Quel véritable gros chieur ce Lhoas franchement il n'aurait pas put partir en courant tant qu'il était encore temps c'est dingue faut toujours qu'il est des pauvres cons qui viennent nous dérange ou alors c'est notre conscience c'est à ne plus rien comprendre à cette histoire. Heureusement que je suis pas du genre à dire que c'est le karma qui nous montre que notre histoire est impossible, heureusement que je suis pas ce genre de personne. Ruben après s'être caché l'entre jambe finit par réagir très calmement. Bonne idée, mais bon j'ai pas ce calme moi. Semblerait-il que son petit commentaire fait son effet auprès de Lhoas. « Je.. euh.. désolé, j'ai pas voulu interrompre.. ça. Je m'attendais pas à.. ça. » Je soupire, il s’attendait à quoi à voir deux petit lapins s'envoyer en l'air ? Non sérieux il nous a entendu c'est ça qui l'a guidé jusqu'à nous il va pas me faire croire qu'il s'est dit qu'il allait venir se promener pile à cette endroit alors que le parc est immense. Je décide de ne faire aucun commentaire et de le regarder d'un simple regard noir. Il se met à rire. Bon ok c'était drôle, mais je vais certainement pas rire devant lui alors je continue de le regarder avec ce regard noir. Puis il finit par bouger son cul, enfin. Je ne perds pas une seule miette de son ascension et attends qu'il ne soit plus à porté de regard pour arrêter de le fixé méchamment et jeté un coup d’œil à Ruben. A mon tour alors je me met à rire tranquillement, faut dire que la situation était drôle et peu être que si je ne m'étais pas pris la tête avec lui il y a quelques heures j'aurais été plus encline à rire avec lui il y a quelques secondes. Bon nous étions de nouveau seul. Faut dire qu'il avait un peu cassé l'ambiance l'autre con. Je regarde Ruben, d'un regard langoureux et dépose ma main sur sa joue en une caresse tendre. J'approche ma bouche de son oreille, dépose un baiser sur sa tempe et lui chuchote ces quelques mots. « Nous en étions où ? » Ni une ni deux je renverse la situation. Je le fais roulé sur le coté et m’installe à califourchon sur lui. Je mets mes cheveux sur un coté . Je le regarde, souriante, malicieuse. Je dépose mes mains sur son torses et me penche pour l'embrasser, sa peau encore brûlante malgré le froid, je remonte jusqu'à son cou que j'embrasse sauvagement puis ses lèvres. A son tour de me faire basculer, il se retrouve au dessus de moi. Si quelqu'un veut venir cassé ce moment qu'il ne se gêne pas que je lui enfonce mes talons de 15 dans le cul, connard.

Contre toute attente, je m'étais montré plutôt persuasif et convaincant, puisque quelques instants après avoir demandé avec calme à Lhoas de nous laisser, il s'exécuta. « Je.. euh.. désolé, j'ai pas voulu interrompre.. ça. Je m'attendais pas à.. ça. » Lhoas ne pu s'empêcher de rire, quant à moi je me retins. Impossible de rire en sa présence, il pourrait s'imaginer que finalement il ne nous dérange pas tant que ça. Ce que nous voulions, Moore et moi, c'était rester seuls. Que personne ne vienne foutre son nez par ici, que personne ne daigne nous emmerder quoi. Lhoas s'en alla donc. Ouf. Nous pouvions ainsi reprendre là où il nous avait interrompu, il y a plusieurs minutes maintenant. Dès que Lhoas ne fut plus visible, et donc définitivement éloigné, Moore se mit à rire et je suivis le mouvement. Nous rîmes donc ensemble, réalisant combien la situation avait été comique, tout de même. Se faire surprendre de la sorte, elle en sous-vêtements et moi complètement à poil, qui plus est dans un parc et tard dans la nuit, ça ne devait quand même pas arriver à grand monde. Moore tourna la tête vers moi, son regard en disait long et sembla signifier qu'elle souhaitait elle aussi reprendre nos petites affaires. Affaires