monroe.

Comme tous les jours, à la même heure ou presque, tu te rendais dans cette caravane pour te rendre dans la salle de bain. Pas juste pour une promenade de routine, mais afin de te doucher. Chose qui était normalement habituel à tout être humain avec un minimum d’hygiène. Bref. Tu avais presque toujours eu la joie de te retrouver seul dans cette salle de bain. Sauf qu’apparemment, cette fois-ci ce n’était pas le cas, puisqu’une personne se trouvait en face d’un des miroirs. Monroe. Bien sûr. Bon. Tu accroches la serviette que tu avais sur les épaules, et tu enlèves tes chaussures et chaussettes. Tu ne dis rien. Pas pour l’instant. Et puis finalement, tu t’approches de Marilyn. « Tiens, tu pourras me laver ça. » Tu enlèves ton t-shirt, que tu lâches sur elle. « Et ça. » Au tour de ton pantalon de partir. Pantalon que tu mets sur ses épaules. Bah oui, il ne fallait pas qu’elle oublie ta lessive. Jusqu’à la fin. C'était le deal. Et encore, tu ne lui avais pas donné tout les paris que tu étais censé donné. Bon, c'était aussi parce que tu séchais légèrement question idée. M'enfin. Désormais en caleçon de bain, tu ne perds pas vraiment de temps pour te rendre sous la douche et l’actionner, ne faisant pas réellement attention aux occupations de Monroe.

Je suis obsédée par pas mal de choses. Nirvana déjà. Ça occupe pas mal de place dans mon quota obsessionnel. Mais genre, vraiment. Mais s'il y a bien une autre chose qui m'obsède c'est l'hygiène, l'hygiène dentaire particulièrement. Les gens propres c'est un peu le début de tout, mais une bouche propre c'est un minimum. Vraiment. Et comme chaque jour depuis, toujours je crois et bien je viens me brosser les dents, après chaque repas. Je fume tellement que je pourrais avoir les dents infesté de tarte et jaunis par la cigarette si je ne prêtais pas attention à ma dentition. J'viens de finir de manger c'est tout naturel que je viens me brosser les dents dans cette salle de bain de fortune. C'est rare d'y croiser qui que ce soit à cette heure là, c'est trop tôt encore, ou trop tard, je ne sais pas. En tout cas aujourd'hui, je viens à peine de me rincer la bouche que Sandro passe la porte. Hum. Il a une serviette autour des épaules. Il ne vient pas pour pique-niquer je crois. Il ne parle pas, je ne parle pas plus, par contre je le suis du regard à travers le miroir. Il fait ses petites affaires tout ça. Et tout à coup, il s'approche. « Tiens, tu pourras me laver ça. » S'il te plait ? Ah bah non. Le merci, j'crois qu'il s'est égaré, tout seul, mais faut pas que je rêve pour avoir un de ces petits copains. « Et ça. » Et me voilà affublé de ses fringues, sales, sur moi. Qui suit propre. Il déconne là ? Ah bah non. Je lève les yeux au ciel même s'il ne me calcule pas plus longtemps. J'vais pas rester avec ça sur les épaules alors j'vais les mettre avec mes fringues, dans les paniers, c'est fait pour en gros. J'vais pas laver ça maintenant de toute façon. Je le regarde sous la douche. « Et ça... » Je désigne son caleçon de bain qu'il porte sous cette douche. « Il faut que j'attende pour le laver aussi ? » Non parce que je peux tout aussi bien le faire. Attendre, être à sa disposition comme l'esclave qu'il m'a appelé. Je m'assieds sur le rebord de la baignoire attendant ses ordres.

