On est lundi, et comme son nom l'indique, c'est ravioli, ou spaghetti, j'ai un léger doute sur la réponse. En réalité je m'en fous parce qu'il n'est pas question de bouffe pour l'instant, mais plutôt de l'anniversaire de ma petite Esther. En parfait baratineur que je suis, je lui ai fait croire que j'ai tout prévu, qu'on va le fêter dignement. Oui c'est bien beau sauf que je me suis légèrement avancé pour le coup, quant au cadeau, c'est vraiment pratique quand on manque de temps. Putain, qu'est ce que j'vais bien pouvoir inventer pour lui faire plaisir ? Un gâteau ? Trop classique, en plus je ne sais même pas cuisiner. Je me creuse les méninges, et hop là un sursaut de génie, une idée à la Connor qui me tombe tout droit du ciel. Pas sûr qu'elle plaise à Esther, moi, je m'en frotte les mains. Ni une ni deux, je mets mon plan diabolique en action. Je hurle à qui veut l'entendre que quiconque s'approchera du spa peut aller réserver sa sépulture au cimetière du coin. Mes paroles autoritaires et mon regard assassin devrait en calmer plus d'un. Je cherche Esther, attrape un fouloir dans une armoire et rejoins la fille de la journée tout sourire.« Enfile ton plus beau bikini, ne pose pas de question et rejoins moi devant la porte du spa... Sans tricher. » Je déblatère à vitesse grand V et m'éloigne en sautillant telle une gazelle, un vrai régale pour les caméras. J'arrive les bras chargé de victuailles et installe le tout autour du bassin où est la boue. Les enceintes et l'Ipod sont en place, j'ai placé les fleurs que j'ai arraché dans le jardin plutôt dans un vase, et j'ai fait table rase de mes fringues. Les coupes sur le bords du bassin, la bouteille débouché. Tout est parfait. J'entends du bruit, je galope vers l'extérieur en boxer, le froid sidéral ne peut entraver ma bonne humeur. Esther est là, je me place dernière elle, et noue la petite écharpe de soie que j'ai chippé dernière son crâne et lui attrape la main, pour la conduire dans la pièce. J'allume LA musique que j'ai demandé à Rory de me dénicher. « Joyeux anniversaire, ma belle. Tu es Molly et moi Sam, on a de la boue, du champagne, une chaleur du diable et de la musique. » Je l'attrape par la main et la conduis jusqu'au bassin. La boue c'est aussi dégueulasse que l'argile à peu de chose, ça devrait marcher.

