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 Gotta learn to put this shit we call pride to the side I ain’t no player, without you I’m not okay + 07.11 7:32

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India

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MessageSujet: Re: Gotta learn to put this shit we call pride to the side I ain’t no player, without you I’m not okay + 07.11 7:32   Gotta learn to put this shit we call pride to the side I ain’t no player, without you I’m not okay + 07.11 7:32 - Page 2 EmptySam 9 Nov 2013 - 2:31

Je crois que je suis entrain de me transformer en une autre personne. Je ne sais pas quelle mouche m'a piqué mais c'est troublant. Je suis calme, j'ai des pensées lubriques, mon dieu j'ai des pensées lubriques. Je ne sais pas pourquoi, peut être parce que je me suis mise à penser à ce que j'avais envie de le faire et j'ai très envie de le toucher, genre, tout le temps. Et comme il dit que je peux faire ce que je veux, c'est que je peux aussi, enfin lui il peut mais il ne répond pas et ça me confirme que peut être je parle trop, ou je devrais pas dire ce genre de choses. Mais il a quand même le droit de faire ce qu'il veut. En plus il ne va rien faire de mal, c'est Ivan pas un pervers. Je ne sais pas ce qui me prend non plus quand je lui dis que je ne le toucherai que lorsqu'il sera réveillé c'est que c'était censé le rassurer et pas dire que je ne pense qu'à le toucher tout le temps. Et même si c'est ce que je lui ai dit la dernière fois là c'est... gênant, je fais vraiment n'importe quoi. Je crois que je suis plus ou moins dépassée par tout ce que ceci me provoque. Cinq ans c'est trop long et je croyais que je n'allais plus du tout ressentir ce genre de choses et du coup c'est bizarre, pas désagréable mais vraiment bizarre. Et je ne vois pas Ivan comme ça mais j'imagine que c'est normal d'y songer, après tout on dort toutes les nuits tous les deux et on est pas énormément habillés et du coup, enfin bon, je ne peux pas m'empêcher de l'embrasser parce que c'est tellement agréable de l'embrasser, ses lèvres sont tellement proches et elles font tellement envie. Alors je l'embrasse c'est plus fort que moi, de toute façon il ne veut pas qu'on parle de sa nomination alors je trouve que c'est mieux de l'embrasser. C'est plus agréable, mais je ne sais pas ce qui se passe mais je suis tellement plus entreprenante que lui, peut être que c'est parce qu'il est hésitant. Je devrais l'être aussi, ça fait tellement plus longtemps que lui que je n'ai pas été aussi proche de quelqu'un. C'est juste que ça me semble assez naturel, avec lui tout me semble naturel et c'est d'autant plus déroutant mais après ses baisers sur ma peau je me surprends à venir embrasser son torse, délicatement, très doucement, super sensuellement aussi et je me laisse glisser contre lui et finalement quand je remontre dans ses bras je crois sentir une réaction de sa part. Et je crois que j'essaye d'agir comme si de rien étant en continuant de l'embrasser et je sens encore plus et ça le dérange, et je comprends, mais je n'ai pas particulièrement envie de me détacher de lui, alors j'essaye de le rassurer. « Je.. euh.. c’est.. gênant.. je suis désolé…» Et il est tout rouge et je crois que ça m'apaise moi, j'ai l'impression d'être horrible mais je panique à l'intérieur. Parce que ce n'est pas grave, c'est plutôt flatteur je trouve, enfin je n'ai plus tellement les idées claires. Je secoue légèrement la tête et souris et puis je l'embrasse parce que ce n'est pas important. J'ai simplement envie de