Il était rare que tu retrouves quelqu'un dans la salle de bain à cette heure ci. Les gens étaient soit en train de dîner, ou déjà de dormir, ou devant un film... fin, ils étaient partout sauf dans la salle de bain, quoi. Sauf que là, maintenant, il s'y trouvait Monroe. La Monroe. Bref. Ce n'était tout de même pas elle qui allait t'empêcher de te laver. Même si, comme d'habitude, tu préférais être seul. Tu lui fous tes fringues sur elle avec ton habituelle politesse, afin qu'elle puisse les laver. Parce que oui, elle était à tes ordres questions lavage de vêtements. M'enfin. Tu te fous ensuite sous la douche, active l'eau, et lorsque tu prends le shampoing en main, Monroe t'adresse la parole. « Et ça...Il faut que j'attende pour le laver aussi ? » Elle est assise sur le rebord de la baignoire. Tu poses ton regard sur elle, ne prenant pas vraiment la peine de réfléchir avant de répondre. « Tu n'as pas vraiment le choix » fais-tu remarquer. En somme, c'était un oui. Qu'elle attende pour prendre ton maillot de bain, ça ne lui ferait pas de mal.

J'adore être la bonniche, non mais vraiment j'adore ça. Surtout lorsqu'il est question de Johnny, lui si... adorable et serviable. Bon certes ça fait partie de notre accord mais quand même, ça n'en reste pas moins que ça me fait chier. Oh oui. Super chier. Mais j'vais pas le montrer, ça va lui faire trop plaisir. Alors bon, comme je n'ai rien de mieux à faire je me pose sur la baignoire et je le me mâte, pourquoi je me gênerais ? Et puis comme je suis supposée laver toutes ces fringues je lui demande si ce qu'il porte aussi, et que du coup je devrais attendre pour pouvoir le faire. « Tu n'as pas vraiment le choix » Certes mais j'étais pas obligée d'attendre ici, qu'il termine. Et comme je n'aime pas attendre à rien faire et bien, j'vais faire quelque chose. Oui voilà. Je baisse les yeux en direction de mes fringues. Débardeur blanc, short en jeans. Hum, ça va. Je retire mes chaussures et j'avance vers la douche. J'ouvre la porte et m'y glisse. Avec mes fringues, oui et alors ? J'attrape le premier gel douche qui me tombe sous la main, c'est un gel douche de mec il a de la chance. J'en fous sur mes mains et les passe sur son short. « J'ai pas envie d'attendre pour le laver... » Ouais c'est comme ça que je lave mes fringues. Il a jamais précisé que je devais utiliser de la lessive ni la machine n'est-ce pas ? « T'occupes pas de moi... » Non, je peux très bien m'occuper de son short toute seule. J'peux pas le toucher lui, il va péter un plomb mais son short, j'ai le droit non ? Peut être pas, mais en tout cas je le prends ce droit. En plus j'suis toute mouillée.

Si ça ne lui plaisait pas, faire ta lessive et tout ça, il ne fallait pas accepter le deal. Le deal était le deal. Alors elle devait laver tes fringues jusqu'à ce que tu sortes du jeu, ou inversement. Au moins, t'étais tranquille tout au long de l'aventure, c'était top. Et sans vraiment que tu t'y attendes, Monroe se ramène sous la douche et... commence à laver ton maillot alors que tu l'avais sur toi. Sérieusement ? En d'autres termes, c'était une grosse flemmarde. Et tu ne pouvais pas vraiment laisser passer ça. Mais tu ne dis rien, et ne fais rien en premier lieu, sûrement trop désabusé et choqué pour faire quoi que ce soit. « J'ai pas envie d'attendre pour le laver... T'occupes pas de moi... » Déjà, ce n'était pas comme ça qu'on lavait des fringues. Tu n'étais pas vraiment un expert, mais tu t'y connaissais un peu question lessive. Et on s'y prenait pas comme ça. « Apprends à attendre. » dis-tu alors, avant d'asperger Monroe avec le shampoing que tu avais dans la main. Elle était bien plus belle avec les cheveux qui moussent, n'est-ce pas ? Ou pas, hm. Au moins, t'espérais que ça allait la faire reculer. « T'es apparemment plus douée pour les concours de t-shirt mouillé, que pour laver quoi que ce soit. » Référence à sa tenue qui était pour le moins.. attrayante. Bref. A ton tour de te mettre du gel douche sur le corps, tu n'allais pas te laver tout seul.

