« Je suppose que tu pourras te faire une idée de mes talents quand tu retrouveras tes fringues demain... » Tu hoches la tête, faussement convaincu, histoire qu’elle ne continue pas sur sa lancée. Parce que tu savais pertinemment que tu avais raison. Comme toujours, il faut dire. Oui, toi, Sandro, tu étais une personne qui n’avait jamais, ô grand jamais tort. Mais ça, elle avait dû le comprendre. « C'est ça, tous tes désirs sont des ordres, Maître. » T’aimes pas son sourire, là, comme ça. Il est pas cool, il est vicieux. Bon, au moins elle t’appelle Maître. Elle respecte le deal. C’est déjà ça. Tu plisses un peu les yeux, tu la laisses faire parce qu’il faut dire qu’elle sait bien s’y prendre pour des trucs dans ce genre, la Monroe. « T’as le droit de garder ton corps à ma disposition, aussi. » Ça voulait dire ce que ça voulait dire, hein. Et puis, elle ne venait pas de dire que tes désirs étaient des ordres ? Si, bien sûr que si. Et puis finalement, elle rit quand tu l’imites. Oui, c’est vrai, c’est tellement ridicule qu’elle peut rire. C’était elle que tu imitais, alors c’était forcément mauvais. Non ? « T'as juste un problème avec moi alors ! » Sûrement, oui. Tu hausses tes épaules. Tu sais pas trop. T’as pas à répondre à ça. Tu crois pas. De toute manière, t’avais un problème avec tout le monde, toi. « Pourquoi ? Tu sous-entends que je n'aurais pas le droit de recommencer demain ? Et les jours qui suivent ? Les esclaves lavent leur Maître. » Tu arques un sourcil. Mais oui, bien sûr, tu allais l’appeler à chaque fois que tu allais prendre une douche, comme ça elle pourra te toucher au gré de ses envies. Evidemment, pourquoi tu n’y avais pas pensé plus tôt. « Ça te ferait beaucoup trop plaisir d’en avoir l’autorisation… » En gros, c’était un non. Parce que t’étais pas du genre à faire plaisir aux gens, toi. M’enfin. Elle doit vraiment savoir ce qu’elle fait avec ses mains, là, parce qu’un peu plus et tu frissonnais. Tu ne pouvais pas frissonner, ça serait lui montrer que t’aimais ce qu’elle faisait, là, avec ses mains sur ton corps. Tu ne pouvais pas lui faire cet honneur. Alors tu gardais ton regard planté dans le sien, essayant de faire comme si tu étais indifférent à tout ça, alors que tu ne l’étais clairement pas. Et puis sans que tu t’y attendes, elle t’enlève ton caleçon de bain. Il ne manquait plus que ça. « J'ai pas fini de te laver. » Ah oui ? Et voilà que ses mains se posent sur tes fesses. Bien sûr, tes fesses étaient très sales. Tu arques un sourcil. Sérieusement ? Tu pourrais la repousser mais… non. Non, tu ne le fais pas. Même si les caméras avaient désormais sûrement une belle vue sur ton popotin, et ton tatouage qui se trouvait dessus. Mais non, tu ne la repousses pas, parce que à la place tu commences à déboutonner son short en jean. « Tu crois vraiment que tu peux me déshabiller, comme ça, et t’en sortir indemne ? » Et sur ces mots, tu fais glisser son short le long de ses jambes. Tu ne la quittes pas des yeux. Tu étais très sérieux, en plus. Comme si elle pouvait se permettre de rester habillée alors que tu étais là, nu comme un vers.

