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 on nous inflige, des désirs qui nous affligent - 30 avril à 23h

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Krisjana

Krisjana
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MessageSujet: Re: on nous inflige, des désirs qui nous affligent - 30 avril à 23h   on nous inflige, des désirs qui nous affligent - 30 avril à 23h - Page 2 EmptyMer 30 Avr 2014 - 22:49

Oui, on pourrait presque croire que je suis une véritable tyran. L'obliger à dormir avec moi, j'ai vraiment l'impression de le forcer, hein. En plus, ce n'est que pour cette nuit, je suis raisonnable, que demander de plus. Il semble se faire à l'idée qu'il n'a pas le choix pour cette nuit, au moins. « Je préfère ça » je déclare avec une moue plus que satisfaite, oui, il m'en faut peu. Il m'informe que dormir n'est pas non plus dans ses priorités, évidemment, je ne suis pas contre. C'est vrai qu'on a rarement l'occasion de se retrouver que tous les deux. Je profite pour lui retirer sa chemise et il fait de même avec mon débardeur, vous me direz jusque là, ça va, c'est un peu comme si on était en maillot, au final, on est même un peu plus couvert que cela ! Je suis contre lui, ses lèvres retrouvent les miennes avec une sorte d'avidité, ça y ressemble. Mes mains sur sa nuque le maintiennent près de moi avant que ses lèvres ne décident de délaisser officiellement les miennes pour s'installer sur mon buste, je pousse un léger soupir. Jorah me glisse que je dois lui dire si cela va trop vite à mon goût, prenant en compte sa remarque, j'hoche la tête, positivement, oui, si c'est le cas, je ne manquerais pas de lui dire. Promis. J'esquisse un léger sourire, pour l'attention. « Je ne suis pas non plus une vierge effarouchée » je murmure alors, un brin moqueuse quand même, parce que si je ne m'étais pas montrée réceptive aux contacts au début, c'est surtout parce que je ne le connaissais pas. Je vois qu'il est toujours hésitant à retirer mon jean, ce n'est pas grave, je prends les devants alors, mes doigts glissent le long de son torse, lui offrant une légère caresse au passage pour arriver jusqu'au sien de jean. Personnellement, j'ose. Une fois cela fait, je me décale un peu pour le laisser plus libre de ses mouvements. Le temps qu'il se débarrasse définitivement de son jean j'attire un pan de la couette assez légère sur nous, nous cachant partiellement, pour avoir l'impression d'être réellement la seule à pouvoir profiter de cela, de lui. Je m'installe à califourchon sur lui, d'une main je décale ma lourde chevelure sur une seule de mes épaules pour m'occuper de lui. Je vais l'embrasser tendrement alors que mes doigts frôlent l'une de ses joues. Tout n'est que douceur pour le moment. L'une de mes mains encercle ses doigts poignets que je repose un peu plus haut sur le matelas, au dessus de sa tête, l'obligeant à tendre un peu les bras. Mes lèvres s'en vont se poser sur son épaule, remontant afin de s’attarder un moment dans son cou, laissant une légère trace de leur passage pour finir par s'échouer sur les siennes, à nouveau, de lèvres.
Jorah

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MessageSujet: Re: on nous inflige, des désirs qui nous affligent - 30 avril à 23h   on nous inflige, des désirs qui nous affligent - 30 avril à 23h - Page 2 EmptyJeu 1 Mai 2014 - 3:04

