Je ris légèrement au cinéma de Sami, qui exagère un tantinet son rôle de partenaire aimant. Je ne doute pas lui avoir manqué, mais de là à me surnommer 'amour', je crois que de l'eau coulera sous les ponts. Cela dit j'avoue que ce n'est pas désagréable de se faire traiter de la sorte, courbette comprise, aussi je le remercie d'un signe de la tête en la relevant bien haute comme si j'étais la comtesse de quelque chose. Cela dit mon bref élan d'amusement m'a coûté trop d'énergie, aussi je m'assois sans délicatesse sur la pauvre chaise qui reçoit ma silhouette avachie. Je triture mon couteau et ma fourchette, levant mes yeux fatigués sur le jeune homme qui préfère éviter trop de champagne pour m'épargner une nuit agitée. Non mais il n'oserait pas tout de même, pas devant sa fille, n'est-ce pas ? J'esquisse un sourire en secouant la tête, comme désespérée, avant de l'interroger sur la pensée qui vient de me traverser. « Dis, est-ce que ta fille est autorisée à te regarder à travers le petit écran ? » Car voir son père près d'elle et le voir dans une émission de télé-réalité, ce n'est pas la même chose. Il lui montre ce qu'il désire, se comporte de façon à montrer une certaine partie de sa vie, une image de père. Mais dans son existence quotidienne il lâche certainement des injures, il séduit quelques femmes. Un enfant ne connaît jamais ses parents à cent pour cent, comme l'inverse d'ailleurs. Elle est peut-être trop jeune pour comprendre, mais parait-il que même les bébés sont marqués par les images qu'ils aperçoivent. Alors à son âge, c'est possible aussi. « Ca va déjà un peu mieux grâce aux médicaments, je crois que je vais me contenter du fondant au chocolat. » Je lance, malicieuse avec un sourire amusé. Gourmande un jour, gourmande toujours ! Et autant en profiter tant que les cachets font leur effet, car dès demain matin je vais probablement déguster. En tout cas je ne regrette pas ma compagnie de ce soir, un homme aux petits soins ce Sami.

Hamad a écrit:

Les yeux perdus dans la vague, sur ces buffets garnis et le long des silhouettes de quelques candidats présent dans la salle, je ne m'aperçois pas de la présence de Valentina dans les escaliers. Elle arrive derrière moi et me complimente d'une voix légère tandis que je me retourne, pris au dépourvu. « Je fais de mon mieux. » J'avoue ainsi en rougissant, une main dans mes cheveux gominés. J'esquisse un sourire, en écho au sien, et laisse mon regard admirateur se glisser contre sa robe, ou plutôt les formes qu'elle laisse deviner. Elle est très belle ce soir. Bluffé, je masque néanmoins ma stupeur et me contente d'hocher brièvement la tête en plissant exagérément les lèvres. « Pas trop mal non plus dans ton genre. » J'arque un sourcil tout en la félicitant avant de sourire de nouveau, taquin. Une manière bien à moi de lui signifier qu'elle est absolument splendide, sans pour autant redoubler d'éloges à son sujet. Lui tendant la main, je l'invite à me suivre et la conduis jusque notre table, dans un coin isolée de la salle de balle. Des chandelles y sont allumées, et deux coupes vides disposées l'une face à l'autre n'attendent qu'à être remplies. Je tire la chaise molletonnée de ma petite blonde dans une révérence. « Installe-toi. » Je nous sers un peu de champagne et m'installe face à elle, déposant mes coudes sur la table avant de glisser mon visage entre mes paumes jointes. Je l'observe en silence, amusé, le rictus démangeant la commissure de mes lèvres que je garde fermées.

