J’avais pas été dormir très tard la veille au soir, j’étais trop crevé pour ça en fait, mes insomnies ne s’arrêtaient toujours pas, du coup je dormais profondément, et assez tard, une fois sur deux. Quand j’emergeai du sommeil je me rendis compte que la couverture me couvrait jusqu’aux yeux et que les rideaux de la chambre étaient déjà tous ouverts, dévoilant un soleil éclatant, m’éblouissant au passage. Je fermai les yeux d’instinct mais après quelques minutes je les rouvris et me redressai péniblement, personne a coté de moi, si ça se trouve Keelan avait gardé ses habitudes de soldat et il se levait aux aurores. Je m’étirai, baillant allégrement avant de me rendre compte qu’une bosse bougeait dans mon ancien lit, a quelques pas de là où je me trouvai, je me levai, enfilai juste un pantalon de sport que j’avais laissé trainé là (puisque je dormais en boxer) et me dirigeai vers le lit à pas de loup, c’était Tweedy, la bosse était tellement petite qu’Ezequiel ne pouvait pas se cacher là. Je me glissai dans le lit, elle allait surement penser que c’était Ezequiel et allait surement hurler en fait, mais tant pis, je me faufilai sous les draps et passai mes bras autour d’elle, puis d’une voix suave et grave je fis « Bouh ! » bon j’étais pas très doué pour imiter la voix d’Ezequiel mais j’étais certain que j’allais réussir à lui faire peur et… c’était le but. Sauf si elle était assez douée pour reconnaitre mon étreinte et ma voix déformée mais bonne chance, quoi !

Depuis que Tweedy avait changé de partenaire, elle avait tendance à dormir mieux. Attendez, avant de vous formaliser, merci de prendre en considération ce qui suit. Finnick était peut être un partenaire adorable, un vrai amour de garçon, mais vu qu'il rencontrait souvent quelques difficultés à trouver le sommeil et que la petite brune était du genre à ne pas réussir à dormir tant que quelqu'un bougeait et faisait remuer le lit, et bien, l'on pouvait dire que les nuits passées avec lui avaient été plutôt agitées. Avec Ezéquiel, c'était quelques peu différent. Le grand black trouvait plus facilement le sommeil que l'ancien partenaire de la jeune femme, et donc, elle aussi. Très clairement, l'on était en droit de penser qu'elle aurait tendance à se méfier, à ne dormir que d'un œil, des fois qu'il lui arrive un gros pépin dans la nuit. Mais non, point du tout. Car quand Tweedy fermait un œil, l'autre suivait généralement, et une fois cela fait, elle avait tendance à dormir comme un bébé, bien loin de se soucier de quoi que ce soit. Ainsi donc, elle recommençait à dormir plusieurs heures d'affilée, et cela faisait un bien fou. Bon, par contre, sa vie affective en avait pris un sacré coup. Parce que le Ezéquiel était peut être sympathique - hum - mais il n'était pas tellement du genre à faire des câlins, disons. Des vrais câlins s'entend. Avec Finnick, Tweedy avait toujours pu se blottir, profiter d'une étreinte avant d'essayer de trouver le sommeil. Et donc, il y avait également un changement radical de ce coté là. Donc, il y avait du mieux, mais aussi du pire. Oh moins, la balance était un tant soit peu équilibrée. Quoi qu'il en soit, en ce jeudi matin, la jeune femme dormait tout à fait paisiblement dans son lit. Il lui avait semblé qu'Ezéquiel s'était levé, et l'avait donc laissée seule dans le lit. Bien. Du moment qu'elle pouvait dormir, hein. Mais alors qu'elle rêvait de Yoann Gourcuff - n'allez pas vous imaginez quoi que ce soit de ... bon d'accord, c'était un peu déplacé, mais chut - la jeune femme fut soudainement réveillée par une sorte de hurlement suspect, mais surtout par une étreinte surprenante. Bon sang, mais qu'était-ce ?! Naturellement, Tweedy poussa un cri sourd, du genre de ... hum ... « Aaaaaaaaaaah » Ouais voilà, dans ce genre là ; et dans un geste de défense, elle colla une gifle à qui avait eu la merveilleuse idée de la tirer du sommeil de la sorte. Sauf que Tweedy se rendit compte qu'il s'agissait de Finnick. Ah merde. « Finnick ?! » s'exclama-t-elle alors, totalement stupéfaite. La gifle, bon sang, la gifle. « Oh mon dieu, je suis désolée ... » fit-elle doucement, tout en passant délicatement sa main sur la joue de son ancien partenaire. Quelle gifle !