Les ordres de Krisjana, Jorah évitait de les discuter, du moins celui-ci il avait plutôt l'intention de s'y plier, tout simplement parce qu'il avait lui-même grandement envie de dormir ici, avec elle, pour profiter de cet isolement plus que bienvenu, et peut être concrétiser un rapprochement de plus en plus évident au fil de ces dernières semaines. Si Jorah avait senti que Krisjana n'était pas sur la même longueur d'ondes que lui, qu'elle n'était pas prête à partager un moment comme celui-ci, il l'aurait bien évidemment respecté. Mais la jolie brune se montra manifestement aussi désireuse que lui d'atteindre un nouveau degré d'intimité, car à peine eut-il soufflé l'idée de ne pas dormir immédiatement, voilà qu'elle s'était affairée à le dépourvoir de sa chemise, une action qui inspira le jeune homme puisque lui-même lui retira son haut. Jusqu'ici, ils désiraient apparemment la même chose, et c'est avec passion que leurs lèvres se retrouvèrent, tandis que chacun maintenait à sa façon cette proximité indéniablement agréable que ni l'un ni l'autre ne semblait vouloir briser. Et après que ses lèvres aient gagné le buste de Krisjana, Jorah préféra lui préciser que dans l'hypothèse où les choses iraient un peu trop vite pour elle, il ne faudrait pas qu'elle hésite à le lui faire remarquer. Le but était qu'ils aillent à leur rythme, sans que qui que soit ne se sente brusqué ou dépassé par les événements. Il voulait juste que les choses restent aussi plaisantes, et le brun afficha un sourire partiellement intimidé, quoi que teinté d'amusement, à la réplique de la jeune femme. « Dans ce cas, ce n'est pas moi qui risque de m'en plaindre » qu'il souffla, tandis que cette parenthèse l'avait un temps dissuadé de lui retirer son jean, chose qui incita Krisjana à le débarrasser du sien, tandis qu'il frémit tout d'abord au contact de sa main le long de son torse. Il fut alors dépourvu de son pantalon, dont il se débarrassa définitivement lorsqu'elle lui laissa la marge nécessaire pour le faire, tandis qu'entre temps il en avait profité pour bel et bien faire en sorte que le jean de la brune ne les gêne plus lui non plus. Cette dernière les recouvrit alors partiellement d'un bout de couette et s'installa à califourchon sur Jorah, qui pourrait difficilement trouver à redire de la tournure définitivement savoureuse que prenaient les événements. Répondant au baiser qu'elle initia, il la laissa faire lorsqu'elle saisit ses poignets, puis frémit irrésistiblement en sentant ses lèvres se déposer contre son cou, l'amenant à répondre à son prochain baiser avec fièvre tandis qu'il fit glisser ses poignets de façon à en récupérer le plein usage, et ainsi se redresser pour se retrouver assis, et laisser ses mains caresser pleinement le dos de Krisjana, qu'il maintint tout contre lui au moment où l'une de ses mains choisit d'aller défaire l'agrafe de son soutien-gorge, pour l'en débarrasser. L'amenant à se cambrer légèrement, il laissa ses lèvres chaudes se déposer sur sa poitrine, longuement, avant de revenir aux siennes pour les sceller en un nouveau baiser, ses mains caressant brièvement ses cuisses avant que l'une d'elle ne vienne s'égarer dans ses cheveux qu'il prit un malin plaisir à décoiffer, captant son regard pour lui sourire avec tendresse, juste parce qu'il ne voulait pas banaliser ce moment, qui avait pour lui une importance incroyable, et une symbolique qui ne l'était pas moins.
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MessageSujet: Re: on nous inflige, des désirs qui nous affligent - 30 avril à 23h   on nous inflige, des désirs qui nous affligent - 30 avril à 23h - Page 2 EmptyJeu 1 Mai 2014 - 14:49

