EnochMESSAGES : 410 AGE : 41 LOCALISATION : ORKNEY, SCOTLAND (UK) EMPLOI : MENUISIER-EBENISTE JUKE BOX : MASSIVE ATTACK, MORCHEEBA, HOOVERPHONIC, ARCHIVE, PAROV STELAR, GRAMATIK POINTS : 174
LOVER'S LIFE CAGNOTTE: 7000 € RELATIONS: PARTENAIRE: AVALON
| Sujet: Re: great balls of fire - 11/05, 23:45 Dim 16 Juin 2013 - 14:27 | |
| Les femmes entreprenantes, je les fuis comme la peste. Elles m'effraient. Je ne saurai expliquer pourquoi. Elles ont cette audace, cette confiance en elles qui me déconcertent. Félines et sensuelles, elles sont capable de tout pour obtenir ce qu'elles veulent. Ça me met d'autant plus mal à l'aise que c'est Jaileen qui endosse ce rôle. Elle en profite pour me déstabiliser, pour me troubler d'avantage. Bien qu'elle soit agréable à regarder, je refuse de répondre à ses avances. Elle joue avec moi et cela l'amuse beaucoup, on dirait. Je ne peux rester une seconde de plus ici. Elle continue à se montrer de plus en plus provocante. Elle est en train de dépasser les bornes. Mon visage se referme, laissant transparaitre très peu d'émotions mais mon malaise est de plus en plus perceptible. Elle se moque de moi, en plus. Mes mains ne cessent de revenir aux cuisses de la blonde. Ses doigts viennent caresser mon torse. Mes traits se figent, mes poings se serrent. Elle me demande pourquoi je suis venue ici. Je réponds d'un ton plus ferme : - Je passais dans le coin, c'est tout. Et c'est vrai, en plus. Je ne m'attendais pas la voir dans ce genre d'endroit. Finalement, j'aurai rebrousser chemin, parce que la situation devient gênante. Quand elle commence, on ne l'arrête plus. Je persévère, je dois reprendre mes esprits avant qu'elle ne fasse quelque chose qu'elle va regretter plus tard. Je la prie de me laisser tranquille. Elle ne veut pas partir. Elle continue à provoquer. Je résiste encore et encore. J'ote mes mains de ses cuisses que je pose sur ses poignets pour l'éloigner de moi. Je suis en train de la repousser. Je lui dis d'un ton sec : - Bon, je n'ai marre là. Je me lève. Elle s'accroche à moi. Nos corps se frôlent. Je la tiens pour ne pas qu'elle tombe. Je la saisis et la porte sur mon épaule, reprenant le dessus sur elle. - Allez, au lit jeune fille. Je sais qu'elle va se débattre. Je m'en fiche. Tout cette histoire m'a épuisé. Je ne pense qu'à une chose : dormir. Je ne vais me laisser faire non plus. Je l'empêche en même temps de faire des bêtises. Elle n'est plus en état pour marcher correctement. On sort de la pièce. Elle s'agite de plus en plus. Je prends sur moi jusqu'à ce qu'on arrive au dortoir. Je la dépose sur son lit en silence. - Bonne nuit., dis-je d'un air las. Je peux enfin me reposer. |
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