Je m'attends à être stoppé, c'est certain, le truc c'est que je ne sais pas quand ça va arriver. Je continue juste de "laver" son boxer. Enfin laver c'est un bien grand mot. Je me contente d'étaler du gel douche sur une surface lisse, si bien qu'il glisse dessus, mais bon c'est juste pour le principe. Ouais juste parce que j'peux pas rester à le regarder sans faire quelque chose pour l'ennuyer. J'aime bien ça. L'ennuyer, le faire chier, le faire enrager. Le faire réagir tout simplement. « Apprends à attendre. » Non ! Et hop je viens de recevoir du shampoing. Pas cool. Faut pas mettre n'importe quoi sur mes cheveux. Alors je le fusille du regard. Ouais, juste pour le principe. « T'es apparemment plus douée pour les concours de t-shirt mouillé, que pour laver quoi que ce soit. » T-shirt mouillé ? Je baisse les yeux, ah oui en effet. Bah ça va, il a déjà vu un soutien gorge mouillé non ? Je hausse les épaules le temps de me débarrasser de cette mousse. Parce que j'aime pas qu'on me provoque. J'sais pas laver quoi que ce soit ? J'sais pas laver quoi que ce soit ? Il va voir si je sais laver quoi que ce soit. Je me place devant lui. J'attrape son gel douche et en mets dans mes mains. Mains que je plaque contre son torse. Il va voir si je ne sais pas laver quoi que ce soit. Je suis super douée, il ne pourra pas dire le contraire. Je tiens même à m'appliquer. Qu'il s'amuse à me repousser tiens. « Je jure que je te mords si tu m'empêches de continuer. » Je montre mes crocs, ils en ont fait des dégâts ces crocs. J'ai la mâchoire acérée. Je remets un peu de gel douche sur mes mains parce que j'en ai plus. Mes mains parcourent ses épaules, sa nuque sans que mon regard ne quitte le sien.

Tu l’asperge de shampoing. Il faut bien, sinon elle n’arrêterait pas de frotter bizarrement de maillot de bain pendant que tu te douchais. Elle le « lavait », alors que bon, ce qu’elle faisait ne ressemblait en rien à faire une lessive. M’enfin, elle devait avoir une case en moins ou quelque chose comme ça. Et c’est pour ça que tu l’asperges. Pour la faire reculer, oui. Elle te regarde mal, mais toi tu as un léger sourire satisfait sur tes lèvres, parce qu’au moins t’as réussi à la faire dégager. Pourtant, elle se place devant toi, et prends ton gel douche. Quoi, elle allait sérieusement continuer à laver ton short ? Elle s’obstinait vraiment ? Ah bah non, même pas, puisque c’est ton torse qu’elle se met à laver. Tu fronces les sourcils, la regardant faire. C’est pas désagréable, mais … « Je jure que je te mords si tu m'empêches de continuer. » Tu arques un sourcil, ton regard se reposant quelques instants sur ses fameuses dents sensibles de te mordre, pour finalement reposer ton regard dans celui de Marilyn. Te mordre. Bien sûr. Elle avait un peu trop regard Twilight ou Vampire Diaries, celle-là. « C’est pas vraiment mon problème si tu ne peux pas me résister et que tu ne peux pas t’empêcher de me toucher, mais moi je ne suis pas un assisté, je peux me laver tout seul. » Comme si ce n’était pas déjà évident. Pourtant, tu ne recules pas, et tu la laisses quand même faire, ne la quittant pas des yeux. Ouais, tu te contredisais un peu, mais qu’importe.