Je sais très bien que Jorah sera très attentif à mes envies, qu'il ne me suffira que d'un mot pour calmer le jeu, et qu'il m'écoutera. J'ai confiance. Il n'a pas besoin de me le faire remarquer, j'en ai conscience. Sa réponse m'arrache un léger sourire avant que je le débarrasse de son jean en vitesse et il fait de même avec le mien. Grimpant sur lui, je commence à prendre mes repères, aimant le sentir frémir sous mes lèvres, si bien, que je continue de plus belle. Jorah finit par rapidement et facilement se libérer de mon emprise. Il décide de se redresser, m'obligeant à reculer pour lui laisser la place avant que ses mains ne jouent sur mon dos pour finir par enlever la dentelle qui me couvrait encore un peu. Je le laisse faire. Je ne peux réprimer un long frisson lorsque les lèvres de Jorah explorent ma poitrine en détail, avant de revenir sur les miennes. Je le vois sourire, mes lèvres se posent sur la commissure des siennes. Je crois que c'est bien la première fois que je partage un moment pareil avec une personne à laquelle je tiens réellement et qui m'attire et me plait autant mentalement que physiquement, alors j'ai l'impression de redécouvrir tout ça. Donc je prends mon temps. J'en profite pour le câliner, simplement, comme je le fais rarement. Mes lèvres se fondant sur les siennes, en douceur, lui offrant des baisers bien plus doux et reposants que les précédents pour que nous puissions nous poser un moment. J'enroule avec tendresse mes bras autour de son cou, mes doigts caressant sa nuque de temps en temps pendant que j'abuse de ses lèvres. On reste ainsi un instant, enfin, je ne sais pas, je n'ai plus trop la notion du temps. J'oblige ensuite à s'allonger, à nouveau, ma bouche parsemant de baisers son torse, la pointe de mes cheveux frôlant sa peau, je remonte jusqu'à son cou, mon souffle chaud s'y écrasant. Mes doigts titillent l’élastique de son sous-vêtement pendant un instant avant que mes prunelles n'aillent chercher les siennes, je capte enfin son regard, j'esquisse un léger sourire, presque timide, avant d'attendre en quelques sortes sa permission silencieuse. Je veux être sûre qu'il le veut aussi, même si je pense qu'on a un peu atteint le point de non retour, maintenant. En même temps, j'espère bien que c'est ce qu'il veut vue la position et le nombre de tissus qui jonchent le sol désormais, sinon ça serait un peu préoccupant. Je me surélève simplement pour libérer son corps de son sous-vêtement avant de me mettre sur le côté cette fois-ci, dévoilant son corps entièrement nu. Mon regard s'attarde sur le visage de Jorah pour finir par déposer un bref baiser sur ses lèvres avant que mes mains n'aillent caresser, parcourir, explorer l'intégralité de son corps qui m'appartient pour toute la nuit.
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MessageSujet: Re: on nous inflige, des désirs qui nous affligent - 30 avril à 23h   on nous inflige, des désirs qui nous affligent - 30 avril à 23h - Page 2 EmptyJeu 1 Mai 2014 - 20:23

Chaque frisson que lui procurait le parcours entamé par les lèvres de Krisjana l'amenait à savourer d'autant plus ce moment déjà si précieux, parce qu'ils étaient arrivés à un point de leur relation où ils étaient parfaitement sur la même longueur d'ondes, où ils désiraient la même chose, et ça ne lui faisait que prendre davantage conscience de tout le parcours qu'ils avaient fait ensemble. Jorah dégagea alors ses poignets pour se redresser et entreprendre de caresser le dos de la brune, dans lequel il défit l'agrafe de ce soutien-gorge qui le gênerait plus qu'autre chose d'ici quelques instants. Car voilà qu'il déposa durablement ses lèvres sur sa poitrine, la couvrant de baisers exaltants, lui qui s'abandonnait entièrement à ce qu'ils partageaient. Leurs échanges, pourtant teintés d'une passion indéniable, restaient doux et c'était d'autant plus appréciable, parce qu'ils s'en souviendraient comme d'un moment de réel respect. Ils s’étreignirent alors, et le brun la garda tout contre lui le temps de baisers interminables et toujours plus savoureux. Il se laissa faire lorsqu'elle l'incita à s'allonger, la fixant avec tendresse puis soupirant à mesure que ses lèvres longeaient son torse et que la pointe de ses cheveux rajoutaient aux multiples sensations que ça lui procurait déjà. Il se mordit la lèvre et ferma les yeux, la sentant remonter jusqu'à son cou, ses mains s'affairant à déposer de nouvelles caresses, plus fébriles, contre son dos. Son regard croisa le sien, tandis qu'il la sentit sur le point de le débarrasser de son boxer, l'une de ses mains venant caresser sa joue, tandis qu'il répondit à son sourire, l'autorisant à sa manière à le lui ôter. Parce qu'à mesure qu'ils s'apprivoisaient, qu'ils apprenaient l'un et l'autre à faire monter leur désir commun, il n'était que plus évident pour lui que c'est qu'il voulait, c'était concrétiser ce moment, en ne faisant plus qu'un avec elle, parce que s'il y avait bien une chose qu'il s'était promise en entamant ce rapprochement, c'était d'assumer jusqu'au bout ce qu'il désirait, en l’occurrence ici c'est elle qu'il désirait. Elle finit alors par le dénuder complètement et c'est en frissonnant toujours plus sous ses caresses qu'il la surplomba à nouveau et revint embrasser son cou, sa mâchoire, ses lèvres bien évidemment, tandis que ses mains glissaient jusqu'à ses hanches et qu'il se redressa de manière à la débarrasser à son tour de son ultime sous-vêtement. Caressant avidement sa peau, il tendit le bras jusqu'au tiroir de la table de nuit, dans lequel il supposait trouver ce dont il avait besoin. Il en sortit un sachet qu'il ouvrit en même temps que son regard vint chercher celui de la brune. Y lisant la même envie que la sienne, le même désir d'aller jusqu'au bout, il se protégea et se cala de façon à venir délicatement unir leurs corps, dans une expiration teintée de délectation, soulevant légèrement ses jambes pour s'ancrer en elle plus profondément, à travers d'amples mouvements. Laissant échapper des soupires qu'il écrasa contre ses lèvres, après les avoir reconquises avec ardeur, sa main exerça une ferme pression contre le matelas, tandis que la seconde se baladait le long du corps de la brune et qu'il intensifiait légèrement ses va-et-viens, ses lèvres déviant dans son cou, où son souffle brûlant vint bientôt s'échouer.
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MessageSujet: Re: on nous inflige, des désirs qui nous affligent - 30 avril à 23h   on nous inflige, des désirs qui nous affligent - 30 avril à 23h - Page 2 EmptyJeu 1 Mai 2014 - 23:34

