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 Gotta learn to put this shit we call pride to the side I ain’t no player, without you I’m not okay + 07.11 7:32

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India

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Gotta learn to put this shit we call pride to the side I ain’t no player, without you I’m not okay
feat ivan

jeudi 7 novembre, 7:32

Ce début de semaine est difficile. Je sens que toute la semaine va être compliquée. Je crois que ça va être difficile jusqu'à ce que je sache que Ivan est sauvé. Il va être obligatoirement sauvé n'est-ce pas ? Les gens ne peuvent pas être cruel pour le faire partir n'est-ce pas ? Et je sais que je ne devrais pas penser à ça. Peut être que je devrais m'imaginer le pire pour me préparer à un désastre. Sauf que je ne veux pas me préparer au pire, je n'ai pas envie de penser au pire. Je ne peux pas me permettre de penser au pire. Non c'est quand même assez impossible. Je veux dire si j'y pense je vais m'angoisser toute la semaine et je crois que j'angoisse suffisamment. J'ai passé une très mauvaise nuit. J'ai cauchemardé toute la nuit. Je crois qu'il ne se passe pas une nuit où je ne revis pas l'accident. Parfois j'en sors indemne, parfois je péris, et parfois je me réveille avant, je crois qu'ils sont de moins en moins intense. Je crois qu'ils disparaissent peu à peu pourtant je me réveille une nouvelle fois ce matin, et si d'ordinaire j'essaye de m'endormir encore là j'ouvre les yeux. Il fait encore nuit mais je distingue parfaitement les traits de mon partenaire. il a l'air tellement paisible que ça en devient apaisant. Je me rends compte que je suis encore une fois totalement agrippé à lui. Je dois avoir peur qu'il s'en aille. Je dois vraiment avoir peur. C'est ridicule mais j'ai peur. Mes sentiments n'ont pas changés, je le trouve toujours autant parfait, je suis autant attachée lui et je n'ai toujours pas envie qu'il s'en aille. J'ai envie de le garder pour moi, tout le temps. J'ai toujours autant envie de le toucher, je dois toujours lutter avec l'envie de l'embrasser, elle est tellement constante que ça en devient douloureux. Oh bien sûr il m'a fait mal, tellement mal et je crois que ça ne va pas s'arranger mais je ne peux pas le fuir, ou lui reprocher quoi que ce soit. Je savais tout ça, il me l'a dit pourtant je l'ai embrassé de nouveau dans ce jacuzzi et je lui ai dit que ce baiser n'était rien de grave, et bon sang que ça fait mal pourtant. J'ai mal rien que d'y repenser. J'ai tellement mal. Et j'imagine que je pourrai arrêter tout ça, peut être que ce serait plus simple pour lui, mais je ne peux pas. Je dois être trop égoïste et peut être que c'est de ma faute si je souffre, surement même mais je ne peux m'en prendre qu'à moi même mais je n'ai pas envie de le laisser filer. Je ne sais pas si je pourrai lui dire clairement que je veux être avec lui, j'en sais rien, je crois que je lui ai déjà plus ou moins dit. Plusieurs fois même. Et c'est tellement dur pour moi de l'accepter, d'accepter que je puisse ressentir de tels sentiments pour un homme qui n'est pas mon mari. C'était impossible et voilà que ça arrive. Un peu comme mes doigts qui se baladent sur son torse. Je suis entrain entrain de luter pour ne pas m'imaginer l'embrassant que je suis entrain de le caresser, dessiner les contours de ses muscles ce n'est rien de grave n'est-ce pas. Je ne sais pas l'heure qu'il est mais il ouvre les yeux et sans réfléchir, je lui souris et je m'approche de lui.  « Bonjour...  » Je m'étire vers lèvres et c'est que je les effleure que je me rends compte de ce que je m'apprêtai à faire au lieu de reculer je me fige, j'ouvre les yeux que j'avais clos et je regarde ses lèvres si proches et je recule honteuse. « Oui... Je... J'étais entrain de me dire que je de vais pas penser à tes lèvres et .... Je ... j'allais... Je suis désolée, j'ai pas le droit de... J'ai pas le droit n'est-ce pas ?  » Je retourne poser ma tête sur son épaule sans savoir si j'ai le droit de rester comme ça ou pas. J'ai envie de croire que si, mais peut être que non. Et je ne sais pas si j'ai le droit de l'embrasser quand ça me chante ou si c'était juste cette fois là. Et c'est perturbant de ne pas savoir ce que je peux faire ou non. C'est juste un baiser, pour se dire bonjour et... mon dieu ma main. Je crois que si je n'étais pas aussi pudique je sortirai du lit en courant. Sauf que je ne suis à moitié nue et que finalement je préfère rester contre lui, faire comme si rien de tout ça n'était arrivé. C'est stupide parce que peut être qu'il s'en fiche après tout, mais j'en sais rien justement.