« T’as le droit de garder ton corps à ma disposition, aussi. » Je m'arrête genre quelque secondes pour le regarder un peu plus intensément. Mon corps à sa disposition ? C'est vrai que je suis juste entrain de disposer du sien là, mais bon. J'sais pas. J'suis perplexe. J'ai pas si j'ai envie. « C'est une requête, un "défi" que tu m'imposes ou une envie irrépressible que t'arrive pas à contrôler ? Parce que si c'est le cas, d'accord, tu ordonnes j'obéis, normal. » J'suis docile comme esclave. Trop sans doute. Mais bon, j'imagine que je serais sans doute aussi gagnante que lui dans l'histoire. Lui offrir mon corps, c'est pas rien certes mais au fond quand on y pense c'est juste un corps. J'espère juste qu'il saura en faire bon usage quand même. Ce serait dommage sinon. Bon, j'insiste sur le fait qu'il a un problème avec les contacts physiques, même si là, je le sens plutôt réceptif, pas trop dérangé par le fait que je le touche. Je déduis donc qu'il a un problème avec moi. Il hausse les épaules. D'accord. C'est bien aussi, tant pis. Je m'en fous en même temps. Ce n'est pas ce qui m'empêchera de continuer. J'émets l'idée que je pourrais même recommencer ça, jours après jours, je suis sûre que c'est le rêve de tout homme qu'une femme vienne les laver tous les matins, les toucher, être aux petits soins. Tout ça. Tout le monde sauf Sandro évidemment. « Ça te ferait beaucoup trop plaisir d’en avoir l’autorisation… » Oh bah oui ça c'est certain. Sauf que je prétends tout le contraire, je ne souris plus, ni rien. Je fais même la grimace. « Tu crois peut être que je prends du plaisir à te toucher ? Non, c'est assez contraignant si tu veux mon avis. Et puis c'est pas comme si j'avais demandé ton autorisation... » Je lance avant de hausser les épaules. C'est vrai, est-ce qu'il m'a entendu lui demander la permission avant de le toucher ? Non alors qu'il aurait très certainement dit non. Tandis que là, il est nu et que je suis entrain de profiter de la situation. C'est pas de ma faute si j'ai développé une passion inattendue pour ses fesses ? Elles sont musclés, elles tiennent parfaitement dans mes mains et elles sont douces bizarrement. Alors je les caresse, je les lave plutôt, mince. Elles sont sales. Super sales. Oh tiens, pourquoi il déboutonne mon short ? « Tu crois vraiment que tu peux me déshabiller, comme ça, et t’en sortir indemne ? » Oh donc c'est pour ça que j'ai mon short en bas de mes pieds ? Enfin maintenant il est un peu plus loin mais l'idée est là. Sauf que bon moi j'suis pas en maillot. J'suis en sous-vêtements. Et c'est pas vraiment pareil sous l'eau. Et puis j'suis pas censée être là. « Sauf que j'étais là pour récupérer ton caleçon qui gît sur le sol, pas pour prendre une douche. » C'est pour ça que j'avais encore mes vêtements d'ailleurs puisque je me douche pas habillée. D'ailleurs, je pourrais récupérer son caleçon de bain, et sortir de la douche, il n'aurait pas à me déshabiller. Mais pourtant je reste là. Je lâche son popotin sans cesser de le toucher pour autant, mes mains remontent juste le long de son corps. Elles remontent pour redescendre, contre son torse, son ventre. Puis son bas-ventre juste la limite entre ce qui est autorisé et interdit, cet endroit chez un homme c'est super érotique, enfin je trouve.

