"Je..." mais je fronçai les sourcils, elle ne semblait pas d'accord et a ce moment là je sentis comme quelque chose se déchirer en moi, enfaîte elle ne voulait juste pas être comme tout le monde ! Je souris "Oui, enfin, tu es loin d'être comme tout le monde mais oui c'était ce a quoi je pensais" dis-je en souriant avant de l'embrasser en y mettant toute ma passion pour elle, son regard m'avait fait comprendre qu'elle m'aimait vraiment, et puis, elle l'avait dit et enfin, elle avait été jalouse et blessée que j'ai embrassé Alisk (et encore embrassé, c'était plus un smack mais bon). Je passai une main sur sa hanche, puis dans le creux de ses reins, l'attirant contre moi un peu plus avant de mettre fin au baiser mais de la garder si près de moi.

Je souris à sa phrase, certes, je n'étais pas comme tout le monde, j'y avais mit une ardeur incroyable avant de vouloir justement, être comme tout le monde. J'avais décidé d'être différente bien avant mes six ans, j'avais peut être trois ans lorsque j'avais demandé à mon père si je pouvais un jour voler, ce qui me différencierait des gens, alors, j'avais décidé d'être Dieu, l'unique être sur Terre vénéré de tous, j'avais envie qu'on me regarde et m'admire mais c'était bien trop compliqué, j'avais décidé d'être marthyr, un simple marthyr que je m'aventurais à combler du mieux qu'il le pouvait, oui, j'étais marthyr de la vie. Il m'embrassait avec une passion me faisant presque oublier tout ce qui s'était déroulé jusqu'alors, me faisant comprendre qu'au fond, nous étions fait l'un pour l'autre. Il m'amenait plus vers lui encore alors je me redressais et le poussais doucement pour qu'il se retrouve sur le dos, comme à mon habitude, je me mis à califourchon sur lui, posant mes fesses sur le bas de son ventre et je l'embrassais, simplement, j'étais maitresse de son corps et de ses baisers. Je glissais mes mains sous ses vêtements pour sentir sa peau sous la mienne et je l'embrassais avec passion, simplement, en toute impunité.

Encore une fois elle voulait tout contrôler et vins se mettre au dessus de moi, j'eus un petit sourire amusé. Je retournerais la situation en moment voulu, bien sur. Elle se penchai alors et m'embrassai a nouveau avec cette même ardeur qui ne me laissait pas indifférent, tout comme ses mains baladeuses sous mon t-shirt. Je l'embrassai avec de plus en plus de fougue, mordillant par instant sa lèvres inférieure, avant de mettre fin a ce baiser enflammé et et de glisser une main sur sa cuisse, main qui remontait doucement la caressant tendrement avant de, à nouveau, l'embrasser.

J'aimais contrôler ma vie et mon destin, j'aimais contrôler chacun de mes gestes et en cet instant encore, même si j'aimais perdre pied, si j'aimais me sentir simplement humaine. Je caressais son torse dont je sentais la chaleur se répandre sous mes mains, je frissonnais alors que j'accueillais ses baisers, ses mains venant se déposer sur mes cuisses et remonter lentement dans une caresses tendre et enivrante. Je lui souriais et lui murmurais « Je t'appartiens alors ... Maintenant » Faisant référence en cet instant à cette phrase qu'il avait dite, lui rester fidèle, devenir un couple, oui, j'étais dorénavant à lui seul, mon coeur, mon corps, mon âme, je l'aimais et j'avais envie d'être à ses côtés, à savoir si cela continuerait à l'extérieur, si cela continuerait indéfiniment, je n'en savais rien, je verrais, je m'en fichais. Je me laissais doucement tomber tout contre lui, laissant mes mains caresser son bas ventre alors que ma poitrine vint à l'encontre de son torse, je l'embrassais langoureusement, mêlant ma langue à la sienne dans un mouvement des plus tendre et affectueux.

Je souris à sa phrase, ne répondant pas puisqu'elle se laissai doucement tomber contre moi, je la retournai alors, étant au dessus d'elle, je me retenais sur un coude pour ne pas l’écraser et de mon autre main, vint caresser ses cuisses a nouveau, remontant sous son gros et long pull de laine, je l'embrassai avec fougue. Le désir montait petit à petit mais après tout nous étions en couple et dans la chambre Aine a cette heure-ci, personne ne viendrait nous dérangé, du moins je n'avais pas l'impression que je ferais mieux de m’arrêter, continuant mes caresses et mes baisers. Je descendis mes lèvres dans son coup, y déposant quelques baisers. Elle était mienne autant que j'étais sien et ce sentiment était tout simplement divin. Je n'avais besoin d'aucune autre femme pour être comblé, elle me suffisait amplement.

