Céleste a écrit:

« A nous deux, on va casser la baraque moi je te le dis ! » Oh, je l'adorais déjà. Je vous avais bien prévenu que j'étais du genre à m'attacher directement aux gens et bien, j'avais définitivement adopter mon partenaire. Et bam ! Une petite ampoule s'allume au dessus de ma tête. Comment ça se fait que je connais pas encore son prénom ? « Trop bien, j'suis carrément venu ici pour retourner le nid. » Quoi que, en vrai je suis venu parce que ma soeur m'a dit que c'était cool à vivre. « Si piscine il y a, nous n'aurons qu'à faire trempette ensemble poupée. » Trop bien ! En plus d'être mon partenaire de vie dans ce nid, il voulait bien m'accompagner à la piscine. Ca, c'était drôlement chouette. Je pourrais d'ailleurs montrer à l’Irlande entière le nouveau bikini que je me suis acheté il y a une semaine. ( les six nouveaux bikinis pour être exacte, j'avais peur d'en manquer.) « Okey ça marche, je veux que tu me réserve ton premier détour par la piscine. Si il y en a une. » Il y en aurait une. J'en avais l'intime conviction. J'en étais persuadée. Je voulais une piscine mais décidais de ne pas m'étaler sur le sujet puisque j'embrayais directement sur les animaux. « Oui, oui. J'ai un chat, Tito. Tu sais, comme Tito Jackson. Enfin bref... Et toi ? Des animaux de compagnie ? » Bon, je ne voyais pas du tout qui était Tito Jackson. J'étais soudainement perdue mais tentait de ne pas le montrer tant que ça. « De la famille de Michael Jackson ? Moi j'ai un lapin. Il s'appelle Noël comme mon meilleur ami. Parce que je trouve qu'il lui ressemble un peu. Enfin, y a un truc dans leur regard mais passons. De temps en temps je garde Rock Elvis, le chat de ma soeur aussi. Quand elle est à l'étranger quoi. Donc voilà, un lapin et un chat à temps partiel. »

Ma partenaire et moi partagions le même enthousiaste, et d'emblée je sentais que nous allions bien nous entendre. Plus les minutes passaient, et plus j'étais ravi d'avoir pour partenaire ce joli bout de femme. « Trop bien, j'suis carrément venu ici pour retourner le nid. » Comme elle, j'avais bien l'intention de marquer Fake Lover ! Avec ma personnalité, je n'aurais probablement aucun mal à ça... Il fallait me voir, aussi, m'énerver pour un rien et hausser la voix dès que l'occasion m'était donnée. Tout le monde se rendrait vite compte que j'avais un caractère de chien. Oh mais j'assumais parfaitement mon sale caractère... « Ouuuh je sens que tous les deux, on va foutre le bordel ! » Qu'elle me suive ou pas, je ne serais pas le candidat passif que personne n'entendrait. Non, j'avais bien l'intention de me faire entendre, au sein de ce nid. Nous espérions vraiment découvrir une piscine lors de notre future visite du nid. J'avais proposé à ma partenaire de faire trempette avec elle, et de toute évidence cette idée ne lui déplaisait pas ! « Okey ça marche, je veux que tu me réserve ton premier détour par la piscine. Si il y en a une. » Comment refuser ? C'était tout bonnement impossible, et cela aurait été tout à fait idiot de ma part. « Avec grand plaisir poupée ! Compte là dessus ! » Avec tout ça, je me rendis compte que je ne lui avais toujours pas dit mon prénom. Oh et puis zut, on s'en fichait pas mal ! Je ne savais pas non plus le sien et cela ne me dérangeait absolument pas. On faisait connaissance, doucement mais surement. Je venais d'ailleurs de lui confier que j'avais un chat nommé Tito. De toute évidence, "Tito Jackson" ne lui disait rien. « De la famille de Michael Jackson ? Moi j'ai un lapin. Il s'appelle Noël comme mon meilleur ami. Parce que je trouve qu'il lui ressemble un peu. Enfin, y a un truc dans leur regard mais passons. De temps en temps je garde Rock Elvis, le chat de ma soeur aussi. Quand elle est à l'étranger quoi. Donc voilà, un lapin et un chat à temps partiel. » Je ne pouvais pas lui en vouloir d'ignorer qui était Tito Jackson. C'est qu'il n'était pas aussi connu que Michael et Jermaine, après tout. « Oui, c'est l'un de ses frères. Un lapin ? J'adore les lapins. D'ailleurs, sache que je suis un chaud lapin. Heu bon okay, cette information aurait très bien pu rester confidentielle... Hum. Sinon Noël c'est mignon comme nom. » Ce que je me sentais ridicule, après avoir lâché ça. Difficile de rattraper le coup... J'essayais quand même, car qui ne tente rien n'a rien. « Et sinon, heu, que fais-tu dans la vie ? » Avec un tel physique, j'aurais immédiatement pensé que la belle était mannequin. Mais cela relevait presque du cliché, alors j'attendais sa réponse avant de passer une nouvelle fois pour le gros débile de service.