Je n’avais pas dormi de la nuit. Trop de chose, trop d’émotion. C’était mon anniversaire, pourtant, je n’en avais pas réellement l’impression. J’avais imaginé les choses autrement, surement. Mais bon, je devais accepté ce qui était. Maddie était partie, l’aventure continuait. J’errai toute la journée ne sachant trop quoi faire. J’eus droit à des joyeux anniversaires enthousiasme, d’autres plutôt discret. J’eus droit à l’ignorance, mais ça, j’y suis habituée par certain ici. Bref, cela ressemblait bien à une journée ordinaire jusqu’à ce que Connor apparaisse devant moi, tout sourire tel un gamin, me disant de bien me préparer, avec mon bikini et d’aller le rejoindre au spa. Surprise, j’éclatai de rire, lui demandant ce qu’il préparait derrière mon dos. C’était mon cadeau ? Ah, je ne tenais plus en place. Je devais absolument savoir ce qu’il avait derrière la tête. Il n’eut pas besoin de me le dire trois fois, j’allai enfilai mon maillot de bain, celui que je préférais, enfilant une robe légère par dessus pour ne pas non plus avoir froid. J’appliquai tout de même une touche de mascara, désirant me faire jolie pour la fameuse surprise. Afin prête, je cours pratiquement vers le spa, le froid me faisant regretter de ne pas avoir enfilé un manteau. Je cogne alors, sourire aux lèvres, excitée comme pas possible. Il m’ouvre enfin, ce qui me fait décrocher un rire. « J’en peux plus ! Je veux savoir pourquoi tu m’as fait venir ici ! » lui dis-je alors, étonnée lorsqu’il noue un foulard autour de mes yeux, prenant bien soin de garder le suspense. Moi qui m’attendait à une simple trempette dans le jacuzzi. Je me laisse guider, jusqu’à ce que j’entende la musique. LA musique. J’ouvris grand la bouche, alors qu’il retira enfin le tissu de mes yeux, voyant la pièce décoré comme dans un parfait film romantique. « Joyeux anniversaire, ma belle. Tu es Molly et moi Sam, on a de la boue, du champagne, une chaleur du diable et de la musique. » Je n’en reviens tout simplement pas. Il avait vraiment fait ça. Mes paroles n’étaient pas tombées dans l’oreille d’un sourd. Bon, ce n’était pas de l’argile, mais je m’en foutais bien. « Oh mon dieu ! Tu plaisantes ? » m’exclamais-je, sachant pertinemment que ce n’était pas une blague. Les yeux remplies d’étoiles, je me lançai dans ses bras, déposant ma tête sur son torse, heureuse comme jamais. Personne n’avait jamais fait quelque chose d’aussi bien pour moi. Et quand je dis personne, j’étais bien sérieuse. « Merci mon Sam. C’est parfait ! » dis-je tout simplement, restant dans les bras du jeune homme. Je levai la tête pour le regarder, allant déposer un doux baiser contre sa joue.

« Un peu de patience ma belle, je vais te montrer. » Je murmure ces mots au creux de l'oreille de la jeune femme, tandis qu'en contradiction avec mes paroles, je lui bande les yeux. Ne chercher aucune logique là-dedans, il n'y en a absolument pas. Hormis peut être l'idée de faire les choses comme elles se doivent, la surprise s'en sera que plus conséquente c'est certain. Et à en juger par l'expression qu'indique son visage, il est évident que je ne me suis pas trompé, au contraire. Je l'observe souriant, je cale mes bras contre mon torse, jusqu'à ce qu'elle me demande si je plaisante. Je ris de plus belle. « Oui en réalité, j'ai préparer ça pour ... Moore, on ne dirait pas comme ça mais c'est son film préféré. Tu viens on y va. » Je plaisante évidemment que c'est pour elle, pourtant, je m'apprête à attraper sa main, lorsqu'elle se jette dans mes bras. Je lâche ce qui pourrait s'apparenter à un cri de surprise, elle se colle contre moi, je la sers dans mes bras, et profite de sa joie. « Rien n'est trop parfait pour toi, ma belle. » Je murmure une nouvelle fois, séducteur à souhait et lui dépose un baiser sur le front. « Bon on y va ? » Je desserre l'étreinte et la conduit jusqu'au bassin, alors à première vue ça ne donne clairement pas envie cette boue, mais ça ne doit pas être si horrible que cela. Et puis de toute façon c'est pour Esther. Je me saisis des coupes et y verse le champagne, qui doit être de qualité à en juger par la couche de poussière dont il était couvert lorsqu'il reposait encore à la cave.