La jeune femme se réveilla en sursaut, je le sentais a son corps qui s’était totalement contracté. « Aaaaaaaaaaah » c’est officiel, je n’ai plus de tympans. Et boum, une gifle, je rêve, elle m’avait vraiment frappé pour ça ? « Putain ! » je lâche d’un coup, comme ça, sans me soucier de la vulgarité du mot et non, je ne traite pas Tweedy de putain, hein. « Finnick ?! » Je la fusille du regard un instant avant qu’elle ne passe sa main sur ma joue. « Oh mon dieu, je suis désolée ... » fait-elle doucement. « J’te jure que la prochaine fois que tu m’agresses, j’t’en retourne une. » Pendant une fraction de seconde, je suis tout à fait sérieux. Finalement la douleur s’atténue mais je suis sur que j’ai une sale marque rouge sur la joue, je me redresse et la couverture glisse sur mon torse pour arriver a mon bassin. « Je pensais que ça te ferais plaisir un câlin matinal. » je fais en souriant, me retenant de rire parce que quand même, j’avais totalement réussis mon coup. « Putain fais froid dans cette chambre. » j’ajoute, en même temps si j’avais mis un t-shirt j’aurais pas aussi froid, je me glisse de nouveau sous la couette et je repasse mes bras autour de la jeune femme. « Me frappe plus je recherche ta chaleur corporelle. » je fais d’une petite voix, étouffée par la grosse couverture qui nous recouvre tout les deux, dans quelques minutes, on allait crever de chaud, collés l’un a l’autre sous cette couette épaisse.

Sapristi, Finnick était un grand malade. Depuis quand pouvait-on se permettre de s'introduire de la sorte dans le lit d'une fille pour lui foutre une sacrée peur en l'enlaçant subitement et en criant comme un malade ? Non, ça n'était pas permis. Et Tweedy était même prête à dire que c'était tout bonnement interdit par la loi, hm. En tout cas, que Finnick en s'étonne pas de s'être mangé une jolie gifle. Il l'avait amplement méritée. Après tout, il avait pris un sacré risque en débarquant de la sorte et en agissant comme un maniaque sexuel. Bon d'accord, tout était amplement exagéré dans l'esprit de Tweedy, mais n'empêche, la gifle avait été nettement méritée. Bon, pour le coup, Tweedy se sentait tout de même affreusement coupable. Elle n'aimait pas user de violence, même si pour le coup ça avait été plutôt légitime. A entendre le cri poussé par Finnick au moment où il s'était pris la fameuse gifle, celle-ci avait été pour le moins douloureuse, de quoi la faire culpabiliser encore davantage en somme. Le jeune homme, visiblement surpris et contrarié par un tel contact, ne se priva pas de menacer gentiment son ancienne partenaire. Ah ouais ? « Bonne idée, on sait tous que c'est une excellente chose d'user de violence envers les femmes, surtout dans ce jeu » fit-elle, sur un ton quelques peu suffisant, avant de laisser échapper un petit rire. Le coup du câlin matinal était sans doute censé rattraper le coup, n'empêche, il était un peu barge sur les bords le Finnick. « Bah là, tu vois, ça ressemblait plus à une agression qu'à un câlin matinal » s'amusa-t-elle alors. Ouais bon, elle saluait quand même la bonne intention de son ancien partenaire, hein. Là, Finnick lui fit savoir qu'il avait froid. Ah ? Et avant que Tweedy ait pu répondre quoi que ce soit, voilà qu'il se glissa à nouveau sous la couette et qu'il retenta une étreinte, cette fois-ci mieux accueillie par la jeune femme. « Si ça n'est que ça ... » fit-elle alors, lâchant un petit rire. La jeune femme enlaça alors fortement son camarade, au point de risquer l'asphyxie il est vrai. Mais les risques, ça la connaissaient, vous savez bien.