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MessageSujet: Re: Gotta learn to put this shit we call pride to the side I ain’t no player, without you I’m not okay + 07.11 7:32   Gotta learn to put this shit we call pride to the side I ain’t no player, without you I’m not okay + 07.11 7:32 EmptyLun 4 Nov 2013 - 14:33

Tu n’aimes pas cette semaine. Camille ne te parle plus, et même si India ne se plaint pas, et ne dit rien, tu vois bien que tu la fais souffrir. Et ça, ça c’est impardonnable. Et toi aussi, tu en souffre, ça paraît tellement évident. Tu es triste, triste de cette situation, que les choses se soient transformé en un truc si… chaotique. Ce n’est pas facile pour toi. Et ce qui se passe dans ta tête ne t’aide pas. Tu ne supportes plus rien, et t’as l’impression d’être faible. D’un côté, tu l’as toujours su, que tu étais faible. Ce qui te dérange vraiment, en réalité, ce n’est pas toi, mais c’est India et Camille. Ça te dérange d’être la source de leur malheur. Tu n’as jamais voulu ça. Jamais. Tu as toujours aimé rendre les gens heureux, les faire sourire. Et tu as toujours détesté ça, ce que tu faisais là. Ce n’était pas fréquent, à vrai dire, ce n’était jamais arrivé, mais ça arrivait là. Tu rendais des gens malheureux, par ta faute. Et tu te détestais, tu te détestais tellement. À vrai dire tu ne savais même pas que c’était possible de se détester soi-même de la sorte, ça paraissait inhumain. Et malgré tout ça, malgré tout ce que tu faisais subir à India, elle restait près de toi. Elle dormait toujours près de toi, se serrant dans tes bras durant toute la nuit. Et c’était une source de réconfort, tout en étant une source de tristesse de la même manière. C’était complexe, tout était devenu complexe. Alors que tout paraissait si facile au début de l’aventure. Mais tu étais le seul responsable de tout ça, tes sentiments étaient le seul responsable de tout ça. Et tout ce qui se passe, tous ces évènement t’épuisent tellement que tu dors encore plus que d’habitude. Certains en perdraient le sommeil, mais ça avait la conséquence inverse sur toi. Ça te fatiguait, alors logiquement ton sommeil n’en était que rallongé. Pourtant ce matin tu te réveilles plus tôt, sûrement parce que tu sens quelque chose de doux et froid glisser sur ton torse, t’en sais rien. Tu ouvres péniblement les yeux, et la première chose que tu vois c’est India. Alors tu souris, malgré tout ça. Bien sûr que tu souris, tu ne pouvais pas faire autrement. « Bonjour... » Elle se penche sur toi et ses lèvres frôlent les tiennes sans que tu ne t’y attendes. Il était tôt le matin, et tu n’avais pas encore toute ta tête pour te rendre compte de quoi que ce soit en fait. Tout ce que sait, c’était que ce qu’elle venait de faire était agréable. « Oui... Je... J'étais entrain de me dire que je devrais pas penser à tes lèvres et .... Je ... j'allais... Je suis désolée, j'ai pas le droit de... J'ai pas le droit n'est-ce pas ? » Et ce n’était pas en une minute que ton cerveau allait se mettre à marcher, du coup tu mets un certain temps à comprendre. Surtout qu’elle ne faisait pas de phrases complètes. Oh, tu ne pouvais pas lui en vouloir, tu étais bien pire lorsque tu te mettais à bégayer. La seule chose était que dès le petit matin, ton ne s’alignait pas forcément dans ton cerveau, et tu avais un peu plus de mal. Entre temps, ta partenaire a reposé sa tête sur ton épaule, et toi tu te mets à émerger. « Je.. je suppose que je ne suis pas en position de dire ce que tu as le droit de faire ou de ne pas faire.. » que tu dis doucement, te demandant tout de même si c’était la meilleure réponse à donner. Après tout, ce n’était pas comme si ça te dérangeait qu’elle t’embrasse. Et c’était bien là le problème. Et puis tu te rends compte que cette chose qui a contribué à ton réveil, c’est sa main qui est sur ton torse. Et c’est débile, mais tu ne peux pas t’empêcher de sourire. Et puis finalement tu t’allonges sur le côté afin de te retrouver face à elle, et de cette manière avoir le bonheur de la regarder. Tu n’avais pas vraiment envie de sortir du lit, là, maintenant. « Tu..as bien dormi.. ? » tu demandes doucement, attentionné, alors que tes yeux se mettent à détailler les traits de son visage.
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MessageSujet: Re: Gotta learn to put this shit we call pride to the side I ain’t no player, without you I’m not okay + 07.11 7:32   Gotta learn to put this shit we call pride to the side I ain’t no player, without you I’m not okay + 07.11 7:32 EmptyLun 4 Nov 2013 - 16:18

Je perds le contrôle, je me laisse envahir par ce flot de sentiment nouveau. Ces sentiments qui étaient morts à jamais, enfin ça c'est ce que j'ai cru jusqu'à ce que je me rende compte à quel point Ivan était important pour moi. A quel point j'avais besoin de lui, à quel point toutes ces choses me font souffrir. J'imagine que ce n'est pas sans raison, j'imagine que ça ne me toucherait pas autant si ce n'était pas si important. Et peut être que c'est mal, je sais que je suis beaucoup trop attachée, j'ai sans doute beaucoup trop d'attentes, et tout ça me dépasse. Tout me dépasse et je ne veux pas être dépassée mais je le suis. Et je devrais peut être m'éloigner de Ivan pour moins souffrir mais je crois que je souffrirai encore plus. C'est certain. Je le sais, je sais bien ce que ça m'a fait quand on ne se parlait plus. Et je ne veux plus ressentir ce vide, ce vide que j'connais si bien et qu'il comble. Peut être qu'il le comble un peu trop, je ne suis pas capable de réfléchir. Le problème c'est que je ne crois pas que ce soit à moi de le faire. Et je me sens tellement impuissante. Et je sais qu'il est mal et ça me rend mal de le voir mal et c'est trop compliqué tout ça. Trop compliqué. J'ai pas besoin de ça, j'ai pas besoin que ce soit le bordel comme ça, c'est suffisamment le bordel comme ça. Mais je sais que j'ai plus besoin de lui et je crois que c'est pathétique parce que peut être qu'il va partir, et s'il ne part pas dimanche il va finir par partir et ça me fait tellement peur, qu'est-ce que je vais faire quand il sera parti ? Lorsqu'il m'aura laissé ? Qu'est-ce que je vais bien pouvoir faire ? Honnêtement j'aimerai bien que quelqu'un vienne me dire ce qu'il se passera pour moi, ce serait tellement plus simple. Et je ne peux pas lui demander de rester avec moi, je peux pas faire ça, pourtant dieu sait que j'en ai atrocement envie. Comme j'ai envie de l'embrasser lorsque je vois ses yeux s'ouvrir. Mais je ne peux pas. Il ne s'en plaint pas, il ne me repousse pas non plus mais je ne sais pas si c'est normal d'agir ainsi. Je ne sais plus ce que je dois faire, et toute cette situation ne m'aide en rien. Pourquoi il a fallu que je m'éprenne du seul homme qui n'arrive pas à se décider et autant se dire qu'entre Camille et moi il n'y a pas de comparaisons possibles. Et c'est peut être ce qui me trouble d'autant plus. Et je balbutie, trop rapidement sans doute il vient à peine d'ouvrir les yeux et moi je suis incapable de parler et dire clairement les choses. « Je.. je suppose que je ne suis pas en position de dire ce que tu as le droit de faire ou de ne pas faire.. » Si justement, il est en position de le faire, s'il le ne fait pas comment je vais faire pour savoir si je peux ou non. « Si tu ne m'empêches pas de faire ce dont j'ai envie je crois que tu vas rester dans ce lit un moment...  » Et ce n'est peut être pas une bonne idée, on va finir par mourir de faim et avoir froid... encore que non pas vraiment mais, mais ce n'est pas raisonnable vraiment pas raisonnable mais je n'arrive plus à savoir si je dois être raisonnable ou non de toute façon et je me demande pourquoi il sourit mais je ne demande rien, je recule légèrement lorsqu'il bouge juste pour le laisser s'installer sur le côté et je souris parce que c'est agréable. C'est agréable d'être comme ça avec lui. « Tu..as bien dormi.. ? » Est-ce que j'ai bien dormi ? Je souris encore. « J'ai ... Oui. J'ai bien dormi, je dors toujours bien avec toi... Mais toi... Je t'ai réveillé, je suis désolée.  » Je sais que c'est moi qui l'a réveillé, il s'est réveillé à cause de moi et je me sens bête il dort toujours beaucoup lui. Je dépose ma main sur son visage et je le caresse doucement, délicatement. Aussi doucement qu'il l'est, doux. Je souris, je n'arrête pas de sourire parce que c'est apaisant mais c'est aussi pour m'empêcher de pleurer, parce que je n'ose même pas imaginer ce que ça va être s'il n'est plus là dans quelques jours. « Je... J'ai pas envie que tu partes, parce que ce sera pire si tu pars... tu le sais ? Est-ce que tu sais que ça n'arrangera rien ? Tu le sais n'est-ce pas ?  » Je n'en suis pas sûr et j'ai l'impression qu'li pense que ça va tout arranger mais ce sera pire parce que même s'il ne sait pas, là au moins il est là avec moi. Alors que s'il part, ce sera pire que tout. Ce sera pire.
