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 you're the storm {23/06, 18:05}

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Malo

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MessageSujet: you're the storm {23/06, 18:05}   you're the storm {23/06, 18:05} EmptyLun 18 Juin 2012 - 17:59

you're the storm
~ starring malo and aj


Ses cauchemars revinrent cette nuit. Plus virulents qu'à l'accoutumée, l'empêchant de se rendormir. De peur qu'ils l'assaillissent de nouveau. Les images étaient encore vivaces dans son esprit tandis qu'il vaquait à des préoccupations plus urgentes telles que faire du thé, par exemple. Le seul breuvage dont il ne pourrait jamais s'en lasser. Le seul remontant dont il avait besoin à cette heure-ci de la journée. Hier, il s'était pas remis de la cuite de la veille. Un épisode lui laissait un mauvais souvenir. Il allait se contenter de boire son thé en feuilletant un quelconque magazine pour passer le temps. Dans la cuisine, il se tenait près de la table de travail, l'esprit ailleurs. L'eau en train de bouillir. De la fumée s'échappa de la bouilloire. Il arrêta la gazinière. Distrait, il se brûla le dos de la main contre la bouilloire brûlante. Il étouffa un injure et se précipita vers l'évier. Il passa sa main dans l'eau pour atténuer la douleur. Las, il soupira. Ensuite, il se dirigea vers le cellier pour y prendre une crème apaisante. La marque apparut. La peau prit une teinte rosée. Mais il fut ravie de voir que la brûlure n'était que superficielle. Il sentait encore des picotements. Il revint à la cuisine et but son thé dans le calme absolue. Dix-huit heures. Il eut envie de prendre un bain. Pour détendre ses articulations et ses muscles. Et surtout effacer de sa tête cette semaine maussade. Il remonta les escaliers et arriva dans le dressing Il laissa sa canne près de la table de couture. Il se déshabilla. Il ne portait à présent qu'un short de bain noir. Il enfila un peignoir avant de diriger vers la salle de bain. Il arriva devant la baignoire. Il ouvrit le robinet d'eau chaude. En attendant qu'elle se remplît, il retourna au dressing pour ranger des vêtements qui traînaient au sol. Il revint quelques minutes plus tard. L'eau était arrivée à un niveau raisonnable. Il ferma le robinet. Il se dévêtit de son peignoir qui tombât au sol. Il se glissa dans la baignoire. Il gémit de plaisir au contact de l'eau chaude. Il reposa sa tête sur le bord et ferma les yeux. Il entendit quelqu'un entrer dans la pièce. En venant ici, il pensait trouver un peu de tranquillité en venant ici. Apparemment, non. Il voulait être seul et ce qu'il fit comprendre en marmonnant : - On ne peut pas être tranquille dans ce château. Il ouvrit les yeux pour voir son interlocuteur. AJ. Il fronça légèrement des sourcils et referma ses paupières. Il sentait la colère monter en lui. Ses poings se serrèrent et sa mâchoire durcit. Elle l'évitait depuis une semaine. Il ne comprenait pas pourquoi elle était fâchée contre lui. Néanmoins, il avait le pressentiment que cela concernait ce qui s'était passé au prime, Dimanche dernier. Ce qui l'énerva d'avantage. Le silence. Ne comptez pas sur lui pour le briser, cette fois. Il en voulait trop à la rouquine pour daigner ouvrir la bouche.
AJ

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MessageSujet: Re: you're the storm {23/06, 18:05}   you're the storm {23/06, 18:05} EmptyLun 18 Juin 2012 - 20:37