Il rougit ? Vraiment ? Elle écarquille les yeux, elle ne s'attendait pas une seule seconde à le voir rougir enfin surtout pas ace à elle et face à un compliment. Elle sourit attendrit. « Je fais de mon mieux. » De son mieux, le modeste. Son regard descend délicatement le long du corps de la blonde. Là c'est à elle d'être gêné, elle savait qu'il n'y avait pas assez de tissu sur cette robe et qu'elle montrait donc bien trop de cher. Elle baisse les yeux les joues rouges écarlate par ce regard qui glisse sur elle, c'est gênant. « Pas trop mal non plus dans ton genre. » Ca va c'est un compliment en demi teinte qui lui va parfaitement. Elle relève la tête vers lui mordant légèrement sa lèvre inférieur. « C'est gentil. » dit-elle pour faire court, elle aurait pu se plaindre pendant des heures de la coupe étrange, du manque de tissus, de la couleur pas vraiment blanche... enfin bref s'époumoner pour rien. Il tend sa main, elle l’attrape avec une légère hésitation. La méfiance, sa méfiance est vraiment très ancré dans sa personne. Elle ne pourra pas s'en défaire de si tôt. Il la conduit jusqu'à leur table et elle se rend compte que tout ça est totalement nouveau pour elle, qu'elle n'a pas cette impression de déjà vu, qu'elle ne peut pas se dire qu'elle l'a déjà fait et que donc ça va se passer parfaitement bien. Non elle n'a jamais eu de rendez-vous de ce genre au restaurant et tout.. Son cœur fait un bon, son regard panique, qu'est ce qu'elle doit faire ? Comment ça se passe ? Qu'est ce qu'il faut dire ne pas dire, ne pas faire ? En parfait gentleman il tire sa chaise fait une magnifique révérence et l'invite à s’asseoir. Installe-toi. » Elle s'installe sans un mot baissant son visage pour cacher sa panique qui grimpe en flèche. Son regard se perd ensuite vers ce verre qu'il remplit de champagne. Elle lève les yeux vers lui toujours aussi perdue, toujours aussi effrayé par cet inconnu qui se profil devant eux. Il sourit, elle attrape sa coupe de champagne prend pas le temps de trinquer et la boit d'un seul coup gonflant ses joues elle avale le tout pose son verre sur la table le regarde toute innocente. « Ensuite ? »... hm.

Ezéquiel dans une soirée de ce genre, qui l’eut cru. Et pas seul, non, il est avec une femme, une vraie, qui porte une robe de soirée, le tout, au fond d'une salle, autour d’une table, des assiettes chics, des couvercles luxueux et une ambiance de dîner presque parfait avec des pingouins entrain de séduire des filles par-ci et par-là. Hors les deux acteurs ne semblent pas être dans leur bain. Je jette un coup d’œil vif vers les autres table et je remarque qu’il ne font pas mieux, au moins moi, j’ai la chance d’avoir en ma compagnie une pipelette hyperactive et très avancée dans le sens de la communication, ça aide, oui ça aide vraiment à tuer cet espèce de silence qui nous sépare, et qui plombe l’ambiance. Entre deux intervalles, cette Tweedy nous trouves toujours une phrases pour égayer la conversation, et parfois, c’est des phrases qui ne servent limite à rien, à rien, comme si donner mon plat à une brochette de connard m’aiderait d’une quelconque manière, j’prefère de loin les ingurgiter moi-même ces plats de force que de les donner aux autres. En ce qui concerne sa demande officielle de nous verser deux verres de champagne, un simple hochement de la tête, signe approbatif, lui suffirait, puis brusquement, elle entama la discussion, la vraie discussion… Moi j’aurais bien aimé qu’on se regarde sur le blanc des yeux, ça me faciliterais la tâche et ça serait plus abordable pour moi, plus facile, mais je vois que madame veut parler… de fleurs… Alors c’est des fleurs qu’on parle lorsqu’on est invité à un dîner comme celui-ci ? Je note donc. La prochaine qui m'invite ou que j'invite, je tâcherais de lui vomir un bouquin sur la forêt. Donc la fleur qu’elle préfère, la fleur qu’elle préfère…. Mmm je m’en rappelle vraiment plus, c’était au tout début qu’elle me l’avait dit et faut bien l’avouer, j’ai pas du tout capter son truc, néanmoins j’me rappelle d’un truc mais je suis pas sûr, j’ai vraiment pas envie de faire une boulette dans cette soirée, ni la décevoir, donc la pression est à son comble là… Allez Ezéquiel, dit quelque chose bordel de merde… Juste pour savoir : Si je lui dit que sa fleur m’intéresse pas ? Elle se casse et me laisse comme une tafiole tout seul ici ? Ouais j’crois, et elle le ferrait en courant en plus, en criant que je suis une merde zéro émotive qui se fout des autres… Tant que je t’ai pas sauté ma belle, tu pourras pas dire que je me suis foutu de toi, bon, faut que je lui balance un truc pour la calmer. « Une fleur mauve. » Pfiou c’était chaud quand même, faut dire que j’allais crever, ça craint, faut que je commence à faire attention à ce genre de truc. Qu’elle me rassure vite, allez, qu'elle me dise Bravo, qu'elle organise une fête en mon honneur, car je viens de me rappeler sa foutue fleur préférée… Ouais ça s'fête ça !