« C'est une requête, un "défi" que tu m'imposes ou une envie irrépressible que t'arrive pas à contrôler ? Parce que si c'est le cas, d'accord, tu ordonnes j'obéis, normal. » Tu arques un sourcil, ne lâchant pas son regard. C’était bizarre, quand elle se trouvait en face de toi, t’avais l’impression que vos yeux ne cessaient jamais d’être connectés. Tu ne pouvais pas t’en empêcher. Bref. Une requête ? Non, bien sûr que non. Tu ne faisais de requête à personne, toi. Tu n’avais pas besoin de ça. Ça ferait de toi quelqu’un de dépendant. Tu ne l’étais pas. Non, non. Un défi ? Peut-être. Une envie irrépressible ? Probable. Mais qu’importe. La demoiselle avait déclaré qu’elle ferait tout ce que tu exigeais, puisqu’elle était ton « esclave ». Et bien, tu exigeais avoir son corps. Ouais. M’enfin, tu n’étais pas vraiment sérieux, en soi. C’était juste pour le montrer qu’elle n’avait pas intérêt à jouer avec le feu, car tu pourrais bien lui demander des choses nettement pires. Mais, pour changer, elle n’a pas vraiment l’air traumatisé. Génial. « Normal. » que tu répètes, tout simplement. Bref. Elle s’amuse à te toucher, peut-être un peu trop. Mais ça ne te gêne pas plus que ça, au final. Bah ouais, il faudrait être fou pour que ça gène quelqu’un, surtout vu la manière dont elle s’y prenait… m’enfin. Elle n’était pas obligée de le savoir, ça. Tu le garderais pour toi, pour sûr. Monroe perds son sourire et reprend parole après toi. « Tu crois peut être que je prends du plaisir à te toucher ? Non, c'est assez contraignant si tu veux mon avis. Et puis c'est pas comme si j'avais demandé ton autorisation... » Bien sûr. Assez contraignant. Alors que tu n’avais rien demandé. Ça se voyait qu’elle se forçait à faire ça, vraiment. Pauvre choupette. Elle était vraiment à plaindre, celle-là. « Si ça te déplaît tant que ça, arrête de me toucher. » C’était aussi simple que ça, non ? Si elle disait vraiment, elle pouvait très bien se stopper. Non ? Si. Bref. Tu te retrouves nu en face d’elle. Encore une fois. Elle doit avoir un truc avec tes fesses, parce que c’est pas la première fois qu’elle s’attarde dessus. Mais bon, tu t’en foutais un peu, tu commences à lui déboutonner son short pour lui enlever. « Sauf que j'étais là pour récupérer ton caleçon qui gît sur le sol, pas pour prendre une douche. » Tu hausses les épaules sans la quitter des yeux. C’était pas de ta faute, mais la sienne. T’y étais pour rien si elle était trop impatiente. « T’avais qu’à attendre sagement sur le rebord de la baignoire. » répliques-tu tout simplement. Tu te donnais raison, parce que tu avais raison. Si tu étais nu, il n’y avait aucune raison pour qu’elle, elle soit habillée. Il ne manquerait plus que ça, tiens. Tu ne te laissais pas faire aussi facilement. Sauf que là, tu sais pas trop ce qu’elle fait avec ses mains, mais ça te perturbe assez. Bien que l’expression de ton visage reste toujours la même, plutôt impassible. Elles descendent trop bas, ses mains. Ou peut-être pas assez. Tu sais pas. « Ne crois pas que tu vas t’en sortir comme ça. » Et sur ces mots, tu attrapes son débardeur que tu lui ôtes. Et par conséquent, tu lui fais lever ses bras. Il faut dire que, par la même occasion, tes doigts se sont promenés sur sa peau trempée pendant que tu retirais lentement son haut. Peut-être un peu trop lentement, même. Une fois le vêtement à terre, tu reposes ton regard dans le sien. T’as bien envie de l’embrasser, mais tu ne le fais pas. C’est rare que tu te retiennes de faire quelque chose dont tu avais envie. Mais là, ça serait trop simple. Trop simple pour elle, qui attendais sûrement que tu craques en premier. Ça serait une victoire pour elle.