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MessageSujet: Re: Gotta learn to put this shit we call pride to the side I ain’t no player, without you I’m not okay + 07.11 7:32   Gotta learn to put this shit we call pride to the side I ain’t no player, without you I’m not okay + 07.11 7:32 EmptyMar 5 Nov 2013 - 21:31

Tu ne te réveillais pas si tôt, d’habitude. Enfin, bien que tu ne saches pas l’heure qu’il pouvait bien être, tu supposais qu’il était plus tôt que l’heure à laquelle tu te réveillais d’habitude. Tout simplement parce qu’il fait encore légèrement sombre. Et toi, quand tu ouvres tes yeux, tout est éclairé. Enfin, ouvrir les yeux c’est un bien grand mot, parce que tu émerges à peine, et qu’ils sont plus à demis ouverts que réellement ouvert. Ce qui ne t’empêche pourtant pas de sourire à la vue de ta partenaire. C’était un bon réveil, clairement. Même si ton chat te manquait quand même. De toute manière, tu le retrouverais à la sortie, ton minou adoré. Bref. India commence à balbutier des choses, et même si ton cerveau arrive à tenir la route d’habitude, il est beaucoup trop tôt, et tu es logiquement plus lent à mettre en place les choses. Et légitimement, tu annonces que tu n’as aucun droit de dire ce qu’elle pouvait faire, ou ne pas faire. Après tout, India était maître de ses faits et gestes, n’est-ce pas ? Tu n’avais rien à faire là-dedans, tu ne pouvais pas l’obliger à t’embrasser, ou l’obliger à se tenir loin de toi. Même si, bien sûr, tu  ne voulais pas qu’elle s’éloigne de toi. Mais si elle le décidait, tu ne pourrais rien faire contre ça. Ce n’était même pas comme si tu méritais qu’elle reste près de toi. Et pourtant, elle était là. « Si tu ne m'empêches pas de faire ce dont j'ai envie je crois que tu vas rester dans ce lit un moment... » Tu ris doucement, ce n’était pas comme si ça te dérangeait de rester là avec elle. Non, vraiment, c’était loin d’être insupportable. « Alors je suppose je devrais te laisser faire ce dont tu as envie.. » que tu dis dans un petit sourire, parce que ce n’était pas comme si elle pouvait faire quoi que ce soit qui t’insupporterait. Tu finis par t’installer sur le côté après avoir remarqué la main d’India sur ton torse – ce qui t’avait fait inévitablement sourire –, afin de pouvoir avoir le loisir d’être en face de ta partenaire, et de ce fait de pouvoir la regarder comme bon te semblait. « J'ai ... Oui. J'ai bien dormi, je dors toujours bien avec toi... Mais toi... Je t'ai réveillé, je suis désolée.  » Tu secoues doucement la tête, parce que tu ne veux pas qu’elle s’en veuille, surtout que ce n’était pas comme si tu avais eu un réveil violent ou quoi que ce soit. Et puis, tu étais content qu’elle ait bien dormi. « Mais non, t’excuse pas, t’as rien fait.. » enfin après tout t’en savait rien, mais ça allait, ce n’était pas comme si tu étais encore fatigué. Et lorsqu’elle dépose sa main sur ton visage, tu ne peux pas t’empêcher de sourire un peu plus, et de déposer ta main sur la sienne, délicatement. Tout ça sans la quitter du regard. Tu étais bien, là, avec elle. « Je... J'ai pas envie que tu partes, parce que ce sera pire si tu pars... tu le sais ? Est-ce que tu sais que ça n'arrangera rien ? Tu le sais n'est-ce pas ?  » Pourquoi est-ce qu’elle parlait de ça ? Sans vraiment t’en rendre compte, tu enlèves ta main, et ton sourire est un peu moins apparent. Elle avait beau dire ce genre de chose, tu restais convaincu du contraire. Et avec le temps, India aurait dû comprendre que tu étais vraiment dur à convaincre. C’était pratiquement impossible, en fait. Alors non, tu ne le savais pas, tout ce qu’elle te disait là. Et tu étais convaincu qu’elle avait tort. « Tu.. tu veux que j’aille te préparer un petit déjeuner… ? » tu finis par demander après quelques secondes de silence. Parce que tu n’avais pas l’envie de parler de ça, pas dès ton réveil. Ta tête ne supporterait pas un problème de plus. Alors il valait mieux que tu changes de sujet, oui. Tu ne voulais pourtant pas la vexer, ni lui faire du mal. Et c’était bien pour ça que tu te disais que sans toi, tout serait mieux pour tout le monde. Enfin bon. Tu la gratifies d’un sourire rassurant et tu passes ta main sur son visage, glissant une de ses mèches de cheveux derrière son oreille avec délicatesse.
