Le mercredi 25 janvier vers 12h35 ~
Cette aventure allait être très intéressante. Je sentais que j'allais vraiment m'amuser. Il était midi passer, je me baladais dans le nid d'amour une pomme à la main en guise de déjeuner. Je décide d'entrer dans la chambre que je partageais avec tout un tas d'abrutis. L’œil aiguisé je regarde un peu partout. Les valises n'avaient pas encore été rangé ce qui me permettais de faire ma petite fouine. Pour l'instant je me contente de regarder de loin et puis je finis par me diriger vers une valise en particulier. Je la soulève gardant ma pomme dans la bouche et la pose sur le lit juste à coté. Je regarde quelques petits trucs, des tee-shirts, des chemises, des sous vêtements d'hommes bien entendu. Bon rien de bien intéressant. Je me décide à pimenter le truc je prend des vêtements au hasard et les jettent dans toute la pièce tout ne chantonnant. Une des chansons de rihanna dont le titre m’échappe en même temps elle en fait tellement. Puis quand je suis au fond de la valise oui parce que j'ai tout foutu en l'air je tombe sur un tee-shirt à l'effigie des Rolling Stones. Je sais pas à qui est cette valise mais il a bon goût. Ni une nu deux j'ote mon jean et mon tee-shirt je me retrouve en sous vêtement et j'enfile le tee-shirt. Je me met debout sur le lit et commence à sauter dessus tout en chantant « I'm to sexy for my shirt too sexy for my shirt So sexy it hurts. » Un rire s’échappe de ma bouche puis à la fin d'un saut je tombe nez à nez sur le mec sexy à qui j'ai peloté le cul le soir du prime. Un sourire aguicheur sur le visage je lui dis. « Salut salut. » je m'assoie sur le lit et ajoute. « Je sais pas à qui sont ses fringues mais y a pas grand chose de cool. Quoi que je verrais bien ton petit cul bien moulé là dedans. » dis-je ne lui lançant un boxer dans le visage sans savoir que toutes ces fringues lui appartenait et que je portais son tee-shirts.

L'inconvénient lorsqu'on a l'habitude de vivre sans se préoccuper d'avoir à lever le petite doigt, que quoi qu'il arrive, votre mère, votre soeur, ou même la bonne que vous considérez presque comme votre mère tant elle connait votre intimité passera derrière vous pour ranger - et ce même lorsqu'on décide de prendre son indépendance. C'est que cette mauvaise habitude vous suit où que vous alliez, quoi que vous fassiez. C'est de cette manière qu'on se retrouve, après une douche - jusqu'à là, rien de bien étrange - sans rien à se mettre. Si bien que l'hypothèse de ré-enfiler votre caleçon sale vous effleurerez presque l'esprit. C'est toujours à ce moment là que l'image de votre mère horrifié vous revient en tête, si bien que vous attrapez la micro serviette, la seule bien évidemment que vous réussissez à trouver et qui n'est sûrement pas la votre, pour l'enfiler autour de votre taille. Sifflotant une mélodie entraînante qui sort d'un endroit presque oublié de votre cerveau, vous vous faufilez dans votre chambre sans imaginer une seule seconde qu'une folle à éparpillé tout le contenu de votre valise sur le sol de la chambre que vous partager avec dix-sept autres personnes. C'est pourtant ce qui était entrain de se dérouler sous mes yeux. Néanmoins, le spectacle du responsable de ce désastre vestimentaire avait eut le don de désamorcer la bombe et me faire sourire. « J'aurais tendance à dire que le tee-shirt est trop sexy pour toi, mais c'est une question de point de vue je suppose. » Répliquais-je alors qu'elle s'était retrouvé tout juste devant moi, revêtant MON tee-shirt, celui que j'avais d'ailleurs justement prévu de porter aujourd'hui. « T'y crois ça, on dirait qu'il a été fait pour mo, c'est dinguei. » Un brin sarcastique, j'enfilais le boxer évitant ainsi à mon anatomie les désagréments de se retrouver face aux yeux chastes des ménagères de moins de cinquante ans qui devait suivre assidûment le programme . « Allez assez joué, tu me rends mon tee-shirt, j'ai pas envie de sentir la gonzesse en chaleur toute la journée moi. » Aussitôt, je m'asseyais sur le lit face à elle, prenant m'appuyant confortablement sur mes bras afin de l'observer de manière plus confortable.

