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 the mood it changes like the wind hard to control when it begins (06/12 - 20h26)

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William

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MessageSujet: the mood it changes like the wind hard to control when it begins (06/12 - 20h26)   the mood it changes like the wind hard to control when it begins (06/12 - 20h26) EmptyLun 3 Déc 2012 - 22:11

dagga

Je crois que j’ai envie de faire une sieste. Bon d’accord, il est vingt heures, donc si je fais une sieste, je risque de m’endormir pour une bonne partie de la soirée et de la nuit finalement. Mais bon, franchement, je ne sais pas trop quoi faire d’autre. J’ai un peu cherché Dagga, ayant envie de l’entraîner dans la chambre avec moi pour faire « une sieste », mais je ne la trouve nul part. C’est donc en soupirant que j’erre dans les rues, me décidant à entrer dans la mairie, parce que l’envie de prend, et que c’est plutôt frisquet à l’extérieur. Je monte au premier, me disant que la bibliothèque serait certainement l’endroit idéal pour faire une sieste. Ça ne serait pas la première fois que j’irais là pour la cause. Puis après, je me dis que je pourrais bien lire un livre, me changer les idées puisque l’heure de vérité sonnera dans seulement quelques jours et cela à le don de me stresser légèrement. Et alors que je me rends en direction de mon canapé préféré, je repère une chevelure rousse que je reconnais immédiatement. « C’est ici que tu te caches toi ! » Je lui parle d’une voix pausée alors que j’annonce en quelque sorte ma présence. Un sourire vient automatiquement d’apparaître sur mes lèvres comme à chaque fois que je l’aperçois dans les parages. Je m’approche d’elle en un rien de temps, en collant mon torse contre son dos, alors que mes mains s’aventurent sur sa taille, ne pouvant m’empêcher de venir embrasser son cou délicatement. Ça fait beaucoup de démonstration d’affection en quelques secondes, j’espère que cela ne lui dérange pas. Je ne crois pas en même temps, depuis les derniers jours, nous sommes beaucoup plus tactiles l’un envers l’autre et je dois avouer que ça me plait bien, ayant l’impression que notre relation évolue en quelque sorte. Ce n’est pas une relation évidente, mais je crois vraiment que je fais la bonne chose en m’attachant à elle. De toute façon, il commence à être trop tard pour reculer. « Qu’est-ce que tu faisais… j’espère que je ne te dérange pas. » Je ne crois pas. En fait, j’étais tellement obnubiler par sa présence que je n’ai absolument pas porté attention à ce qu’elle était entrain de faire. Je ne peux m’empêcher de caresser sa taille avec une certaine tendresse, déposant mon menton contre son épaule. Je devrais peut-être lui parler de toute cette histoire de fidélité dont m’a parlé Candace, mais je ne suis pas vraiment certain d’en avoir envie. Parce que je ne sais pas trop quoi penser de tout cela. Je décide d’attendre, d’aborder le sujet plus tard, peut-être. Pour l’instant, j’apprécie trop l’avoir contre moi pour gâcher le moment.
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MessageSujet: Re: the mood it changes like the wind hard to control when it begins (06/12 - 20h26)   the mood it changes like the wind hard to control when it begins (06/12 - 20h26) EmptyMar 4 Déc 2012 - 23:10

Je passe beaucoup de temps à la bibliothèque ces derniers jours. Bon, honnêtement, je passe beaucoup de temps à la bibliothèque depuis que je suis ici – et cela n'a, j'imagine, rien d'étonnant venant de la part d'une étudiante en littérature. Mais le fait est qu'il s'agissait peut-être de ma dernière semaine dans ce village, et, tout comme il m'avait fallu passer par une phase de découverte et d'acclimatation, il me fallait à présenter me préparer à un éventuel futur départ et dire au revoir à tous ces lieux auxquels je m'étais habituée. Il y en a qui n'allaient pas me manquer. Mais j'ai développé une affection particulière pour cette bibliothèque au fil des semaines, et c'est toujours un peu émue que je m'y rends, consciente que je n'aurai bientôt plus l'occasion de revenir à cet endroit. Je parcours les rayons, caressant du bout des doigts la tranche des livres présentés sur les étagères ; certains d'entre eux me rappellent des souvenirs. J'avais lu ce livre de Rousseau après avoir été chargée des nominations, par exemple. Et j'avais passé une nuit blanche à essayer de décrypter Madame Bovary, bien avant cela. Je m'empare finalement d'une œuvre de Platon et me dirige vers le canapé, mais une voix familière parvient à mon oreille et je stop net tout mouvement. « C’est ici que tu te caches toi ! » Je pivote à demi, tournant les yeux vers lui, tout sourire. Sa présence me faisait toujours un bien fou. C'était assez étrange comment le simple fait qu'il se trouvait non loin de moi me donnait soudainement l'impression que l'atmosphère s'allégeait et que tout allait bien. Depuis samedi, je faisais un peu la tête, mais il parvenait toujours, inconsciemment sans doute, à obtenir de moi un sourire. « Salut toi. » je réponds, laconique, les yeux brillants. Il s'approche, vient se serrer contre moi et je soupire d'aise tandis que ses doigts s'égarent le long de ma taille. Ses lèvres viennent chatouiller mon cou et je penche légèrement la tête sur le côté pour apercevoir son visage, ma main droite venant doucement caresser sa joue. « Qu’est-ce que tu faisais… j’espère que je ne te dérange pas. » Un demi-sourire s'empare de mes lèvres tandis que mon regard glisse naturellement vers le livre que je tenais en main, intitulé Le Banquet. « Hum, je m'apprêtais à lire. Mais tu ne me déranges pas du tout - je crois que Platon peut attendre… » D'autant que ce livre, je l'ai déjà lu. En version anglaise, par contre. Mais j'aurais bien eu besoin de me rafraichir la mémoire, et certaines conceptions philosophiques de cet ouvrage auraient pu m'être d'une grande aide. Je relève les yeux vers lui, un peu intriguée. « Et toi, qu'est-ce que tu viens donc faire par ici ? » je l'interroge, avant de déposer un baiser fugace contre sa mâchoire (j'avais toujours eu un faible pour les mâchoires). Savait-il lire le français ? Ou bien était-il venu en quête des rares bouquins rédigés en langue anglaise qui traînaient dans la parage ? Aucune de ces deux hypothèses ne me laissait vraiment convaincue.
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MessageSujet: Re: the mood it changes like the wind hard to control when it begins (06/12 - 20h26)   the mood it changes like the wind hard to control when it begins (06/12 - 20h26) EmptyJeu 6 Déc 2012 - 22:06