Je viens de sortir de mon lit, j'hiberne maintenant, un bouquin de Voltaire entre les mains, je ne pourrais pas dire le temps que j'ai passé sous ma couette bien au chaud. Mais il faut que je me lève, je ne peux pas rester plus longtemps à végérer ainsi. Je prends mon courage à deux mains, et je me lève. Je vais aller me changer, je marche lentement, et je prends mes affaires dans le dressing, puis je finis par rejoindre la salle de bain. Merde. Y a Malo. Je cherche la sortie du regard, mais c'est trop tard, puisse qu'il vient de me repérer. -On ne peut pas être tranquille dans ce château grogne t-il. « C'est le principe de ce jeu, aucun moment de répit. » Je réponds calmement. En le regardant, il ferme les paupières. Il n'est pas de bonne humeur, je note, j'ai remarqué une légère contraction au niveau de son visage, puis il arbore un air assez buté qui ne trompe pas. Il a même les sourcils froncés, il est fermé aujourd'hui. Je peux comprendre. Peut être que s'il m'en veut, ça sera plus facile pour moi, j'imagine. Je pourrais continuer à l'ignorer, comme je le fais depuis dimanche, fin du prime. Il entre dans une pièce, je sors. Il tente de commencer une conversation avec moi, je réponds rapidement et fais semblant de m'adresser à un autre candidat. C'est comme ça que cela marche entre nous pendant presque une semaine, j'ai du échangé trois mots avec lui du style 'bonjour, bien dormi ?' mais sans plus. Cet évitement est volontaire, et c'est moi qui en suis à l'origine. Je l'assume. Tout cela part de la chronique des deux imbéciles je dois dire, ils m'ont aidé à voir clair, si je puis dire. Vous voyez, le blond, me dit qu'il est sûr, puis il s'en va voir Loxias pour lui demander son avis, sur la situation, alors, en plus d'être perdue, je suis vexée, je suis blessée, je suis humiliée par Malo, en quelques sortes. J'aurai pas du lui faire confiance. J'ai passé une semaine à tout intérioriser, c'est pour ça que je l'évite, j'ai peur d'être trop violente verbalement avec lui, de peut-être lui dire certaines choses que je viendrai à regretter par la suite. Alors je fais ce que je fais de mieux, je me contiens. Je m'approche de la baignoire. J'effleure la surface de l'eau, trop chaude. Je reviens à mon activité principale -Malo m'a perturbé- , me changer. Je me place devant l'évier, et je retire mon haut, je me mets de côté, je suis en sous-vêtement- et je remarque un bleu. En voulant courser Nora, je me suis pris de plein fouet un mur, j'avais mal calculé mon virage. Je pose mon tee-shirt à côté de moi, je profite pour faire une petite inspection de mon corps. Heureusement que je fais toujours du sport. Inspection terminée. Je passe une main dans ma chevelure. Je soupire. Je me retourne vivement, et je me repose sur l'évier, les bras croisés, je l'observe en silence. Il est beau quand il est énervé, c'est une évidence cruelle qui s'impose à moi. Mon regard clair est toujours braqué sur son visage, fermé.
Malo

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MessageSujet: Re: you're the storm {23/06, 18:05}   you're the storm {23/06, 18:05} EmptyLun 18 Juin 2012 - 23:37

La paroi de la baignoire épousant parfaitement son corps, il cala sa tête sur le bord et resta ainsi pendant quelques secondes en observant le plafond au-dessus plutôt que de poser un seul regard sur elle. Le trouvant peut-être même plus intéressant à la limite. Sa douleur à la jambe boiteuse n'arrivait pas à le défaire de sa mauvaise humeur du moment. Cela le renfrognait d'avantage. Il ne pouvait plus quitter cette baignoire pour aller chercher ses maudits antidouleurs. Plutôt se noyer que de demander de l'aide à la rouquine. De toute façon, elle l'aurait ignorée. Autant parler à un bloc de pierre. Il était remonté contre elle. Ce n'était pas dans ses habitudes. Il devait qu'elle avait un certain de ressortir le côté le plus bourru de la personnalité du créateur. Ce qui l'agaçait encore plus. Il détestait être dans cet état de fureur. Il n'y avait aucune rancœur. Ce que l'attitude de la candidate l'avait profondément offusqué. Son éloignement si soudain l'avait mis hors de lui, car elle le torturait. Apparemment, elle en jubilait presque du spectacle qu'elle avait sous les yeux. Elle effleura l'eau de ses doigts fins pour en vérifier la température. Il ne cilla pas. Il se contenta de l'observer du coin de l’œil et toujours en silence. Il roula les yeux au ciel quand elle commença à se déshabiller. Il la regarda ôter ses vêtements en douceur. Elle se retrouva devant lui en sous-vêtements. Il remarqua un bleu sur son corps longiligne. Il feignit l'indifférence et reporta son regard sur autre chose. Tiens, l'eau par exemple. Il sentit son regard émeraude braquer sur lui. Elle le dévisageait avec insistance. Ne supportant pas d'être épié, il soutint son regard. Elle se tenait auprès de l'évier, les bras croisés. Il ne l'empêchait pas de partir. Il aurait voulu qu'elle quittât la salle de bain. La porte était grande ouverte, ma belle. Elle pouvait s'échapper si elle le voulait. Non. Sa présence ne faisait qu'aggraver la situation et la santé mentale du blond. Allait-elle encore le torturer longtemps ? Leurs regards se croisèrent. Ses yeux s'assombrirent. Il soupira, puis lança sèchement : - Et maintenant, tu peux sortir s'il te plaît. J'ai envie d'être seul, tu vois. De la dureté se lisait dans son ton. Ses traits se figèrent. Il était tout simplement exténué de courir après elle et de s'excuser. Il était quelqu'un de clément. Cependant, sa patience avait tout de même des limites. Là, il était aux bords de craquer. Le retour du silence. Plus pesant cette fois-ci. Ils ne se quittaient pas du regard. C'était au premier qui faiblira, c'est ça ? La persévérance et la patience étaient deux de ses qualités. D'autres appelleraient cela de l'entêtement. Pour lui, c'était comme un défi à relever. Il était hors de question de céder. Il devait se montrer ferme et intraitable avec elle. Une autre facette de sa personnalité qu'elle ignorait sans doute. Que lui-même ignorait jusqu'à aujourd'hui. D'habitude, il intériorisait toujours tous ses ressentiments. Y compris sa rage. A ce moment précis, il n'avait jamais autant en voulu à une femme de toute sa vie. Néanmoins, il ne pouvait s'empêcher d'être troublé de la voir avec si peu de vêtements sur elle. Cela amplifiait sa frustration. Il ne laissa pas transparaître son trouble en arborant une expression blasée et sévère.
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MessageSujet: Re: you're the storm {23/06, 18:05}   you're the storm {23/06, 18:05} EmptyMar 19 Juin 2012 - 9:42