« Bonne idée, on sait tous que c'est une excellente chose d'user de violence envers les femmes, surtout dans ce jeu » Elle me l’offre carrément sur un plateau d’argent mais… « Si ça me permet de dormir avec toi. » Je lâche alors que je me suis déjà refaufiler sous les draps pour l’enlacer. Bah ouais, Ezequiel il dort avec elle, il a juste rien eu comme punition ce mec, je dirais même que la punition c’est moi qui l’ai eut, non ce type a violenter deux femmes et du coup Tweedy veut dormir avec lui, c’est peut être ça le secret… « Bah là, tu vois, ça ressemblait plus à une agression qu'à un câlin matinal » « Roooh, t’abuses. » je fais en riant légèrement, en plus je l’avais pas crié mon bouh, je l’avais fait doucement, mais bon faut croire que par rapport au silence de la chambre, ça ressemblait à un cri. Parce qu’elle avait vraiment bondi comme si je lui avais gueulé dans les oreilles. « Si ça n'est que ça ... » fit-elle en m’entourant de ses bras, elle me serra alors contre elle et je retirai ma tête, enfouie jusque la dans son cou, de la couverture. « T’essaies de me tuer aujourd’hui ? T’es en mission ? Qui veut ma mort ? » je demande, avec un air suspicieux, non parce que si je retirais pas ma tête, j’allais étouffer je vous jure !

Tout de même, Finnick avait fait fort. Débarquer de la sorte dans ce lit, en fichant une belle frousse à Tweedy, ça n'était pas rien. Mais si la jeune femme n'avait pas nécessairement apprécié cette idée sur le moment, disons qu'elle se satisfaisait présentement d'avoir Finnick dans ce lit, à ses cotés. Parce qu'il lui manquait, beaucoup même. Bah oui. Et donc, elle commençait à lui être doucement reconnaissante d'avoir eu cette idée saugrenue. Lorsqu'elle lui fit savoir qu'il n'avait pas tellement intérêt à riposter si il lui venait à l'esprit de lui mettre à nouveau une claque, le jeune homme s'en amusa, en disant que ça lui permettrait sans doute de dormir avec elle. Haha, très drôle Finnick. La jeune femme lâcha alors un petit rire, avant d'affirmer que ce qu'il appelait un "câlin matinal" ressemblait plus à une agression à ses yeux. Comment ça, elle exagérait ? Attendez, on voit bien que ça n'était pas vous qu'il venait de réveiller en sursaut, hein. Bon, laissons tomber tout cela. Le plus important était présentement de profiter de l'étreinte débutée par Finnick. Vu qu'elle avait moins l'occasion de lui faire des câlins depuis qu'il n'était plus son partenaire, Tweedy comptait bien rester de longues minutes dans ses bras. Ouais, carrément. Et si Monsieur n'était pas particulièrement d'accord, et bien, tant pis pour lui, c'était de toute manière la même chose. Voilà. Mais alors qu'elle le serra fort contre elle, voilà que Finnick en vint à penser qu'elle essayait de le tuer. Non mais oh, n'importe quoi hein. Il insinuait qu'elle était en mission, que quelqu'un voulait sa mort. Oula, il allait un peu loin pour elle là. « Tais-toi donc » fit-elle doucement. Finnick avait retiré sa tête des couvertures, alors Tweedy eut l'idée de faire de même. Là, la petite brune commença à déposer de petits baisers dans le cou de son camarade, avant de laisser ses lèvres remonter jusqu'à son menton, ses joues, son nez, son front ... Bref, c'était le soldes, alors le Finnick avait droit à la total'. Un petit rire enfantin s'échappa alors de ses lèvres. Une vraie gamine cette Tweedy.