qui auraient été conclues depuis un moment si Lhoas n'avait pas eu la brillante idée de nous interrompre. Elle déposa alors sa main sur ma joue et caressa celle-ci tendrement. Après avoir déposé un baiser sur ma tempe, elle me chuchota quelques mots à l'oreille. « Nous en étions où ? » Pas le temps de répondre, la demoiselle se retrouva très vite à califourchon sur moi après m'avoir fait rouler sur le côté. Désormais elle contrôlait la situation. Son regard, son sourire, ses cheveux, son corps... elle était irrésistible. Ses mains virent se poser sur mon torse, sur lequel Moore vint déposer un baiser. Ses lèvres remontèrent jusqu'à mon cou, et finirent finalement par se poser sur mes lèves. Il était temps de me retrouver en position de force. Je la fis donc basculer à mon tour, afin de me retrouver comme tout à l'heure sur elle. « Nous en étions à là. » Je me penchai alors pour déposer plusieurs baisers sur son ventre, avant de remonter sur sa poitrine. Mmm, ce soutien-gorge allait me gêner. J'en fis donc tomber sur bretelle, puis l'autre. Je pouvais désormais le faire tourner afin d'avoir sur le devant les attaches. Je dégrafai finalement celui-ci, et le fis voltiger comme nos précédents vêtements. Tandis que je me retrouvais toujours nu, Moore ne pouvait plus compter que sur sa culotte. Allait-elle l'enlever par elle-même ou allais-je devoir m'y coller ? Ne croyez pas là qu'il s'agirait d'une corvée. Oh non, loin de là. Je pris tout de même le temps de jeter un coup d'œil rapide autour de nous, histoire de vérifier si nous n'étions pas épiés. On pouvait s'attendre à tout, absolument tout, désormais. Si Robin des Bois arrivait à cheval ou si Merlin l'enchanteur sortait d'un fourré, je crois que je n'en serais même pas étonné.

Enfin seul j'ai envi de dire et semblerait que cette fois seul le doux son du vent et les bruit de la nuit allaient nous accompagner. Ni une ni deux je pris le contrôle de la situation en m'installant à califourchon sur Ruben, mais une fois que mes lèvres vinrent capturer les sienne il en profita pour retourner la situation et me plaquer de nouveau au sol. Et ce n'était pas pour me déplaire. Je l'avais oublié le Lhoas, totalement il n'était plus dans mes pensées maintenant. Je ne pensais plus qu'à une seule chose, une unique chose qu'enfin nous allions jusqu’au bout des choses. Je me rends compte que je suis terriblement folle de lui, et que ça semble me convenir que cette peur panique semble s’envoler petit à petit à mesure que les choses avancent entre nous.« Nous en étions à là. »  Me dit-il avant de déposer des baisers sur mon ventre qui me firent frissonner de plaisir. Je mordille ma lèvre inférieure, en signe de plaisir. Lorsque ces lèvres remontent jusqu'à ma poitrine il semble gêné, c'est donc tout naturellement qu'il décide d’ôter mon soutien gorge. Il ne reste plus que mon slip qui me sépare de la totale nudité. Ruben pris un instant pour vérifié que nous étions pas de nouveau épié. Je profite de se moment pour ôter malicieusement ce slip qui nous empêche encore d'aller plus loin. Nous étions maintenant, tout les deux nus, tout les deux fous d'impatience, tout les deux excité. Ce ne serais plus qu'une questions de minutes avant que les choses aillent jusqu’au bout. Mes mains baladeuses se déplaces sur sa peau chaude, du bout des doigts, mes lèvres touchent de nouveau les siennes. Mes mains continuent leur petit voyage, descendant jusqu'à son dos, s'arrêtant fougueusement jusqu'à son cul. Puis l'une d'entre elle vint caresser son intimité avec douceurs puis avec plus de fougue procurant un râle de plaisir chez mon partenaire. L'autre était remonté jusqu'à son dos, se foulant toujours aussi malicieuse, toujours aussi fougueuse de caresse.