Tant pis, je ne ferai pas demi-tour, même si la présence de Malo n'arrange pas mon humeur, je composerai avec. Lui aussi est énervé, contre moi, je paris, ce n'est pas bien difficile. J'ai une certaine tendance à le pousser à bout ces derniers temps, je sais, c'est volontaire. Enfin non, bref. J’enlève mon tee-shirt en le faisant passer par en haut, et je capte le regard levé de Malo, je fais de même agacée, je lève les yeux au plafond, en soupirant. Oui, il m’agace en fait. Son regard m’évite, je le vois bien, il essaie de s’intéresser au plafond, puis à l’eau. Bah quant à moi, je fais le contraire, je le fixe sans aucune gêne –c’est pas comme si j’en avais habituellement mais bon- , je le confronte. D’ailleurs, il répond assez rapidement. - Et maintenant, tu peux sortir s'il te plaît. J'ai envie d'être seul, tu vois. m’ordonne-t-il assez sec. Je fronce les sourcils, et je fais non de la tête, de gauche à droite, non, je ne partirai pas. S’il s’imagine que je vais lui obéir, je ne l’ai jamais fait, et je ne commencerai pas pour lui, autant le dire clairement. « Non, je n’en n’ai pas envie. » Je réponds, assez froide, plutôt détachée. Mon visage est assez impassible. C’est lui qui a commencé à donner le ton, je ne fais que suivre. Finalement, je suis assez déterminée à rester ici. Malo soutient mon regard, sans ciller, quant à moi, je ne le lâche pas des yeux, c’est une sorte de combat, qui sera celui qui laissera l’autre gagner. Pas moi. Certainement pas. Et lui non plus ne semble pas prêt à lâcher, très bien, puisse qu’il en est ainsi. Je le trouve un peu gonflé de réagir ainsi, attendez, remettons tout à plat, c’est quand même lui qui ne sait pas ce qu’il veut, oui, non, il va même demander l’avis d’autres candidats après m’avoir dit d’être sûr de ce qu’il veut réellement. Ce n’est pas moi la girouette dans l’histoire. Quoique ... Je me l’effet d’une girouette aussi. Je l’évite, je me rapproche de lui, je l’évite, il va bien falloir que je me décide une bonne fois pour toute, je ne sais pas. Normalement, puisse que je suis dans ma phrase ‘je l’évite’ je devrai normalement sortir de la pièce, d’ailleurs, je ne fixe pas la porte, non, je ne détournerai pas mon regard du sien. Vert contre bleu. Je continue toujours à le fixer, je ne l’ai jamais trouvé plus attirant que maintenant, je dois dire. Seul dans sa baignoire, avec sa mine sévère et son air autoritaire. Je crois que j’ai un problème, je dirai déformation professionnelle, à cause de l’armée, j’ai toujours eu des problèmes avec l’autorité et les rapports de forces. « Tes yeux sont des révolvers maintenant. » Je commente simplement en croisant un peu plus les bras. Cette fois, je m’assois réellement sur le bord de l’évier, je n’ai plus prévu de partir. Si ses yeux pouvaient tuer, je crois que je serai morte aujourd’hui, je vous jure.
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MessageSujet: Re: you're the storm {23/06, 18:05}   you're the storm {23/06, 18:05} EmptyJeu 21 Juin 2012 - 15:12