« Si ça te déplaît tant que ça, arrête de me toucher. » Je souris. Oui mais non, je pourrais, c'est vrai que je pourrais. Mais je préfère continuer, et ça c'est juste pour une seule et unique raison. « Oh non, ça te ferait trop plaisir... » C'est certain qu'li préférerait que j'arrête de le toucher toute suite, il n'aime pas du tout. Ça se voit de toute façon. Il reste là impassible, alors heureusement que moi finalement ça me plait assez. Il n'y aurait pas vraiment d'intérêt sinon. Et autant dire que j'prends un certain plaisir à faire ça, même si j'ai dit le contraire. Mais je n'étais pas sérieuse. Je ne le suis pas souvent. Sauf peut être avec lui finalement. Bref. Mais pour continuer dans le délire, Monroe n'aime pas toucher Sandro et bien je répète en affirmant n'être là pour récupérer son short, j'aurais pu le prendre et sortir, mais maintenant que je suis là, j'y reste. D'autant que bon, il est nu tout ça. « T’avais qu’à attendre sagement sur le rebord de la baignoire. » Je lève les yeux au ciel. Non mais je rêve. Ouais j'aurais pu mais non. Je suis là. C'est tout. « Et t'aurais été tout sale, non, j'suis bien mieux là. C'est pour ton bien en fait. » C'est pour ça que je suis là, pour son bien, parce que je suis sûre qu'il ne doit pas être aussi consciencieuse que je le suis. Je le lave, je le rince, je repasse au cas où ça ne soit pas bien lavé. D'ailleurs c'est pour cette raison que je laisse glisser mes mains le long de son corps. De plus en plus bas, mais pas assez. Mais d'un côté, j'ai pas eu trop le temps. « Ne crois pas que tu vas t’en sortir comme ça. » Je le regarde légèrement amusé. Il veut retirer mon débardeur alors je lève les bras bien sagement. Il traîne ou je rêve ? En tout cas j'en frisonne légèrement sans aucune honte. C'est agréable, je frissonne, j'vais pas me retenir sous prétexte que ça lui ferait plaisir. Ça me fait plaisir avant tout autre chose. Je baisse les bras et son regard s'encre à nouveau dans le mien, comme à chaque fois. Je passe mes bras autour de son cou et me colle tout contre lui et je me hisse sur la pointe des pieds pour pouvoir déposer quelques baisers contre sa nuque, dans une infinie douceur. Pas sûre qu'il s'attende à ça mais justement ça me plait. Je descends légèrement contre son torse toujours en douceur. Alors que mes mains quittent son cou, pour descendre contre ses omoplates, son dos sans que mes lèvres ne cessent de parcourir son torse. Et ses fesses que j'effleure à peine. Ce n'est pas le but. J'ai une autre idée en tête. Elles passent directement devant, je me détache de lui suffisamment pour pouvoir flatter sa virilité. Je suis toujours aussi douce, j'ai simplement envie de le faire réagir. Je cesse les baisers et plonge à nouveau mon regard dans le sien non sans sourire très légèrement.

« Oh non, ça te ferait trop plaisir... » C’était plutôt à elle que ça allait vraiment déplaire. Qu’elle assume un peu. M’enfin. Tu lèves les yeux aux ciels, sans rien dire. Tu pourrais la repousser. Prendre ta douche tout seul, tranquillement. Mais non, tu la laissais faire. Tu savais même pas pourquoi. Enfin si, tu savais. Parce que ça te plaisait. Malgré le fait que tu avais du mal à l’avouer. Hum. Enfin, surtout que voilà, Monroe était loin d’être désagréable à regarder, malgré son caractère ..spécial. Elle devait sûrement être celle avec le plus de « potentiel » dans ce nid. Ouais. « Et t'aurais été tout sale, non, j'suis bien mieux là. C'est pour ton bien en fait. » Tu hoches la tête comme si tu étais convaincu. Tu ne l’étais pas, devant de telles conneries. Impossible de l’être, tout de même. C’était n’importe quoi. Comme si tu ne pouvais pas te laver tout seul. Tu avais 26 ans, tout de même. Et jusque-là, tu t’étais très bien débrouillé tout seul. « C’est vrai, comme est-ce que je faisais avant, lorsque je ne te connaissais pas ? Tu viens de changer ma vie. » C’était une