Dites vous bien que Tweedy tâcherait comme toujours d'animer la discussion avec Ezéquiel. Mais pour ce faire, encore faudrait-il qu'il y en ait une, non ? Ainsi donc, Tweedy ne tarda pas à tenter de lancer un sujet de discussion, après leur avoir servi à chacun un bon verre de champagne. La question qu'elle lui posait était donc la suivante : parvenait-il à se souvenir du nom de sa fleur préférée ? Okay, c'était une question un poil saugrenue, mais dites vous bien qu'elle ne la posait absolument pas au hasard. C'était une manière de faire travailler la mémoire auditive de son partenaire, puisqu'elle lui avait fait partagé cette information lors de leur première vraie discussion, quelques semaines plus tôt, près des remparts. Alors, s'en souvenait-il, ou donnerait-il sa langue au chat, la forçant ainsi à répondre à sa place ? Pour le coup, le suspense était entier. Car le jeune homme prit visiblement le temps de réfléchir à une possible réponse, soit parce qu'il ne la connaissait pas, soit parce qu'il n'était pas sûr de lui et qu'il n'osait pas livrer le fond de sa pensée, peut être de peur de se tromper. Qu'il n'ait crainte, même si sa réponse était fausse, elle ne lui en voudrait absolument pas. Ce serait d'ailleurs idiot de donner plus d'importance à ce simple détail qu'il n'en méritait assurément. Bon alors, que décidait-il ? De tenter sa chance en donnant une réponse, quelle qu'elle soit, ou bien d'abandonner ? Visiblement, il préféra prendre un risque et se lança. Une fleur mauve, donc. Un sourire naquit alors sur les lèvres de Tweedy. « C'est exact. » Oui oui, ça l'était. Bonne réponse très cher. Quoi que ... « Enfin, la réponse attendue était "jacinthe mauve", mais je te la compte juste parce que tu as fait un effort » reprit-elle, dans un petit rire. Autrement dit, Ezéquiel venait de gagner des miles. Tweedy se saisit finalement de sa coupe de champagne, incitant son camarade à faire de même, avant de reprendre la parole. « A quoi désires-tu trinquer ? » Oui, elle lui laissait le choix. Parce que quoi qu'il décide, elle serait partante. Vraiment pas contrariante, celle-là.