lui faire comprendre. Et je le répète et puis je veux lui faire comprendre qu'il peut lui aussi me toucher et ça ne va sans doute pas l'aider mais je ne réfléchis pas tellement. Il est tellement troublé, mais moi non parce qu'il ne le faut pas, parce que je ne pense à rien, à rien du tout. Juste à sa main sur ma hanche et à mes doigts dans son dos, je ne le lâche pas du regard, je ne peux plus. « Je sais pas si je.. enfin.. je.. tu… euh… » Je m'arrête de le toucher parce que je ne sais pas trop ce que je suis censée faire, je ne suis pas sûre de comprendre ce qu'il insinue. « euh... je... je vais pas te... Je... Excuse moi.  » Je ne sais pas vraiment de quoi je m'excuse mais peut être que ça l'apaisera et pourtant je n'ai pas bougé, je n'ai pas tellement le temps puisqu'il se penche pour m'embrasser et je me sens basculer sur le dos poussé par la fougue du baiser. Je frisonne lorsque je sens sa main glisser sous mon débardeur et c'est tellement agréable que je ferme les yeux. Ça fait tellement longtemps qu'on ne m'a pas touché de cette façon, j'ai tellement chaud, mais je crois que je tremble légèrement lorsque je sens sa main se poser sur ma poitrine parce que je suis surprise, surprise d'apprécier autant le contact. Et je ne sais pas si c'est de ma faute mais je le sens se crisper et j'ouvre les yeux pour capter son regard. J'ai mon coeur qui bat la chamade et il doit sans doute le sentir mais ce n'est pas un problème. « Je.. je… je suis désolé.. je.. je vais enlever ma.. ma main.. » Il rougit alors je rougis, j'ai tellement chaud que je n'arrive plus à savoir si je rougis ou pas finalement et il recule et je n'en ai pas la moindre envie, qu'il reste. « Non... Enfin je... Tu... Tu peux, si tu ... c'est... c'est agréable...  » Et là je crois que je sens une nouvelle vague de chaleur m'envahir. C'est gênant. Trop gênant mais je ne sais pas ce qui est plus gênant. Apprécier la la sensation ou le lui avouer. Je ne sais pas trop quoi faire. Mon seul réflexe c'est de poser une main sur sa joue pour la caresser, pour le rassurer. « Détends-toi... euh.. je... embrasse moi... » Je n'attends pas tellement qu'il le fasse parce que je m'attire légèrement et l'attire un peu pour pouvoir l'embrasser sauf que la main qui était contre son dos descends légèrement, sans vraiment m'en rendre compte deux doigt glissent légèrement sur le haut de ses fesses, je ne sais pas du tout ce que je fais, je suis un peu bloquée mais je n'y pense pas trop. Je meurs de chaud, j'ai beaucoup trop chaud, il me fait perdre la tête, je me sens tellement bien, je ne suis pas sûre que ce soit raisonnable mais je crois que je m'en fiche totalement de ma raison. Et ça ne me ressemble absolument pas. Je quitte ses lèvres parce que je suffoque et même si ce n'est pas forcément ma volonté il faut que je respire. Et je le regarde en souriant légèrement, je suis un peu gênée de toutes ces choses mais je n'ai pas envie qu'il parte, ou qu'il arrête de me toucher. Même si je suis un peu plus à l'aise que je ne sais pas ce qu'on est censé faire maintenant. « Je... crois que... tu... enfin je... j'ai... tu ... euh tu...  » Je balbutie parce que je ne sais même pas ce que je veux lui dire, je continue d'effleurer le haut de ses fesses et ma main à quitté ses cheveux pour rejoindre le creux de son dos, sans vraiment réfléchir je joue avec l'élastique de son caleçon et je devrais arrêter mais j'ai envie de le sentir totalement contre moi, son ... enfin son... c'est particulièrement excitant. Je meurs de chaud mais je crois que c'est surtout interne.
Ivan