Lorsque je posai la question idiote de si cette surprise était pour moi, il me répondit en plaisantant qu’en fait, c’était plutôt pour Moore. N’importe qui sauf elle. Je ne suis pas du genre à détester quelqu’un sans raisons, mais cette fille, je ne l’aime pas. Et puis, qui aimerait quelqu’un qui passe son temps à te surnommer Chucky. De plus, ce n’était pas très originale, puisque cette insulte, on me l’avait fait une centaine de fois. « Rien n'est trop parfait pour toi, ma belle. » Je souris, dans ses bras, à cette petite phrase. « T’es vraiment un charmeur, toi. » affirmais-je, non sans avoir les joues légèrement rouge. En même temps, il réussissait bien. Avec un regard comme le siens, j'étais bien charmée. Je me décolle finalement de son torse pour me rendre au bain de boue alors que Connor nous sert un verre de champagne. Bon, j’ai encore un peu la gueule de bois de la veille, mais je ne peux pas refuser du champagne. « Je n’ai jamais été dans un bain de boue de ma vie ! En fait, c’est ma première expérience dans un spa tout court. » avouais-je alors je j’entrais dans le dit bain. C’était définitivement étrange comme sensation. Mais étrange dans le bon sens. Je le regardai venir me rejoindre tout en prenant ma coupe de champagne, la salissant au complet. Mouais, c’était pas super pratique cette boue. J’étais certaine que dans seulement quelques minutes, j’allais trouvé le don de m’en foutre partout dans le visage et avoir l’air d’une idiote. Je levai finalement ma coupe, avant de trinquer. « À Ghost ! À Molly et Sam. Mais surtout, à toi et moi.» dis-je en souriant. Connor ne faisait qu’augmenter de jour en jour dans mon estime. Je l’appréciais vraiment beaucoup, aujourd’hui encore plus.

Visiblement, j'ai fait un sacré impair en balançant le nom de Moore, elle change de tête. Et merde, j'pensais pas que sa haine envers la jeune femme est si intense. Je me sens légèrement con l'espace d'un instant, si bien que je la sers un peu plus contre moi. Comme si ce geste pouvait faire oublier quoi que ce soit. Heureusement que j'ai la bonne idée de la complimenter, elle ne tarde pas à me caractériser de charmeur. Ouais il parait. Elle s'empourpre légèrement c'est chou, je lui balance un sourire dont j'ai le secret en guise de réponse. Dévoilant toute ma dentition parfaite. L'heure des confessions arriva tandis que je nous servais un peu de champagne, je n'étais pas un fervent admirateur de ce nectar français, mais c'était ce qui convenait sûrement le mieux pour un anniversaire. Elle m'avoue sans complexe ne jamais avoir mit les pieds dans un bain de boue, ni dans un spa par ailleurs. Pour ma part, je fréquentais si souvent les saunas à une époque, et puis les messages c'était un petit plaisir personnel dont je bénéficiais grâce à mon statut de sportif au lycée. Quant aux bains de boue, non jamais, j'ai trop souvent vu ma mère se faire barbouiller de boue que j'en avais été dégoûté. « Moi non, jamais de boue, enfin officiellement, j'me suis déjà roulé dans la boue à plusieurs reprises mais j'suis pas sûr que ça compte. » Je souris, espiègle. J'étais un sacré casse-cou quand j'étais jeune et j'adorais me battre, salir mes fringues de marque pour faire enrager mes parents. Une fois à l'intérieur, la sensation n'était pas si désagréable que cela. C'était particulièrement dégueulasse mais comme de la boue. J'attends qu'Esther ne s'installe et lui passe son verre, si le mien est intact, le sien en revanche c'est une autre affaire. Je souris. Elle trinque. « A nous, puisse cette journée se passer comme tu le souhaites. » Je m'approche légèrement, me retrouvant qu'à quelques centimètres de son visage, je pose ma coupe, passe main propre dans ses cheveux puis l'embrasse doucement sur les lèvres. Simplement parce que la situation s'y présentait. Je me détache et reprends ma place. « T'es mignonne tu as de la boue, juste là. » Immédiatement j'effleure le bout de son nez qui était juste là intacte et lui badigeonna de terre. Je ris ensuite aux éclats.

