Pendant un instant j’ai réellement cru que la jeune femme allait tout arrêter, après qu’elle m’eus pourtant rendu mon baiser, c’était plein de passion, de désir aussi parce qu’on ne pouvait plus le nier, nos gestes parlaient d’eux-mêmes. Mais elle avait planté son regard dans le mien un court instant, je m’étais alors soulevé un peu plus, décollant totalement mon torse d’elle, m’apprêtant déjà a m’éloigner dès qu’elle me le demanderait mais… Elle n’en fit rien et se souleva elle aussi pour m’embrasser à nouveau, alors je me baissai à mon tour pour qu’elle puisse reposer son corps sur le lit, la couverture était primordiale ici car ni elle ni moi ne tenions à nous exposer, déjà que les caméras avaient suffisamment d’images pour deviner ce qu’on était en train de faire. Ca et le fait qu’on ne parlait plus. Je sentais ses mains glisser dans mon dos, ses caresses réveillant tous mes sens. N’y tenant plus, mes mains se glissèrent sous son pantalon de pyjama, je tirai doucement dessus pour le lui retirer, encore une fois elle pouvait m’arrêter quand elle le voulait mais j’espérais qu’elle n’allait pas le faire car j’avais réellement envie d’elle, là, tout de suite. Ce serait me frustré que de toute arrêter maintenant. Encore une fois mes lèvres dévièrent des siennes, elles redescendaient le long de sa mâchoire, près de son oreille, dans son cou, le long de celui-ci, à la naissance de sa poitrine… C’était trop tard pour m’arrêter maintenant.

Arrêter ? Tweedy y pensa un court instant, mais il était évident qu'elle n'en avait aucunement envie. Ce qu'elle voulait par contre, c'était que tout cela continue, et surtout pas que ce moment prenne fin. Elle appréciait tant les baisers échangés avec Finnick, les caresses aussi ... Tout était si plaisant qu'elle n'avait qu'une envie : aller au bout. Étrange quand on sait que beaucoup la prenaient pour une petite pucelle prude et sans la moindre expérience. Pourtant, c'était bel et bien Tweedy qui avait de nouveau embrassé son camarade, alors que celui-ci avait très probablement cru qu'elle allait mettre fin à cet échange si agréable. Elle sentit bientôt le corps du jeune homme retomber doucement sur le sien, la plaquant alors contre le matelas, tandis qu'elle vérifia que la couverture empêchait bel et bien la caméra de voir ce qu'il se passait par ici. Les mains de Tweedy glissèrent dans le dos de Finnick, tandis que celles du jeune homme vinrent descendre le pantalon de pyjama de la petite brune qui, rappelons-le, portait - étrangement - des sous-vêtements sous celui-ci. Bientôt, elle put également sentir les lèvres de son camarade s'aventurer sur sa mâchoire, tout près de son oreille ensuite, puis dans son cou, descendant bientôt vers sa poitrine. Sans trop réfléchir, Tweedy prit alors la décision de le débarrasser de son pantalon de sport, histoire qu'il soit à son tour plus à l'aise. Autant vous dire qu'elle était présentement un peu perdue quant à la nature de sa relation avec Finnick. Est-ce que des amis étaient censés se comporter de la sorte ? Peut être. Elle n'en savait rien, en fait. Tout ce qu'elle savait, c'est que tout cela devait impérativement continuer, qu'elle en voulait plus, toujours plus. Voilà pourquoi la jeune femme alla capturer une nouvelle fois les lèvres de Finnick, avant que les siennes ne viennent embrasser le menton du jeune homme, son cou, jusqu'à descendre sur son torse, pour y déposer quelques baisers également. Tweedy vint ensuite retrouver le regard du jeune homme, à qui elle adressa un tendre sourire, avant de l'embrasser à nouveau, ses mains placées au niveau de ses épaules. C'est officiel, elle ne contrôlait plus rien.