Les choses sérieuses n'allaient probablement pas tarder à débuter. Nous en mourrions d'envie, elle et moi, et un simple bout de tissu la séparait encore de la nudité intégrale. Contre toute attente, tandis que je jetai un coup d'œil méfiant autour de nous afin d'éviter toute nouvelle mauvaise surprise comme un intrus, un voyeur ou je-ne-sais-quoi d'autre, Moore en profita pour retirer son slip. Bien, nous étions désormais au même niveau elle et moi. Nus comme des vers, et sur le point de passer à la vitesse supérieure. Un plan cul ne m'intéressait pas. Je ne voulais plus qu'une chose : lui faire l'amour, la combler. Ses mains se baladaient maintenant sur tout mon corps, tandis que ses lèvres vinrent rejoindre les miennes en un énième baiser. Puis ses mains continuèrent leur parcours, l'une se concentra d'avantage sur mon dos, l'autre alla jusqu'à caresser mon bijou de famille, doucement puis plus sauvagement. Je ne pus m'empêcher d'exprimer mon plaisir, en un râle qu'il me fut impossible de camoufler. Je n'avais plus aucune raison de la faire languir, désormais. Nous étions trop pressés de continuer sur notre lancée. Bientôt, mes mains vinrent se poser sous ses cuisses, avant de soulever celles-ci tandis que je vins me caler entre elles. Nos corps se rejoignirent enfin en un mouvement à la fois brusque et précis, pour finalement ne faire plus qu'un. J'entrepris alors des mouvements de va et vient, tout en me préoccupant du plaisir de ma partenaire. Il n'était pas question de ne satisfaire que moi dans cette histoire. J'approchai de temps à autres mon visage du sien pour unir nos lèvres. Car c'était un acte amoureux, et non purement sexuel. Mes mains, quand à elles, étaient toujours posées sous ses cuisses. Je laissai s'échapper quelques gémissements, communiquant ô combien je prenais du plaisir. J'espérais qu'il en était de même pour elle, mais je n'avais pas trop de doutes là dessus. Nos corps étaient brûlants, bougeaient en rythme. Nous étions en parfaite osmose.

J'espérais de tout cœur que nous n'allions pas être dérangé cette fois, parce que là les choses sérieuses allaient commencer. Pendant que Ruben regardait si personne n'était dans les parages du genre un Lhoas qui se décide tout d'un coup à faire demi tour pour mater, j'ôtais le dernier 'vêtement' qui me séparait de la nudité complète comme l'était en ce moment même Ruben. Quelques baiser, quelques caresses aux endroit stratégiques, quelques gémissements. Et ses mains vinrent se caler sous mes cuisses d'une manière assez brutale et animale. Et nous ne faisions plus qu'un. Je laisse ma tête aller un peu en arrière sur la pelouse alors qu'un gémissement de plaisir s'échappait de mes lèvres. La danse commença, un va et vient lent et tranquille au départ qui se transforma rapidement en quelque chose de plus bestiale, animal. Le plaisir était à son paroxysme, je n'avais jamais ressentit une telle osmose avec mes autres partenaires sexuels. Ce n'était pas qu'une histoire de cul, c'est indéniable. C'était une histoire d'amour et c'est ce qui rendait les choses plus passionnelles, ce qui rendait le plaisir plus intense. Ce n'était pas qu'une partie de jambe en l'air, c'était l'union de nos deux corps, l'aboutissement de notre amour. Si j'avais pu pensé une seule seconde qu'un jour j'allais parlé de sexe en incluant le mot amour dedans... Non c'était impossible pour moi. C'est dans c'est moment là que l'on ne regrette pas les choix fait. Je sais que j'ai fais le bon choix. Il m'embrasse tendrement, bestialement. Mon coeur bat à cent à l'heure. Ma respiration est saccadé, je ne peux plus empêcher mes gémissements de plaisirs. Je n'ai pas l'intention de me mordre la lèvre inférieur, non j'exprime mon plaisir sans retenu. Mes mains se pose sur l'herbe fraîche et se referme sur les brins d'herbe, un peu plus fort chaque fois que le plaisir se fait plus intense. Je ne regrette pas d'avoir attendu, je crois que je suis folle de ce mec. Ma main droite dans un mouvement délicat vient se déposer sur son bras et remonte jusqu'à sa nuque allant jouer avec ses cheveux, puis les agripants avec force, le plaisir est si intense.