Les coudes posés de part et d'autre de la baignoire, ses doigts agrippaient les bords. Ses muscles se contractèrent et son regard se noircit. Ses iris prirent une teinte nouvelle. Le bleu devint acier. De l'eau perlait sur ses cheveux blonds. Un de ses mains - la gauche - vint caresser sa nuque. L'autre échoua sur la surface de l'eau que ses phalanges effleuraient avec délice. Il ressentait une forme de frustration, de rancœur au fond de lui, qui brûlaient ses entrailles. Il se débattait, en proie à de vicieuses chimères qui, de leurs griffes insidieuses et glaciales, aimaient à racler l’intérieur de son ventre, léchant avec violence ses côtes. Il continuait à la toiser sans retenue. Sa présence dans cette pièce ne faisait qu'accroître sa rancune. Il la regarda agiter la tête frénétiquement. Sa réponse ne se fit pas attendre, elle se veut cassante : - Non, je n’en n’ai pas envie. Son visage d'une insolence affligeante se voulait inexpressif, indifférent. Elle était désinvolte, détachée. Et cette froideur, cette froideur fallacieuse qui la caractérisait elle la brandissait comme un bouclier à l'encontre de toute attaque. Le sang de l'anglais bouillonnait dans ses veines. Il ne la comprenait plus. Elle avait tout fait pour ne croiser plus croiser son visage. Maintenant, elle voulait rester. Il soupira. Il aurait préféré la disparaître de sa vue, plutôt de supporter son regard irascible. Elle lui avait ôté toute envie de sérénité. Il se mordit l'intérieur de la joue. Elle se permit alors de commenter : - Tes yeux sont des révolvers maintenant. Elle s'assit sur le bord du l'évier. Ils continuèrent à se dévisager avec insistance. Il ne cilla pas à sa remarque inutile et désobligeante. Il s'abstint d'y répondre, préférant encaisser le mieux qu'il pouvait. Elle le torturait, elle jouait avec ses nerfs depuis une semaine. Enfin, le silence revint. Un silence encore plus désagréable, plombant l'atmosphère serein des lieux. Il était exténué. Les réactions de la rouquine prenaient des disproportions excessives. Cette semaine était chaotique. Pourquoi avait-il l'impression d'être le seul à avoir été atteint par cet éloignement délibéré de la jeune femme ? Il la détailla de la tête aux pieds. Il reluqua chaque partie de son corps élancé. De son cou gracile jusqu'à ces cuisses filiformes. Il replongea ses prunelles dans les siennes. Il réprima avec difficulté son envie irrésistible de la toucher, sentir son corps vibrer. Il n'avait jamais été aussi envoûté par elle qu'à ce moment précis. Il chassa cette pensée lascive de son esprit. Il lui lança d'un ton péremptoire : - Tu ne pourrais pas mettre des vêtements sur le dos. Ça commence à me mettre mal à l'aise. Il avait admiré tant de corps féminins dans son existence, mais seul son corps provoquait chez lui un tel effet. Un étrange mélange de désir et de possessivité. Toutefois, il ne flancha pas. Il ne cessait de se rappeler qu'elle l'avait évité. Dès lors, il se remit les idées en place se concentrant sur autre chose. Irrité, il se mordilla les lèvres et lui demanda d'une voix acerbe : - Qu'attends-tu de moi, AJ ? Des excuses, peut-être ? Désolée de te décevoir, je n'ai rien à me reprocher cette fois-ci. Il croisa les bras. Son regard se fit plus menaçant. Las, il soupira : - Quoique je fasse, ce n'est jamais assez pour toi. Je suis un homme et j'ai des limites. Je crois qu'un de nous est de trop ici. Je préfère m'en aller avant de dire des choses que je ne pense pas. C'était elle, la cause de sa mauvaise humeur. Il ne pouvait plus cautionner l'attitude de la candidate. Elle était allée trop loin cette fois-ci. Il se leva, posa un pied sur le sol carrelé et l'autre suivit. Il portait un short de bain qui lui collait à la peau. Il ramassa son peignoir à terre et se dirigea vers l'évier. Il ne préférait plus la regarder. Il était trop furieux contre elle pour daigner la fixer de nouveau. Il saisit une serviette et se sécha sans dire mot.

ps : désolée, ce n'est pas terrible. à force de recommencer, je n'ai plus le courage d'écrire correctement.
AJ

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MessageSujet: Re: you're the storm {23/06, 18:05}   you're the storm {23/06, 18:05} EmptyJeu 21 Juin 2012 - 17:49