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MessageSujet: Re: Gotta learn to put this shit we call pride to the side I ain’t no player, without you I’m not okay + 07.11 7:32   Gotta learn to put this shit we call pride to the side I ain’t no player, without you I’m not okay + 07.11 7:32 EmptyMar 5 Nov 2013 - 22:36

C'est apaisant d'être avec Ivan, allongée contre lui juste lui et moi dans ce lit, ce lit, ce cocon, notre endroit à nous. C'est bête parce qu'il s'en est passé des choses depuis qu'on a décidé que notre lit serait une zone neutre qui nous protégerait de tout. Je crois qu'elle nous protège, elle me protège en tout cas. J'ai appris à lui faire confiance ici, dans ce lit et j'ai appris à me libérer de mes craintes. Il m'a appris, il m'a aidé. Il m'a tellement apporté, et je sais qu'il peut m'apporter encore énormément. Il n'en a sûrement pas conscience, je me sens un peu mieux mais je reviens de loin et j'ai tellement de choses à faire encore pour avancer, je suis persuadée que je ne pourrai pas le faire seule, je ne peux pas. C'est trop dur d'être seule et lui, lui m'aide tellement. Et je ne sais pas trop ce qui me prend mais je le regarde et je me surprends à lui caresser le torse, rien de bien grave, j'ai ma main posée dessus et, enfin ça me semble tellement naturel. Tellement, logique et il dort, il dort alors je m'autorise à le faire même si je n'en ai pas conscience sur le moment et il se réveille et la première chose à laquelle je pense c'est l'embrasser. Mais je ne peux pas, enfin j'en sais rien alors je m'excuse et je balbutie et je panique aussi. Et c'est trop triste parce que je n'arrive pas à me dépêtrer de tout ça. Je ne sais pas comment je dois faire. J'en sais rien. « Alors je suppose je devrais te laisser faire ce dont tu as envie.. » Et je souris légèrement, je suis gênée un peu parce que j'ai envie de pas mal de choses, pleins de choses, trop de choses. Et je ne suis pas sûre qu'il puisse accepter toutes ces choses et ce n'est pas sûre que je supporte qu'il me rejette alors, je ... c'est trop dur. « Tu ne devrais pas dire ce genre de choses Ivan...  » Non parce que j'ai envie de tellement de choses, tellement, tellement. Et des choses surprenantes, tellement surprenante. Surtout que j'ai les paroles de Celse en tête et... c'est troublant, je crois que je rougis un peu. En tout cas comme d'habitude je m'excuse. Je m'excuse parce que je l'ai réveillé et que je ne voulais pas le réveiller. « Mais non, t’excuse pas, t’as rien fait.. » Je me pince les lèvres, euh si j'ai fait quelque chose. Si justement. « Tu es entrain de me piéger pour que je te dise ce que j'étais entrain de faire pendant que tu dormais ? Ou alors tu n'as rien senti et c'est un peu gênant parce que je viens de te dire ce que j'ai fait.   » Mais tant pis, de toute façon j'ai ma main sur son visage parce que je ne peux pas m'empêcher de le toucher et je me dis que son visage c'est la partie la plus neutre de l'histoire. Je me sens apaisée quand je sens sa main sur la mienne et je ne peux pas m'empêcher de lui parler de son potentiel départ et je le regrette dès que ça passe les frontières de ma bouche, et en plus il retire sa main et je suis une idiote. Mais j'ai tellement besoin qu'il sache que je me sentirai mal sans lui. Que ça ne va que déplacer le problème, pas le régler et c'est pénible. Et je le sens pas très à l'aise mais je n'ose plus dire quoi que ce soit. Je sais qu'il est têtu, je sais tout mais j'aimerais tellement qu'il comprenne. Mais tant pis, je soupire légèrement. « Tu.. tu veux que j’aille te préparer un petit déjeuner… ? » Je me pinces à nouveau les lèvres et baisse un instant les yeux. Non, je me sens stupide mais je relève les yeux quand je sens sa main sur mon visage, il replace une mèche de mes cheveux et ça me fait sourire. « Non, reste avec moi s'il te plait...  » Je n'ai pas faim en plus, peut être après mais pas là et je me colle à nouveau contre lui totalement. Et je l'embrasse doucement, un baiser tendre mais plutôt court. Trop court, et je le regarde et ma main glisse contre son épaule doucement. Et je l'embrasse encore, encore délicatement, ma main glisse le long de son bras, et son contre sa hanche et je crois que j'ai besoin de le toucher de cette façon, tendrement. Je le regarde je peux pas m'empêcher de le regarder. J'ai envie qu'il me touche, j'ai envie qu'il me touche mais je ne peux pas le lui dire, j'espère qu'il ne s'empêchera pas de le faire s'il en a envie, je le fais bien après tout.
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MessageSujet: Re: Gotta learn to put this shit we call pride to the side I ain’t no player, without you I’m not okay + 07.11 7:32   Gotta learn to put this shit we call pride to the side I ain’t no player, without you I’m not okay + 07.11 7:32 EmptyMer 6 Nov 2013 - 20:17

« Tu ne devrais pas dire ce genre de choses Ivan... » Tu ne devrais pas, ah bon. Très bien, après tout, tu ne voulais pas faire de mal. Enfin, tu ne comprenais pas trop. Si elle faisait ce qu’elle voulait, son bonheur était assuré, n’est-ce pas ? Parce qu’elle ne serait pas heureuse avec des restrictions, personne ne l’était. Tu ne la comprenais pas, après tout tu ne comprenais jamais rien, alors ça ne t’étonnait pas trop. Tu étais un peu lent comme homme, il faut dire. Du coup elle rougit, et ça aussi tu ne comprends pas. C’est trop de chose d’un coup pour une personne qui vient seulement de se réveiller. « Je euh.. enfin, moi je veux pas.. je veux pas que tu.. pourquoi tu.. ? enfin.. fais comme tu veux.. » tu bredouilles finalement, parce que tu n’arrivais définitivement pas à formuler une phrase compréhensive face à tout ça. C’était trop troublant. Puis finalement ta fabuleuse partenaire s’excuse, et pour cause elle est convaincue de t’avoir réveillée. Toi tu en es moins sûr, parce que bon, ton réveil n’avait pas vraiment été brutal ni rien de la sorte. « Tu es en train de me piéger pour que je te dise ce que j'étais en train de faire pendant que tu dormais ? Ou alors tu n'as rien senti et c'est un peu gênant parce que je viens de te dire ce que j'ai fait. » Tu ne peux pas t’empêcher de rire doucement, oui, elle te faisait rire India. Tu ne te moquais pas d’elle, non, pas du tout. C’était juste que… non, tu ne savais pas. Elle te donnait le sourire dès le matin, tout simplement. « Ta.. main ? » tu demandes, hésitant. Parce que oui, effectivement, tu avais vu sa main sur ton torse, mais tu ne savais pas vraiment si c’était à cause de ça que tu t’étais réveillé. Tu avais certes senti quelque chose, mais