Ainsi donc, mon partenaire se prénommait Jackson. J’avais intérêt à m’en souvenir. De toute façon, j’étais du genre à avoir bonne mémoire des prénoms, ça ne serait surement pas un problème. Quand je m’éloignais de lui pour aller retrouver le chérubin, je l’entendis me dire : « Fais vite, tu me manques déjà. » Me retournant vers lui, je lui lançais un baiser au vol, puis je disparaissais à l’extérieur. Pas pour très longtemps, ceci dit. Jackson ne se fit pas prier pour réagir à ma remarque avec son petit commentaire. « Tu t’en poses des questions existentielles, toi. » J’osais les épaules, l’air de rien. « Oh, je ne me questionne pas trop pour moi, mais je pense à ces pauvres malheureux qui seront incapables de bouger leurs fesses jusque-là. La longue marche pénible qui les attends les découragera surement d’aller buzzer, tant mieux pour moi. » Les flemmards en viendrait surement à maudire cette cabane, je l’imaginais déjà très bien. Je jetais un coup d’œil à mes deux camarades du moment. J’aurais pu tomber sur pire, vraiment. La jolie rousse à mes côtés – qui se prénommait Gabrielle, l'appris-je bien assez vite – ouvrit alors la bouche pour parler. « Vous en pensez quoi ? » nous demanda-t-elle, je suivi du regard son geste, qui englobait tous les autres candidats. « J’ai envie d’me casser, d’aller voir ailleurs. Ça vous dit? » Tout pour éviter le spectacle de cette petite blonde qui roulait des pelles à tout les mecs. Aussi bien préserver mon partenaire de cette mangeuse d'hommes.

Cette fille, Breathe, avait l'air à cent lieues de ce qu'il se passait. Ni surexcitée. Ni même passablement enthousiaste, à dire vrai. Dante ne s'était probablement pas figuré qu'il attirerait un tant soit peu son attention, mais puisqu'elle ne paraissait pas tentée par l'idée d'embrasser le premier apollon qui passerait par là ou de l'affubler d'un surnom de sa fantaisie, il s'attarda un moment. « Ta gueule. » « Oh, enchanté. J'imagine que c'est le huis-clos qui dispense de civilités... » De toute évidence, Dante n'était pas le seul à devoir se distinguer dans l'art d'avoir un partenaire indispensable de par son élégant sens de l'entrée en matière. Cependant, Breathe retint encore suffisant son attention pour que, sans l'intéresser tout à fait, il cessa de scruter le jeune homme. « Elles jouent à quoi les harpies ? Règlement de compte à Fake Lover ? Dés le premier prime. Si seulement le ridicule pouvait tuer. » Avisant le geste de Caesar, Dante extirpa son propre paquet de cigarettes avant d'entamer de répondre. « J'imagine que c'est à celle ou à celui qui fera exploser l'audience... » Et il n'avait d'ailleurs pas tout à fait tort. Cela dit, il ne l'ignorait pas non plus. Violence verbale. Physique. Autant d'ingrédients nécessaires. En attendant de savoir s'il en faisait partie, Dante alluma sa cigarette sans prendre le soin de supplanter l'offre de Caesar. Il tendit simplement son briquet à la jeune femme. « Je ne brise pas les alchimies. » Car, oui, il le lui abandonna pour s'éloigner sereinement.