Il me demande de me rhabiller pourtant je sens son regard sur mon corps, j’arque un sourcil, je soupire, et j’attrape quand même le tee-shirt que j’avais prévu, et je l’enfile puisse que monsieur est mal à l’aise. Ce tee-shirt pâle est bien trop grand puisse qu’il glisse sur ma peau et dénude l’une de mes épaules, je ne le remets pas en place. Je remarque que ce n’est qu’avec moi qu’il emploie ce ton-là, dur, avec les autres, il est étrangement calme et doux. Bon, en même temps, il n’y a que moi qui agis ainsi avec lui, je l’avoue. Je n’ai pas d’excuse. Il commence enfin à parler, me demandant si j’attendais des excuses, il ne me les dira pas. Je secoue négativement la tête, puis il continue. En me disant que de toute manière, quoi qu’il fasse, ce n’était jamais bien pour elle. Faux.Il se lève et sort de sa baignoire, il veut apparemment quitter la pièce, Malo commence à se sécher sans même m’adresser un regard, c’est dur en fait. Il ne voudrait pas me lancer des paroles qu’il ne pense pas, mais j’ai bien l’impression qu’il me déteste à ce moment-là. « Attends ... » Je lui demande brutalement en décroisant mes bras, je saute de l’évier en un souple saut, et mes pieds touchent le sol rapidement, je m’approche de lui. Il évite mon regard, je sens qu’il est furieux après moi. Je lui prends sa serviette des mains, et je la cache derrière mon dos. « Regarde-moi Malo. » Je lui demande simplement, en attendant, en face de lui, qu’il daigne me regarder. Je patiente, il finit tout de même par s’exécuter malgré sa mine renfrognée. « Je cherche toujours des raisons parce que c’est plus facile de reporter les fautes sur toi, que me remettre, moi, en question, c’est plus facile, j’en ai conscience. » Je m’explique en croisant son regard glacé qui me faisait frissonner, frissons que je réprimais difficilement. Je soutiens alors son regard, avant de continuer. « C’est moi qui fais n’importe quoi dans l’histoire, c’est pas toi. » Je poursuis, j’essaie de m’expliquer, je ne me vois passer une nouvelle semaine à éviter Malo. Cette semaine, j’ai saisi qu’en fait, c’est moi qui condamnait déjà notre ‘relation’ s’il on pouvait l’appeler ainsi à l’échec. J’avais beau me rassurer en me disant que c’était Malo qui ne savait pas ce qu’il voulait, parce qu’il me disait qu’il savait avec moi, puis se retournait ensuite vers Loxias pour des conseils. C’est con, mais dans l’histoire, c’est moi qui suis défaillante, je l’ai compris. « Donc ... c’est moi qui te dois des excuses, pour tout ça. » Je dis alors. C’est tellement dur pour moi, de m’excuser, d’admettre que c’est moi qui ai tord cette fois, oui, c’est dur. « Ne réponds pas s’il te plait. » Je lui demande alors, en lâchant sa serviette. Je m’approche de lui, l’une de mes mains vient s’agripper à sa nuque et je l’attire vers moi. Mes lèvres rencontrent les siennes en un langoureux baiser. Je me colle à lui. Je suis une fille impulsive, un brin lunatique je dirai, et là, je ne résiste pas à ma pulsion. Il m’attire, et je ne le nie pas.
Malo

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MessageSujet: Re: you're the storm {23/06, 18:05}   you're the storm {23/06, 18:05} EmptyVen 22 Juin 2012 - 1:29