Je préfère attendre pour être certaine avant de lui ôter la dernière barrière entre son intimité et moi. Une fois que je capte son sourire, je vire rapidement son boxer qui commençait à devenir réellement gênant. Le tissus atterrit sur le sol avant que je ne revienne vers lui pour profiter de ce corps que je ne connaissais pas mais qui s'offre désormais à moi. Mes mains s'attardent un moment sur son intimité avant qu'il ne m'enlève le dernier bout de tissus qui nous séparait. Je suis quand même une nouvelle fois déconcentrée par ses lèvres qui colonisent ma peau, chaque parcelle. Un léger soupir meurt sur mes lèvres. Je le regarde faire lorsque je le vois s'emparer d'un préservatif, effectivement, j'hoche la tête, bonne idée, mon esprit avait complètement occulté cela, heureusement que l'un de nous deux arrivent à être un peu lucide. J'attends néanmoins avec une impatience non feinte qu'il revienne vers moi, maintenant, je n'ai plus envie d'attendre. Je le veux, lui. Maintenant. Toute de suite. Contre le matelas, je le regarde alors que l'inévitable arriva enfin. Nos corps ne font plus qu'un, enfin, mes lèvres laissent s'échapper un râle de plaisir alors que je m'émerveille sur nos corps s’emboîtant à la perfection faisaient renaître ses sensations presque oubliées, grâce à lui. Je me fais rapidement au rythme que m'impose Jorah, à sa cadence, mes mains s’agrippant inutilement le drap bien que là, mes lèvres ne soient plus trop en mesure de l'embrasser pour le moment. (...) Dernière et ultime vague de plaisir, irradiant tout sur son passage, complètement. Mon corps se contracte une dernière fois autour du sien et on se détend tous les deux. Il se retire assez rapidement à mon grand regret et j'ai l'impression que c'est passé bien trop vite. Le dos collé au matelas, ma respiration est encore anarchique lorsque Jorah se laisse tomber à mes côtés. Je vire quelques mèches de cheveux qui m'obstrue la vision. Je pivote ma tête dans sa direction avant de poser le bout de mon nez contre le sien, pendant une poignée de secondes. Franchement je ne suis pas sûre de pouvoir encore parler car mon esprit est encore bloqué sur ce qu'il vient de se passer il y a quelques minutes. Le temps que je réalise. La pièce est bizarrement silencieuse maintenant mais ce n'est pas gênant pour autant. Je vais m'écraser partiellement sur lui, recherchant encore son contact, ma poitrine contre son buste et je pose délicatement une joue sur son torse. D'une main, je remonte un peu plus le drap sur nous. « Si j'avais su que j'allais avoir droit à ça » je laisse entendre avec un sourire taquin avant de croiser ses prunelles claires et ma main s'en va distraitement dessiner le contour de sa mâchoire. Je vais cueillir une nouvelle fois ses lèvres dont je ne suis toujours pas lassée.
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MessageSujet: Re: on nous inflige, des désirs qui nous affligent - 30 avril à 23h   on nous inflige, des désirs qui nous affligent - 30 avril à 23h - Page 2 EmptyVen 2 Mai 2014 - 1:19