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MessageSujet: Re: Gotta learn to put this shit we call pride to the side I ain’t no player, without you I’m not okay + 07.11 7:32   Gotta learn to put this shit we call pride to the side I ain’t no player, without you I’m not okay + 07.11 7:32 - Page 2 EmptyDim 10 Nov 2013 - 13:07

Tu ne savais pas si c’était bien, tout ça. Non, à vrai dire tu savais très bien que ça ne l’était pas. C’était loin d’être raisonnable vu la situation dans laquelle vous étiez. Ou plutôt la situation dans laquelle toi tu étais. Et pourtant la seule chose à laquelle tu penses en ce moment, c’est à elle et au désir que tu ressens. Au désir qui se sent peut-être  un peu trop, d’ailleurs. Si bien que tu as honte qu’elle puisse le sentir elle aussi, tu trouves ça affreusement gênant, c’était bien légitime. Tu avais oublié ce que c’était, depuis le temps, de désirer quelqu’un de la sorte. C’était… troublant. Tu ne contrôlais plus rien, il faut dire. Rien du tout. Mais India n’a pas l’air aussi perdu et perturbé que toi, comme si elle trouvait ça normal. Tu ne savais pas vraiment si c’était normal, toi. Après tout, c’était une réaction normale pour un homme, non ? ce qui n’aurait pas été normal, c’était que tu ne ressentes rien. Du moins, tu essayais de te conforter dans cette idée. Dans tous les cas, tu ne la lâches plus du regard, comme si ses yeux te guideraient dans ce que tu devais penser, et faire. « euh... je... je vais pas te... Je... Excuse moi.  » Tu n’es pas sûr de comprendre. Non, en fait, tu es bel et bien sûr de ne pas comprendre. Si bien que tu te contentes de l’embrasser, la faisant basculer par la même occasion sans que ce soit réellement calculé. Et sans vraiment y réfléchir non plus, une de tes mains se retrouve sous son débardeur, à caresser la moindre parcelle de sa peau, pour se retrouver sur sa poitrine. Et là tu te stoppes parce que tu paniques. Pas que tu ne t’attendais à ce qu’elle n’ait pas de seins, mais tu ne savais pas trop, c’était bizarre. Tu ne savais pas vraiment si tu avais le droit d’y toucher, à ça. Tu ne connaissais pas les limites, et à vrai dire tu n’étais pas ce genre de garçon à être désobéissant et à les franchir, ces limites. Et rien qu’en touchant ses seins, des pensées lubriques te traversent l’esprit et… non, non, tu n’avais pas le droit. Et ton entrejambe n’avait pas le droit de réagir comme ça non plus. Si bien que tu t’excuses, rougissant bien évidemment. Tu n’avais plus l’habitude de tout ça, et tu ne savais plus vraiment comment t’y prendre à vrai dire. Tu avais juste chaud, beaucoup trop chaud. « Non... Enfin je... Tu... Tu peux, si tu ... c'est... c'est agréable...  » Qu’est-ce que ça voulait dire ? Que tu pouvais garder ta main où elle était ? Parce que si tu t’écoutais, en fait, tu ne l’enlèverais pas. Elle caresse ta joue, et toi tu ne la quitte pas du regard. C’est fou ce qu’elle peut t’apaiser rien qu’en faisant ça. C’était comme si elle avait un certain pouvoir sur toi, si bien que la panique a presque complètement disparu. « Détends-toi... euh.. je... embrasse moi... » Tu n’as qu’à entendre le son de sa voix pour te détendre, en fait. et tu n’as pas vraiment le temps de t’exécuter qu’elle t’embrasse avant que tu ne puisses faire quoi que ce soit. Et tu frissonnes lorsque tu sens ses doigts sur le haut de ses fesses, tandis que toi, tu caresses sa poitrine sans pourtant oser lui enlever son débardeur, et ton autre main se retrouve dans le creux de son dos, la rapprochant doucement contre toi. Malgré le fait que tu sois atrocement gêné par ce qui se passait dans ton caleçon, tu avais envie de sentir son corps contre le sien. Et lorsque votre baiser prend fin, ta respiration est de plus en plus saccadée. Sûrement parce que tu n’as pas assez respiré, que tu as atrocement chaud, et surtout, que tu la désires de plus en plus. Ce n’était pas bien, oh que non tu en avais bien conscience que ça ne l’était pas. Pourtant tes lèvres se perdent dans son coup, la parsemant de légers baisers, timides, toujours aussi hésitant. Mais doux, toujours aussi doux, oui. « Je... crois que... tu... enfin je... j'ai... tu ... euh tu... » Elle joue avec l’élastique de ton caleçon, et bien sûr ça te trouble. Beaucoup trop. Tu quittes son cou pour relever la tête et pouvoir planter tes yeux dans les siens, cherchant une réponse. Parce que tu ne savais pas quoi faire, ce que tu devais faire, tu étais clairement perdu, et tu ne contrôlais plus rien du tout. « Qu’est-ce que.. qu’est-ce que je dois faire.. ? » tu demandes tout bas, cherchant à savoir ce que vous étiez réellement en train de faire à cet instant, parce que toi-même tu ne savais pas.
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MessageSujet: Re: Gotta learn to put this shit we call pride to the side I ain’t no player, without you I’m not okay + 07.11 7:32   Gotta learn to put this shit we call pride to the side I ain’t no player, without you I’m not okay + 07.11 7:32 - Page 2 EmptyDim 10 Nov 2013 - 15:14