Il prenait son temps pour se sécher. On penserait presque qu'il en faisait exprès. Ce n'était pas le cas. Il envisageait sérieusement à franchir cette foutue porte sans se retourner, sans poser un dernier regard sur la rouquine. Rien, absolument rien ne pouvait lui faire changer. Du moins, c'était ce qu'il croyait.Il était sur le point de rejoindre la sortie, quand soudainement il fut retenue par la voix de la candidate. - Attends ... Il s'arrêta net, il ne se retourna. Il préférait garder le dos tourné pour éviter tout contact visuel. Ce n'était que temporaire. Sa colère redescendrait tôt ou tard. Pour l'instant, il avait les nerfs trop à vif. Ses poings se serrèrent. Agacé, il soupira. Que lui voulait-elle encore ? Il la sentit s'approcher de lui. Elle prit de ses mains sa serviette. Ce qui le fît grimacer. Il fronça d'avantage des sourcils. Il tenta de garder son calme et continua à l'ignorer avec entêtement. Une attitude bornée qui n'était pas digne de lui. Il se comportait comme un enfant. Il prit peu à peu conscience de son comportement puéril. Ses traits commencèrent à se détendre. - Regarde-moi Malo. Il ne s'exécuta pas tout de suite. Il était encore trop remonté contre elle. Il sentait son regard insistant sur lui. Il pivota légèrement sa tête vers elle pour finir par se retourner. Leurs regards se croisèrent de nouveau. Il était prêt à l'écouter. Après cela, il jurait de quitter cette salle sur le champs. - Je cherche toujours des raisons parce que c’est plus facile de reporter les fautes sur toi, que me remettre, moi, en question, c’est plus facile, j’en ai conscience. Son cœur se serra. Elle tentait de lui expliquer pourquoi elle se comportait ainsi avec lui. Jouant avec le feu, à chaque instant. Il savait tout cela. Il aurait voulu l'entendre plus tôt - c'était tout qu'il souhaitait. Il ne lui demandait que des explications et rien d'autre. Au lieu de cela, elle l'avait évité comme la peste pendant toute une semaine. Il avait été blessé par cette soudaine distance entre eux alors qu'il pensait que le pire était enfin derrière eux. - C’est moi qui fais n’importe quoi dans l’histoire, c’est pas toi. Il lui en voulait parce qu'il avait l'impression qu'elle n'avait pas assez confiance en lui pour lui confier toutes ces indécisions. Elle se refermait à chaque fois qu'il tentait de se rapprocher d'elle. Elle se montrait méfiante. Il la comprenait mieux qu'elle ne le pensât. Elle était encore traumatisée de déception amoureuse. Tout ce qu'il demandait c'était qu'elle lui parle, qu'elle lui ouvre son cœur. Jusque là, il s'était toujours montré patient avec elle. Elle ne pouvait pas dire le contraire. Si il ne tenait pas tellement à elle, il aurait lâché l'affaire depuis longtemps. - Donc ... c’est moi qui te dois des excuses, pour tout ça. Elle avait réussi à mettre de côté sa fierté pour lui demander pardon. Il savait combien cela était dur pour elle de devoir dire ses mots. Il ne s'attendait pas qu'elle s'excuse de cette manière. Il était peu confus. Fallait-il la croire ? Il la scruta avec intensité. Il ne décelait aucun mensonge dans ses yeux verts. Son regard s'adoucit. - Ne réponds pas s’il te plait. Il n'eut pas le temps de répliquer qu'elle captura ses lèvres. Un baiser langoureux qui réussit à effacer toute la rancœur qu'il avait. Il y répondit avec autant de fougue. Il posa ses mains sur ses hanches pour la ramener contre lui. La colère laissa place au désir. Ses doigts vinrent caresser les cuisses de la rouquine. Il la souleva pour la déposer sur le bord du l'évier. Il se laissa aller à ses pulsions qui ne faisaient que s'intensifier de minute en minute. Il l'attira contre lui de nouveau. Ses lèvres quittèrent les siennes pour se déposer sur son menton, puis son cou. Ils remontèrent pour reconquérir ses lèvres pulpeuses. Il s'arrêta contre son gré et la dévisagea. Essoufflé, Il murmura : - Tu vas finir par me rendre dingue, tu sais. Il colla son front contre le sien et lui sourit tendrement. Sa respiration était haletante. Son palpitant battait à un rythme saccadé. - Tu m'as manqué., susurra-t-il avant de caresser sa tignasse flamboyante.
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MessageSujet: Re: you're the storm {23/06, 18:05}   you're the storm {23/06, 18:05} EmptyVen 22 Juin 2012 - 2:56