Oh l’arnaque. La belle arnaque. Les anciens candidats avaient le droit à un ponton parsemé de fleurs, une magnifique île de rêve, des températures avoisinant les trente degrés chaque jour de leur aventure. Et nous ? Un vieux château à vous faire partir en courant, à l’intérieur duquel on allait certainement se cailler les miches. Enfin, il devait forcément y avoir un jardin splendide, ‘à la française’. Je me tournai vers ma partenaire lorsqu’elle s’accrocha à mon bras sans prévenir, me faisant légèrement tituber à mon tour. « Y’a pas de mal » précisai-je avec un sourire. « Tant que tu ne me bousilles pas les doigts de pied … » J’avançai de ce pas nonchalant qui me caractérisait. A priori, elle n’avait pas l’air trop excitée, trop niaise, trop odieuse. Un peu béate peut-être, mais c’était bien le dernier des défauts parmi ce rassemblement d’animaux de foire. Nous n’étions pas les premiers arrivés, et se fondre parmi la masse ne semblait pas d’une grande facilité. Je repérai immédiatement son regard émerveillé sur le ventre rond d’une femme plus âgée que l’ensemble des candidats. Ola, c’était le genre à vouloir se faire passer la bague au doigt et engrosser dans le dos de son copain ça. Ok, mon jugement était peut-être un peu hâtif. « Tu veux que je te ramène quelque chose à boire, histoire de se détendre un peu ? » Je n’avais pas particulièrement les qualités requises pour sympathiser avec toutes ces personnes en même temps. Toutes ces conversations me filaient la nausée, et je n’avais qu’une envie, c’était de me recroqueviller par terre comme ce type. Mais de toute évidence, ce n’était pas une technique qui fonctionnait. Alors autant essayer d’en connaître un peu plus sur au moins une personne, soit ma partenaire.

« Que fais tu ici… Je veux dire, comment tu t’es retrouvé ici… Bon relève toi, viens découvrir un peu et reste pas dans ton coin… ! » mes yeux s'écarquillèrent, je m’apprêtais à lui répondre mais rien ne sortait avant que finalement, une autre personne ne s'approche. Qui était-elle, je n'en avais fichtrement aucune idée mais ce qui était sûre c'est qu'elle parlait. Genre, beaucoup. « Yo, l'homme grenadine, ça fart ? Désolée hein. C'est quoi le but ? Je veux dire, on doit avoir comme 664 chaises ici et t'es assis par terre. Y'a quoi de spécial, t'as à une meilleure hauteur pour mater les quelques nanas qui envahissent la salle ? Et je m'appelle Winifred au fait, je doute que tu puisses ne pas t'en souvenir étant donné que je viens de t'offrir une douche un peu prématurée. » une mine perplexe et enfantine se dessina sur mon visage « C'est pas de la grenadine... c'est du jus d'orange. » me justifiais-je comme je le pouvais « Tu m'as... Tu m'as offert une douche ? » une vraie ? Je ne saisissais pas ses propos. Et puis j'en avais déjà une de douche à la maison... « Et toi, pourquoi t'es assise par terre ? » une lueur scintilla dans mon regard alors que je reportais mon attention sur l'autre jeune homme qui était non loin de nous « Toi aussi tu veux t’asseoir par terre ? » cette question semblait enfantine aux premiers abords mais était tout à fait sérieuse. Je me sentais cerné.