Au moment où Jorah avait laissé entendre qu'il n'avait pas envie de dormir, il est vrai qu'il avait fait une proposition indirecte à Krisjana. Cependant, il n'avait à aucun moment eu la prétention de penser qu'elle voudrait véritablement partager un moment comme celui-ci avec lui, parce que là où beaucoup s'étonnaient certainement de voir une jeune et jolie jeune femme comme elle se rapprocher d'un type de son genre, il y avait bien des moments où lui aussi se demandait ce qu'elle lui trouvait. En soi, il n'avait été certain de ce qu'elle voulait qu'au moment où les choses étaient devenues particulièrement claires, et qu'il lui avait semblé inévitable qu'ils en viennent à les concrétiser. Ce désir qu'ils avaient l'un et l'autre fait monter ces dernières minutes avait inévitablement mené à une symbiose très intense, presque désarçonnante. Car au moment d'unir leurs corps, c'est tout un flot d'émotions qui parvint à Jorah. Cette danse chavirante qu'entamèrent leurs corps, qui maintenant n'en formaient plus qu'un, l'amena à donner de plus en plus d'ampleur à ses mouvements, à les préciser, à offrir à Krisjana tout ce qu'il pouvait lui offrir à cet instant. Entre deux soupires, il s'abreuva de ses lèvres avec gourmandise, jusqu'à ce que lui échappent les exclamations du plaisir qui ne laissait plus guère de répit à son corps, sa respiration se faisant de plus en plus haletante, quand la cadence de l'échange augmenta jusqu'à atteindre son apothéose, ce moment où leurs râles se confondirent et que la communion de leurs corps prit fin en un ultime contact. Jorah se retira alors, le souffle encore court d'avoir vécu un moment aussi intense, tandis qu'il se laissa tomber sur le coté, un sourire étirant ses lèvres pour témoigner du contentement qui était le sien, pas seulement d'avoir eu autant de plaisir, mais aussi d'être ici, avec elle, et de pouvoir maintenant se dire qu'ils étaient définitivement spéciaux l'un pour l'autre, parce qu'au même titre qu'il n'aurait pas pu se laisser aller avec une autre, il savait qu'elle n'aurait pas pu s'offrir à n'importe qui non plus. Fermant les yeux un court instant lorsqu'il sentit son visage se rapprocher du sien, il plaça une main contre son dos lorsqu'elle s'allongea contre lui, et qu'il retrouvait le contact de ce corps qu'il ne voulait plus quitter. Sa deuxième main vint caresser ses cheveux tandis qu'il lâcha un fin rire avant de se pincer la lèvre, vrillant son regard au sien suite au commentaire de la brune. « J'ai pourtant toujours dégagé une fougue incroyable, tu aurais du t'y attendre » qu'il souffla dans un nouveau rire, avant de répondre à son baiser, longuement, sa main se déposant sur sa joue pour y poser une caresse. Son regard se replongea dans le sien, avec tendresse, avant de se perdre dans ce qui les entourait, cet espace privilégié où tout avait pris son sens. « Ce que Babou m'a dit à la fin du prime, que toi et moi c'était une évidence ... » qu'il commença alors, en retrouvant son regard, le bout de son doigt longeant le bras de la brune. « Je crois qu'elle avait raison. Tout ça, ça m'a semblé incroyablement naturel, incroyablement logique aussi. » Il revint effleurer ses lèvres, sa main venant caresser son menton. « J'ai le sentiment d'avoir fait l'une de ces rencontres qui marquent vraiment une vie » qu'il lui souffla, pour qu'elle comprenne combien elle était devenue importante pour lui, combien tout ça se projetait maintenant pour lui en dehors du jeu.
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MessageSujet: Re: on nous inflige, des désirs qui nous affligent - 30 avril à 23h   on nous inflige, des désirs qui nous affligent - 30 avril à 23h - Page 2 EmptyVen 2 Mai 2014 - 22:42

