Je dormais, je ne rêvais pas non je ne faisait que dormir d’un œil, je me réveillai toujours très tôt, vers 7h et puis je somnolais plus qu’autre chose jusqu'à ce que j’en ai marre. J’étais donc semi-conscient quand je sentis quelqu’un grimper sur mon lit, surement Alice, je fermai les yeux que j’avais entre-ouvert replongeant dans ma léthargie quand une chant français s’éleva : Maxime. Je me tournai vers elle, le sourire aux lèvres, heureusement pour elle que je dormais pas vraiment ! « Espèce de dingue ! Y’a moyen de réveiller les gens qui dorment ? » lui demandais-je dans sa langue, le français. Je rit et me redressai, je baillai, me frottai les yeux et lui balançai un coup de coussin dans la figure « Joyeux Noël la dingue ! »

A nouveau mon rire résonna dans la pièce a sa première réplique. « Certes, mais c’est l’intention qui compte, sauf si tu voulais juste me réveiller ! » dis-je avant qu’elle ne me renvoi le coussin en pleine figure, ce qui eu le don de me faire a nouveau rire. Par contre ce qu’elle dit ensuite eu le don de me rendre perplexe, j’avais pas compris un mot dans le tout, le quoi ?? « Hein, le.. quoi ? » surement de l’argo, certes j’avais vécu en France mais j’avais oublié quelques mots, seulement je me souvint que les gens utilisaient le verlan, je souris, amusé « C’est du verlan ? » dis-je avant de rire, je m’en sortais décidemment mieux en anglais !

Je haussai les épaules « Enfaite, j’en sais rien, mais j’ai l’impression avoir décelé un petit accent quoi. » dis-je, mais en faite, on s’en fiche non ? Enfin bref, retour a l’envoyeur avec le coussin nos rires s’élevèrent dans la chambre, j’étais prit dans un véritable fou rire tandis qu’elle vont me chatouiller je riait de plus en plus a en voir mal aux cotes, je pris alors ses mains, un peu de répits et m’attaquai à elle tandis qu’elle tombait sur le lit a coté de moi, nous étions entrain de jouer tel deux enfants mais c’était génial ! "Aha, même pas peur de toi Maxime !" dis-je entre deux éclats rires

J’éclatai de rire à sa question, ben après tout pourquoi pas hein ? On sait jamais, et puis là j’étais entrain de la chatouiller et étant moi-même plutôt chatouilleux je savais que c’était une véritable torture. « Ben, pourquoi pas ? » dis-je, toujours en riant puis à sa deuxième réplique je m’arrêtai, cependant près a recommencer si elle essayais de me re-chatouiller ! « Me donner ton secret, un énorme indice, ou… UNE LASAGNE !! » m’exclamais-je en me rappelant notre dernier entretien mais, surtout, la lasagne succulente que Maxime avait faire.