blague, bien sûr. Parce que tu t’en sortais très bien, avant. Enfin… presque. Bref. Tu finis par lui enlever son débardeur en laissant trainer le bout de tes doigts sur sa peau. Il faut bien que t’en profite toi aussi. Sauf que sans que tu t’y attendes, Monroe se colle à toi et commence à embrasser ton cou. Ah. C’était évidemment tout sauf désagréable, ça… Et puis ses lèvres descendent jusqu’à ton torse, et ses mains se promènent sûrement un peu trop loin. Tu frissonnes, un peu. Beaucoup. Evidemment que ça te fait de l’effet, qu’elle te fait de l’effet, et ça ne doit sûrement pas se voir que sur ta tête, cet effet. Hum. Ok, c’était vraiment troublant. Alors que tu ne faisais rien au début, tu glisses une de tes deux mains sous la petite culotte de Monroe pour pouvoir attraper ses fesses. « Tu devrais vraiment arrêter de faire ça… » que tu murmures. Sur ces mots, tu l’approches de toi, la collant quasi-entièrement contre ton corps. « Vraiment. » que tu répètes, avant de finir par l’embrasser avec avidité. Tu ne savais pas ce qu’elle avait cherché en faisant ça, mais elle l’avait sûrement obtenu. Une de tes mains posée sur tes fesses remontent lentement jusqu'à ses cheveux. L'autre reste là à caresser ses fesses tandis que ta langue, elle, est occupée à chatouiller celle de Monroe.

Maintenant que je suis là, j'y reste. Je ne me suis pas mouillée pour rien. C'est vrai que j'aurais pu prendre le temps de retirer mes vêtements mais finalement c'est plus agréable de le laisser faire. Alors, non je suis là et je prétexte même que c'est pour son bien, et étrangement il hoche la tête. Sérieusement ? Hum. Enfin j'imagine bien qu'il n'est pas d'accord, j'suis surprise qu'il ne me dise pas simplement que j'ai tord et que c'est con. J'aime assez qu'il s'amuse à rentrer dans mon jeu, enfin s'amuse c'est peut être ambitieux, mais bon, au moins il prend part au truc tout ça. C'est plutôt agréable, j'suis pas habituée. Mais bon ça change rien au fond. « C’est vrai, comme est-ce que je faisais avant, lorsque je ne te connaissais pas ? Tu viens de changer ma vie. » Je lève les yeux au ciel sans cesser de sourire. N'importe quoi. C'est bien, il n'a pas du tout tendance à exagérer. « Bah tes douches étaient ternes et pas agréables. Maintenant, après celle-ci tu risques d'en redemander. » Bon, peut être que j'exagères un peu aussi, mais que très légèrement et puis moi j'ai l'habitude. En tout cas j'vais faire en sorte qu'il en redemande, même si j'espère pas trop, parce que c'est Johnny, faut pas que je l'oublie. Mais bon ça ne m'arrête pas, la douceur c'est bien, une douche en duo c'est plus agréable et j'ai envie de le lui montrer. A quel point je suis appliquée pour mettre en application les "paris" qu'il m'a donné, même si j'ai quelque peu adapté celui-ci. Il est toujours question de laver quelque chose. Même si pour le coup il est propre et depuis longtemps. Les baisers c'est juste optionnels, juste parce que sa peau elle est là devant moi et que c'est un peu obligé, enfin faut pas être stupide, il est canon quand même. Enfin j'vais pas lui dire parce que il va encore croire que je suis amoureuse de lui. Je préfère l'asticoter, lui provoquer quelques réactions, réactions qui ne tardent pas à se faire sentir d'ailleurs. Et même son visage n'est plus totalement inexpressif. J'ai arrêté les baisers, j'ai préféré me concentrer sur cette partie de son anatomie, alors qu'il agrippe finalement mes fesses. Oh tiens. C'est plutôt agréable ça aussi. J'suis surprise et ça doit se voir. « Tu devrais vraiment arrêter de faire ça… » Je me mords la lèvre tout en secouant la tête. « Non... » Même que je m'applique encore plus, enfin c'est délicat parce qu'il me colle assez brusquement contre lui, « Vraiment. » Non. J'en ai pas envie, vraiment pas. De toute façon, j'vois pas pourquoi j'arrêterais. Il m'embrasse. Un baiser plein d'envie. Auquel je réponds de