C'est un trop plein de sensations. Je m'accroche à lui jusqu'au tout dernier moment avant de déconnecter complètement, mes lèvres laissant s'échapper un tout dernier soupir de plaisir et ça s'arrête trop brutalement pour moi. Ce moment s'est écoulé bien trop vite, les secondes ont filé trop rapidement. Aussitôt lorsque Jorah disparaît de mon champs de vision pour s'allonger sur le matelas, je pivote vers lui, attirée tel un aimant. On reste silencieux, je l'observe. J'ai vraiment l'impression qu'il a pu m'appartenir de toutes les façons possibles toute à l'heure. Et maintenant, c'est fini. Confortablement, je me cale contre lui, sans rien dire pendant un instant, ma poitrine se soulevant encore un peu trop rapidement. Je ne peux pas m'empêcher de soulever le caractère inédit de ce que nous venons de vivre. Clairement, je n'étais pas préparée à ça, à une telle puissance en fait. Sa réponse m'amuse. Sa fougue. Oui, j'ai surtout envie de dire qu'elle est très bien cachée sous son apparence de jeune homme très doux surtout. Les doigts de ma main s'entremêlent aux siens. « Désolée d'avoir pu douter de toi » j'ironise alors en affichant un léger sourire amusé. Ou moins, maintenant, je sais totalement à quoi m'en tenir. « Il faut dire que tu caches bien ton jeu » j'ajoute, tout de même, en modérant avant qu'il n’enchaîne avec Babou. Je n'avais aucune idée qu'elle avait pu lui parler de nous, avant son départ, j'avais préféré reculer lorsqu'elle lui disant au revoir. Nous deux, c'était une évidence, j'arque un sourcil, je n'irais pas jusque là mais tout c'est fait tout seul pendant ses dernières semaines, on s'est juste laissé porter par notre instinct et nos envies. Personnellement, je trouve que cela nous réussit bien. Je l'écoute avec une attention non feinte, mes prunelles scrutant son visage. Je suis une rencontre marquante. Je lui adresse un sourire totalement attendri pour le coup avant d'effleurer sa joue pendant une fraction de seconde. Oui, j'ai aussi besoin de lui, maintenant, mais bon, je ne sais pas trop si je serais capable de le dire à voix haute. « C'est à dire, tu vois la suite comment ? » je lui demande alors avant de l'embrasser avec tendresse. Je capte ses prunelles claires en attendant une réponse. Parce que c'est souvent lui qui a tenté de me parler de l'après, en général. « Car je suis très curieuse là, sachant que tu as un certain talent pour te projeter » je lui rappelle alors avant de m'installer complètement sur lui, mon corps nu épousant parfaitement les formes du sien, remontant le drap jusqu'à nos épaules avant que mes bras ne se glissent autour de sa nuque en déposant un léger baiser très doux sur son torse.
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MessageSujet: Re: on nous inflige, des désirs qui nous affligent - 30 avril à 23h   on nous inflige, des désirs qui nous affligent - 30 avril à 23h - Page 2 EmptySam 3 Mai 2014 - 3:43

C'est le souffle court et l'esprit vidé de toute pensée que Jorah se laissa retomber sur le lit, lui que cet échange passionné avait apaisé. C'était comme s'il avait choisi d'occulter la révélation de tout à l'heure, qui sur le moment lui avait fait de la peine, mais qui à présent semblait bien dérisoire. Un peu déboussolé, il la serra tout contre lui lorsqu'elle cala son corps contre le sien, appréciant de la sentir toujours aussi proche. Krisjana s'étonna d'avoir eu droit à quelque chose d'aussi passionné, et c'est après un rire que Jorah se laissa aller à un commentaire ironique, et très porté sur cet humour qui avait longtemps dominé leurs échanges. Leurs doigts s'entremêlèrent et un sourire regagna les lèvres du brun. Elle évoqua le fait qu'il ait plutôt caché son jeu, et dans un sens c'était vrai, en dehors de ses démonstrations affectueuses, il n'avait jamais cherché à se la jouer hyper séducteur. Mais c'est vrai que dans un certain cadre, il aimait s'appliquer. « Ce côté inattendu, c'est peut être ce qui a contribué à rendre ce moment... » Il effleura ses lèvres, dans un sourire malicieux. « … aussi délectable. » C'est vrai qu'en soi, le fait qu'elle eut été assez loin de l'imaginer aussi passionné avait peut être joué un rôle dans la satisfaction qu'ils avaient chacun tiré de l'échange. Il en vint finalement à évoquer Babou, et le fait qu'elle ait laissé entendre qu'entre Krisjana et lui, c'était comme une évidence. Pour lui, ça n'était pas loin de l'être, parce qu'à mesure que les semaines passaient, il notait que les choses devenaient de plus en plus naturelles avec elle. Ils avaient commencé par se rapprocher d'un point de vue amical, puis avaient développé une attirance réciproque, et à ce jour leur relation avait atteint un nouveau seuil, très intime. Et la façon dont ses yeux la voyaient, dont son esprit la pensait et dont son cœur ressentait sa présence avaient évolué eux aussi. Alors oui, il avait cette impression d'avoir rencontré quelqu'un qui chamboulerait son existence. Et justement, la question de Krisjana l'amena lui-même à s'interroger sur tout ça, sur ce qu'il imaginait du futur de leur relation. Après un baiser auquel il répondit, sa précision lui tira un petit rire, tandis que sentir son corps se poser tout contre le sien le déconcentra un court instant. « S'il y a une chose dont je suis sûr, c'est que les conseils qu'on a donné à Benjamin, l'autre soir, on se doit nous-mêmes de les appliquer » qu'il souffla pour commencer, en référence à ce qu'ils lui avaient dit, au sujet du fait de garder contact, à condition de le vouloir, pour ne pas laisser mourir une relation. « Mais ce dont je suis encore plus sûr, c'est que je me contenterai pas d'un appel visio toutes les deux semaines. » Il laissa l'une de ses mains glisser le long du drap jusqu'à sa chute de reins, lui souriant avec cette tendresse qui se manifestait d'autant plus clairement lorsqu'il pensait à l'après-jeu. « Alors la suite, je la vois jonchée d'obstacles, inévitablement ... Mais je la vois belle, malgré tout, parce que je sais que je serai prêt à mettre beaucoup de choses entre parenthèses pour entretenir tout ça. » Il finit par la faire doucement basculer contre le matelas, prenant un peu de hauteur en s'y accoudant, le visage penché vers le sien pour récupérer ses lèvres. « Je veux qu'il y ait un 'nous' … mais est-ce que tu saurais l'assumer ? » qu'il lui demanda, tout bas, son regard ancré au sien, comme pour y lire un début de réponse.
Krisjana