D'une manière totalement désinvolte j'avais foutu le bordel dans cette chambre et c’est pas moi qui allait rangé c'est certain. Un beau gosse habillé d'une simple serviette arriva. Je ne savais pas du tout si il était le propriétaire de ces fringues mais après tout je m'en contre fou tout ce que je sais c'est que je me suis bien marré et que celui qui va devoir ranger tout ça va mins se marrer ce que je trouve encore plus kiffant. Un sourire vient se dessiner sur mon visage.« T'y crois ça, on dirait qu'il a été fait pour moi, c'est dingue. » Puis je le vois enfiler le boxer que je lui avait jeter au visage. C'était donc ses fringues ? Encore plus intéressant. Quel plaisir pour le regard ce mec, je vous jure il est carrément trop canon ça en devient indécent. « Allez assez joué, tu me rends mon tee-shirt, j'ai pas envie de sentir la gonzesse en chaleur toute la journée moi. » Il rigole ou quoi ? Un rire cristallin sort de ma bouche. « Si tu voulais pas être avec des gonzesses en chaleur fallait choisir un autre jeu. Même la petite de 18 ans à la cul en feu. » dis-je sur un ton totalement détaché. Puis je me lève me met en face de lui mais à quelque mètre plus loin. Doucement je retire son tee-shirt lui laissant voir ma superbe plastique en sous vêtement. J'ai retiré entièrement le tee-shirt et le cache derrière mon dos je fais quelque pas en arrière et dans un grand sourire aguicheur je lui dis. « Si tu veux ton tee-shirt faudra venir le chercher. » ma phrase est ponctué d'un rire. Je veux bien lui rendre son tee-shirt mais faudra le faire en s'amusant.

Ce qui est marrant avec les filles, c'est qu'elles comprennent toujours ce qu'elles veulent et visiblement, Moore n'échappait pas à la règle. Un sourire amusé se dessina sur mes lèvres. « J'ai dit sentir, pas être, tu saisis la nuance ? » Je lui adressais un clin d'oeil plein de sous-entendu. Au contraire, les femmes en chaleur je connaissais, et très bien même, à la différence c'est qu'une fois qu'elles étaient parti, j'allais prendre une douche. Un nouveau sourire, plus pervers celui-ci s'accentua lorsqu'elle commença à se déshabiller. Elle était canon, très bien faite et le pire dans tout ça c'est qu'elle le savait. Savourant le spectacle qui se déroulait sous mes yeux, je me redressai quelque peu afin de mieux apprécier son corps de déesse. Néanmoins peu naïf, je ne fus pas surpris lorsqu'elle m'annonça qu'elle n'allait pas me rendre mon tee-shirt parce que je le lui demandais, elle ne semblait pas être de ce genre. « Tu ne veux tout de même pas que je te cours après n'est-ce pas ? » Hors de question, m'amuser un peu avec elle, d'accord, jouer les petits toutous dernière sa maîtresse, non merci. De toute façon, j'étais presque certain de réussir à la maîtriser sans être obligé de courir.

« Tu ne veux tout de même pas que je te cours après n'est-ce pas ? »  Bien entendu que je veux qu'il me cours après sinon ce n'est pas drôle. Je vais lui faire lever son jolie petit cul de ce lit je vous assure. « Oh non ce n'est pas digne d'un homme comme toi, tu es virile, macho tu ne cours pas après les filles c'est les filles qui te cours après. Tu t'es dis que t’allais venir ici et ne pas bousculer tes petites habitudes, que t'allais rester ce mec passif qui n'a qu'à claqué des doigts pour obtenir ce qu'il veut. Hum... c'est tellement nul de bousculer ses habitudes, de faire des choses nouvelles... De courir après ce joli petit cul. » Dis-je tout ne me retournant pour lui laisse une vue magnifique sur mon cul. Un rire malicieux s’échappe de ma bouche. Je lui jette un regard aguicheur, tout en recommençant à chanter. « I'm to sexy for my shirt too sexy for my shirt So sexy it hurts. » Je continue de le regarder tout en chantant, un regard des plus sexy. Je doute qu'il puisse résister à ça, en plus j'ajoute un petit déhanché sensuel digne des meilleures gogo danseuses.