la même manière. J'suis presque forcée d'ôter ma main de son emplacement parce qu'on est cool et que j'ai envie de l'être encore plus si c'est possible. D'ailleurs pour que ça le soit, je plaque mes mains sur ses fesses pour coller nos bassins l'un contre l'autre. Je veux juste le sentir contre moi. A ce propos, je suis beaucoup plus bestiale qu'il y a quelques secondes à peine. Je n'ai plus vraiment envie de quitter ses lèvres mais je le fais tout de même parce qu'il fait bien respirer. Je me détache juste de quelques centimètres. Je passe un bras autour de son cou, l'autre retourne flatter son intimité avec douceur. « Tu comptes me laisser dans cette tenue ? » Je murmure contre ses lèvres avant de les embrasser à nouveau, avec autant de fougue. Ma langue retourne caresser celle de Sandro. Alors que je lâche son cou quelques seconde juste pour aller détacher l'attache de mon soutien gorge, et l'envoyer valser un peu plus loin. Oh voilà qui est mieux. Mes mains reprennent leur place initiale. J'peux pas m'empêcher de le toucher.

« Bah tes douches étaient ternes et pas agréables. Maintenant, après celle-ci tu risques d'en redemander. » Bien sûr, ça te paraissait tellement logique ce qu’elle te disait là. D’un côté, tu ne voyais pas comment tu pouvais faire la fiesta sous une douche. A part avec de la compagnie. Comme maintenant. Bref. Tu te contentes de lever les yeux aux ciels. Comme si tu allais te rabaisser à en redemander. Tellement ton genre, effectivement… ou pas. « J’en doute pas. » te contentes-tu de dire, pas très convaincu pourtant. Parce que tu savais très bien que tu ne demanderais rien du tout, et qu’elle exagérait la chose. M’enfin, ce n’était pas très important. Elle devait sûrement s’attendre à ce que tu lui redemandes quoi que ce soit. En parlant de s’attendre à quelque chose, tu ne t’attendais pas à une telle tournure lorsque tu étais entré dans cette salle de bain. Clairement, tu voulais seulement te doucher, toi. Bien que tu ne sois pas vraiment déterminé à la repousser, maintenant qu’elle s’était si bien lancée. Autant ne pas l’interrompre, hein. Même si tu lui conseilles le contraire, en agrippant finalement ses fesses. Chose qui apparemment la surprend. Tant pis. « Non... » Ah. Très bien. Pourtant, tu la colle contre toi et tu l’embrasses. Elle passe d’ailleurs ses mains sur tes fesses, vous collant complètement l’un à l’autre. Tu pouvais sentir chaque parcelle de son corps contre toi. C’était loin d’être désagréable. Après ce baiser qu’on pouvait qualifier de fougueux, vous vous détachez quelques peu. Mais Monroe reprend aussi vite son activité qu’elle avait abandonnée en t’embrassant. Chose qui ne peut pas te laisser indifférent. T’étais un homme après tout, tu réagissais comme tel. Tu resserres d’ailleurs un peu plus l’emprise de ta main sur ses fesses. « Tu comptes me laisser dans cette tenue ? » Non, pas vraiment, ce n’était pas réellement dans tes plans de lui laisser ses derniers vêtements. Tu n’as pas vraiment le temps de répondre qu’elle t’embrasse à nouveau. Baiser auquel tu réponds plutôt sauvagement, avec autant d’avidité. Elle s’occupe elle-même d’enlever son soutien-gorge, et tu t’attaques à sa petite culotte que tu fais glisser rapidement le long de ses jambes sans cesser de l’embrasser. Tes mains sont habiles. Elle a vraiment tout fait pour te faire craquer, et il faut dire que c’est plutôt réussi. Une fois que vos lèvres se séparent, tes lèvres à toi se perdent dans son cou, tandis que tu lui pelotes plus ou moins la poitrine. Tu finis finalement par la plaquer contre une des parois de la douche, passant tes mains sous ses fesses pour la soulever, afin qu’elle fasse la même taille que toi. T’étais assez costaud pour la soulever sans aucun problème. Une fois que tu l’eus de nouveau collé totalement contre toi, tu l’embrassas à nouveau, bestialement. T’étais pas vraiment un mec doux, toi.