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MessageSujet: Re: on nous inflige, des désirs qui nous affligent - 30 avril à 23h   on nous inflige, des désirs qui nous affligent - 30 avril à 23h - Page 2 EmptySam 3 Mai 2014 - 16:35

Sa réplique me fait sourire. « Oh que oui » je susurre alors avec un sourire moqueur en vrillant mes prunelles aux siennes avant qu'il ne m'embrasse. Je commence à lui parler de l'après, parce que cela va arriver bien plus vite que l'on y pense. Autant comprendre à quoi il va falloir qu'on s'en tienne. Je l'écoute avec une grande attention lorsqu'il prend la parole. Je ne peux pas être plus d'accord avec lui. Comme je le dis, si on veut se voir, on se verra, si on veut garder le contact, on le peut. « Je suis d'accord » je balance alors en hochant la tête lors qu'il me parle d'assez peu de contact, comme appel sur skype deux fois par mois. « Ça ne me suffira pas » j'ajoute alors, parce que bon, franchement les relations à distances comme cela, je sais que ça ne pourra pas fonctionner avec moi. Si c'est cela qui nous attend alors je préfère qu'on profite de ce qu'il nous reste ici, et d'arrêter cela à l'extérieur avant que tout cela ne se dégrade de lui-même à l'extérieur. Je préfère le lui dire directement parce que je me connais. Il voit donc une belle suite. « C'est vrai ? » je lui demande en ronronnant, presque, parce que ça me plait qu'il me dise ça mais je préfère savoir s'il va s'y tenir, même si je ne connais pas vraiment les choses qu'il pourrait mettre entre parenthèses. Mais je pense que niveau obstacle, on a notre dose, rien que par la distance, notamment, il habite Bakou, je vis à Paris, et je ne peux pas quitter cette ville étant donné que j'en suis à la moitié de mes études, et encore, c'est parce que j'ai deux ans d'avance, ça. Mon dos se cogne délicatement contre le matelas, Jorah au dessus alors que mes lèvres cherchent les siennes. Si je peux assumer ... « Evidemment » je réponds alors en fronçant les sourcils avant de plaquer ma joue sur le matelas, dans la direction opposée de Jorah, soustrayant mes lèvres aux siennes si son idée était de m'embrasser juste après. Hors de question. Je roule sur le côté pour écarter un peu mon corps du sien.  Ça veut dire quoi cette question en plus ? « Pourquoi, t'en doutes ? » je lui demande alors avant de me redresser, plaquant d'une main le drap sur ma poitrine pendant que je me relève, afin de m'asseoir. Pourquoi je ne serais pas capable d'assumer le nous ? Hein ? Je me le demande bien. Les cheveux légèrement en bataille, je dois ressembler à rien. D'une main libre, je dompte rapidement ma longue chevelure avant de croiser son regard clair.  « Contrairement à ce que certains peuvent penser, je suis tout à fait capable d'apprendre à vivre à deux » je lâche simplement avant de ramasser au sol mes deux sous-vêtements en dentelle et de les enfiler par la suite, de me couvrir pour que je puisse me débarrasser de ce drap. J'attrape son boxer pour qu'il puisse se rhabiller à son tour. Je fais ensuite le contour du lit pour m'asseoir sur mon côté du matelas, à ses côtés.
Jorah