A peine fut-elle de retour à sa palce de départ, que l'espèce de hyène de la soirée répliqua. Ben oui ça aurait été tellement facile sinon ... Moore lui piqua sa clope, la tira et la balança dans sa coupe de champ'. Enfin ce qu'il en restait ... La bonne descente de Rory était en cet instant une bonne chose. Elle garda son sourire, secoua la tête, plus dépitée qu'autre chose. Elle aurait pu lui sauter à la gorge, lui foutre un plein ou un truc de ce genre ... car oui elle aurait aimé mais ceci n'était qu'un jeu. Elle ne désirait pas se faire éjecter au bout de la première soirée. Elle se contenta de ponctuer : Mesdames et messieurs ... la classe incarnée ! Déclara-t-elle en tendant le bras vers le dos de Moore qui s'éloignait. Qu'elle ait au diable de toute façon ... Elle attrapa une nouvelle cigarette. C'est alors qu'une meuf qui devait s'appeler Alex se jeta sur son paquet. Rory garda son briquet et tendit le reste à la blonde :: Au point où j'en suis : tiens prends tout, cadeau ! T'as l'air d'en avoir plus besoin que moi. C'était le début, fallait être un minimum gentille tout ça. Puis franchement Rory n'était pas une garce. Chiante ouais mais garce non. Elle reposa son regard sur la salle, une nouvelle fois. Bordel c'était trop marrant quand même cette effervescence et déjà tant de ... conneries en fait. En tout cas une chose était certaine : L'ambiance était de mise !!

« Je peux pas j'suis puceau ! » Répondais-je du tac-o-tac, quant au fait que j'allais tirer mon coup dans le nid, tout en sirotant tranquillement mon verre de champagne. En réalité, c'était dégueulasse le champagne, rien ne valait une bonne Guiness de toute façon. La brunette faisait son show tout en débitant son discours de garce, impassible je la laissais faire sans broncher. « Si tu arrives à te taire plus de cinq secondes pourquoi pas... » Je lui adressais un sourire mesquin avant de finalement reporter mon attention sur ma partenaire et sur sa coupe de champagne qui venait de recevoir un mégot. « Elle avait l'air sympa sinon » Lançais-je tout en attrapant un autre verre que je lui tendais qui contenait je ne sais trop quoi par ailleurs. De l'alcool c'était sûr. Une blonde interpella ma partenaire, réclamant une cigarette, oh une cigarette, si bien que un regard de chien battu se dessina sur mon visage. « Tu serais un ange si tu m'en filais une aussi tiens ! » Aussitôt la brune revint à la charge, attaquant la blonde par la même occasion. « Une pomme d'amour mon amour ? Non sérieusement, matte moi les lieux, j'suis sûr que c'est hanté! » Lançais-je en scrutant la pièce tandis que mon regard se posa à nouveau sur l'armure qui me filait des frissons autant l'avouer, tout en croquant dans ma friandise.