Il est clair que Sandro n'en redemandera pas. Parce que même s'il en aurait envie, il ne le fera pas. Par principe j'imagine. Que c'est con un mec orgueilleux je vous jure. Non mais c'est vrai, j'vois pas ce qu'il y a de mal dans le fait de demander un truc quand t'en as envie, t'en devient pas pour autant niais ou stupide, ou même dépendant, t'écoute juste tes besoins, t'essayes de les satisfaire au maximum. Enfin moi c'est comme ça que je le prends, mais j'suis ouverte aussi, je ne m'arrête pas au premier abord et je ne suis pas non plus entrain d'analyser les actions continuellement. Je le fais parce que j'en ai envie c'est tout. J'ai envie de transformer cette simple activité banale en activité plus agréable alors je le lui fais savoir. Je ne voudrais pas heurter son ego ou quoi alors, c'est lui qui prendra l'initiative, enfin si on veut. L'important c'est qu'il le pense en tout cas. C'est assez facile de réveiller les ardeurs d'un homme bien que je ne suis pas certaine d'avoir beaucoup de contrôle non plus, si c'était lui qui avait mis sa main dans ma culotte, je pense que j'aurais eu la même réaction. Mais je pense que j'aurais été plus directe encore si ça n'avait pas été lui. Mais comme on ne peut jamais prévoir ses réactions, il vaut mieux y aller avec précaution. Même si j'ai agis plutôt avec douceur alors qu'li n'a rien d'un type doux, mais ça doit lui changer aussi, c'est bien. Enfin peut être qu'il aime la douceur, j'en sais rien, je m'en fous parce que j'ai agis comme j'en avais envie avant tout. On est l'un contre l'autre, on s'embrasser avec ferveur, on se caresse l'un et l'autre. La partie intéressante commence. Mine de rien, j'aime bien le sentir contre moi. Sentir son corps contre le mien. Ses mains sur ma peau qui brûle de désir pour lui. Chaque geste me transforme en flamme incandescente. Je brûle, un vrai brasier. De mon côté, je suis assez exploratrice, je touche chaque parcelle de sa peau, j'en profite parce que droit, je l'ai rarement. J'ai l'impression de me liquéfier lorsque sa bouche parcoure mon cou. Je crois même que je soupire. C'est agréable. Mais ce qui est plus agréable encore c'est lorsqu'il me plaque contre la vitre de la douche. Elle a au moins le mérite d'être froide, le contraste avec ma peau est saisissant. Il me soulève et je ne peux que m'accrocher à son cou par réflexe d'abord. Je suis contre lui, à sa hauteur mais pour le sentir encore plus contre moi, j'accroche mes jambes autour de son bassin. Nos lèvres se retrouvent, l'échange est plus que bestiale. Animal. C'est pas vraiment un problème, il aime cette position ça ne peut que le combler. En tout cas moi, j'suis assez satisfaite. Et je le lui fais savoir. Je gémis quelque peu, je soupire. J'ai le souffle coupé. Mon sang bouillonne. L'excitation est à son paroxysme. Mes ongles s'enfoncent légèrement dans ses épaules. Mes mains remontent contre sa nuque, une se perd dans sa chevelure assez dense. Nos lèvres ne se détachent que quand on doit respirer. C'est devenu assez optionnel vu ce qu'il se passe là maintenant. La seule chose qui compte dans l'immédiat c'est lui, son corps, ses lèvres le reste je m'en fous un peu. Les caméras c'est un peu le cadet de mes soucis.

