas changer, Enola. Tu changeras encore et encore avec le temps, sans devoir, selon tes rencontres, mais il n’y a aucune « loi » implacable dictée par un seul et même tout qui a le droit de te demander de te changer. Elle souffle la fumée de sa cigarette, s’emmêlant dans celle d’Enola et ne formant plus qu’un épais nuage que le froid irlandais vient soupeser et détruire. On est peu de choses. — Tu sais pourquoi tu nous plais, ici ? Elle demande dans un sourire en coin, néanmoins totalement sérieuse. — Parce que tes barrières, ta méfiance, ne sont pas ton essence. Ce n’est pas « toi », tout ça, ce sont des adjectifs qu’on peut te donner, des traits de personnalité, mais ce n’est pas Enola. Enola est bien plus qu’une méfiance, qu’un système de défense. Toutes ces choses… Elles gravitent autour de toi, interviennent dans ta relation avec les autres, mais elles ne font pas de toi ce que tu es. Quiconque n’est pas totalement stupide le sait parfaitement. Enola, c’est une belle femme, avec un humour décapant, énormément d’esprit, une intelligence fine, et beaucoup de cœur. Une fille de caractère, sans doute autrefois plus tendre envers l’extérieur et à présent plus rude. Elle rit à l’entente du mot « hors course » que sort sa camarade. — Tu n’es pas froide, rappelle-t-elle en lui jetant un coup d’œil brillant. — Les gens froids sont ceux qui ne craignent rien, qui sont trop surs d’eux, pour qui tout semble déjà acquis. Ces gens ne dégagent aucune chaleur, aucun magnétisme, dit-elle en grimaçant de sa bouche rose en songeant à cette catégorie de caractères, qu’elle a maintes fois rencontrée, notamment dans le milieu… de la mode. Ces gens que rien n'atteint. Enola semble penser que la « norme » consiste à tomber amoureux tous les six mois, à être dans une permanente ouverture sur le reste du monde. C’est erroné. Nous avons tous nos barrières, nos peurs. Achille, Salvador, Lawrence, n’en sont que de très bons exemples parmi d’autres. Enola dresse un portrait de celle qu’elle était par le passé qui ne fait pas envie. Khadija, qui commence à la connaître, n’en sourit que plus encore. — Les naïfs sont les heureux, dit-elle simplement, dans une légèreté amusée. — Tu sais, en France, on a une expression qui dit très exactement ceci : « Quand le sage montre la lune, l’idiot regarde le doigt ». Tu vois ce que ça veut dire ? Le soi-disant idiot ne comprend pas que ce qu’il doit voir, c’est cette merveille qu’est la lune. Bêtement, naïvement, il regarde ce qu’il a juste sous son nez : le doigt. Elle sourit et laisse tomber sa cigarette à terre, l’écrasant du talon. — Je n’ai jamais été d’accord avec cette expression. Quel intérêt trouve le sage à regarder la lune ? Elle est immuable, toujours pareille, ou presque, inatteignable, et tellement loin que la regarder n’a que peu d’intérêt parce qu’on ne la voit pas changer, trop d’années nous séparent d’elle… Mais le doigt, lui, est beaucoup plus intéressant que la lune. En regardant le doigt du sage, l’idiot regarde l’Homme. Il cherche à comprendre le geste, ce que le sage est en train de faire, de désigner par ce mouvement. L’idiot se fout totalement de la lune, ce qui l’intéresse, c’est ce que le sage lui trouve. C’est de comprendre pourquoi le sage désigne. L’idiot n’est pas toujours celui qu’on pense, même si notre société est très persuasive en matière d’idées reçues et gravées dans le grand livre des idées… Elle rit face à l’expression d’Enola. — Tu n’as jamais été une idiote, Enola, et tu ne le deviendras pas. Je sais qu’un jour tu feras la paix avec le passé et celle que tu étais ; plus naïve sans doute, je te crois ; et tu te pardonneras. Parce que l’Enola d’autrefois était aussi quelqu’un de précieux. Elle sourit au compliment de sa camarade. — Tout comme toi, murmure-t-elle en serrant à son tour sa main dans la sienne, son sourire ne quittant pas ses lèvres. Quant à se faire remercier pour quelque chose d’aussi naturel que de discuter avec Enola, pas question d’accepter ça.

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