Une fois de plus, Irène ri suite à mes propos. Si tu pouvais éviter de te foutre de ma gueule a chaque mot que je prononce, ça serait sympa, bitch. « Le seul mec qui a voulu m’invité, m’a avoué sur la route qu’il m’avait invité pour me sauter… je n’ai pas attendu de dîner pour le faire… on la fait dans la voiture et puis c’est tout. » La classe internationale. Personnellement je trouvais ça bien triste. Remarquez ça devait surement lui plaire de n'attirer que ce genre de type. Une allergique des relations amoureuses, mais comment pourrait elle savoir si elle aimait, si elle n'avait jamais essayé ?  « Ça a le mérite d'être...direct » Il était clair, pourquoi s'embêter d'un diner si c'était juste pour obtenir ce résultat. « Tu dois l’être déjà plus que moi… tu peux au moins nous servir du champagne… » Oui, ça je pouvais le faire. J'attrapai la bouteille qui se trouvait à côté dans le sceau de glace. La production avait pensé à déjà les ouvrir. Peut être avaient ils peur qu'on éborgne quelqu'un avec les bouchons. Je servis donc un verre pour mademoiselle, et un pour moi. Je levai ma coupe pour trinquer.  « A...ton premier rendez vous alors. » Sur ce je bus quelques gorgées.  « Pas trop déçue d'être coincée encore avec moi ce soir ? »

Pfiou bonne réponse, fin pseudo-bonne réponse vu qu’elle n’était pas complète, mais bon, l’essentiel c’était qu’elle était franchement à la hauteur des espérances de la Tweedy. Non pas que ça fait plaisir vu que j’ai limite rien à foutre, mais ça veut dire que cette soirée, je la gère et ça je crois que c’est le plus important. Aucun faux pas jusqu'à maintenant, aucune enmmerdes, rien. Pour l’instant, je suis dans la bonne voix et je me comporte plutôt bien, cette soirée je suis entrain de la réussir donc elle est pas belle la vie ? C’est tout à fait symbolique, et puis, ce n’est qu’un diner avec une conne non ? Donc y’a pas trop intérêt à s’emballer sur les changements effectuées… C’est vrai je fais des efforts, mais je doute fort que je serais aussi sage que maintenant, dans un futur proche ou éloigné, les deux. Alors bon, la suite, next et fais vite la Tweedy, je commence à m’ennuyer. Me servant un verre, elle me pose une question qui, pour moi, ne veut invraisemblablement rien dire… Mais qui, dans une soirée, à l’air d’être ultra-importante… Bon là j’commence à perdre le contrôle de la situation car je ne sais pas ce que je dois répondre… Vite, help, que quelqu’un me balance un truc à dire et à lui répondre, sans qu’elle ne se doute de rien… Dans un geste tout à fait naturel et professionnel, ma tête pivote pour voir s’il est possible que quelqu’un me parachute la réponse à cet équation… A quoi désires-tu trinquer… Aucune idée, et je crois que c’est l’étape la plus importante d’une soirée non ? Fin’ vu la construction de la phrase, c’est du lourd quand même. Puis une idée vient de me traverser la tête. « La Tweedy, je reviens. » D’un geste rapide, je me lève et je me sauve vers une table ou monsieur Keely - le pro- semble… être avec la poufiasse sodomisée… Oulaa Cupidon à franchement des goûts de merde pour assembler les gens… Keely il mérite une Valentina ou une blonde du genre, et pas cette merde là… Bref, je file vers la table de mon brave Keely pour lui demander de m’aider, Help me Keely, je suis dans une deep shit franchement. J’arrive donc vers le centre de leur table et j’y dépose mes coudes pour toucher à Keely deux mots, et seulement à Keely, même si j'parie que cette conne voudra capter des choses… Les choses que je lui dis sont top-secrets madame. Y'a que lui qui a le mot de passe. « Keely, La Tweedy m’a dit ‘A quoi désires-tu trinquer' … Je lui réponds quoi ? » Vite help me, j’veux pas me planter dans cette soirée, et surtout pas devant la Tweedy… La blonde en face doit surement avoir capter une fréquence du genre : Psshhsphshhpshhhp ou je sais pas quoi, fin on s'en fiche, elle est juste là pour la déco non ?