Sans plus se soucier de la blonde, qui retenait un peu trop son attention à son goût, Milan se laissa à goûter à nouveau son champagne. Sérieusement, cette femme était sans doute inintéressante et idiote, il ne voyait pas franchement l'intérêt de s'attarder sur elle plus longtemps. À première vue, elle n'en valait pas la peine. Il avait beau être ouvert à tout et tout le monde, là, tout de suite, le jeune irlandais n'était pas exactement dans l'optique de pousser plus loin ses investigations sur la personne. L'hypothèse que lui soumit alors Sixtine était intéressante. L'écoutant sans répondre d'abord, et s'épargnant de ses nouvelles résolutions qui finalement, ne tinrent pas longtemps, s'escrima à opposer les deux options. Il était au final curieux de savoir. Paradoxalement, pourtant, il n'avait pas du tout envie de se frotter à la blonde. Ça aurait sans doute été une perte de temps totale, dans la mesure où elle semblait être de ceux avec qui il était impossible de discuter. Une remarque de Sixtine retint alors l'attention de Milan. S'apitoyer sur le malheur des autres ? Il ne faisait que ça. Sa vie entière tournait autour de ça. Changer le monde. L'égalité entre chaque être humain. C'était son quotidien. Mais là ? Bof. « J'ai assez à faire à me plaindre moi-même de devoir supporter ce genre de cas » répliqua-t-il. Par réflexe, il tourna les yeux en même temps que sa compagne vers la victime de la blonde. Il ne lui avait pas répondu, du moins pas oralement, mais Sixtine s'entêta. Alors, en entendant sa réplique, il éclata de rire. Le jeune irlandais s'imaginait la scène avec une telle véracité qu'il n'avait pu s'en empêcher. « Pas sûr. Ça ne m'étonnerait pas qu'elle profite de l'occasion pour lancer une soirée tee-shirt mouillé. » Sérieux, c'était sûrement le genre de femme à renverser exprès un verre d'eau sur le pantalon d'un homme avec qui elle se trouve pour se pencher sur lui, et lui présenter mille excuses d'une voix de vierge effarouchée en frottant sa serviette sur l'entre-jambes de sa pauvre victime.

« Pourquoi, ça t'excite ? Allez, fermes-là et fous-moi la paix. Ta voix est juste insupportable. » Me répondit le travestit. Un sourire en coin je bois le fond de la coupe de champagne. Je l'aime bien cette fille même si elle a l'air d'avoir le feu au cul. « Sincèrement je trouve ça... intéressant. » Puis j'ajoute quelque chose. « Tu me me laisserais regarder par la fente de ta robe pour que je vérifie ? Oh mais attend ! Non t'es pas un travestit t'es une fille facile, non une nymphomane. D'où la robe avec la fente, dès que t'as une occasion t'as plus qu'à écarter les cuisses, hum intéressant. » dis-je éclatant d'un rire tonitruant. Je me trouvais particulièrement drôle ce soir. « Oh et le petit puceau hermaphrodite que t'as embrassé, je pense que c'est la première fois qu'une fille l'embrasse. Il va s'en rappeler toute sa vie. » Un sourire sur mon visage je croise les bras regardant ce qui se passe autour de moi. Tien j'irais bien tâter le cul du mec canon de tout à l'heure.

Seul comme un grand j'avançais sur un tapis dont j'ignorais la couleur. Par instinct, j'aurais dis rouge, un tapis rouge. Mais je ne pouvais en être certain. Muni de mon bâton d'aveugle comme le célèbre Dardevil lorsqu'il était en civil, je mettais un pied devant l'autre en direction du château. J'entrais à l'intérieur et me dirigeais aussitôt vers les conversations qui me guidaient vers le bon chemin. J'entendis alors des pas non loin de moi. Cela devait être mon ou ma partenaire. Je me stoppais dans l'entrée pour me tourner en direction de la personne avec qui je partagerais mon secret et mon lit. Je ne savais pas quoi dire, ni même comment débuter la conversation. Ne voyant pas qui j'avais en face de moi, je me retrouvais comme un con face à cet inconnu dont j'ignorais encore le prénom. Je me raclais la gorge sans pour autant prendre la parole. Je resté renfermé sur moi-même car je n'avais pas l'habitude de rencontrer de nouvelles têtes. J'étais légèrement perdu et déboussolé. Une chose était sûre, je n'étais plus dans ma ville natale ! Je repris alors ma route, ne voulant pas perdre de temps planté comme un piquet ici alors que la fête se déroulait un peu plus loin. Au vu de ma lenteur à cause de terrain que je ne connaissais pas encore, j'essayais premièrement de ne pas me taper les meubles et d'arriver indemne à la réception où tous les autres candidats sélectionnés se trouvaient déjà. Au milieu de la foule, je ne savais pas vraiment vers qui me tourner. Je ne connaissais personne. Je ne voyais personne. J'étais complétement paumé dans ce brouhaha et je restais immobile dans mon coin.