qui sait, peut-être que c’était seulement dans ton rêve. Alors non, effectivement, tu n’es sûr de rien, de rien du tout. Comme d’habitude, en fait. Tu ne sais jamais rien, toi. Enfin bon, India passe sa main sur ton visage, et toi tu ne peux pas t’empêcher de déposer ta main sur la sienne. Sauf que tu la retire aussi tôt lorsqu’elle parle de ton éventuel départ de dimanche. Tu ne voulais pas parler de ça, ni y penser. Ça te faisait plus de mal que de bien. C’était égoïste, certes. Mais tu ne pouvais pas faire autrement. Tu restais convaincu que ton départ serait meilleur pour tout le monde, et tu ne voulais pas faire de mal à India en le disant à voix haute, puisqu’elle avait l’air de vouloir te convaincre du contraire. Sauf que te convaincre était vraiment une dure épreuve, et elle devait le savoir. Alors tu changes de sujet, tu lui demandes si elle veut un petit déjeuner. Tu peux aller en cuisine pour lui en faire un beau, même meilleur que celui de la dernière fois. Mais elle n’a pas vraiment l’air d’accord avec cette idée. « Non, reste avec moi s'il te plait... » Tu n’as pas vraiment le temps de répondre qu’elle s’approche et qu’elle t’embrasse. Et comme d’habitude, c’est agréable, trop agréable. Ça serait tellement plus simple si ça ne l’était pas. Si tu n’avais plus de bouche, si tu n’avais plus aucune sensation. Tout se simplifierait pour toi, vraiment. Mais c’était impossible. Et ses doigts glissant contre ta peau te font frissonner. Ça fait beaucoup, beaucoup trop longtemps qu’on ne t’a pas touché comme ça, et bien évidemment c’est perturbant. Et agréable. Et lorsqu’elle t’embrasse une seconde fois, tu déposes maladroitement ta main dans le bas de son dos, osant difficilement faire quoi que ce soit, puisque tu ne savais pas vraiment si tu en avais le droit, tu supposes que non. Une fois le baiser fini, vos regards se croisent, encore. Et tu ne peux pas t’empêcher de lui sourire, doucement. Tes lèvres se déposent délicatement sur sa mâchoire, puis sur sa gorge, et tu descends doucement jusqu’à son cou, puis sa clavicule, pour finir à son épaule. Ce sont de petits baisers, timides, tes lèvres frôlant sa peau sans réellement savoir ce que tu étais en train de faire. Non, tu ne savais clairement pas ce que tu étais en train de faire, et tu n’y avait pas réfléchi une seule seconde. C’était sûrement une mauvaise idée.
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MessageSujet: Re: Gotta learn to put this shit we call pride to the side I ain’t no player, without you I’m not okay + 07.11 7:32   Gotta learn to put this shit we call pride to the side I ain’t no player, without you I’m not okay + 07.11 7:32 EmptyMer 6 Nov 2013 - 21:25

Je crois que je devrais cesser les sous-entendus, je pense que je viens de l'embrouiller pour rien. Le pauvre, si je pouvais réellement dire ces choses plus clairement ce serait plus simple mais je ne peux parce que je ne sais pas réellement ce que je veux et de toute façon dès que j'y réfléchis ça me fait rougir. Si une pensée me fait rougir je n'ose même pas imaginer en parler... non de toute façon ce n'est pas raisonnable. « Je euh.. enfin, moi je veux pas.. je veux pas que tu.. pourquoi tu.. ? enfin.. fais comme tu veux.. » Oui bon, là c'est compliqué. Je ne sais pas trop ce que je peux que répondre à ça moi maintenant. C'est trop gênant. « Rien... Je... Ne t'en fais pas mon ange, c'est rien... Je... tu peux... enfin toi aussi tu peux faire ce que tu veux... Tout ce que tu veux.  » Oui non mais qu'il ne se dérange pas, je ne sais pas s'il le sait mais il faut qu'il le sache et voilà. Et je me tais oui voilà. Et je souris parce que c'est peut être un peu ridicule de réagir comme ça. J'ai l'impression d'être une adolescente en proie à ses premiers émois et je me sens stupide. De toute façon je m'excuse parce que je ne peux pas m'empêcher de le faire et j'en dis sans doute un peu trop mais c'est tout moi ça et ça me fait rire. Et je souris parce que c'est ridicule, mais sans doute un peu drôle. Je sais qu'il ne se moque pas de moi ou je ne sais quoi, je le sais et ça se voit de toute façon. « Ta.. main ? » Bon c'est carrément gênant, il ne sait pas. Ou alors il sait, non mais il n'est pas aussi vil Ivan, il n'a pas l'air de comprendre et je crois que j'ai chaud d'un coup. « Je ... c'était la première fois, je crois, j'ai pas fait exprès je m'en suis pas rendu compte que je te caressais le torse mais... je ... je ne recommencerai plus.  » Non parce que c'est mal, je ne veux pas qu'il pense que je suis tordue, ou que je fais des choses bizarres quand il dort, et s'il ne veut plus dormir avec moi après ça, non je n'ai pas envie. Comme je n'ai pas envie qu'il parte mais c'est un sujet sensible et je sais qu'il est têtu mais je suis obligée de lui dire mais il change de sujet et je crois qu'au fond il a raison, je préfère aussi passer un bon moment avec lui plutôt que ça finisse en drame même si ce serait plus raisonnable de parler de tout ça. Ces choses me pèsent de ne pas savoir, rien savoir finalement mais au lieu d'y penser je lui demande de rester et je ne réagis sans doute pas de la bonne façon mais je l'embrasse, je me colle contre lui et je l'embrasse doucement. Avec une infinie douceur, comme la façon dont mes doigts glissent le long de ses côtes. Je crois que je n'arrive pas à ne pas le toucher, je le touche parce que ça fait tellement de bien, parce qu'il est là devant moi et c'est plus fort que moi. Je frisonne légèrement lorsque je sens sa main contre mon dos, il a dû m'entendre, en tout cas c'est agréable mais il a l'air aussi hésitant que je peux l'être et c'est mignon, rassurant mais mignon. Et lorsque nos lèvres se détachent on se regarde et je souris, c'est fou ce ses yeux sont bleus, sont beaux, et son sourire. Ma main glisse dans son dos doucement et lorsque je sens ses lèvres sur ma peau j'ai la tête qui tourne. C'est tellement agréable, ça fait tellement longtemps qu'on ne m'a pas embrassé de cette façon, c'est doux et tendre et je ferme les yeux parce que c'est tellement agréable. Plus il descends et plus je frisonne. Je crois que je tremble un peu. J'ouvre les yeux pour croiser son regard et je suis souris, je ne sais pas si je dois parler, non je ne crois pas. Je souris, je souris tellement. Mes lèvres trouvent à nouveau les siennes, le baiser est peut être un peu plus intense, je ressens du désir pour lui, oui je le désir et ce n'était pas arrivé depuis tellement de temps que ça me surprend un peu. Je me détache ses lèvres, j'en ai pas particulièrement envie mais je le fais quand