Ce qui était certain, c’est que je n’allais pas regretter ce qu’on était en train de faire. Mais j’avais peur que, elle, plus tard, en y réfléchissant, le regrette et que du coup elle prenne ses distances avec moi. Honnêtement ça me ferait chier, mais en cet instant j’étais bien trop omnibulé par elle et par mon désir pour elle que je ne pensais pas aux conséquences, je ne pensais qu’a faire monter son désir au même niveau que le mien et quand elle entreprit de me retirer mon pantalon, je compris que j’y étais parvenu. Je détachai alors un instant mes lèvres de la jeune femme et nous retirai à tous les deux nos pantalons, on avait décidemment plus besoin de ça. Je passai alors une main sur sa jambe nue, la ramenant contre mon flanc, je plaçai ma main sous son genou et la descendit ensuite le long de sa cuisse, puis sur son ventre. Ses lèvres avaient repris l’assaut des miennes avant de descendre jusqu'à mon torse, chacun de ses baisers me brulait la peau, un feu dévorant me consumait de l’intérieur et rien, si ce n’est continuer, ne pourrait l’apaiser. Je passai ensuite une main sous son dos, l’obligeant a se redresser un peu et d’un geste précis je dégrafai son soutien gorge, les mecs sans expérience on toujours du mal avec ça mais pour moi c’est devenu facile. Je lui retire alors ce bout de tissus qui encore une fois ne m’intéresse pas et passe une main sur sa poitrine, doucement, je caresse son sein alors que je picore sa peau de milles et uns baisers.

Il n'y avait sans doute pas de mot pour définir l'état dans lequel se trouvait présentement Tweedy. Car la jeune femme se sentait presque étrangère à son propre corps, qui désirant tant Finnick, alors qu'elle s'était comportée avec lui comme une amie ne serait-ce que quelques instants plus tôt. Mais voilà qu'ils échangeaient des baisers, des caresses et qu'ils se dévêtirent petit à petit, se retrouvant bientôt quasiment nus, tandis que le désir semblait maitre de leurs mouvements respectifs. Que faire maintenant ? Il était bien trop tard pour freiner la machine, et cela tombait bien, puisque Tweedy n'en avait aucune envie. Par contre, elle se demandait quoi faire, vu qu'elle n'avait pas une grande expérience dans le domaine. Ainsi donc, une certaine appréhension s'empara d'elle, mais ne tarda pas à être dissipée par la maitrise que Finnick semblait avoir de la situation. Elle s'en remettait à lui, c'était certain. Parce qu'elle lui faisait confiance. La moindre caresse qu'il lui prodiguait lui faisait un bien fou, sans doute n'en avait-il même pas totalement conscience. Finalement, le jeune homme entreprit de la redresser légèrement afin de pouvoir la débarrasser de son soutien-gorge, ce qu'elle accepta bien volontiers. Encore une fois, elle remarqua toute l'aisance dont faisait preuve Finnick. Une aisance qui aurait pu la mettre mal à l'aise mais qui, au contraire, la rassura grandement. Elle le sentit alors caresser sa poitrine, l'embrasser, et tout cela était bien évidemment tout à fait agréable. Alors, pour lui montrer qu'elle était toujours aussi partante, Tweedy s'essaya à lui retirer son boxer, comptant sur son camarade pour l'aider un peu, vu qu'elle n'était pas nécessairement très bien placée pour le faire. Lorsque ce fut chose faite, la petite brune caressa délicatement la chute de reins du jeune homme, alors de déposer un baiser furtif sur ses lèvres et de replanter son regard dans le sien. Là, elle semblait lui demander ce qu'elle devait faire. Qu'il la guide, qu'il l'aide d'une quelconque manière, parce qu'elle se sentait soudainement un peu perdue. Il faut dire que tout cela était si inhabituel.

Au souffle court de la jeune femme, je savais qu’elle appréciait ce que je faisais, ce qui me donnait d’ailleurs encore plus envie de continuer, j’étais certain maintenant qu’elle ne m’arrêterait plus, a partir du moment où elle m’avait laissé la déshabiller, j’avais compris qu’on irait jusqu’au bout. Je sentis ses doigts sur mes hanches, tentant de glisser mon boxer le long de mes jambes alors je m’arrêtai encore une fois de l’embrasser pour m’occuper de ça, j’étais désormais totalement nu, sous cette couette qui, dieu merci, nous protégeait encore des regards bien qu’elle conservait notre chaleur corporelle qui elle, ne cessait de monter. La jeune femme posa encore un baiser sur mes lèvres avant de me jeter un regard significatif, elle ne savait pas quoi faire, je pris alors sa main et la dirigeai vers le bas de mon ventre, elle allait vite comprendre, et puis l’aider un peu je fis pareil avec ma main, retirant d’abord son dernier vêtement avant de doucement caresser son intimité, le point de non retour on y était, clairement. Qui l'eus cru, qu'elle et moi en arriverions à ça, la première fois qu'elle m'avait embrassé je n'y avais même pas cru, je nous voyais rester amis tout le long du jeu, mais c'est ce qu'on était, non ? Des amis... C'est quoi déjà le terme exact ? Sexfriend, hm, oui ça s'apparente plus à ça.