Oh bah tiens, ça le fait sourire de me jeter son shampoing, c'est vrai que c'est super drôle, bah oui. En tout cas il est content, grand bien lui fasse. C'est juste du shampoing. Du shampoing pas du tout adapté à ma chevelure mais peu importe, il n'y est pas resté trop longtemps. Mais par contre je n'ai pas du tout aimé son sous-entendu, d'habitude ça ne me dérange pas trop les remarques de macho, je m'en fous mais là. Non mais là j'peux pas le laisser dire alors qu'il a tord. Et il a tord, parce que je suis pas mal doué pour laver les choses, je lave même plutôt bien, j'aime pas ça mais je le fais bien. Et s'il ne me croit pas, il le verra par lui même que je lave bien les choses. Puisque je me charge de sa toilette, ouais comme un assisté, mais faut voir les choses de manière positive, il n'aura pas à le faire. Puisque je le fais. Même que je le menace, avec du recul c'était assez drôle. Non mais j'pourrais le mordre c'est sûr, j'pourrais pas faire grand chose de plus étant donné qu'il n'aura aucun à avoir le dessus sur moi s'il le voulait. J'suis forte mais bon, il est plus que moi. « C’est pas vraiment mon problème si tu ne peux pas me résister et que tu ne peux pas t’empêcher de me toucher, mais moi je ne suis pas un assisté, je peux me laver tout seul. » Regardez le celui-ci. La preuve, c'est pour ça qu'il me laisse faire. Oui oui tout à fait ça se tient. En attendant moi je ne m'arrête pas, je prends même mon temps, je m'applique je passe mes mains dans son dos et m'attaque à lui. « Tu me provoques, je réagis. Et puis je te fais déjà ta lessive, tes repas, j'étais pas ton esclave d'alleurs ? J'crois que j'adore m'occuper toi en fait, monsieur j'ai du mal avec les contacts physiques. » J'appuie bien sur le mot adorer. C'est une passion que je viens de me découvrir. Je suis à fond dans mon job, ça devrait lui faire plaisir. Le dos c'est fait. Je descends légèrement. Je remets du produit et je m'attaque à ses mollets, délicatement, ses cuisses mais évidemment le short colle sur la peau, j'peux pas aller plus loin. Evidemment, c'est chiant ses trucs. Je soupire et je me redresse pour m'occuper de ses bras, j'avais oublié ses bras. Je ne peux pas m'empêcher de sourire. « J'suis sûre que t'adore ça au fond... » Il ne me le dira pas mais bon. Oh tiens, j'crois que son torse est pas bien lavé, je devrais y retrouver. Voilà.

C’était bien connu, les femmes n’étaient jamais capables d’attendre quoi que ce soit. Et Monroe venait de le prouver une fois de plus en s’immisçant sous la douche avec l’idée de laver ton short de bain à l’instant même. Pour finalement abandonner cette idée et te laver toi. Tu ne savais pas trop ce qu’elle avait en tête en faisant ça. Est-ce qu’elle voulait prouver qu’elle était finalement capable de laver quelque chose ? Parce qu’elle fasse ça ou non, ton avis ne changerait pas pour autant. T’étais quelqu’un de têtu, et quand tu pensais quelque chose, rares étaient les fois où tu changeais d’avis. Alors oui, Monroe était cataloguée comme personne qui ne savait rien laver. Pourtant elle est justement en train de prendre un soin particulier à te rincer. « Tu me provoques, je réagis. Et puis je te fais déjà ta lessive, tes repas, j'étais pas ton esclave d'alleurs ? J'crois que j'adore m'occuper toi en fait, monsieur j'ai du mal avec les contacts physiques. » Tu lèves les yeux aux ciels. Comment faire autrement ? « Ce n’était pas de la provocation, mais la vérité. Si c’était réellement faux ce que j’ai dit, tu n’essaierais même pas de me prouver le contraire. » Au moins, ça c’était fait. Tu avais raison, point barre. Elle avait tort, comme d’habitude. « Tu admets donc être mon esclave. » C’était plus une affirmation qu’une question, au final. Parce qu’elle se contredisait, vu que l’autre jour elle refusait que tu l’appelles de la sorte. Monroe était bel et bien ton esclave. « Monsieur j’ai du mal avec les contacts physiques. » que tu reprends d’une voix aigu, imitant avec exagération Monroe, pour lui montrer le ridicule de la chose. « J’ai pas du mal avec les contacts physiques. » déclares-tu, ta voix normale une fois de retour. Bon. Elle avait le don de te faire parler, celle-là. C’était fou. Il fallait peut-être que tu te calmes. Elle descend alors pour laver tes jambes, et il faut avouer que ses mains ne sont pas si désagréables. Même si tu ne l’avouerais jamais, bien entendu. Tu la laisses faire. Tu ne sais pas pourquoi tu la laisses faire. Tu devrais en profiter pour lui mettre un coup de genou dans la tête, tiens. Mais tu ne le fais pas. Parce que tu ne veux pas avoir de problèmes, que tu ne frappes pas les femmes, et que ça ruinerait son joli visage. Hm. « J'suis sûre que t'adore ça au fond... » Bien sûr. Tu arques un sourcil, et fini par lever les yeux aux ciels, désabusé. Qu’elle touche ton torse, voilà, c’était mieux que de parler. « Tu parles, c’est toi qui vas en rêver ce soir et qui en redemanderas demain. » Vrai. Vrai de vrai.