même. J'ouvre les yeux pour les poser dans les siens, j'ose effleurer son torse, doucement, je me laisse glisser légèrement contre lui sans le quitter des yeux et je souris parce que je ne sais pas si je peux mais je dépose mes lèvres sur son torse suivant le contour de ses muscles, je ferme les yeux parce que je n'ose plus croiser son regard, je n'ose plus penser non plus, j'ai peur d'arrêter si je pense trop et je n'ai pas envie d'arrêter. Je ne sais pas combien de temps ça dure, le temps semble suspendu mais je pense que ça dure quelques minutes puisque je prends mon temps, chaque centimètre carré de peau a droit à son baiser, il sent bon, il sent tellement bon, et sa peau est douce, tellement douce, et j'ai de plus en plus chaud. Et j'arrive au bout du lit, et sur son ventre, je m'attarde sur ses abdos et mes doigts butent sur l'élastique de son boxer et je sens mes joues s'empourprer et je me dis que c'est mal, mais il m'a dit de faire ce que je voulais et j'ai envie de le faire et je ne crois pas que ce soit si horrible... Je ne sais pas si je peux remontrer de la même manière où si je dois rester sous ces draps, mais si je reste si proche de... enfin de... cette partie de son corps ça risque d'être plu gênant alors je remonte un peu plus rapidement, je me contente de tracer une ligne droite de baisers sur son torse, et je tremble légèrement. J'ai peur. J'ai peur qu'il se plaigne, ou qu'il s'imagine des choses, ou pire qu'il me dise d'arrêter. J'ai plus envie d'arrêter, j'ai juste envie d'être contre lui, de continuer de l'embrasser, je crois que je suis un peu trop égoïste sur le coup mais ça ne m'empêche pas de me coller contre lui, encore et de nicher ma tête contre son cou pour l'embrasser tendrement. J'espère qu'il va rester encore un peu.
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MessageSujet: Re: Gotta learn to put this shit we call pride to the side I ain’t no player, without you I’m not okay + 07.11 7:32   Gotta learn to put this shit we call pride to the side I ain’t no player, without you I’m not okay + 07.11 7:32 EmptyJeu 7 Nov 2013 - 9:48

Tu ne comprends pas grand-chose dès le réveil, et c’est bien normal après tout. Surtout lorsqu’elle parle en langage codé comme ça. Toi, les sous-entendus, les trucs comme ça, t’as jamais réussi à les capter. Il a toujours fallu qu’on te dise les choses clairement pour que tu daignes comprendre ce qu’on voulait te dire. « Rien... Je... Ne t'en fais pas mon ange, c'est rien... Je... tu peux... enfin toi aussi tu peux faire ce que tu veux... Tout ce que tu veux.  » Mon ange, elle t’avait appelé mon ange. C’était bizarre. Pas que tu t’en plaignes mais oui, c’était bizarre pour toi tout de même. Et puis de toute manière, tu n’étais pas vraiment sûr de pouvoir faire « tout ce que tu voulais », après tout, comment est-ce que tu pouvais oser faire quoi que ce soit ? Tu avais beaucoup trop peur, et tu étais beaucoup trop timide. « Je.. euh.. je sais pas si … d’accord… » tu finis par dire, un peu perturbé par tout ça. Ça t’embrouillait, clairement. Et puis India en vient à s’excuser parce qu’elle t’a soi-disant réveillé. C’est vrai que tu as senti cette chose étrange pendant ton sommeil, mais c’était sûrement seulement dans tes rêves. Pourtant en ouvrant les yeux tu avais remarqué la main d’India sur ton torse. Mais au final, ça ne changeait pas grand-chose de d’habitude, puisque lorsqu’elle dormait contre toi, elle pouvait bien avoir sa main qui se déposait n’importe où. Alors, légitimement, tu l’interroges. « Je ... c'était la première fois, je crois, j'ai pas fait exprès je m'en suis pas rendu compte que je te caressais le torse mais... je ... je ne recommencerai plus. » Ah, c’était donc ça. India te caressait le torse. C’était ça, cette chose douce et froide. Tu ne peux pas t’empêcher de sourire, même si elle a l’air un peu paniqué face à tout ça. Et puis ce n’était pas comme si ça t’avait réellement dérangé, ce qu’elle avait fait. Du coup tu secoues doucement la tête, pour lui montrer qu’elle n’avait pas à s’en vouloir. « Ce n’est pas grave.. c’était.. c’était agréable.. » tu avoues, timidement. Après tout, comment une telle chose pouvait ne pas être agréable. C’était impossible. Et puis elle parle de ton départ, de tout ça. Tu y pensais suffisamment, sans cesse, pour ne pas vouloir en parler à voix haute. Tu ne voulais pas, et tu ne pouvais pas. C’était beaucoup trop compliqué pour toi, même si tu te rendais bien compte que c’était égoïste de ta part, au final. Et elle finit par t’embrasser, et glisser ses doigts sur tes côtes. Ce qui te fait indéniablement frissonner. Et hésitant, tu déposes une de tes mains dans le  bas de son dos, sans pour autant savoir si c’était la bonne chose à faire. Tu étais tellement maladroit dans ce genre de situation, ce n’était pas de ta faute. Et tes lèvres finissent par se perdre timidement sur sa mâchoire, sur sa gorge, dans le creux de son cou, et tous les endroits que le bout de tes lèvres peut atteindre de là où tu es, en fait. Et puis vos lèvres se retrouvent, et ta main qui était jusqu’alors par-dessus son t-shirt glisse instinctivement en dessous pour laisser tes doigts glisser le long de son dos, tandis que ton autre main vient se déposer délicatement sur son cou. Et tout ça te trouble atrocement, d’autant plus lorsqu’India en vient à déposer ses lèvres sur ton torse. A chaque contact, à chaque baiser, un frisson te parcours. Tes muscles se contractent, non pas parce que ce qu’elle faisait était désagréable. Bien au contraire, ça l’était beaucoup trop et tu ne pouvais plus réellement contrôler les réactions de ton corps face à tout ça. Ta respiration devient même un peu plus rapide, et une vague de chaleur t’envahit. Tu ne savais pas si tout ça était une bonne idée, mais en ce moment même ce que tu savais c’était que tu ne voulais pas qu’elle se stoppe. Ou peut-être que si, justement, parce que la réaction au niveau de ton caleçon peut se faire sentir, et tu n’as pas vraiment envie qu’elle le sente. C’est affreusement gênant. Sauf qu’elle se colle de nouveau contre toi, et bien sûr tu supposes qu’elle doit comprendre ce qui se passe. Et toi, tu rougis. Énormément. C’est tellement, tellement gênant. Tu n’oses même plus la toucher du coup, ta seule envie et de te cacher et de ne jamais sortir de ta cachette. Et puis India t’a mis trop, trop de choses dans ta tête. C’était mal. « Tu.. tu devrais te décoller de moi je crois.. » tu bredouilles honteusement. C’était sûrement la meilleure, et la seule solution pour que tu te calmes à ce niveau-là.