Nous l'avions attendu, ce fameux moment. Et enfin nous pouvions nous laisser aller dans ce parc, sous les étoiles. Un moment qui se voulait d'autant plus magique que l'amour était au rendez-vous, autant que le plaisir. Je ne regrettais vraiment pas d'avoir autant attendu avant d'avoir finalement sauté le pas avec Moore. Notez que je me retrouvais en véritable abstinence sexuelle depuis... pfou... des semaines et des semaines. Car non, aucune conquête avant Moore dans ce nid. Pas une. Il fallait dire qu'elle n'avait pas tardé à m'intéresser, la belle brune. Dès le début de l'aventure j'avais ressenti une réelle attirance pour elle, à tel point que je n'avais pas prêté attention aux autres demoiselles qui, tout de même, étaient elles aussi tout à fait mignonnes. Il n'y avait que Moore qui comptait à mes yeux, et même si c'était con à dire, j'avais presque l'impression de perdre une seconde fois ma virginité. C'était en effet une impression bien particulière. Nos corps ne faisaient désormais plus qu'un, tandis que j'alternais des mouvements lents, sensuels, et des mouvements plus brusques, plus bestiaux. Je me sentais bientôt comme un animal. Moore prenait visiblement autant son pied que moi, et ne cachait pas son plaisir. Ses mains vinrent d'abord se poser sur l'herbe puis l'une d'elle se posa finalement sur mon bras avant de remonter sur ma nuque. Elle se mit finalement à balader ses doigts dans mes cheveux, les agrippant avec intensité et puissance. Je n'arrêtai pas mes mouvements, n'ayant pour le moment pas la moindre envie de rompre un tel moment de plaisir. J'y allais désormais franco, avec dynamisme, énergie. Je donnais tout pour la combler. J'allais probablement me retrouver à bout de souffle d'ici peu mais qu'importe, ce moment nous l'avions attendu pendant trop longtemps. Je pouvais bien mettre mes problèmes de santé de côté tout de même. Et Moore me faisait de toute manière oublier ceux-ci. Me retrouver ce soir avec elle sur cette herbe, dans une danse mêlant tendresse et animosité, faisait de moi le plus heureux des hommes. Bientôt mes mains virent se poser sur sa poitrine, malaxant celle-ci avec douceur tandis que mes lèvres, elles, se posèrent dans son cou. Celle-ci remontèrent finalement jusqu'à son oreille droite, que je vins finalement mordre doucement. Mes mains remontèrent jusqu'à ses cheveux bruns et longs, mes doigts s'y emmêlèrent presque. Mon bassin, lui, continuait ses va et vient. Tout était mis en oeuvre pour lui procurer toujours plus de plaisir. Ce plaisir qui, de mon côté, ne cessait d'accroître à mesure que les secondes passaient.

Et dire qu'il y a quelques mois de ça on avait faillit le faire dur le plan de travail de la cuisine. Comme ça, juste pour le faire, sans aucune pression. C'est toujours ça que j'ai voulu pas de pression juste du sexe. Mais je me rend compte qu'avec des sentiments les choses sont bien plus intense, bien plus... importante. En plus quand on sait que dans quelques jours les choses vont clairement se compliqué autant profiter du moment présent et c'est ce que nous comptons clairement faire. Le plaisir était de plus en plus intense et je ne me cachais pas une seule seconde pour le lui signifier. Ma main sur sa nuque elle agrippe avec énergie ses cheveux alors que tout se fait de plus en plus intense, de plus en plus énergique, de plus en plus rapide. Se main vient se déposer sur ma poitrine me faisant frémir légèrement mais de manière intense. Mon dos se courbe légèrement à cette sensation divinement agréable. Ses lèvres, ses lèvre douce et bestiale à la voix viennent se déposer sur mon cou, autre frémissement.. Puis mon oreille, il aura raison de moi. Le plaisir est à son comble et dans peu de temps il finira en apothéose. Il faut le dire, Ruben ne fait pas les choses à moitié il fait tout pour me combler et il y arrive parfaitement bien je dois le dire. Je comprends maintenant pourquoi toutes ces femmes que je disais conne, pensent qu'il est mieux que l'acte sexuel se fasse lorsqu'il y a des sentiments, je comprends parfaitement. Je n'ai jamais ressentis une chose pareille, tout mon corps est en extase, le grain de peau est chaud, mon souffle est court.. Et mon coeur, oh bon sang mon coeur il a bat à une vitesse folle, je ne savais que que c'était possible de ressentir quelque chose d'aussi fort pour une personne. Et surtout je ne pensais pas qu'un jour j'en serais capable. Je laisse tendrement mon nez se frotter à sa joue alors que ses lèvres sont toujours sur mon oreille. Un tendre baiser se dépose sur sa joue, ou tendre bon loin de la bestialité du moment. Je me veux tendre, douce, parce que je le remercierais jamais assez de m'avoir fait vivre l'amour.. et surtout d'être capable de m'aimer.. moi.. Même si je crois que ça ne va pas durer très longtemps rien que ces moments seront gravé à jamais dans ma mémoire. Ma jambe droite se défais de son étreinte et vient s'enrouler autour de sa tailler alors que j’agrippe toujours plus fort ses cheveux, je doute que je lui fasse mal. Mon autre main se place sur son dos assez fort. Un gémissement intense me fait planter mes petit ongle dans sa peau, rien de plus douloureux mais il risque d'avoir une marque un petit moment.