« Moi non, jamais de boue, enfin officiellement, j'me suis déjà roulé dans la boue à plusieurs reprises mais j'suis pas sûr que ça compte. » J’éclatai de rire en entendant sa remarque. « En effet, ça compte pas ! » ajoutais-je aussitôt souriante. Je ne détestais pas ce bain de boue, pour une première, même si je crois que dans tous les cas, je préférais le jacuzzi. Mais je n’allais pas faire cette remarque. J’étais bien contente d’être ici, avec lui. Je bus une gorgée de champagne alors que le jeune homme me souhaitait que cette journée se passe comme je le voulais. C’était vraiment bien partie pour. Je le regardai s’approcher de moi doucement, surprise par le geste qui suivit ensuite. Ses lèvres vint à la rencontre des miennes dans un doux baiser auquel je n’hésitai pas à répondre. Le regardant se reculer de quelques centimètres, j’eus envie d’aller immédiatement reprendre ses lèvres, mais je ne fus pas assez rapide. « T'es mignonne tu as de la boue, juste là. » J’ouvris la bouche pour tout de suite la refermer, comme si j’étais réellement offusquée. « C’est drôle, toi t’en a là ! » dis-je en laissant une trace de boue contre sa joue en éclatant de rire à mon tour. « Oh, et là aussi ! » dis-je, en laissant mon doigt parcourir son cou puis sa nuque lentement. Fallait pas commencer à jouer avec moi, puisque j’étais une vraie gamine et était incapable de m’arrêter. Je me rapprochai finalement un peu plus, plongeant mon regard bleuté dans le siens avant de retourner prendre ses lèvres dans un baiser se voulant beaucoup plus langoureux. J’en avais envie. Et puis, c’était mon anniversaire après tout, j’avais bien le droit. Il n’aurait pas ouvert la porte de toute façon s’il ne voulait pas prolonger cette échange.

J'hausse les épaules, feignant une mine déçue lorsqu'elle m'affirme que mes bagarres dans la boue, ne compte pas. Evidemment, les bienfaits n'était de toute manière pas comparable. Si tenté qu'il y ait du bien dans le fait de se bastonner la tronche avec un autre type pour des stupides. Parce que c'était ça le soucis, on se battait toujours pour rien. J'ai laissé le temps à Esther de boire un peu de champagne pour la surprendre par la suite, et vu la mine qu'elle affiche, elle ne s'y est sûrement pas attendu. Mon sourire s'accentua. J'ai fait ça, parce que sur le moment je trouve ça logique, j'suis censé être son amoureux dans ce bain, autant jouer le jeu jusqu'au bout. Et elle semble y avoir prit goût puisqu'elle s'apprête à recommencer. Mais j'suis trop rapide en la couvrant légèrement de bout. Je ris aux éclats, lorsqu'elle s'offusque. Je ris, et elle riposte. « Et mais non, c'était mon idée. » Je fais mine de hurler. Alors qu'elle ne se gène pas pour m'en badigeonner un peu partout, j'étais tout collant, mais je m'en fichais. Et puis j'sais pas y'a comme de l'électricité dans l'air, mais de la bonne électricité puisqu'elle se calme et me regarde d'une façon si intense que je m'attends à ce qu'elle prenne ce qu'elle voulait quand je lui en ai empêché. Je ne me débats pas, le baiser est beaucoup moins sage que celui que je lui ai donné, je sens même sa langue contre mes lèvres. Quelle petite coquine cette Esther. Mais je l'ai bien cherché. Je glisse mes mains sur sa nuque, dans ses cheveux, profitant de l'occasion pour coller des litres de boue dans ses cheveux. Je ne perds pas le nord pour me venger. Nos lèvres se séparent enfin, je ris en regardant l'état de ses cheveux. « Allez tourne toi, j'ai pas fini de m'occuper de toi. » Je me mords la lèvre inférieur, malicieux mais j'attends son aval pour faire quoi que ce soit.