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MessageSujet: Re: Gotta learn to put this shit we call pride to the side I ain’t no player, without you I’m not okay + 07.11 7:32   Gotta learn to put this shit we call pride to the side I ain’t no player, without you I’m not okay + 07.11 7:32 EmptyJeu 7 Nov 2013 - 13:11

Oui bon d'accord, je ne suis pas claire, mais ce n'est pas comme si c'était simple tout ça. Je ne peux pas lui dire ce qu'il m'inspire parce que je ne suis pas sûre de pouvoir avoir le droit de penser à ces choses. Non pas du tout même et du coup il ne comprend pas ce qui parait assez logique, et je crois que je m'enfonce un peu trop. Parfois je devrais me taire ce serait plus simple. Oui beaucoup plus simple. Vraiment plus simple. « Je.. euh.. je sais pas si … d’accord… » Je souris parce que c'est gênant et je ne veux pas le gêner mais du coup je ne dis rien du tout. Je crois que je me suis suffisamment enfoncé, j'ai tellement l'impression de faire des choses qui ne me ressemblent pas. Agir comme ça, lui faire des sous-entendus, mais c'est parce que ça fait longtemps et je ne sais plus comment je dois me comporter dans ce genre de situations, je ne sais pas ce que je peux faire, ce que je ne peux pas faire. il m'a dit que je pouvait tout faire mais honnêtement je n'en suis pas sûr. Et déjà je suis gênée de l'avoir "tripoté" durant son sommeil. Ce qui n'est pas vraiment le terme mais j'ai l'impression d'avoir abusé un peu alors je m'excuse en lui assurant de ne plus recommencer même si techniquement je ne l'ai pas fait volontairement. Et incontestablement je panique, je ne veux pas faire quoi que ce soit qui puisse le déranger. Et il sourit et j'avoue que ça me perturbe un peu, mais je suppose que je m'en fais trop, comme d'habitude en plus il secoue la tête. « Ce n’est pas grave.. c’était.. c’était agréable.. » C'est à mon tour de sourire légèrement. Bon tant mieux c'est le but de ce genre de choses après tout. D'être agréable.  « Je... J'essayerai de le faire que quand tu seras réveillé, c'est mieux...  » Oui voilà c'est mieux je souris légèrement mutine, après tout s'il trouve ça agréable autant qu'li puisse en profiter, je trouve ça très agréable moi aussi, je crois que j'aime trop le toucher pour m'en empêcher. Peut être que finalement ce n'est pas plus mal de ne pas parler de son départ, je suppose qu'il ne veut pas en parler et moi j'angoisse déjà assez comme ça. En plus je préfère l'embrasser, je préfère qu'il m'embrasse, qu'il me touche et sa maladresse est perceptible mais elle est mignonne et rassurante. Il ne me fait pas peur. Enfin Ivan ne me fait pas peur et j'ai confiance mais la douceur c'est plus... enfin moins troublant pour moi. Et pour lui aussi je suppose. Mais finalement quand on s'embrasse à nouveau je sens sa main se glisser sous mon débardeur et je frissonne tant c'est agréable. C'est rassurant de voir que je ne suis pas seule à avoir envie de le toucher et ça me déchire presque de rompre le contact mais je me laisse aller à déposer des baisers tendres sur son torse. Je crois que ça fait un moment que j'en ai envie. Et vu ses réactions je suppose qu'il apprécie. Il en a l'air, je sens son corps de tendre et ça me conforte dans l'idée que j'ai eu raison, et j'ai bien envie de m'attarder encore mais je crois que c'est plus raisonnable de retourner dans ses bras. En plus son cou n'est pas en reste concernant les baisers mais je me colle contre lui et je peux que constater que mes baisers lui ont fait de l'effet et ça me trouble mais je reste contre lui, parce que... j'en sais rien, ça a tendance à éveiller mes sens et je ne suis pas sûre que ce soit si bien. « Tu.. tu devrais te décoller de moi je crois.. » Oh... Je... J'arrête de l'embrasser et je le regarde, c'est hum, troublant parce que j'en ai pas la moindre envie mais je ne peux pas le lui dire... C'est gênant.  « Tu... Tu es sûr ? Enfin je... oui si tu veux mais je... c'est rien, si ?  » Je ne sais pas. Je ne pense pas, moi ça me dérange pas, au contraire je... enfin c'est agréable mais je crois que j'ai l'esprit embrouillé par tout ça, je n'ai pas envie de partir, j'ai envie qu'il me touche mais je ne peux pas rester s'il ne veut pas, enfin je ne réagis pas immédiatement puisque je l'embrasse et je ne devrais pas, je le sais mais je ne peux pas m'en empêcher, j'ai l'impression de ne plus contrôler mon corps, je décolle mon bassin du sien lorsque je détache mes lèvres des siennes. Et je le regarde parce que ce n'est vraiment pas grave, pas du tout et je n'ai pas particulièrement envie que cette réaction plus qu'humaine gâche tout. Alors je caresse doucement son visage en souriant.  « C'est vraiment rien...  » Je murmure en attrapant sa main, j'ai l'impression d'avoir un peu plus d'assurance depuis qu'il panique et c'est étrange mais je la pose sur ma hanche soulevant par la même occasion légèrement mon débardeur, il n'a pas obligé de la laisser mais il ne faut pas qu'il ait peur d'oser je me mords l'intérieur de la joue, je ne sais pas si je fais bien de faire toutes ces choses mais j'en ai envie et je crois qu'il ne trouve pas tout ça désagréable donc, j'en sais rien, je me risque à faire glisser mes doigts dans son dos, à la lisière de son caleçon, je ne devrais pas faire ça. Je sais que je ne devrais pas.