« Ce n’était pas de la provocation, mais la vérité. Si c’était réellement faux ce que j’ai dit, tu n’essaierais même pas de me prouver le contraire. » Peut être, sauf que ce n'est pas totalement vrai non plus, quand on me provoque et j'ai pris ça comme de la provocation quoi qu'il en dise et bien je réagis au quart de tour. Je monte vite dans les tours, il a déjà dû s'en rendre compte non ? Oui bah alors. Voilà c'est tout. « Je suppose que tu pourras te faire une idée de mes talents quand tu retrouveras tes fringues demain... » Enfin demain, plus tard quoi. Quand j'aurais lavé ses fringues, pas maintenant. Mais bon, il pourra constater que je mets du coeur à l'ouvrage en tout cas. C'est plutôt bon signe. « Tu admets donc être mon esclave. » Je souris, si ça peut lui faire plaisir. « C'est ça, tous tes désirs sont des ordres, Maître. » J'ai ce petit sourire légèrement arrogant collé au visage. Enfin tous ses désirs, faut peut être pas trop abuser, parce que je le ferais seulement si ça me plait. Sinon il pourra toujours aller se faire voir. Genre arrêter j'en ai pas envie. « Monsieur j’ai du mal avec les contacts physiques. » Non mais il est drôle, genre sérieusement, c'est pour ça que je ris. Qu'il est con. « J’ai pas du mal avec les contacts physiques. » Oh je vois, et c'est censé vouloir dire quoi ça ? « T'as juste un problème avec moi alors ! » C'était pas vraiment une question, c'était plutôt une déduction, enfin il peut quand même y répondre si ça lui chante. Mais j'en demande pas trop. En tout cas, il me laisse faire, il faut dire que je suis super douce, super appliqué et que je suis même certaine qu'il adore ça. N'importe quel mec normalement constitué apprécierait. C'est vrai que ce n'est pas un mec normal mais bon. « Tu parles, c’est toi qui vas en rêver ce soir et qui en redemanderas demain. » Je souris une nouvelle fois alors qu'il a bien dû remarqué que je profitais quelque peu de la situation, y'a pas de mal à ça si ? Non mais ne plus, il est encore un peu sale, si si. « Pourquoi ? Tu sous-entends que je n'aurais pas le droit de recommencer demain ? Et les jours qui suivent ? Les esclaves lavent leur Maître. » Et ouais, qu'il assume jusqu'au bout. C'est pas moi qui a instauré cette dynamique Maître/esclave. Mes mains glissent le long de son torse et butent contre son caleçon. Ah oui c'est vrai. Oh bah il n'en a pas besoin. On est d'accord. Je le fais glisser le long de ses jambes. J'suis allée trop loin là ? Sans doute. « J'ai pas fini de te laver. » Je murmure alors que je prends à nouveau du gel douche et que je me colle un peu trop contre lui pour pouvoir lui laver les fesses de façon incroyablement sensuelle, mais c'est fragile des fesses faut faire attention.