Finalement, je ne veux pas qu’il parte, j’ai décidé de mettre fin à cette situation. Je ne veux pas qu’il se mette à me haïr parce que je l’évite, je veux mettre les choses à plat. Encore une fois. J’ai à peu près dix secondes pour me décider, pour me lancer une bonne fois pour toute avant qu’il ne franchisse la porte et ne disparaisse complétement. Dix, neuf, huit ... Je ne veux pas continuer ainsi avec lui. Sept, six, cinq ... Je l’arrête donc, il se stoppe, je suis presque soulagée, il aurait pu très bien m’ignorer, et partir ... et là, c’était fini. Malgré cela, il ne se retourne pas, et je ne compte pas parler tant que je ne peux pas voir ses yeux. C’est un blocage pour moi. J’aime voir le visage de mon interlocuteur, cela me parait totalement justifié. Je remarque qu’il met un certain temps avant de se retourner, pour enfin me faire face. Je le sens enfin prêt à m’écouter, je crois que je peux y aller. Je lui fais part de ce que je pense, c’est moi le problème entre nous deux, c’est moi qui gâche tout. Parce qu’au fond, c’est moi qui doute. J’ai essayé de rejeter la faute sur lui, mais cela n’a fait qu’empirer la situation, regardez où l’on en est. C’est juste ... ridicule, et c’est encore moi la fautive de tout cela. Finalement, c’est à moi de m’excuser, j’en reviens pas de faire cela parce que je suis pleine d’orgueil et de fierté, et avouer que j’ai tort, bah, ce n’est pas dans mes habitudes. Mais je me dois de le faire, pour lui. Je lui demande de ne rien dire, et j’ose l’embrasser. Il répond à mon baiser, je dois dire, que je pensais qu’il allait plutôt me repousser, mais je suis très loin de m’en plaindre. Ses mains se font baladeuses et arrivent au niveau de mes cuisses, soudain il me soulève, je suis un brin surprise par cette initiative qui ne colle pas à la conduite qu’il s’était promis d’adopter. Je me laisse faire. Ses lèvres parcourent la peau de mon cou, puis mon menton, pour enfin revenir sur mes lèvres, je pousse un léger soupir. Il se décale, pour parler, je l’écoute avec attention. Moi ? Le rendre dingue ? Ce n’était pas vraiment volontaire, je dois dire. «Je m’arrêterai juste à temps alors. » Je lui murmure avant que l’une de mes mains ne vienne caresser sa joue. Il cale son front contre le mien, nos respirations sont anarchiques, haletantes, et très irrégulières. «Toi aussi. » Je lui réponds alors, en toute sincérité. J’ai une vague idée pour fêter notre réconciliation, mais cela n’était pas vraiment en accord avec ce qu’il m’avait dit, rester ... sage, malheureusement. Donc on oublie, malheureusement, encore. Mes lèvres effleurent les siennes avant que je ne vienne mordiller sa lèvre inférieure doucement, puis je l’embrasse pleinement cette fois. J’entoure son bassin de mes jambes, fermement pour le rapprocher encore plus de moi, je veux vraiment le sentir contre moi. Je crois que je suis entrain de céder-là, de craquer, mais bon, je ne suis qu’humaine après tout. L’une de mes mains est toujours agrippée à son cou, pour maintenir sa tête penchée vers la mienne, et l’autre est venue se plaquer contre son dos. Je mets fin à notre baiser, je m’écarte légèrement pour mieux revenir, à l’attaque, mes lèvres reprennent possession des siennes, ma langue rencontre la sienne et l’entraine dans une certaine valse. Je commence à avoir légèrement chaud.
Malo

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MessageSujet: Re: you're the storm {23/06, 18:05}   you're the storm {23/06, 18:05} EmptyVen 22 Juin 2012 - 11:15

L'attraction qu'elle exerçait sur lui était manifeste. En quelques minutes, elle annihilait toute amertume, toute animosité grâce à un baiser salvateur, un baiser lascif. Il sentit sa raison faiblir de plus en plus. Il ne réfléchissait plus à cet instant. Leurs langues se mêlèrent avec délice. Tandis que ses mains parcouraient les cuisses de la jeune femme il la porta jusqu'à l'évier dans un geste vif. Emporté par un élan de fougue, il en oublia la présence des caméras autour alors qu'il était censé se maîtriser. Être sage, c'était son crédo depuis des semaines. Une promesse était une promesse. Le couturier avait toujours été un homme de parole jusqu'ici. Une conduite presque irréprochable tout au long de l'aventure. Il n'allait tout de même pas tout gâché à cause d'un instinct primaire de reproduction dans la salle de bain, si ? Il sentait le désir monter en lui de plus en plus. Il ne pouvait refouler ses envies plus longtemps. Il était avide de ses lèvres. Il les goûtait, les savourait. Sa peau prit une teinte rosée à cause de l'excitation grandissante et de la température ambiante qui ne cessait de grimper. Un feu dévorant l'habitait. Un feu qui le consumait. Il était sur le point de succomber à des pulsions. Ses lèvres dégustant chaque parcelle de son menton et de son cou, reconquirent les siennes. Un soupir s'échappa de la bouche de la candidate. Oui, elle allait le faire céder si elle continuait à s'agripper à lui ainsi. Elle lui répondit : - Je m’arrêterai juste à temps alors. Il soupira. Il espérait en son fort intérieur qu'elle calmerait ses ardeurs avant qu'il ne fléchisse. - Toi aussi., ajouta-t-elle ensuite. Des mots doux qui amplifièrent son envie de la faire sienne. Pensant que la rousse allait se maîtriser à son tour, il fut stupéfait de voir qu'elle continuait à l'émoustiller. Elle titille ses lèvres le faisant languir d'avantage. Il la cala contre lui brusquement. Ses jambes vinrent entourer son bassin. Il frémit quand ses doigts glacés effleurèrent son dos brûlant. Sa main s'agrippait farouchement à son cou. Elle se recula. Il n'eut pas eu le temps de reprendre sa respiration qu'elle revenait à la charge. Ils s'embrassaient avec frénésie. Une de mains du blond souleva son bas du t-shirt qu'il lui ôta rapidement. Son haut vient s'échouer sur le carrelage. A présent, son corps était plaqué contre le sien. Ils ne pouvaient pas être plus proches. Ses lèvres quittèrent les siennes avec regret pour venir se loger au creux de son cou, puis elles descendirent pour toucher sa clavicule. Ses mains tripotaient ses cuisses, puis ses hanches. Ils vinrent effleurer le bas du dos de la rousse. Elle frissonna. Ils remontèrent le long de sa colonne vertébrale. Il baissa une des bretelles de son soutien-gorge, il baisa son épaule dénudé. Ses lèvres emprisonnèrent les siennes. Son baiser se fit sulfureux, ses lèvres appelant ardemment les siennes. Il se retira et lui demanda le cœur palpitant : - Tu veux qu'on le fasse ici ? Il espérait qu'elle répondrait par une réponse négative. Ce serait la décision idéale. Il n'était pas encore trop tard. Ils pouvaient faire machine arrière. Les caméras continuaient à les scruter de tous les coins. Quelqu'un pouvait entrer à tout moment et les découvrir en plein acte. Si ils continuaient, il n'allait pas plus se retenir. Sa décision aurait alors une influence importante sur la suite des événements.
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MessageSujet: Re: you're the storm {23/06, 18:05}   you're the storm {23/06, 18:05} EmptyVen 22 Juin 2012 - 12:57