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On ne pouvait clairement pas te qualifier d’homme intelligent. Tu ne l’étais pas, non. Tu avais souvent besoin qu’on t’explique les choses clairement pour que tu puisses comprendre, et c’était pour cette même raison que tu avais un peu du mal avec les sous-entendus. Comme maintenant. Du coup t’es un peu gêné, et tu te sens idiot, parce que tu ne comprends. Oh que oui, t’as vraiment l’impression d’être un idiot, là, mais tu ne dis rien du tout, et tu préfères ne rien rajouter à tout ça. Et puis elle s’excuse, parce qu’elle t’a caressé le torse, et elle pense que c’est ce qui t’a réveillé. À vrai dire, tu ne le savais pas vraiment, mais tu avais le vague souvenir de ses doigts contre ta peau, et c’était loin d’être désagréable. Autant ne pas se mentir. Et puis, tout ça, ça faisait tellement, si bien que tu ne te souvenais plus quel effet ça pouvait faire d’être touché comme ça. Et clairement, ça t’avait manqué. Même si tu ne pouvais pas l’admettre vraiment, tu trouvais ça gênant. Tu n’allais pas sortir un « j’aime quand tu me touches » à India, c’était clairement… bizarre. Oui, bizarre était le bon mot. « Je... J'essayerai de le faire que quand tu seras réveillé, c'est mieux... » Et tu souris timidement, parce que ça restait bizarre ça aussi. Elle te disait qu’elle allait te caresser le torse lorsque tu serais réveillé. Pas que ça te dérange, oh non, tout le contraire, mais ça restait étrange pour toi, et plutôt inhabituel. Carrément inhabituel, même, surtout depuis ces deux dernières années. Du coup tu ne sais pas trop quoi dire. Est-ce que tu devais la remercier ? Ou… Non, franchement, t’en savais rien. Alors tu souris, et puis de toute manière t’as pas vraiment le temps de dire quoi que ce soit qu’elle parle de ton éventuel départ. Sauf que le sujet vous mène à vous embrasser. Enfin toi tu n’y étais pour rien, c’était India qui avait commencé. Et puis tout se passe très vite. Tu l’embrasses, tu caresses son dos, mais tu es beaucoup trop timide pour en faire trop. Parce que justement, tu ne sais pas ce qui est « trop ». Alors tu préfères t’arrêter à ce qui reste admissible, mais qui reste pourtant tant agréable. Et puis les lèvres d’India se retrouvent sur ton torse, sur ton ventre, ce qui te fait indéniablement de l’effet. Peut-être un peu trop d’effet, justement. Tu étais un homme après tout, tu ne pouvais pas contrôler ces choses-là. Pourtant ça ne restait pas une excuse pour toi, si bien que tu avais commencé à rougir lorsqu’elle s’était de nouveau coller contre toi, et ses baisers dans le cou n’arrangeaient vraiment rien à ton état. Et bien là, India pouvait carrément sentir l’effet qu’elle te faisait. Et c’est affreusement gênant. Tu n’oses plus faire un seul mouvement, honteux. « Tu... Tu es sûr ? Enfin je... oui si tu veux mais je... c'est rien, si ?  » Tu es toujours aussi rouge, t’en sais rien si c’est rien ou pas. Enfin, ce qu’il se passe c’est carrément pas rien mais…  non, t’en sais rien. Tu n’as vraiment non plus envie qu’elle se décolle, mais ce serait plus raisonnable si tu voulais te calmer. Parce que là, clairement, tu ne contrôlais plus les réactions de ton corps. Tu n’étais pas du genre à contrôler quoi que ce soit de toute manière. « Je.. euh.. c’est.. gênant.. je suis désolé…» tu avoues, honteusement. Oui, tu étais désolé de réagir comme ça, même si au final tu ne voyais pas comment tu pouvais réagir autrement face à tout ça. Puis India replonge sur ses lèvres, comme si tout ça n’avait aucune importance. « C'est vraiment rien...  » C’est bizarre, mais elle a le don de te rassurer. Rien qu’avec ces quelques mots, oui. Elle attrape  ta main et tu te laisses guider tandis que ton regard perdu et troublé reste planté dans le sien. Ta main se retrouve donc sur sa hanche tandis que ses doigts à elle se retrouvent dans ton dos, le longeant pour percuter ton caleçon. Et tu frissonnes. Tu ne savais vraiment pas si c’était une bonne idée, tout ça n’arrangeait en rien ton état actuel. Et non, la solution la plus raisonnable était que t’aille prendre une douche bien froide, et voilà tout. « Je sais pas si je.. enfin.. je.. tu… euh… » Bon, tu n’arrives carrément pas à t’exprimer, pauvre personne perturbée que tu es. Non parce qu’effectivement, India venait un peu de te faire perdre la tête, pour le coup. Et ce n’était pas bien pratique pour toi. Alors que ton regard plutôt troublé n’a pas quitté le sien, tu avances doucement ton visage pour l’embrasser à nouveau. Et dans ton élan, tu te retrouves au-dessus d’elle. Enfin, au-dessus, pas vraiment. Tu étais juste pencher sur elle, la surplombant de ce fait. Ta main qui était sur sa hanche se retrouve sous son débardeur, tes doigts caressant doucement sa peau. Et sans vraiment contrôler tes faits et gestes, tu remontes lentement ta main, tombant inévitablement sur l’un de ses seins. Et tu te crispes, et tu rougis d’autant plus. Pas que tu avais oublié qu’une femme avait des seins, non, c’était juste que tu n’en avais pas touché depuis un bon bout de temps désormais. Et n’ayant plus vraiment l’habitude de toucher une femme de la sorte, tu es gêné. Forcément. Et puis tu ne sais même pas si tu as le droit de faire ça. Du coup tu paniques. « Je.. je… je suis désolé.. je.. je vais enlever ma.. ma main.. » tu lui dis après avoir reculé la tête. C’est fou ce que tu peux être gêné, et rouge. Ta seule envie est d’aller te cacher, ou de disparaître. Ce serait vraiment la solution parfaite. Et avec tout ça, ta main est toujours sur son sein, parce que tu es comme bloqué, en fait.

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