Il était évident qu’en ayant une telle surprise d’anniversaire, avec champagne et tout, quelques rapprochements prendraient naissance entre Connor et moi. J’étais tout de même étonnée du naturel que je faisais preuve en sa compagnie. Moi qui n’était pas très doué avec la gente masculine à mon habitude, je ne ressentais pas vraiment de gêne face à lui. C’était pourquoi je ne m’étais pas retenu de l’embrasser et ce, beaucoup moins chastement que lui l’avait fait quelques secondes plus tôt. Alors que ce baiser prit fin, il rigola de moi, et je comprenais bien. Je mis ma main dans mes cheveux, empirant mon cas, puis que j’ajoutai une nouvelle couche de boue à celle qu’il avait mit dans ma chevelure. Bon, le ridicule ne tue pas. Je fis tout de même une petite moue gamine. « Allez tourne toi, j'ai pas fini de m'occuper de toi. » Haussant un sourcil, je le regardai un moment avant de m’exécuter, allant doucement coller mon dos contre son torse, bien à mon aise. « Occupe toi de moi tant que tu veux ! » dis-je dans un petit rire, tournant légèrement la tête pour le regarder, extrêmement amusée et curieuse. Bon, la phrase pouvait paraître à double sens et... bah elle l’était aussi. Je peux être coquine. Je ne suis pas qu’une coincée. Je repris possession de ma coupe de champagne pour en boire son contenue, attendant de voir ce qu’il me réservait encore comme surprise.

Esther s'est métamorphosé ce soir, que ce soit bien clair, s'est clairement jeté sur ma bouche, mais ce n'est pas pour me déplaire. Bien sûr, je n'ai rien contre la jeune femme douce et timide qu'elle est habituellement, j'suis simplement surpris. Elle ne fait aucune remarque concernant ma petite blague, de toute évidence une douche était plus que nécessaire après un passage dans ce bassin. D'ailleurs nous n'avions pas à aller bien loin puisque la production avait glissé une douche juste à côté. J'arque un sourcil face à sa remarque assez équivoque, mais ne cesse de sourire. « Je rêve où tu me fais une proposition ? » Dis-je le sourire aux coins, bien qu'elle ne puisse pas me voir de dos. Je passe mes mains sur sa nuque et comme à dénouer le haut de son maillot de bain, je souris et m'en empare, de toute évidence, elle ne doit pas s'en soucier puisque la boue ne laisse entrevoir que nos têtes. « Te fais pas de fausses idées, je suis juste découverte une nouvelle passion pour les hauts de maillots. » Je jette le maillot en dehors du bassin pour pouvoir le récupérer par la suite. Puis dépose mes mains à nouveau sur sa nuque je commence à masser doucement, puisque c'est ce que j'entends lorsque je lui dis que je vais m'occuper d'elle.

« Je rêve où tu me fais une proposition ? » Oui, s’en était bien une. J’étais outrageusement déplacée se soir, faut croire. On s’entend, il y avait aussi de l’humour dans ma remarque. « Je sais, c’est de l’indécence pure. Ça doit être la boue qui me monte à la tête. » dis-je en rigolant, faisant référence à toute la boue que j’avais sur mes cheveux. C’était peut-être le champagne qui me montait à la tête. Oui, peut-être. Pensant cela, je déposai ma flute, me disant que c’était mieux ainsi, de prendre une petite pause. C’est alors que ses doigts habillent détachèrent en un instant mon haut de maillot de bain. Heureusement, la boue ne laissait rien voir. Oh et puis, je ne suis pas des plus pudiques, cela n’aurait pas été la fin du monde. « Te fais pas de fausses idées, je suis juste découverte une nouvelle passion pour les hauts de maillots. » Je tournai la tête une nouvelle fois pour le fixer du regard avant de sourire. « Avoue que t’as plutôt une passion pour retirer les maillots de bains ! » répliquais-je immédiatement, levant un sourcil en signe d'interrogation. Il n’y avait pas de doute, Connor ne devait pas avoir de difficulté à charmer toutes les demoiselles qui se trouvait sur son passage. En même temps, beau comme il est, ce ne serait vraiment pas étonnant. Je me détendis alors qu’il commença à masser ma nuque. C’était un vrai bonheur ça. Je fermai les yeux pour bien profiter alors que ses mains expertes faisaient tout le travaille. Je ne pouvais rien demander de mieux.