Sans crier garde, Nolan me fit basculer, se retrouvant sur moi, il se mit à glisser sa main sous mon long pull - parce que j'avais moi même oublié comme j'étais habillée ce moment là - adieux les robes, vive les tenues super chiantes ... Nous nous embrassions avec une fougue enivrante, mêlant l'un et l'autre baisers et caresses. Je fis glisser mes mains dans son dos, les descendant lentement jusqu'au creux de ses reins où j'y fis jouer mes doigts, me relevant parfois pour attraper ses lèvres qu'il fit alors glisser dans mon cou. Ma respiration était plus rapide déjà à mesure que l'envie grandissait en moi, l'envie de son corps, l'envie de lui, simplement, doucement. Je fis glisser mes mains sur son torse, montant, descendant jusqu'à rencontrer le bas de son ventre, je glissais l'une de mes mains doucement et brièvement avant de l'enlever en un sourire satisfait.

Sous nos baisers et nos caresses, nos corps devenaient de plus en plus brûlants de désirs, Alice passait ses mains sur tout mon buste, les descendant même une fois un peu plus bas, un sourire malicieux au lèvres je me redressai afin de retirer mon t^shirt qui manifestement la gênait tout autant que moi. Je glissai mes mains sous son pull, le remontant légèrement dans l'optique de le lui ôter a elle aussi. Mais franchement elle n'avait pas choisis les vêtements les plus simple, enfin, elle ne pouvait pas se douter de ce qui allait se passer en s'habillant ce matin là. Mes gestes étaient doux mais tout de même hâté par le désir, mes mains venant caresser sa peau douce et brûlante.

Il faisait froid et humide, j'avais troqué pour la première fois depuis le début de l'aventure mes robes en tissu contre une tenue plus appropriée à la saison, je regrettais déjà ma robe mais j'aimais à sentir les mains de Nolan parcourir avec douceur ma peau, sentant le désir en lui, sentant l'envie grandir encore. Déjà, il se redressait pour retirer son tee-shirt, je souris en le laissant faire alors qu'il se hâtait à présent d'enlever mon simple vêtement, je l'aidais dans la confection de son oeuvre et jetais celui ci un peu plus loin, me redressant, je caressais son torse, l'embrassais avec délice et dévorait des yeux, il était mien, nous avions une envie commune, nous la laisserions s'attiser à feu doux. De nouveau, ma main vint glisser jusqu'à son entre jambe, je le caressais doucement avant de venir jouer avec le bouton de son pantalon pour le faire sauter avec difficulté, baissant ensuite la braguette et m'allonger de nouveau, l'attirant tout contre moi pour mêler ma langue à la sienne.

Finalement, lui ôter son espèce de robe en laine ne fut pas si difficile que ça, elle commença alors a me caresser le torse, descendant ses mains , je la laissait faire tandis que je bougeai ses cheveux pour venir l'embrasser dans le cou, descendant mes lèvres a la naissance de sa poitrine, mes mains sur ses cuisses cherchant a lui enlever ses collant en laine. Nous ne disions rien, nous contentant de profiter pleinement de cet instant. Je sentis alors qu'elle avait déboutonné mon jean et l'ôtai tout aussi rapidement. Bientôt, nous nous retrouvâmes en sous vêtements l'un contre l'autre, mes mains se pressant sur toute la surface de sa peau, remontant une de ses cuisses contre moi après avoir placé ma main derrière son genoux, celle-ci glissa lentement et sensuellement jusqu’à atteindre ses fesses, caressant doucement sa peau.

Nous étions à moitié nu l'un sur l'autre, nous nous embrassions et nous caressions avec envie. Nous avions jeté avec frivolité chacune de nos couches de tissus, celles qui cachaient prudemment notre peau chaude de désir. Sa main vint se dépose derrière mon genou pour glisser lentement et sensuellement sur ma peau, atteignant mes fesses qu'il caressait tendrement. De mon côté, je posais l'une de mes mains au creux de ses reins, remontant parfois jusqu'à son cou, ses cheveux dans lesquels je laissais mes doigts se frayer un chemin et repartir comme ils étaient venus. De mon autre main, je parcourais son torse chaud sur lequel parfois je laissais mes lèvres s'aventurer. Ma main glissait lentement, venant jusqu'à lui caresse l'intimité à travers la couche de vêtement qu'il lui rester, c'est à dire son simple boxer, je le titillais avec délectation alors que nos lèvres se rencontrèrent de nouveau dans un baiser simple.