Quoi qu'il soit en train de se passer dans ce lit, sous cette couette, cela plaisait grandement à Tweedy. C'est bien simple, elle ne voulait aucunement que cela prenne fin. La seule chose qu'elle voulait désormais, c'était aller au bout. Le plus dingue à ses yeux était encore qu'elle ne s'était jamais imaginée pouvoir vivre ce genre de choses au sein d'un tel jeu, qui plus est avec Finnick, son ancien partenaire et la personne qui comptait le plus pour elle en ces lieux. C'était juste une histoire de fous. Mais alors qu'on aurait pu la croire déstabilisée à l'idée de s'offrir à son camarade, à lui et pas à un autre, ça n'était pas tellement le cas. Bien sûr, la petite brune avait du faire face à une certaine appréhension, ayant craint dans un premier temps de commettre une énorme bêtise, d'agir sous le coup d'un béguin passager, de laisser s'exprimer un désir qui ne devrait peut être pas être. Mais au fil des minutes, elle s'était fait une raison : elle désirait véritablement Finnick, et il n'était pas certain qu'un tel désir ait pu naitre quelques minutes plus tôt. Selon sa théorie - qu'elle n'allait évidemment pas lui faire partager - ce désir avait été bien présent dès leurs premiers échanges, mais puisqu'elle avait immédiatement considéré le jeune homme comme un ami et rien d'autre, elle n'y avait jamais prêté plus d'attention que cela. A croire que ce moment savoureux remettait en question certaines de ses pensées. Quoi qu'il en soit, maintenant que le jeune homme était nu, elle n'était pas très certaine de savoir quoi faire. Elle l'embrassa alors une nouvelle fois, avant de l'inciter, en un regard, à la guider histoire qu'elle sache quoi faire. Et là, elle le sentit prendre sa main et diriger celle-ci au niveau de son intimité. Hum ... okay. Alors, sans réfléchir, Tweedy se mit à caresser délicatement cette partie de l'anatomie du jeune homme. Une partie masculine qu'elle ne connaissait que vaguement à vrai dire. Espérons alors qu'elle s'y prenne bien. Bientôt, elle le sentit retirer la dernière couche de vêtement qu'elle portait sur elle, puis caresser à son tour son intimité, ce qui ne manqua pas de lui faire du bien. Alors, sentant qu'il serait bien inutile de retarder la chose, Tweedy repartit à la conquête des lèvres de son camarade, venant encercler la taille de celui-ci à l'aide de ses jambes et s'agrippant à son dos avec énergie. Elle colla ensuite son front au sien, le souffle court, avant de l'embrasser de plus belle. Qu'il la fasse sienne désormais, elle était prête.

Si on m’avait dis au début du jeu que Tweedy serait plus qu’une simple amie pour moi, je ne l’aurais pas cru. J’aurais même probablement ris, parce qu’au tout début, sur le premier prime, à notre arrivée, je pensais qu’on allait pas s’entendre, je la trouvais déjà étrange mais en même temps au fil des jours je l’ai trouvée intéressante. Mais tout de même, je n’aurais jamais cru me retrouver dans cette position avec elle. Mais je la désirais si ardemment que je n’avais pas d’autre choix que de le croire. La jeune femme, manifestement pas certaine de ce qu’elle devait faire, posa ses doigts sur mon intimité, avant de prendre un peu plus d’assurance et de m’embrasser à nouveau, le désir montait en flèche chez l’un comme chez l’autre, je retirai alors ma main quand elle enroula ses jambes autour de moi, ses mains s’agrippèrent à mon dos et j’entrai alors en elle. Doucement d’abord, puis plus vite, jusqu'à l’extase totale et là je pus me retirer et m’allonger à coté d’elle, il faisait tellement chaud sous cette couette que j’avais envie de nous en débarrasser d’un coup de pied mais je n’en fis rien, à la place je posai un baiser sur la joue de tweedy, puis dans son cou restai là un instant, ma tête enfouie dans ses cheveux, tâchant de reprendre mon souffle.