« Tais-toi donc » fit-elle, euuh, oui, ok chef. De toute manière ce qu’elle fit par la suite ne me donnait plus tellement envie de parler, puisque la jeune femme se mit a poser une quantité de baisers dans mon cou, sur mes joues, mon front… Je levai une main et attrapai son visage. « Arrête de tourner autour du pot. » dis-je en riant, alors qu’elle riait elle aussi, finalement je posai mes lèvres sur les siennes, parce qu’elle est mignonne hein, mais c’était clairement ça, elle tournait autour du pot. « Je veux que tu me dises bonjour comme ça tout les matins. » dis-je doucement, en me reculant de la jeune femme. « De toute manière je viendrai réclamer. » j’ajoutai avec un petit rire en lâchant le visage de Tweedy, ma main repris sa place dans son dos pour notre étreinte qui, non, n’était pas prête de prendre fin. D’ailleurs sans vraiment m’en rendre compte mes doigts caressaient doucement la peau de la jeune femme, pas ma faute si elle porte un t-shirt trop court.

Alors comme ça, Tweedy tournait autour du pot ? Mais point du tout, voyons, point du tout. La jeune femme se plaisait simplement à couvrir le visage de son camarade de baisers. En quoi cela lui indiquait-il qu'elle tournait autour du pot, hm ? Ah, peut être parce que Tweedy ne l'embrassait pas directement sur les lèvres ? Oui, sans doute. Mais de toute manière, il ne se priva pas pour le faire, lui. Ainsi donc, la jeune femme sentit bientôt se poser les lèvres de Finnick sur les siennes, chose qu'elle accueillit avec l'esquisse d'un sourire, bien entendu. Finalement, le jeune homme se recula légèrement et lui fit savoir qu'il voudrait qu'elle lui dise bonjour de la sorte tous les matins. La petite brune laissa alors échapper un petit rictus. Non mais oh, c'est qu'il y prenait gout, le saligaud. Est-ce que, lui, il comptait la réveiller en sursaut tous les matins, aussi ? D'un coté, elle ne préférerait pas, mais d'un autre, ce ne serait pas de refus puisqu'il lui plaisait de passer de temps avec celui qui n'était plus son partenaire et qui commençait à doucement lui manquer. « Et moi je veux que tu me promettes de ne pas faire trop de bêtises maintenant que je suis moins sur ton dos » plaisanta-t-elle alors. Ouais bon, en gros, il avait intérêt à se tenir tout autant à carreaux que quand Tweedy avait été sa partenaire. Parce qu'en fin de compte, tout cela ne changeait pas grand chose. Quant au fait de réclamer, ça ne manqua pas de l'amuser également. « Ce n'est pourtant pas beau de réclamer » fit-elle doucement. Elle sentit bientôt l'étreinte se reformer alors plus intensément. Tweedy ferma les yeux, glissa une main dans les cheveux du jeune homme et savoura cet instant. « J'aime tellement être dans tes bras » avoua-t-elle alors, d'une petite voix. Quoi que, ça, il avait du le remarquer à force.