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MessageSujet: Re: on nous inflige, des désirs qui nous affligent - 30 avril à 23h   on nous inflige, des désirs qui nous affligent - 30 avril à 23h - Page 2 EmptySam 3 Mai 2014 - 20:03

L'échange en lui-même avait eu un petit côté inattendu, dans la mesure où même s'ils s'étaient l'un et l'autre rapprochés ces derniers temps, ils en étaient restés à des baisers plutôt sages, des étreintes raisonnables. Ici, ils s'étaient laissés porter par leur désir commun, et avaient partagé un moment passionné, inévitablement. Alors oui, le fait que c'eut plutôt eu une tournure surprenante avait très certainement contribué à faire de l'instant quelque chose d'aussi agréable. C'est après un baiser que Jorah laissa entendre qu'il avait l'impression que Krisjana compterait véritablement dans sa vie, ce qui amena la brune à le questionner sur la façon dont il voyait les choses par la suite. Jorah exprima alors le fait que ce qu'ils avaient conseillé à Benjamin quant au fait de maintenir le contact, il fallait qu'ils l'appliquent à leur propre relation. Elle semblait penser comme lui, autant sur ce point-ci que sur le fait que se contenter de quelques appels visio par mois ne serait pas gérable. Jorah n'avait rien contre ce genre de moyens de communication, mais il savait qu'il aurait besoin de l'avoir face à lui, de la toucher, de l'embrasser, et que se contenter de ce genre de contacts factices le frustrerait. Le brun finit alors par articuler qu'en dépit des obstacles qu'impliquerait le fait qu'ils ne vivent pas près l'un de l'autre, il voyait pour eux une belle suite, parce qu'il savait qu'il se donnerait les moyens de poursuivre à l'extérieur ce qui était né dans ce jeu.  « Je ne le dirais pas sans le penser, tu sais bien » qu'il souffla, dans un fin sourire, à la question de la jeune femme. Il la fit alors basculer délicatement contre le matelas, et exprima son envie de former avec elle un 'nous', à savoir une relation officielle, que chacun assumerait aux yeux des autres. Mais semble-t-il que sa question fut plutôt mal interprétée car après qu'elle ait froncé les sourcils et évité le baiser qu'il avait eu dans l'idée de lui donner, Krisjana s'écarta de lui, comme vexée. « Je posais juste la question, Krisjana » qu'il exprima alors, un peu hébété, parce que la dernière chose qu'il voulait, c'était qu'une question pareille gâche cette si belle soirée. Ce n'était pas qu'il doutait, c'était qu'il ne voulait pas qu'elle se force à accepter quelque chose qui pourrait lui poser problème. Il se pinça la lèvre lorsqu'elle reprit, son regard la suivant lorsqu'elle ramassa ses sous-vêtements, attrapant le sien, et entreprenant de se rhabiller comme elle l'avait fait. Elle s'assit sur le lit et il se tourna vers elle, se penchant légèrement pour déposer un baiser sur son épaule. « Moi, j'ai jamais dit le contraire » qu'il lui adressa, tout bas, ses yeux cherchant tendrement les siens. « Je veux juste que tu saches que tu as le choix, quoi qu'il arrive. » C'est tout, il ne l'accusait pas de vouloir se défiler, c'est simplement qu'il n'avait jamais forcé aucune fille à assumer une relation sérieuse avec lui. Il caressa le bras de Krisjana du bout du doigt, les yeux toujours vrillés aux siens. « Et je te crois, évidemment, alors me fais pas la tête » qu'il reprit, avec douceur, déposant ses lèvres sur sa joue. « S'il te plait » insista-t-il dans un murmure, ses lèvres dessinant une moue suppliante, teintée de tendresse.

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