Les règlements de comptes étaient terminés, j’y avais mis fin. Malo s’occupait de mes cuisses, de mon dos, de ma bouche. Il m’avait brusquement installé sur l’évier, je ne perdais pas une seconde, mes jambes entouraient son bassin, je le ramenais vers moi en un instant. Je ne lui laisse pas le temps de respirer, ou de ne dire quoi que ce soit, je repars à la conquête de ses lèvres, je ne compte pas m’arrêter cette fois, c’est à lui de le faire. Il me lâche juste pour s’emparer du bas de mon haut pour me l’enlever, je l’aide rapidement, il balance le tee-shirt sur le sol, bien plus loin. Il m’enlevait le tee-shirt qu’il m’avait demandé de mettre, manque de cohérence quand même, non ? Il fait lentement glisser une bretelle, avant d’embrasser mon épaule nue, nouveau soupir de plaisir de ma part. Il s’amuse à laisser parcourir ses mains sur mon dos, j’étouffe mes soupirs en me focalisant sur ses lèvres qui se posaient sur les miennes. Il s’écarte à nouveau de moi, je pousse un grognement de frustration mais je l’écoute. Malo me pose une question, question intéressante. Mes lèvres dévient sur sa mâchoire, longuement, je la parsème de baisers, puis je viens m’échouer dans son cou. Sa peau se teinte de rose après le passage de mes lèvres. « Techniquement, ce ne serait pas raisonnable. » Je lui réponds alors en embrassant sa clavicule. « Mais ... » J’ajoute en levant la tête, je croise son regard. Mais j’ai envie de lui là, maintenant, je le veux. Oui, je le veux. Cela fait trois semaines qu’on reste sage, enfin, c’est ce que veut Malo, c’est lui qui a décidé cela dans le dressing. Mais là, je ne peux plus me retenir, je veux qu’il me fasse sienne maintenant, ici, dans la salle de bain. Je n’arrive plus à me contenir, c’est étrange, pourtant, j’ai réussis jusque-là, mais avec lui, dans cette salle de bain, seule avec lui, j’ai du mal à lui résister. Mes envies prennent subitement le dessus. Mais en même temps, je ne peux pas oublier les caméras qui sont dans cette pièce, et le fait que tout le monde puisse entrer dans cette pièce, oh et puis au point où j’en suis, je m’en moque. Je me cambre, mon buste est collé au sien, ma bouche vient chercher la sienne. Un long baiser, nos langues s’effleurent, je l’embrasse langoureusement. Ma main glisse le long de son dos, lentement, en le caressant presque, jusqu’à arriver au bas de son dos, mon autre main est toujours agrippée à sa nuque, je le force à rester à ma hauteur, je l’empêche de s’écarter de moi une fois de plus, il n’a pas le choix. J’emprisonne l’une de ses mains, j’aperçois une légère trace rosée sur sa main, cela s’apparente à une brûlure selon moi, je me demande comme il a pu se faire cela. Je dépose tendrement mes lèvres sur sa peau meurtrie. Puis je reviens sur ses lèvres, dans un baiser bien moins tendre, plus brusque, chargé de désir et d’envie. L’une de mes mains glisse sur sa clavicule, effleure son torse, avant de s’arrêter au niveau de l’élastique de son short de bain noir. Je lève légèrement la tête et je croise son regard bleuté. Je lui laisse le temps de m’arrêter, de nous arrêter. S’il le veut, il a le temps de le faire maintenant, avant qu’on ne continue. Il faut qu’il fasse un choix.

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