« Et moi je veux que tu me promettes de ne pas faire trop de bêtises maintenant que je suis moins sur ton dos » je souris et hochai la tête. « Je suppose que je peux essayer de faire ça pour toi. » Ca aurait été quelqu’un d’autre qui m’aurait demandé ça, il aurait pu aller se faire voir. Mais son avis importait, c’était le seul qui importait dans cette maison, l’idée qu’elle avait de moi ne devait pas changer, alors qu’elle était si bonne. « Ce n'est pourtant pas beau de réclamer » ajouta-t-elle. « J’aurais du dire ‘je viendrai le chercher’ plutôt que réclamer, en fait. » dis-je en riant. En fait elle n’avait pas le choix, si on pouvait se caser un petit moment à deux le matin, ça me ferait la journée. « J'aime tellement être dans tes bras » dit-elle, alors qu’une de ses mains s’était glissée dans mes cheveux. Je souris, posai encore mes lèvres sur les siennes. « J’y prends goût, fais attention… » Dis-je doucement alors que mes doigts caressait toujours la peau de son dos. Ce a quoi je prenais goût, c’était tout ça, ses baisers, ceux que moi je lui donnais, le fait qu’on ait tendance, depuis quelques temps, à se rapprocher physiquement par une étreinte. « J’ose espérer être le seul à avoir droit à ce traitement de faveur… ? » je demande, pas très sur quand même mais pour être honnête je suis un peu possessif en ce qui la concerne, au cas ou elle aurait pas encore compris que c’était aussi pour ça que j’avais légèrement peté un plomb sur le prime. Déjà qu’elle avait embrassé Keelan juste devant moi, même si sur le moment je n’avais rien dit, en fait ça ne m’avait pas plu du tout. Mais d’un autre coté, j’ai aucun droit sur cette fille, c’est un peu comme une meilleure amie pour moi, dans le jeu, une meilleure amie que j’embrasse et que je prends des mes bras, oui c’est tout à fait ça en fait.

Soyons clairs, Finnick n'avait pas tellement intérêt à faire n'importe quoi maintenant que Tweedy n'était plus sa partenaire et donc qu'elle ne pouvait plus veiller au grain. Désormais, la jeune femme devait surveiller quelqu'un d'autre, mais ça ne signifiait pas que Finnick avait carte blanche pour déconner, hein. De toute manière, partenaire ou pas, Tweedy s'arrangerait pour être perpétuellement dans les parages, si bien qu'il la verrait débouler chaque fois qu'elle le soupçonnerait de tourner mal. Alors, qu'il fasse gaffe. « Ça me fait plaisir de t'entendre dire ça » répondit-elle, lorsque le jeune homme lui fit savoir qu'il pouvait bien faire ça pour elle. Car, même si Tweedy avait tendance à en rajouter quelques peu et même à plaisanter légèrement sur le sujet, elle appréciait le fait que Finnick lui dise qu'il pourrait essayer de rester bien sage, et ce, pour elle. Finalement, après que la jeune femme lui ait fait savoir qu'il n'était effectivement pas beau de réclamer - genre, le scoop - le jeune homme tenta de rétablir le tir. Ben voyons. La jeune femme plissa doucement les yeux avant de laisser échapper un petit rire. Bon, disons que ça passait pour cette fois, hm. Par la suite, Tweedy n'hésita pas à profiter pleinement de l'étreinte qu'elle partageait présentement avec son ancien partenaire, en glissant notamment ses mains dans les cheveux de celui-ci. C'est alors que le jeune homme l'embrassa à nouveau, ce qui fut loin de lui déplaire, même si, pour le coup, c'était à s'y perdre complètement. « Moi, j'y ai pris goût depuis quelques temps déjà » avoua-t-elle doucement, tandis qu'elle vint déposer un petit baiser au coin de ses lèvres. Puis, elle laissa échapper un nouveau petit rire face à la remarque du jeune homme. « Tu crois peut être que j'offre des câlins et des bisous au premier venu, hm ? » demanda-t-elle, quelques peu amusée. Ça n'était pas son genre, sachez-le. Là, Tweedy prit véritablement conscience que les mains de son camarade se trouvaient placées contre son dos, et pour cause, elles la faisaient frissonner. « Je viens de ressentir un de ces frissons ... » laissa-t-elle échapper. Et dire que sa mère avait longtemps été la seule à la caresser de cette manière.