Même si ça change mes plans de la soirée, je suis content de retrouver Dagga dans cette bibliothèque. Après tout, ma première idée était de savoir où elle était pour pouvoir passer la soirée en sa compagnie, c’est donc que nous étions du pour nous retrouver dans la même pièce. Et alors que je l’ai devant moi, je ne me gêne surtout pas pour me coller contre elle, pour ressentir ce bien être qui s’empare de mon corps depuis quelque temps. J’essaie de ne pas y faire attention, pourtant c’est plus fort que moi. Je commence à vraiment m’attacher à elle. Le seul problème en soi, est que je ne sais pas si c’est réciproque. Au moins, elle semble contente de me voir, ce qui est plutôt bon signe, je crois. « Hum, je m'apprêtais à lire. Mais tu ne me déranges pas du tout - je crois que Platon peut attendre… » Je souris, un rire léger s’échappe même d’entre mes lèvres, en profitant pour descendre une de mes mains contre sa hanche. « J’espère bien que je passe avant Platon dans tes priorités ! » Je plaisante, bien que non au fond, j’aimerais bien faire partie de ses priorités tout de même. Mais encore une fois, impossible de le savoir. Et je suis trop timide en quelque sorte pour venir à lui demander. « Je te jure que je serai plus intéressant que le philosophe… » Je la serre un peu plus contre moi, retournant embrasser son cou avec amusement, mais aussi avec une certainement envie. Elle me retourne finalement la question en me faisant face cette fois-ci. Mon sourire s’agrandit alors que je profite de ses lèvres contre ma mâchoire comme elle le fait si souvent ces derniers temps. « Je venais dormir… » J’annonce, un air faussement coupable s’affichant sur mes traits. « Je sais, c’est pas une heure pour venir faire une sieste, mais j’avais rien d’autre à faire… Et je ne te trouvais nul part… » Oui, je lui fais comprendre que je voulais passer du temps avec elle. Si ce n’était que de moi en ce moment, je passerais surement tout mon temps avec elle. Mes mains toujours contre sa taille, je recule lentement pour me laisser tomber sur le canapé derrière moi, l’entrainant avec moi par le fait même, pour qu’elle puisse s’asseoir sur mes genoux. Enfin, elle est complètement tombée sur moi, mais ça va, j’encaisse le coup puisque je suis l’instigateur du mouvement. Je pose mes yeux sur elle un moment, me penchant finalement pour venir capturer ses lèvres comme j’en ai envie depuis que je l’ai aperçu il y a de cela quelques minutes. Le baiser se fait doux, tandis que je viens caresser sa joue avec une certaine tendresse. Je me recule que très légèrement après un moment, lui souriant timidement. Puis je me souviens de ce dont je voulais lui parler en premier lieu. « Tu sais Dagga… Je n’ai plus vraiment envie de coucher avec Candace… Ou avec n’importe qui d’autres… Enfin, je veux dire... Bah voilà... » Bon, lancé comme ça, ça sonne un peu étrange. Je ne suis pas doué pour ces trucs, est-ce que je l’ai dit ? Je fronce le nez, ne sachant pas vraiment comment lui dire cela autrement.

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MessageSujet: Re: the mood it changes like the wind hard to control when it begins (06/12 - 20h26)   the mood it changes like the wind hard to control when it begins (06/12 - 20h26) Empty

 

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