Alors que j'étais tranquillement en train de discuter avec Irène, mon ex partenaire adoré débarqua dans mon champ de vision. Il s'accouda à notre table, et me chuchota quelques mots doux à l'oreille. J'en avais de la chance n'est ce pas ? Ah vous aussi vous désiriez obtenir un tel traitement de sa part hein. Et non, ce n'était que pour moi, bande de jaloux. « Keely, La Tweedy m’a dit ‘A quoi désires-tu trinquer' … Je lui réponds quoi ? » Houla, question très importante. Je comprenais qu'il en soit paniqué le pauvre. Vraiment, toute la suite de son aventure allait dépendre de sa réponse... Merde, limite si je n'avais pas la pression sur mes épaules. La situation était grave les amis ! J'aurais un paquet de proposition à lui donner en stock, mais pas sur qu'il apprécie. Alors... C'est qu'il comptait sur le moins le Zéqué, je ne voulais pas le laisser tomber.  « Parles avec le cœur Zéqué, ça suffira » Oui, ouvre ton petit cœur aux autres. Ah mais merde, ça supposerait qu'il en ai un. Et puis surtout c'était un très mauvais conseil, dieu seul sait ce qu'il pourrait lui balancer.  « Sinon, tu n'as qu'à trinquer à...un nouveau départ. » Oui parce que maintenant qu'il avait la Tweedy comme partenaire, il allait être gentil le grand black, n'est ce pas ? Une nouvelle ère était née. Bon, satisfait maintenant ? Tu peux dégager.

« Ça a le mérite d'être...direct » Ouai, j’avais plutôt de la chance d’être directe. Beaucoup on du mal à l’être sous prétexte de paraitre trop indiscret. En même temps je n’allais pas lui cacher ça et ça ne devait pas réellement l’étonner. Effectivement, je ne suis pas le genre de fille qu’on invite et qu’on prend le temps de connaître. Finalement, avec le temps, je m’y suis fais. Keelan nous servit finalement du champagne. Je pris ma flûte et laissa mon verre tinter contre le sien. « A...ton premier rendez vous alors. » Je fis une petite moue, mais je pouvais bien avouer que c’était un bon motif pour trinquer. J’aurai bien ri, mais il le prendrait peut-être encore mal. Je l’imitais, en buvant de ma coupe. « Pas trop déçue d'être coincée encore avec moi ce soir ? » Pour tout avouer et être la plus sincère possible : oui et non. Ouai, j’aurai bien voulu voir une autre tête pour aujourd’hui, parce que j’étais à deux doigts de faire une overdose de Keelan. Non, parce que j’aurai pu tomber sur pire que lui, et me faire encore plus chier qu’à présent. D’un sens, je gagnais tout de même à être encore avec lui. J’allais ouvrir ma bouche quand un intrus se pointa à notre table. Et encore, « se pointer » est un peu trop faible. Il se plantait là carrément, sans gêne (et encore, pour le sans-gêne je suis une pro). Alors même lui à si peu de considération pour moi ? Ca en venait presque à me vexer. Je lâchais mon verre et croisant les bras, tandis que mon pied jouait sur le pied de la table. J’avais décidé de rentrer un peu dans le moule ce soir, alors je ne comptais pas m’énerver. Ni provoquer de débordement. Je tenais alors mon rôle de blonde secondaire, essayant tout de même d’écouter ce qu’ils se disaient. Peine perdue, mis à part le prénom de Tweedy, je n’entendais rien. Je roulais des yeux et reprit mon verre en main. La pauvre. Se coltiner un mec pareil devait être un enfer pour une fille aussi… enfin gentille qu’elle quoi. Je vidais ma coupe, m’en resservant une autre immédiatement. C’est qu’il avait plein de choses à ce dire les deux amoureux. Je donnais un coup sur l’épaule d’Ezéquiel pour le faire réagir. Parce que oui, je suis là quand même. « C’est bon, tu peux te barrer maintenant ! »