Le bien, le mal, ce sont deux notions qui me dépassent à l'heure actuelle, ma raison m'a quitté, elle n'est plus là et je crois qu'au fond, tout au fond j'en suis plus qu'heureuse. Il doit bien y avoir un truc qui me pousse à ne pas me soucier de tout ça. Des conséquences, l'endroit dans lequel nous sommes, l'heure qu'il peut être, je m'en fiche je crois. Pour la première fois depuis des années je m'en fiche. Et c'est agréable de ne plus penser qu'au moment présent, qu'aux baisers échangés, qu'aux caresses timides mais très agréables, qu'à la peau brûlante d'Ivan contre la mienne, du désir qui nous anime. Le sien est palpable, il me désire, moi, maintenant et honnêtement le reste je m'en contre-fiche. Je suis terrifiée parce que ça fait longtemps parce que je ne suis plus certaine de savoir comment m'y prendre mais je crois que tout revient au fur et à mesure. Étrangement voir Ivan paniquer de la sorte m'apaise, parce que lui aussi a peur et lui non plus n'a pas l'air de savoir comment s'y prendre. La seule chose que je peux faire c'est tenter de le rassurer et je crois que ça fonctionne un peu. Nos baisers sont plutôt intenses, les caresses s'intensifient, se précisent, si bien que je n'ai qu'une envie, franchir la barrière de son caleçon pour m'approprié le moindre recoin de sa peau, la sentir contre mes doigts pourtant je ne fais rien d'autre que jouer avec l'élastique sans oser m'aventurer trop loin attendant sa permission en quelque sorte. Tandis que lui, s'est aventuré sous mon débardeur, chaque mouvement de sa main me procure un frisson et alors qu'il panique lorsqu'il arrive sur ma poitrine je brûle un peu plus de désir. Je n'ai pas la moindre envie qu'il retire sa main, j'ai plutôt envie qu'il s'y attarde, je le lui dis mais si je suis plutôt consciente de ce que je veux c'est toujours compliqué de m'exprimer mais je crois qu'il comprend. Mais il est en panique et j'ai plutôt envie qu'il se détende. Et qu'il m'embrasse même si je lui laisse pas trop l'occasion. Je le fais, j'y mets tout mon coeur dans ce baiser, il est passionné et donc tellement différent de d'habitude, il me sert contre lui et le désir s'accentue, je crois que je m'agrippe légèrement contre ses fesses pour le sentir plus encore, je suis haletante lorsqu'il se termine, la respiration me semble relativement optionnel il faut dire. Je perds totalement pieds lorsque je sens ses lèvres contre mon cou, c'est tellement doux, son hésitation est palpable et je me sens tellement en sécurité, je suis totalement sûr de ce que j'ai envie même si une fois encore les mots ne sortent pas clairement. Nos yeux se croisent à nouveau, j'crois qu'il cherche des réponses, je crois qu'il faut que je le guide. « Qu’est-ce que.. qu’est-ce que je dois faire.. ? » Je ne peux pas m'empêcher de sourire, ma main caresse à nouveau sa joue, je contemple encore ses yeux quelques secondes avant de répondre pour tenter de faire le tri, tenter de construire une phrase compréhensive dans ma tête. « Déshabille-moi, fais-moi... J'ai envie de toi Ivan... Déshabille-moi...  » Je crois que je rougis légèrement, mais je crois que que c'est on ne peut plus clair. J'ai envie de lui, je suis prête à ce qu'il me voit totalement nue. Je suis prête à me donner totalement à lui. Et ça fait peur, mais je n'ai plus peur je crois, pas là, pas maintenant alors que je brûle de désir pour lui. Je ne peux pas m'empêcher de tirer légèrement sur la couette pour être certaine qu'elle nous enveloppe totalement, je suis d'accord de m'offrir à lui mais pas au reste de la Terre. C'est lui et c'est tout. Je fais glisser mes mains contre contre dos, doucement et lorsque mes doigts butent contre son caleçon je le baisse légèrement sans avoir son autorisation, mais je le fais parce que, parce que j'ai envie de lui, voilà. Et ainsi je peux profiter de ses fesses particulièrement parfaite, j'en ai pas douté une seule seconde mais de sentir sa peau. Je souris légèrement sans le lâcher des yeux, je suis prête, et je m'en fiche de ce qui nous entoure, il n'y a que lui, que moi, que nous et c'est tout.
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MessageSujet: Re: Gotta learn to put this shit we call pride to the side I ain’t no player, without you I’m not okay + 07.11 7:32   Gotta learn to put this shit we call pride to the side I ain’t no player, without you I’m not okay + 07.11 7:32 - Page 2 EmptyDim 10 Nov 2013 - 17:28