Tout allait vite, très vite. Tellement vite que la situation devenait petit à petit incontrôlable. Mais n'était-ce pas en quelques sortes une bonne chose, dans la mesure où cela les empêchait de trop réfléchir, de se poser mille et unes questions ? Ils profitaient de l'instant présent, et c'était bien mieux que de penser à l'avenir, pour une fois. De toute manière, Tweedy était désormais bien connue pour faire preuve d'une grande insouciance, parfois même d'une grande inconscience, alors il n'était pas tellement étonnant qu'elle agisse de la sorte, sans tellement réfléchir aux conséquences que de tels actes pourraient avoir sur la suite du jeu, mais surtout sur sa relation avec Finnick. Non, à tout ça, elle préférait ne pas y penser. Et donc, elle se contentait de profiter de sa présence, de son corps, de lui tout simplement. C'est alors qu'après qu'ils se soient réciproquement caressés, Tweedy le sentit entrer en elle, d'abord avec douceur, puis avec plus d'ardeur. Toujours bien agrippée à son dos, elle savoura pleinement ces quelques instants, qui ne manquèrent pas d'être exquis, jusqu'à ce qu'elle sente une intense vague de plaisir monter en elle, visiblement partagée par son camarade, et que quelques minutes plus tard, il se détacha d'elle pour se laisser retomber sur le coté. Finnick l'attira alors contre lui, déposant d'abord un baiser sur sa joue, pour ensuite en déposer un dans le cou de la petite brune et enfouir sa tête dans les cheveux de cette dernière. Tweedy posa alors une main sur le torse du jeune homme, s'arrangeant par la suite pour déposer sa tête sur l'épaule de celui-ci. « Promets-moi que tu ne feras pas comme si je n'existais plus à compter de maintenant » articula-t-elle, d'une petite voix. Sans doute avait-elle besoin d'être rassurée. Oui, sans doute.

La jeune femme psoa une main sur mon torse avant de poser sa tête sur mon épaule. Je dégageai donc ma tête de la où elle était, caressant son bras d’une main. « Promets-moi que tu ne feras pas comme si je n'existais plus à compter de maintenant » Je fronçai les sourcils, je me demandais pourquoi elle me demandait ça. Avait-elle l’impression que j’étais le genre de type a couché et à laisser tomber la fille tout de suite après ? Non en fait elle avait raison, c’est mon genre. Mais pas avec elle, parce qu’elle s’est fait une place dans ma vie. Je pose mes doigts sur son menton et l’oblige à lever la tête vers moi, je la regarde dans les yeux un instant avant de dire. « Je te le promets. Ca n’a jamais été mon intention. » Je souris, pose un baiser chaste sur ses lèvres (comparé a ce qu’il vient de se passer, c’est bien chaste) et je tends le bras au dessus d’elle pour récupérer au moins mon boxer que je renfile. Je veux bien rester dans le lit avec elle, mais même si je suis à l’aise avec mon corps, je préfère renfiler ça, on ne sait jamais que quelqu’un entre et tire sur la couette… Ok j’abuse.

Tout avait été parfait. Vraiment, Tweedy avait fait en sorte de savourer chaque seconde passée en communion avec Finnick, tant ce moment avait été agréable. Une fois redescendue sur terre, elle avait été attirée contre son camarade, et lui avait alors demandé de lui promettre quelque chose. A cet instant précis, il était très probable que Tweedy craigne d'être abandonnée par le jeune homme, que celui-ci décrète qu'il n'avait désormais plus besoin d'elle, ayant obtenu ce qu'il désirait. Peut être bien qu'elle se faisait du soucis pour rien, mais il fallait bien avouer qu'elle ne le connaissait pas encore véritablement, et donc qu'elle était en droit de se demander s'il ne voudrait pas cesser de la voir maintenant qu'ils avaient passé un moment ensemble. Mais voilà que Finnick lui promit de ne pas renier son existence, en lui affirmant que ça n'avait même jamais été son attention. Il déposa alors un petit baiser sur ses lèvres, et la petite brune ne put s'empêcher de sourire grandement face à de telles paroles. Elle se rendit ensuite compte qu'il renfilait son caleçon, et en vint donc à la conclusion qu'il serait également bien qu'elle renfile ses sous vêtements. Ainsi donc, s'asseyant dans le lit, elle ne tarda pas à se revêtir partiellement, avant de se laisser retomber dans ses bras. Déposant un nouveau baiser sur ses lèvres, elle se blottit tout contre lui, sa tête à nouveau posée sur l'épaule du jeune homme. « La prochaine fois que j'aurais envie de retirer mon tee-shirt, j'ai intérêt à ne pas me trouver en compagnie des autres. » Un petit rire s'échappa de ses lèvres, tandis qu'elle laissa son doigt tracer des traits sur le torse de son camarade.