Elle doit sûrement avoir un certain pouvoir sur toi, la Monroe. Parce que ce n'était pas par l'opération du saint esprit que tu te retrouvais là, à la plaquer contre une vitre de la douche et à l'embrasser avec ardeur. Il faut dire que tu y mets du tiens, parce qu'elle t'as vraiment poussé à bout. Et ça se voit sûrement dans tes baisers, que tu la désires, là, maintenant, tout de suite, sous cette douche. Oui, tu la désires. Et bien que ta seule envie soit d’unir vos deux corps, tu n’en fais rien. A la place, tu fins par la lâcher, enlevant tes mains de sous ses fesses pour la reposer à terre. Tu arrêtes de l’embrasser à tu recules de quelques centimètres à peine, reposant ton regard sur le sien. Du bout du doigt, tu passes lentement ton index entre sa poitrine, caressant ensuite son ventre, pour descendre encore plus, et laisser tes doigts titiller son intimité, comme elle avait pu le faire avec toi quelques instants auparavant. Tes lèvres glissent dans son cou et remontent jusqu’à son oreille avec une certaine sensualité. « Il ne fallait pas me piquer ma cigarette » finis-tu par lui susurrer en retirant ta main d’entre ses jambes, pour te reculer totalement. Tu faisais référence à cette rencontre dans le club de strip tease. Tu avais dit que tu lui ferais payer, tu n’avais pas oublié. La laisser frustrée de la sorte, c’était une sorte de vengeance. Même si ça te frustrait par la même occasion. Ce n’était pas grave, tu t’en remettras bien. Tu ne tardes pas à sortir de la douche, lui laissant ton maillot de bain qu’elle devait laver par la même occasion. Tu enroules ta serviette autour de ta taille, et tu retournes dans les dortoirs pour aller t’habiller. Bon, tu venais de rater l’occasion d’avoir une torride partie de jambe en l’air, mais ça en valait le coup. Sûrement. T'espérais que ce que tu venais de faire aurait l'effet escompté. Elle pourrait aussi en avoir rien à foutre. Mais vu la manière dont elle s'accrochait à tes épaules et qu'elle soupirait, tu doutais de sa probable passivité fasse à cet épisode. Tu avais très certainement réussi à la frustrer. Le but était donc atteint.

Bon bon bon, c'est pas que ça presse un peu là, c'est agréable les baisers, les caresses et tout le bordel. C'est carrément excitant même, j'imagine que ça se voit assez, il l'entend aussi. J'suis expressive comme nana, c'est pas de ma faute. Quand j'aime un truc, je le fais savoir. Et j'aime assez ça. Sauf qu'il me repose sur le sol. Ah ouais ? Il a compris que c'était comme un jeu de construction ou bien ? Ouais la dernière fois il avait parfaitement compris pourtant, bon. Il me regarde, je le regarde, je ne suis pas certaine de comprendre, mais bon, pourquoi pas. Il est bizarre c'est de notoriété publique alors oh tiens, il ... ah ça, d'accord pourquoi pas. Il se rapproche un peu et embrasse ma nuque de façon tellement plus douce, sensuelle que ça en est déroutant. Enfin pas plus que le reste finalement. « Il ne fallait pas me piquer ma cigarette » Enfoiré. Enfin non, pas vraiment. Alors même si je reste interdite là, face à lui. Je me mets à rire. Mon dieu, il a osé ce con. Renoncé à ça juste pour une malheureuse taffe sur une cigarette. Ah, c'est pas possible ça. Je secoue la tête, j'ouvre le robinet d'eau froide. J'vais rester là un moment dans cette douche, ce sera mieux. Ça m'évitera de le suivre et d'aller l'égorger dans son sommeil. J'suis frustrée c'est certain. Mais il doit l'être tout autant, c'est obligé et au fond ça m'amuse assez qu'il l'ait fait parce que c'est tellement un truc que j'aurais pu faire. Je le regarde quitter la pièce sans cesser de rire.