Tu ne savais pas quoi faire, ce que tu pouvais faire, et ne pas faire. Tu étais perdu. Perdu et troublé. « Déshabille-moi, fais-moi... J'ai envie de toi Ivan... Déshabille-moi… » Et toi, tu rougis. Évidemment que tu rougis. Ce n’était pas comme si tu entendais ce genre de choses tous les jours. Et tu as peur. Tu as peur parce que tu ne sais plus comment t’y prendre. Tu ne penses pas pouvoir être à la hauteur, et tu n’as pas envie d’être nul. Deux ans, c’est long. Et, peut-être que tu as totalement oublié comment on faisait, tu ne voulais pas la décevoir. Tu ne voulais pas qu’India passe un mauvais moment, même si tu brûlais complètement de désir pour elle en ce moment même. Tu avais envie de sentir son corps, sa peau, sa respiration, ses lèvres. Tu avais la tête qui tournait, et en même temps tu paniquais. Tu paniquais parce que ça faisait longtemps, toutes ces choses. Et ça doit bien se lire dans ton regard, que tu as peur. Peur de mal t’y prendre. India tire la couette sur vous afin de vous cacher, et finis par baisser légèrement ton caleçon sans le faire entièrement, laissant tes mains sur tes fesses. Et un frisson te parcours, bien évidemment. Ton regard bleuté n’a pas lâché un instant le sien, pendant ces quelques secondes, où tout s’est accéléré, même ta respiration et les battements de ton cœur. Tu supposes qu’il faut que tu te lances, et que tu arrêtes d’avoir peur. Tu en as envie, tu as envie d’elle. Alors tu lui enlèves lentement son débardeur, tes mains glissant contre sa peau par la même occasion. Après avoir regardé un court instant son corps dénudé – et parfait au passage – tu te baisses pour déposer de tendres baisers sur sa poitrine, tes lèvres frôlant fébrilement le bout de ses seins, un par un. Peut-être que tu ne devrais pas faire ça. Pourtant, tu en avais drôlement envie. Et puis, tes lèvres frôlent son ventre, chaque parcelle de sa peau. Ce ne sont pas des baisers, non, juste tes lèvres qui découvrent son corps à vrai dire. Arrivé à son bas ventre, tes doigts glissent sous  sa culotte pour la lui enlever, caressant ses cuisses par la même occasion. Les battements de ton cœur sont un peu plus rapide, et ton désir pour elle se fait plus intense. Et c’est le massacre dans ta pauvre tête, qui tourne et qui tourne. Tu remontes lentement, laissant tes mains caressant sensuellement sa peau, et une fois que ton visage se retrouve en face du sien, tu plonges ton regard dans celui d’India. Et même si elle se retrouve toute nue sous toi, que tout ce que tu veux, c’est bien elle, et que ça se voit, tu restes tout de même hésitant. « Je.. je ne sais pas si.. si je peux être.. euh.. à la hauteur… » tu bredouilles difficilement, honteusement. Autant le lui avouer. Ca faisait longtemps, et tu avais carrément peur. On dirait un gamin de 16 ans qui s’apprête à le faire pour la première fois. Alors que tu as 27 ans, et que ce n’est pas vraiment la première fois, non.

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MessageSujet: Re: Gotta learn to put this shit we call pride to the side I ain’t no player, without you I’m not okay + 07.11 7:32   Gotta learn to put this shit we call pride to the side I ain’t no player, without you I’m not okay + 07.11 7:32 - Page 2 Empty

 

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